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t et diffusivité thermique k t formulés comme

K2
t  C 

c p t
kt 
Prt
Où ε est le taux de dissipation de l'énergie cinétique de turbulence par unité de masse
due à contraintes visqueuses données par :
1
2
 
v '   v '  : v '  v ' 
T T

Dans le modèle, l'énergie cinétique turbulente k et la dissipation d'énergie turbulente
taux ε sont calculés en utilisant


  k   .  vk   .  eff ,k   Pk  
t
  2
    .  v    . eff ,E    C  1 Pk  C  2 
t k k
t 
eff ,k    , eff ,    t
Ou : k E

Avec le nombre de Prandtl turbulent ( Prt ) et d'autres constantes de modèle assignées

aux valeurs suivantes C  1 = 1,44, C  2 = 1,92, C  = 0,09

,  k = 1,0,   = 1,3 et Prt = 0,9. La forme compacte du terme de production d'énergie


turbulente est donnée par
Pk   R : v

Tandis que sa forme expansée pour un écoulement incompressible peut être obtenue

en multipliant Eq. (3,75) par t .


Dans la dérivation du modèle standard k - ε, le flux est supposé être entièrement
turbulente et les effets de la viscosité moléculaire négligeables. Par conséquent, la le
modèle standard k - ε est un modèle de turbulence à grand nombre de Reynolds
valable uniquement pour flux de cisaillement libres entièrement turbulents qui ne
peuvent pas être intégrés jusqu'au mur. La modélisation des écoulements à proximité
des murs solides nécessite l'intégration des deux équations sur une grille fine afin de
capturer correctement les quantités turbulentes à l'intérieur du couche limite ainsi que
les corrections pour les effets à faible nombre de Reynolds. Le modèle de turbulence
qui peut être intégré jusqu'au mur est indiqué dans la littérature par un modèle de
turbulence à faible nombre de Reynolds ou un faible nombre de Reynolds version.
Plusieurs modèles dits à faible nombre de Reynolds k - ε ont été proposés au fil des
ans (voir Patel et al. et Wilcox .L'idée derrière leur développement consiste à amortir
la viscosité turbulente près de la paroi grâce à l'utilisation d’une fonction
d'amortissement qui tend vers zéro au fur et à mesure que la distance au mur diminue,
C’est-à-dire à l'approche du mur. Constantes multipliant les termes sources dans le
turbulent les équations de dissipation sont également amorties dans certains modèles.
Tous les modèles partagent la même structure de base différant dans le réglage des
fonctions d'amortissement et dans certaines extras sources dans l'équation de
dissipation.
t  C  kt s
 (II.22)

Ensuite, en utilisant t s , l'équation ε est modifiée en


 1 
    .  eff ,    C  1 Pk  C  2 
 t ts ts (II.23)
Enfin, pour contraindre le tenseur de contraintes de Reynolds à être défini positif, un

limiteur est appliqué sur t s de telle sorte que


k  
t s  min  . 
  6C  S t 
  0.6
1
St 
2
  v  v T 
 (II.24)

En conséquence, à un taux de déformation élevé, croît au taux t s plutôt que S t .


2

II.8.2Le modèle k – ω :


On a déjà mentionné comment la famille des modèles k - ε se comporte bien pour les
écoulements à cisaillement libre sont susceptibles d'échouer dans la prévision des
écoulements avec une pression défavorable pente. Une autre classe de modèles, pour
laquelle l'équation de ε est remplacée par un équation pour ω, où ω est la vitesse à
laquelle l'énergie cinétique de turbulence est convertie en énergie thermique interne
par unité de volume et de temps, est mieux à même de prévoir flux séparés. Le
premier modèle de turbulence complet de cette catégorie a été proposé par
Kolmogorov. En plus de la même équation pour k, Kolmogorov a développé un
deuxième équation pour ω. L'inverse de ω sert d'échelle de temps de turbulence locale

k
tandis que l'échelle de longueur de turbulence est donnée par  . Le modèle k - ω

introduit ensuite est proposé par Wilcox comme une évolution vers le modèle k - ω
bien connu. Le modèle k - ω de Wilcox est similaire en structure au modèle k - ε et
est également basé sur l'approximation de Boussinesq. Deux équations de transport
sont résolues pour déterminer les deux (grandes) échelles de turbulence. La
dissipation spécifique de la turbulence est définie comme


C k
(II.25)
Les avantages de remplacer l'équation ε par l'équation ω sont: (i) la seconde est plus
facile à intégrer (plus robuste), (ii) il peut être intégré à travers la sous-couche sans
avoir besoin de fonctions d'amortissement supplémentaires, et (iii) il fonctionne
mieux pour flux avec un faible gradient de pression défavorable. Les équations de
conservation sont écrites comme

  k   .  vk   .  eff .k k   Pk   *  k 
t (II.26)
 
    .  v    .  eff .k    C  1 Pk  C  1 2
t k (II.27)
Avec les constantes du modèle affectées aux valeurs :
C  1  5 / 9,C  1  0.075,  *  0.009,  k 1  2,  1  2, Prt  0.9
(II.28)
Ou
k
t  

t
kt 
Prt
1
eff ,k   
k1

eff ,  1
 1 (II.29)
L'inconvénient majeur du modèle Wilcox est sa sensibilité au flux libre valeurs
spécifiées, ce qui conduit à une forte dépendance de la solution sur l'arbitraire
spécification du flux libre ω. Cette dépendance n'est pas présente dans les k – ε
maquette.[6]

II.9. Présentation de GAMBIT et de FLUENT


La résolution par le logiciel de simulation numérique des écoulements FLUENT
nécessite la présentation

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