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LA GRANDE RÉYOLUTION
1789-1793
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OUVRAGES DU MÊME AUTEUR
l^SO-lTOS
2 3 4 sunesp"*^?
II
L'IDéE
L ACTIÜN
2 3 4 sunesp"*^?
L'ESPRIT DE REVOLTE ; LES éMEUTES
(i) Oü sait aujourd'hui que Taine, qui avait étudié les rapporfs
des inteudants sur ces insurrections, n'a consulte que 26 cartons
de Rapports sur mO (Aulard, Taine, historien de Ia Révolution
Française, 1907).
(2) Lc Jura par Sommier, le Languedoc par Vic et Vaissete,
Caetres par Combes, )a Bretagne par Du Chàtellier, Ia Pranche-
54 LA GRANDE REVOLUTION
LA PRISE DE LA BASTILLE
SOÜLEVEMENTS POPÜLAIRES
LES VILLES
(1) Le sac de blé était alors à 19 livres. Les prix montèrent, fia
aoüt, jusqu'à. 28 et 30 livres, si bien qu'il fut délendu aux bou-
laugers de cuire des gàteaux, des pains au lait, etc.
CDAPITRE XV 137
10
XVIII
12
XXI
TERREÜRS DE LA BOURGEOISIE
NOÜVELLE ORGANISATION MÜNICIPALE
13.
2 3 4 sunesp"*^?
XXIII
LA FÊTE DE LA FÉDÉRATION
CONSTITÜANTb
LE 20 JUiN 1792
21
XXXIV
(1) « Vous paraissez être dans les ténèbres sur ce qui se passe
à Paris D, dit à 1 Assemblée Torateur d'une des députationsíle
Ia Commune. *
CHAPITRE XXXIV 371
égorger (i). Et ü y a enfin Ia preuve.que Ia minoritó
« constitutionnelle » de TAssemblée avait promis de
suivre le roi, au cas oü ü quitterait Paris, sans toulefois
dépasser Ia distance prescrite par Ia Gonstitution. 11 y a
bien d'autres choses encore, mais on les cache, de peur
que Ia fureur populaire ne se porte sur le Temple.
Peut-être aussi sur TAssemblée? demanderons-nous,
Enfin, les trahisons, depuis longtemps prévues, écla-
tent dans Tarmée. Le 22 aoút, on apprend celle de La-
fayette. II a es"sayé d'entrainer son armée et de ia faire
marcher sur Paris. Au fond, soa plan était fait déjà deux
móis auparavant, lorsqu'il était venu tâter le terrain à
Paris après le 20 juin. Maintenant, il a jeté le masque.
II a fait arrêter les trois commissaires que FAssemblée
lui avait envoyés pour lui annoncer Ia révolution du
10 aoüt, et Luckner, le vieux renard, aapprouvé sa con-
duite. Heureusement l'armée de Lafayette n'a pas suivi
son general, et le 19, accompagné de son état-major, il
a dü passer Ia frontière, espérant gagner Ia Hollande.
Tombe aux mains des Autrichiens, il a été envoyô par
eux en prison et traité três durement — ce qui fait pré-
voir comment les Autrichiens se proposect de traiter
les révolutionnaires qui auront le malheur de tomber en
leur pouvoir. Les olüciers municipaux patriotas qu'ils
ont pu saisir ont été executes sur-le-champ, comme des
(1) Dans une lettre de Suisse, il était question de punir les Ja-
cobins: « Nous en ferons justice; Texemple en será terrible...
Guerre aux assignats; Ia banqueroute commeucera par là. Oa
rétablira le clergé, les parlements... Tant pis pour ceux qui ont
actieté les biens du clergé. » Dans une autre letlre on lisait : <c II
n'y a pas un moment à perdre. li faut faire ssntir à Ia bow-
geoisie que le roi seul peut Ia sauver. »
372 LA GRANDE REVOLUTION
(1) Ils citent, pour cela, les personnes qui furent libérées entre
le 30 aoüt et le 2 septembre, grâce à riuterveution de DautOD et
d'autres personnages révolutionnaires, et disent : « Vous voyez
bien qu'Us sauvaient leurs amis! » Ge qu'il3 oublient pourtant
Je dire, c'est que, sur les trois mille personnes arrêtées le 30,
pius de deux mille furent relàchées. II suffisait pour cela iJ'être
reclame par un révolutionnaire. Quant à Danton et à sa part dans
les jouruées de septembre, voy. A. Aulard, Éludes et leçoas sur Ia
Révolulion française, 1893-1897, 3' série.
(2) Madame de Tourzei, gouvernante du dauphin, et sa jeune'
üUe Pauline, trois femmes de chambre de Ia reine, madame de
Lamballe et sa femme de chambre avaieut été transférées du
Temple à Ia Force. Et de là, elles furent toutes sauvées, sauf
madame de Lamballe, par des commissaires de Ia Commune. A
deux heures et demie dans Ia nuit du 2 au 3 septembre, ces com-
missaires, Truchot, Tallien et Guiraud, vinrent rendre compte à
TAssemblée de leurs efforts. A Ia prison de Ia Force et à celle de
Saiute-Pélagie, ils avaient fait sortir toutes les personnes déte-
nues pour dettes. Après en avoir fait rapport à Ia Commune
(vers minuit), Truchot retourna à Ia Force pour eu faire sortir
toutes les femmes. « J'en ai pu faire sortir vingt-quatre », disait-il.
384 LA GRANDE REVOLUTION
(1) Mortimer Ternaux, Xa Terreur,t. II, pp. HS, 216, 393; Bu-
chez et Roux, t. XVI, p. 247; McUié, Les Sections d; Paris, p. 14í
et suivantes.
(2) üu comitê de correspondance entre les sections avait été
déjà établi, et une réunion de commissaires de plusieurs sections
se réunissait déjà le 23juiUet.
(3) M. Mellié a retrouvé le procès-verbal de Ia section Pois-
sonnière. Réunie le 9 aout, à huit heures du soir, en asseinblée
permanente dansTéglise Saint-Lazare, elle cassa tous les ofíiciers
dubataillon Saint-Lazare qu'elle n'avait pas nommés elle-même,
et nomma « sur-le-chauip d'autres offlciers, sous les ordres des-
quels elle entendait marcher «. Elle s'entendit avec d'autres sec-
tions sur Tordre de marche, et à quatre heures du naatiu, après
avoir nommè soa comitê permanent « pour surveiller les arme-
ments et donner les ordres de súreté qu'ils jugeraient nèces-
saires », Ia section se réunit « à ses frères du faubourg Saint-
Antoine » et se mit en marche sur les Tuileries. Par ce procès-
verbal, on saisit sur le vif Ia façon d'agir du peuple de Paris
pendant cette nuit mémorable.
404 LA GRANDE REVOLUTION
Les spéculations à Ia hausse des prix <Je blé, que Septeuil fai-
sait jadis pour le compte de Louis XVI (car « le bon roi » ne
négligeait pas ce moyen de remplir sa caisse), se faisaient
maintenant pour des bourgeois.
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XXXVIII
LE PROCÈS Dü ROI
MONTAGNE ET GIRONDE
LES « AKARCHISTES »
(1) Louis Blanc a trèa bien defini Brissot en dhant qu'il était
de ces hommes qui sont o aujoard'hui républicains avant Theure,
et demain révolutioDnaires attardés », gens qui n'ont pas Ia force
de suivre le siècle, après avoir eu Taudace de le devancer. Après
avoir écrit dans sa jeunesse que Ia propriété c'est le vol, son res-
pect pour Ia propriété était devenu tel qu'au lendemain du 4 aoCit
il blàmait TAssemblée pour Ia précipitation qu'elle avait mise à
lancer ses décrets contre Ia féodalité. Cela, à un moment oü les
citoyens s'embrassaient dans Ia rue pour se féliciter de ces décrets.
26
438 LA GRANDE REVOLUTION
(1) Marat avait raison de dire que les ouvragPi5 qu'il avait
publiés au commeuceuient de Ia Kévolution, — Offrande à Ia
Palrie, Plan de Covstitulion, Lfgislation crimineUe, et les cent
premiers números de VAmi du peuple étaient pleins « de ména-
gements, de prudence, de iiiodération, d'amour des hommes, de
Ia liberte, de Ia justice » (Chèvremont, Marat, t. II, p. 215). —
CDAPITRE XLV 507
Autant le peuple aimait Marat, autant les bourgeois
de Ia Gonvention le détestaient. Cest pourquoi les Gi-
rondins, qui voulaient entamer Ia Montagne, décidèrent
de commeQcer par lui: il serait moins défendu que les
autres.
Dès que Paris apprit le décret d'arre8tation lance
contre Marat, ragitation fut immense. L'ln8urrection
allait éclater le 14 avril si les Montagnards, y compris
Robespierre et Marat lui-méme, n'avaierit prêché le
calme. Marat, qui ne s'était pas laissé arretar de suite,
comparut le 24 avril devant le tribunal et fut acquitté
haut Ia mainpar les jures. II fut porte alors en triomphe
à Ia Gonvention, et de là dans les rues, sur les épaules
des sans-culottes.
Ainsile coup des Girondins était manque, et ils com-
prirent ce jour-là qu'il8 ne s'en relèveraient pas. Ge fut
pour eux « un jour de deuil », comme le dit un de
leurs jòurnaux. Brissot se mit à écrire son dernier pam-
phlet, A ses commettants, oü il íit de son mieux pour
réveiller les passions de Ia bourgeoisie aisée et commer-
çanle contre « les anarchistes. »
(1) Que de papiers de Ia pius hante valeur ont été détruits ré-
cemment encore à Glairvaux ! Nous en avons vu des traces et nous
avons retrouvé quelques débris de Ia bibliothèquo de < Pélarin »,
vendue à un épicier et au marchand de tabao du village.
CHAPITRE XÍ.VII 52Õ
les réactionnaires comme les révolutionnaires, disaient
de Tétat de Ia France, on ne peut s'empêcher de penser
que tout républicain, quelles que fussenl ses idées sur Ia
propriété, aurait dú se ranger à Tidée de l'emprunt
force. II n'y avait pas d'auire issue possible. Lorsque
cette question fut posée, le 20 mai, Timpôt fut recom»
mande par le modéré Gambon; mais les Girondins tom-
bèrent sur les promoteurs de Temprunt avec une vio-
lence inouíe, provoquant à Ia Gonvention une scène
détestable.
G'est pourquoi tout ce qu'on put faire le 20 mai, ce
fut d'accepter Fidée d'un emprunt force, en príncipe.
Quant au mede d'exécution, il devait être discute plus
tard, — ou jamais, si les Girondins réussissaient à en-
voyer les Montagnards « à Ia Roche Tarpéienne. »
Ehbien, dans Ia nuit mème qui suivit Texpulsion des
principaux Girondins, Ia Gommune de Paris arrètait que
le décret flxant le maximum des prix des denrées serait
mis à exécution sans retard; qu'il serait procede iramé-
diatement à Tarmement des citoyens; que Temprunt
force serait prélevé; et que l'armée révolutionnaire se-
rait organisée, comprenant tous les citoyens valides,
mais excluant du commandement les ci-deoant (c'est-à-
dire, les ex-nobles, les « aristocrates »).
La Gonvention s'empressa d'agir dans ce sens, et le
22 juin 1793 elle discuta le rapport de Real, qui posait
les príncipes suivants de Femprunt force. Le revenu
nécessaire (trois mille livres pour un père de famille, et
quinze cents livres pour un célibataire) est affranchi
de Temprunt. Les revenus abondants le supportent
d'une manière progressivo, jusqu'au maximum, qui est
526 LA GRANDE REVOLUTION
(1) Cest ainsi que ce décret fut interprete par les tribunaux et
qu'ii (loit rêtre. (Voyez, par exemple, Dalloz, X, p. 2Gõ, n" 2-261,
note.)
CnAPITRE XLVIII 537
probable que les paysans — là, du moins, oü Ia teneur
de ce contre-décrel leur fut expliquée, — comprirent
que le coup du partage des communaux, dont laLégis-
iative les avait frappés le 25 aoút, avait rate cette
fois-ci. Mais qui mesurera le mal que cetle menace
d'expropriation des communes, restée suspendue sur
elles, a fait à Ia Révolution; qui dira les haines qu'elle
aura provoquées dans les régions agricoles, contre les
révolutionnaircs de Ia ville.
Cependant ce n'était pas tout. Les 28 aoüt-14 sep-
tembre 1792, à Ia veille de se séparer, Ia Législative
lança un autre décret sur les terres communales, et si
ce décret était maintenu, il tournait tout à l'avantage
des seigneurs, II déclarait, il est vrai, que les terres
vaines et vagues « sont censées appartenir aux com-
« munes villageoises, et leur seront adjugées par les tri-
« bunaux » ; mais si le seigneur se les était appropriées
depuis quarante ans, et les avait possédées depuis, elles
resiaient à lui (1). Cette loi, comme le démontra plus
tard Fabre (de rHérault), dans un rapport qu'il íit à Ia
Convention, était d'un grand avantage pour les sei-
gneurs, car « presque tous lesci-devant seigneurs pour-
raient invoquer Ia prescription quarantenaire et rendre
par là inutiles les dispositions de cet article favorable
aux communes. » (2) Fabre signalait aussi Tinjustice de
TarticlelIIde ce décret, d'après lequel Ia commune ne
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LI
CIENS NATIONAÜX
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Lll
(1) Sur les causes réelles de cette cherté tout à fait voulue,
voyez Avenel, Lundis révolutionnaires, cb. iii.
(2) EQ general, pendaut toute Ia RévoIutioQ, les impòtsn» ren-
traient pas. En février 1793, leTrésor n'avaitencore rien touché
de Ia contribution foncière et mobilière de 1792, et sur celle de
1791 il n'avait touché que Ia moitié — soit 150 millioas. Tout le
reste était à Tavenant.
CHAPITRE LII 569
rapporterait de Targent. La quantité d'as8Ígnats émise
fut Jimitée à Ia valeur des biens que Ton mettrait
chaque fois en vente. Ces assignats portaient intérêt et
ils avaient cours force.
L'agiotage et le commerce de Targent tendaient sans
doute continuellement à faire tomber le cours des assi-
gnats; cependant il put encore être maintenu plus ou
moins, tant que les prix máxima des principales den-
rées et des objets de première necessite furent fixés par
les municipalités. Mais dès que le maximum fut aboli
par Ia réaction thermidorienne. Ia dépréciation des
assignats commença avec une rapiditéépouvantable. On
peut imaginer, quelle cause de misère cette chute des
assignats devint alors pour ceux qui vivaiént au jour le
jour.
Les historiens réactionnaires se sont toujours plu à
semer Ia confasion sur ce sujet, comme sur tant d'au-
tres. Mais Ia réalité est que Ia grande dépréciation des
assignats ne se íit qu'aprèsle décret du 3 nivòse an III
qui abolissait le maximum.
En même temps Ia Convention, sous les thermido-
riens, se mit à émettre de si grandes quanlités d'assi-
gnats, que de 6.420 millions, qui se trouvaient en cir-
culation le 13 bruraaire an III (3 novembre 1794), ce
chiffre montait, huit móis plus tard, c'est-à-dire au
25 messidor an III (13 juillet 1795), à douze milliards.
En outre, les princes, et nolamment le comte d'Artois,
établissaient en Angleterre, par une ordonnance du
20 septembre 1794, contresignée par le comte Joseph
de Puisaye et le chevalier de Tinténiac, « une manufac-
ture d'assignats, en tout semblables à ceux qui ont été
32.
570 LA GRANDE REVOLUTION
2 3 4 sunesp"*^?
LIV
(1) Faut-il dire que malgré tout ce que les historiens réaction-
naires racontent sur Ia Terreur, on voit, d'après les documents
des Archives, que seuls, les sans-culottes et quelques jeunes-
citoyennes se rendirent à cet appel patriotique : qu' « aucun mus-
cadin et aucune muscadine » ne se trouvèreut sur les quais du
canal. Sur quoi le représeutant se borne à imposer aux ricties ua
c dou patriotique p à Tavantage des pauvres.
596 IA GRANDE REVOLÜTION
LE MODVEMENT COMMUNISTE
30
LXIV
LA TERREUR
FIN
SOMMAIRE
PRéFACE: V
I.Les deux grands courants de Ia Révolution ... 1
II.L'idée 7
m. L'actioii ■. . . 15
IV. Le peuple avant Ia Révolulion 21
V. L'esprjt de revolte. — Les émeutes 26
VI. Les Etats Généraux rendus nécessaires -il
VII. Soulèvements des campagnes 47
VIII. IJmeutes à Paris et dans les environs 61
IX. Les Etats Généraux ,» 66
X. Préparatifs du coup d'Etat 75
XI. Paris à Ia veille du 14 juillet 87
XII. Lçi Prise de Ia Bastllle 101*
•XIII.Les conséquences du 14 juillet à Versailles . . . 114
XIV. Soulèvements populaires •'...-... 122
XV. Lesvilles 128
XVI. Le soulèvement des paysans 143
XVII. Le 4 aoüt et ses conséquences l"i.')
XVIII. Les droits féodaux restent 170
XIX. Déciaration des droits de rhomme tS5
XX. Journées des 5 et 6 octobre 1789 191
XXI. Terreur de Ia bourgeoisie. — Nouvelle organi-
sation municipale 206
XXII. Difflcultésíinaucières.—Vente des biens duclergé. 218
XXIII. Lafête de Ia Fédération 226
XXIV. Les districts et les sections de Paris 234
XXV. Les sections de Paris sojjs Ia nouvelle loi munici-
pale ■ 245
XXVI. Lenteurs dans Tabolition des droits féodâBK. . . 233
XXVII. Législation féodale de 1790 ...... . ; ... 266
XXVIII. Arrêt de Ia Révolution en 1790 276
XXIX. La fuite du rol. — La Kéaction. — Finde TAs-
semblée Gonstituante ', ..... 292
XXX. L'Assemblée legislativa. — La réaetion en 1791-
1792 305
748 SOMMAIRE
* $ ■ ''V'-'*
XXXI. La contre-révolution dans le Midi 318
XXXll.L(r20 juin n92 ..-...' 329
XXXIII. Le 10 aoút. — Ses conséqueiices iiumédiates. . . 3i3
XXXIV. L'interrègne. — Les trahisona. . 362
XXXV. Journéesde septembre - .' 3S1
XXXVI. La Conventioo. — La Commune. — Les Jacobins. 396
XÍCXVU. Le Gouvernemeiit. — Luttes au sein de Ia Coii-
venlioii. ^Laguerre. 403
XXXVIIL Le procès du roi 424
XXXIX. Moiitagne et Gironde 437
.VL. Efforts des Giroridias pour arrêter Ia Révolution. 447
XLI. Les « Aiiarchistes » 453
XLIt. Causes du mouvement du 31 mai 463
XLIll. Revendicatious Focia'es. — Etat des esprits à
' Paris. — Lyou 475
XLIV. Laguerre. — La Vendée. — Trahisou de Dumou-
riez. . . . ' 487
XLV. Nouv.eau soulèvement rendu iuévitable õü2
XLV). Le souèvement du 31 mai et du 2 juio SI2
XLVlI.La révolutioEi populaire. — L'emprunt force. . . S21
XLVlll. Terrescommuüales.—Ge qu'en tít Ia Législative. 328
XLIX. Les terressont rendues aui Communes 339
L. Abolition déíiuitive des droits féodaux 346
LI. Biens nationaux r '. 333
LU. La disette. — Le maxiraum. — Les assignats . . 560
XIII. Lacontre-révolutiou en Bretagne. — Marat assas-
^ siné 572
LIV. La Vendée. — Lyon. — Le Midi . 582
LV. La guerre. — L'ÍQvasion repoussée 593
LVI. La Constitution. — Le Gouvernemeut révolutiou-
Daire 604
LVII. Epuisement de l'esprit révolutionnaire 613
LVII. Le mouvement communiste 623
LIX. Idées sur Ia socialisatioD du sol, des industries,
des subsistances et des échanges 634
LX. Fia du mouvement communiste 643
LXl. Constitution du Gouvernement central. — Les re-
présailles 634
LXII. Instruction.— Système métrique. — Nouveau ca-
lendrier. — Tentatives anti-religieuses 667
LXIII. L'écrasement des seotions 680
LXIV. Lutte centre les Hébertistes 686
. LXV. Chute des Hébertistes. — Exécution de Danton . 697
LXVI. Robespierre et son groupe 706
LXVll. LaTerreur. 712
LXVIII. ha 9 thermidor. — Triomphe dela réaction. . . 721
COKCLUS^ON.; • . 73i
■1.*.
cm sunesp"*^? 10 11
cm sunesp"*^? 10 11
cm 2 3 4 5 unesp 9 10 11 12
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