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Dans un jour, quand je écoutais la radio, j’avais entendu une voix masculine dans l’appartement de mes

voisins. Cette voix montait peu à peu. Je me suis rapproché de la cloison quand le voix disait qu’elle veut
tuer « la femme ». Le jour suivant, quand j’allais jeter ma poubelle, je observais un chat étranglé sur
l’escalier. Au matin, j’ai décidé de raconter tout au Père Carnaise. Mais, il a dit que toutes les familles
avaient des conflits et que je ne devais pas écouter les discution de mes voisins et que je n’avais pas des
preuves que c’est mon voisins qui avais tué le chat.

Quelques jours plus tard, j’ai décidé de poursuivre mon voisin et j’ai appris qu’il travaillait aux abbatoirs.
Quand j’ai enregistré ses menaces pour la femme, je passais encore au Péré Carnaise pour lui montrer ce
qui j’avais enregistré. Mais, malheureusement, il a dit qu’il n’écutait rien. J’étais désolé.

Dans un jous, sur le funiculaire, j’ai observé l’épouse de mon voisin. J’ai essaie de lui parler, mais elle
disparait parmi la foule de passants.

Le vendredi suivant, j’ai accompagné mes collègues de travail à une fête organisée par un contrôleur à
l’occasion de la naissance de son troisième enfant. Au soir, quand je revenais à maison, dans la cour de
l’immeuble, il était une agitation inhabituelle. Le cadavre de mon voisin restait recroqueville sous une
couverture dans l’escalier. La police voulait de connaître les circonstances de la crime. Probablement,
quelqu’un l’avait poussé.

Après les funérailles, je me suis rapproché de femme pour exprimer mes condoléances. Mais quand elle
m’avais remercié, mon sang glaçait. La voix brutale était de la femme, pas de son homme. Et j’ai compris
que c’est ma voisine que menaçait son homme et qu’il est possible qu’ elle l’avait tué tellement dure.

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