: Marc Perrot
Question # 3
Si vous aviez été à la place de René, le superviseur, quelles mesures auriez-
vous prises pour améliorer :
a) l’efficacité de l’équipe ?
Selon les spécialistes du comportement1, une équipe efficace c’est une équipe
dont le rendement est élevé, dont les membres ont une satisfaction
professionnelle et une viabilité. Or, nous voyons que dans cette équipe
d’expédition aucun des éléments cités par ces spécialistes dans la définition ne
s’y retrouve.
En effet, Marc Perrot qui travaille dans ce service depuis plus d’un an nous dit
qu’il n’y a pas d’esprit d’équipe, que les certains membres n’aiment pas et ne
veulent pas travailler en ensemble ce qui a forcément un impact sur le
rendement de l’équipe même s’ils ne s’en rendent pas compte. Il faudrait que les
gestionnaires vérifient si l’équipe atteint ses objectifs au niveau qualitatif et
quantitatif pour être fixé sur l'efficience de cette dernière.
1
Uhl-Bien et al., Comportement humain et organisation, 6e édition, Montréal, Pearson ERPI, 2018
Tout ceci, nous amène à penser que l’équipe est loin d’être dans une phase de
consolidation, au contraire est dans une phase de tumulte et une pratique de
gestion totalement différente doit-être mis en place pour espérer atteindre une
synergie d’équipe pour être efficace.
Le gestionnaire devrait faire preuve d’équité pour tous les membres de son
équipe en s’assurant que chacun effectue les tâches qui lui sont attribuées, il
devrait appliquer aussi une justice distributive pour tous et instaurer un système
de reconnaissance pour valoriser l’implication dans le travail de chacun.
Établir une répartition des tâches plus équitable entre les employés pour
ôter cette perception de favoritisme. Enrichir les tâches des employés qui
le désirent pour que celles-ci soient plus enrichissantes.
Faire des activités d’équipe en dehors des heures de travail pour instaurer
un climat sain rempli de cohésion et un esprit d’équipe au sein de l’équipe
Cas 2 : Trois leaders
Question # 3
À partir des positions de Fielder et House, selon ces positions, nous sommes
dans la théorie du leadership situationnel.
Réjeanne Tremblay dans ce cas peut comme elle le dit adapter son leadership
en fonction de variables situationnelles modératrices donné des exemples) pour
l’obtention de résultats escomptés par la nouvelle compagnie aérienne.
Il suffirait que l’on change ses conditions de travail dans l’aérogare, les critères
de mesure de rendement qui tiennent compte des retards qui sont indépendants
de ses responsabilités, pour qu’à son tour, elle puisse adapter son leadership. Il
passerait de directif vers un leadership plus participatif ou orienté vers les
objectifs.