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A/ le processus de la communication
Communiquer c’est mettre en commun, une idée, une information, une attitude. La
communication nécessite l’intervention de 6 éléments :
2.une source ou un émetteur (l’entreprise)
3.un message
5.un vecteur, un support, un canal par lequel le message sera acheminé de l’émetteur au
récepteur (support et moyen média)
6.un code : le message devant être traduit en un certain nombre de signifiants connus par
convention et facilement interprétables et donc décodables par le récepteur
7.un effet retour ou feedback qui « boucle » le système et qui permet au récepteur de répondre
au message. Le feedback prévoit une réaction de la cible. Si cette réaction va dans le sens
recherché par l’émetteur, la communication a atteint son objectif (Audimat, engagement, reach.
La communication descendante :
La communication ascendante :
La communication horizontale :
Mouvement : il n’y a ici aucune notion hiérarchique.C’est un échange d’égal à égal, entre
différents secteurs, services ou départements.
Supports : l’information latérale se fait naturellement dans les petites structures : tout le
monde se connaît, les occasions de dialogue son fréquentes. Elle doit en revanche, s’appuyer
sur une organisation plus lourde dans les moyennes et grandes structures : rencontres inter-
services, tribunes libres ouvertes dans différents supports
d’information (magazine, tableau d’affichage ).
Fonction : l’information horizontale permet de rassembler son personnel, de fonder « l’esprit
maison». Et, indirectement, de mieux coordonner le processus de production.
b/ la communication externe:
– La communication externe comprend l’ensemble des messages et actions destinés à
des publics extérieurs à l’entreprise (consommateurs et acheteurs, journalistes, associations
de
défense des consommateurs, distributeurs, clients, fournisseurs, milieux bancaires et
financiers,
actionnaires, pouvoirs publics...).
La promesse marketing est plus ou moins forte et différenciante selon la nature des produits et selon
les cas. La promesse marketing est normalement plus stable dans le temps que la promesse
publicitaire bien que les deux puissent être parfois identiques.
La cible de la communication
Une cible est constituée par l’ensemble des personnes que l’on veut atteindre par les messages de
communication. Elle est constituée des personnes paraissant les mieux placées pour s’intéresser à
un produit ou à un service donné.
Le cœur de cible est constitué par l’ensemble des consommateurs visés directement par l’effort de
communication.
Au niveau affectif (faire aimer) : c’est le niveau de l’appréciation. La communication agit sur les
attitudes. Elle a pour objet d’éveiller l’intérêt, le désir et la préférence des individus.
Au niveau comportemental (faire agir) : c’est le niveau de l’action. Le but est d’entraîner une
action se traduisant par un achat ou l’adoption d’un nouveau comportement.
Ces 3 dimensions se retrouvent dans différents modèles de communication qui ont schématisé
théoriquement les réactions du récepteur ,
Par exemple, les objectifs peuvent être : faire connaître l’existence, expliquer le fonctionnement,
bâtir une image, créer une préférence, mettre en valeur certaines caractéristiques, modifier la
perception des attributs du marché, soutenir les autres formes de communication, faire acheter,
suggérer de nouvelles utilisations, encourager la fidélité…
A/Pourquoi une communication de produit ?
La marque a pour principale fonction de guider les choix de l’acheteur potentiel dans un
univers d’offre pléthorique (surtout dans le domaine de la grande consommation). Elle est
un signe de différence qui permet d’identifier le produit concerné. Les spécialistes du
marketing ont effectué de nombreuses recherches sur le rôle de la marque dans les
comportements d’achat pour analyser la pertinence d’investissements de communication
spécifiques. Il est vrai que les marques font partie intégrante de l’univers culturel des
consommateurs. L’impact d’une marque se juge à sa notoriété, à son image et à sa capacité
de modifier un comportement d’achat.
• les composantes de CC
b,media et numérique:
Le cas particulier d’Internet et des réseaux sociaux
Internet fait exploser la frontière classique entre publicité et marketing direct. En effet, un
bandeau publicitaire ou un lien commercial est un élément de publicité, mais on peut
également considérer qu’il s’agit d’un élément de marketing direct dans la mesure où il peut
susciter une action immédiate du destinataire et où on peut mesurer précisément les résultats
d’une campagne (clics, commandes, CA). On peut aussi parler de média social, et ce de plus
en plus, car les principales plateformes permettent l’achat de diffusion de messages
publicitaires et financent la gratuité du service par ce biais
a,marketing direct:
Le marketing direct regroupe l’ensemble des techniques marketing qui permettent
d’identifier les consommateurs d’un produit, de leur adresser directement une proposition
commerciale, afin d’obtenir une réponse directe, plus ou moins immédiate de la part du
destinataire (commande, demande de devis, appel sur n° vert, prise de RV, etc.). Le
marketing direct regroupe l’ensemble des techniques marketing qui permettent d’identifier
les consommateurs d’un produit, de leur adresser directement une proposition commerciale,
afin d’obtenir une réponse directe, plus ou moins immédiate de la part du destinataire
(commande, demande de devis, appel sur n° vert, prise de RV, etc.).
Il est déterminé sur la base des objectifs à atteindre, des moyens à mettre en oeuvre pour
cela, et des budgets de communication de la concurrence. La communication, ayant pour
objet de « faire la différence », est toujours relative ; une faible communication de la
concurrence permet de limiter le budget de communication investi sans remettre en cause
son efficacité ; à l’inverse, lorsque les concurrents communiquent fortement, il est
indispensable de sur-investir dans la communication pour espérer une certaine efficacité. Le
budget s’exprime généralement en pourcentage du chiffre d’affaires de l’entreprise, ce qui
permet une comparaison avec les habitudes de la concurrence directe et de l’ensemble des
entreprises évoluant dans le même secteur économique.
• 2,2:LA PERFORMANCE