Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
ENCG Agadir
1
Chapitre 3 : Les structures organisationnelles
en théories des organisations.
Une structure :
2
Section : 1 : Typologie des structures en théorie des organisations
- L’éventail de contrôle.
3
a. autonomes
4
b. La typologie des configurations : H. Minzberg
5
Mintzberg pense que les structures sont différentes
par les modes de coordination et non par les modes de découpage (idée
des classiques).
- l’ajustement mutuel
qui se réalise entre les opérateurs par un simple recours à un processus
informel de communication ;
- la supervision directe
qui se fait à travers une personne désignée pour donner des instructions
aux autres ;
6
- la bureaucratie professionnelle avec une standardisation des
qualifications.
Ce type emploie des spécialistes formés avec une grande latitude dans
le contrôle de leur propre travail ;
7
c. Les structures des relations.
Pour eux, il existe des formes provisoires de rapports entre les membres
de l’organisation :
8
Section II : L’Ecole de contingence et les facteurs
qui agissent sur les organisations.
C’est l’école de contingence qui a étudié les facteurs qui exercent une
influence sur les organisations.
Pour eux, il n’y a pas de structures optimales mais des configurations qui
s’adaptent en fonction des influences de leurs différents environnements
Il s’agit par conséquent, de mesurer les dimensions des organisations
qui changent selon les variables de l’environnement.
9
2- Les interactions technologie et structure.
Joan Woodward analyse la performance 100 entreprises industrielles qui
pratiquent l’OST.
Elle constate qu’il n’existe aucune relation entre ces deux critères.
10
3. Les interactions stratégie et structure
Alfred Chandler étudie l’histoire des plus grandes compagnies
d’assurance.
Il constate que chaque modification importante de la stratégie conduit à
la modification de la structure.
11
4. Les interactions culture et comportements
organisationnels
La culture d’entreprise est l’ensemble des règles et des valeurs
communes à un groupe social dans une entreprise.
La théorie Z d’Ouchi.
Dans une étude sur les pratiques managériales au Japon, Ouchi conclut
que l’entreprise favorise l’émergence d’une culture de clan.
En effet, l’entreprise apparaît comme une communauté d’hommes qui
coopèrent à partir de relation de confiance.
Selon lui, la force des entreprises japonaises s’explique par le fait que
les salariés sont sensibles et attachés aux valeurs fondamentales de
l’entreprise dans laquelle ils évoluent.
12
Conclusion du chapitre
Les fondements théoriques des organisations tels qu’évoqués dans ce
cours suppose une certaine universalité dans la pratique du
management. Le taylorisme, le fayolisme ou les lectures
configûrationnistes des structures ne sont pas standards. Les crises
économiques de la fin du 20 ème siècle et du début du 21 ainsi que la
montée en puissance des économies émergentes ont montré qu’il y a
d’autres alternatives aux percepts de Taylor ou Fayol.
Il est devenu nécessaire de comprendre l’ascension de l’économie
coréenne ou japonaise au rang de leaders sans appliquer totalement les
principes de management nés et articulés aux Etats-Unis et en Europe.
13