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OFC/NFOEC 2008

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Une méthodologie complète pour comparer différents


Solutions FTTP
Chen Yu Lee, Gerd Keiser et San Liang Lee
Département de génie électronique, Université nationale des sciences et technologies de Taïwan, 106 Taipei, Taïwan
M9402315@mail.ntust.edu.tw , gkeiser@mail.ntust.edu.tw , sllee@mail.ntust.edu.tw

Abstrait: Nous présentons une méthode pour comparer différentes solutions FTTP en utilisant des facteurs tels que la capacité
d'information, le nombre d'abonnés, la flexibilité du réseau et le potentiel de croissance afin de sélectionner une conception de réseau
optimale.
Codes OCIS : (060.2330) Communications par fibre optique ; (060.4250) Réseau

1. Introduction

Les équipements électroniques sophistiqués utilisés dans des domaines tels que le divertissement, la navigation sur le
Web et les échanges de courrier électronique, les transactions commerciales, la recherche scientifique et les soins de
santé, ainsi que les réseaux de télécommunications modernes à haute capacité associés pour les interconnecter, sont
devenus une partie intégrante et indispensable de la société. La demande croissante pour de tels services a créé un
besoin de fournir des liaisons optiques haut débit en fibre optique jusqu'aux locaux (FTTP) [1] dans le réseau d'accès.
Cette demande a abouti à une grande variété de concepts de réseaux optiques passifs (PON). En particulier, le désir
d'étendre le PON de base à trois longueurs d'onde à un réseau multiplexé par répartition en longueur d'onde (WDM) de
plus grande capacité qui utilise de nombreux canaux de longueur d'onde supplémentaires a engendré diverses idées
pour les architectures WDM-PON.
En raison des nombreux facteurs opérationnels et de coûts impliqués dans la conception et la mise en œuvre de tout type
de PON, il est difficile de faire une comparaison détaillée des différents réseaux proposés. Cet article présente le cadre d'une
méthode complète pour comparer des facteurs tels que la capacité d'information, le nombre d'abonnés, la flexibilité du réseau,
le coût et le potentiel de croissance des solutions FTTP basées sur PON existantes et proposées.

2. Types de réseaux et facteurs d'évaluation

Cinq architectures FTTP différentes ont été comparées dans cette étude pour démontrer le processus d'évaluation. Ces réseaux et leurs
principales caractéristiques sont les suivants :

Le réseau FTTP le plus simple est basé sur l'utilisation de fibres individuelles point à point pour connecter les abonnés à un central
téléphonique (CO). L'équipement émetteur-récepteur situé dans le CO est appelé terminal de ligne optique (OLT). Comme le
montre la figure 1, il y a soit une fibre bidirectionnelle, soit deux fibres unidirectionnelles passant entre l'OLT et chaque abonné.
Cette architecture utilise une grande quantité de fibres, mais est avantageuse si les demandes de bande passante de chaque
abonné nécessitent une utilisation proche de la pleine capacité de la liaison fibre de connexion. L'architecture permet également à
n'importe quel type de service d'être envoyé indépendamment sur des fibres individuelles à n'importe quelle vitesse de
transmission [1].

La figure 2 montre l'architecture PON la plus basique. Nous appellerons cette architecture un PON régulier.
Ici, une seule fibre d'alimentation bidirectionnelle relie un central téléphonique avec un répartiteur et un
combineur de puissance optique passif, situé à moins de 20 km du central. L'emplacement du répartiteur
de puissance est appelé nœud distant (RN). Les fibres de distribution individuelles vont du RN aux
emplacements des abonnés. L'équipement émetteur-récepteur d'un abonné est appelé génériquement
unité de réseau optique (ONU). L'architecture PON standard utilise le multiplexage temporel (TDM) pour la
transmission en aval (CO vers ONU) et en amont (ONU vers CO). Dans un PON régulier, un flux de voix et de
données combiné est envoyé en aval à l'aide d'une longueur d'onde de 1490 nm et en amont à l'aide d'un
signal de 1310 nm.

Dans l'architecture d'un réseau PON multiplexé par répartition en longueur d'onde (WDM) régulier illustré sur la figure 3, un
routeur de longueur d'onde tel qu'un réseau de guide d'ondes passif (AWG) remplace le séparateur optique au niveau du nœud
distant [2]. Cette configuration permet à chaque abonné d'utiliser une ou deux longueurs d'onde pour sa transmission.
L'utilisation de deux longueurs d'onde permet une transmission simultanée amont et aval par un abonné. Selon

978-1-55752-855-1/08/25,00 $ ©2008 IEEE


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le nombre de longueurs d'onde pouvant être prises en compte dans la plage spectrale libre (FSR) de l'AWG. Un tel schéma atténue
la limitation de la contention de bande passante d'un PON régulier. De nombreuses méthodes différentes ont été proposées pour
le type de source lumineuse à utiliser dans cette architecture. On considère ici la mise en œuvre d'une source lumineuse à large
bande.

Un PON WDM à allocation dynamique de longueur d'onde (DWA) régulier illustré sur la figure 4 est une architecture sans bloc qui
utilise des lasers accordables [2]. Un avantage majeur de cette architecture est qu'elle permet une plus grande flexibilité du
réseau pour attribuer des services aux abonnés, puisque chaque abonné peut recevoir plusieurs longueurs d'onde. De plus,
l'efficacité de la bande passante est augmentée. Dans les applications du monde réel, le nombre de longueurs d'onde auxquelles
un laser accordable peut être réglé est égal au nombre d'abonnés au réseau. De plus, le nombre maximum de longueurs d'onde
qu'un abonné peut recevoir est égal au nombre de sources lumineuses. Cela signifie que tous les abonnés d'un PON DWA-WDM
peuvent être desservis par toutes les sources lumineuses. Il s'agit donc d'une architecture sans bloc. A titre d'exemple, la figure 4
montre le FSR de chaque AWG lorsque quatre sources lumineuses sont utilisées pour desservir 16 abonnés.

Dans un PON TDM-WDM en cascade, le trafic passe par une cascade d'un routeur de longueur d'onde et d'un séparateur
optique [3]. Cette architecture combine les techniques de multiplexage temporel d'un PON régulier avec les capacités
d'extension de capacité d'un PON WDM. Comme le montre la figure 5, un AWG sépare un flux à plusieurs longueurs
d'onde provenant du CO en un certain nombre de canaux de longueur d'onde individuels. Chaque canal dessert ensuite
un groupe d'abonnés en utilisant le schéma TDM d'un PON régulier. Pour notre analyse de comparaison PON, nous
considérons l'utilisation d'une méthode WDM grossière (CWDM), car il s'agit d'une solution moins coûteuse qu'une
méthode WDM dense (DWDM).

Fig. 1. Une architecture point à point. Fig. 2. Une architecture PON régulière

Fig. 3. Une architecture WDM-PON standard. Fig. 4. Une architecture DWA WDM-PON standard

Il y a des paramètres importants dans ces architectures. La Fig. 6 montre les points d'un réseau où ces paramètres sont
considérés comme des paramètres et leurs fonctions sont répertoriées ici, et leurs valeurs pour différents types de PON sont
données dans le Tableau 1 :
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Fig. 5. Une architecture PON TDM-WDM en cascade.

nsub Le nombre d'abonnés pouvant être desservis dans une structure PON. Le nombre
nTRX.i d'émetteurs-récepteurs situés sur une terminaison OLT ou une ONU
Bsub.i La demande de bande passante de chaque abonné pour le trafic en aval et en amont. La demande de
B1S.i bande passante de chaque source lumineuse située au niveau d'une OLT ou d'une ONU. Le nombre
nFF de fibres d'alimentation dans une structure PON.

σFF La capacité de chaque fibre d'alimentation.

mRN_Étape Le nombre de périphériques passifs dans le RN.

Ici "je" est vers le bas ou alors en haut respectivement pour l'aval et l'amont.

Fig. 6 Quelques paramètres de base dans une architecture générale.

Notre comparaison des différentes architectures PON est basée sur l'évolution des besoins en bande passante pour chaque
abonné. Certaines études récentes [5] montrent que dans environ 12 ans, chaque abonné aura besoin de plus de 1 Gb/s de
bande passante. La formule peut être décrite commePB = (1,5×(1+0,42)An). Ainsi, nos critères de comparaison de base sont les
capacités des divers schémas PON à fournir à chaque abonné ce niveau de bande passante. Cette hypothèse permet le calcul de
certains problèmes importants liés à la bande passante de modulation des sources lumineuses OLT et ONU et aux capacités de
liaison dans les régions couvertes par chaque alternative PON.
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Tableau 1 : La relation entre certains paramètres de base.

De base

Paramètres

msous 1 x (En supposant x = 32)

mTRX.down 1 1 X oui oui


mTRX.up msous

mRN_Étape 0 z≧1 z≧1 z≧1 z≧2


mFF 1 1 1 oui 1
Noter Généralement x > y

3. Analyse et comparaisons
3.1 La bande passante de modulation de chaque source lumineuse et la capacité de liaison pour chaque fibre
Nous supposons que chaque réseau fournit des services à 32 utilisateurs et que leurs besoins en bande passante sont passés d'une
valeur actuelle de 24 Mb/s à un niveau projeté de 1,25 Gb/s 12 ans plus tard [5]. Nous proposons deux formules pour décrire
la largeur de bande de modulation des sources lumineuses au niveau de l'OLT et de l'ONU. Un paramètre spécial,FTS, dans ces équations
est le facteur de partage du temps. Ce facteur est utilisé dans les cas où certains intervalles de temps transmis par l'OLT sont
partagé à la transmission en amont.

⎛ msous ⎞ ⎛ B ⎞
(1)
B1S.OLT = Bsous.bas ×⎜m ⎟ × ⎜⎜1+ sous.bas ×F ⎟ ST ⎟
⎝ TRX.down ⎠ ⎝ Bsub.up ⎠

⎛ m ⎞ ⎛ Bsub.up ⎞1 (2)
B1S.ONU = Bsub.up × ⎜ × FST ⎟⎟
sous

⎟ × ⎜⎜1−
⎝ mRX.bas
T ⎠ ⎝ Bsous.bas + Bsub.up ⎠

Si nous utilisons le facteur de partage de temps, nous avons besoin de plus de tranches de temps de l'OLT à chaque ONU. Sur la figure 7, on
peut voir le principe de la méthode. Il est intéressant de noter que lorsque nous utilisons le temps partagé, le débit de données dans le sens amont
est plus lent que le débit en aval. Par conséquent, chaque source lumineuse OLT a besoin d'une bande passante plus élevée qu'une source ONU.
Nous supposons que le besoin en bande passante de chaque abonné est égal à 1250 Mb/s pour les transmissions en aval et à 1250 Mb/s pour les
transmissions en amont. Nous pouvons calculer la bande passante de modulation des sources lumineuses situées dans l'OLT et l'ONU. Par exemple,
si nous supposons que les débits de données en aval et en amont sont respectivement de 1000 Mb/s et 250 Mb/s, les capacités de modulation de la
source lumineuse doivent être de 5000 Mb/s et 312,5 Mb/s dans l'ONU.

Fig. 7 Quelques paramètres de base dans une architecture de base.

La figure 8 montre les résultats calculés par l'équation. 2.1 et 2.2. Nous pouvons constater que le WDM-PON point à point et
régulier sont de bonnes solutions, car les abonnés n'ont pas besoin d'appareils à très haut débit. Il en est de même car le débit
descendant pour chaque abonné est le même que celui en amont.
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Fig. 8 La bande passante de modulation de chaque source lumineuse avec un rapport de temps partagé différent.

La capacité de chaque fibre d'alimentation est également un bon moyen d'accéder aux différentes solutions FTTX, car le déploiement
de câble fibre est coûteux. Nous utilisons la formule suivante pour calculer la capacité :

×m (3)
σ FF.i = Bsub.i
sous

mFF
Les capacités de fibre optique en aval et en amont de chaque type de PON sont illustrées à la figure 9.

Fig. 9 La capacité de chaque fibre optique pour le même aval et amont avec FTS = 1.
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3.2 Distance de portée maximale


Pour commencer à calculer les distances de portée PON possibles, nous devons connaître la sensibilité du récepteur et la perte de liaison. Le
récepteur optique dans les applications FTTX utilise soit un PIN, soit une photodiode à avalanche (APD). La sensibilité du récepteur optique est un
paramètre intéressant et nous devons considérer différentes longueurs d'onde et vitesses de modulation en même temps. Ici, nous considérons
simplement l'utilisation de récepteurs PIN pour chaque OLT et ONU. Certaines pertes d'insertion typiques sont
comme suit:

Produit Perte d'insertion Noter


1310 : 0,5 dB/km
Fibre SMF
1550 : 0,25 dB/km

AWG 5 dB
Circulateur 1 dB
Filtre à couche mince 1 dB
Connecteur 0,1 dB
Point d'épissure 0.1dB
La formule standard utilisée pour calculer la perte d'insertion dans chaque chemin optique est indiquée ici. En utilisant une marge
système de 3 dB, nous pouvons calculer la couverture de chaque architecture PON.

Plien .i = Popter - Psen - ILappareil - αλLje - Psystème (4)


Popt La puissance de sortie du laser ((UNEUNEssssvousvousm Bm
mee 55 réréB m))
Psen La sensibilité du récepteur au BER et au débit binaire spécifiques

ILpériphérique La perte d'insertion totale de tous les dispositifs passifs dans ce PON

α L'atténuation de la fibre à la longueur d'onde spécifique


λ

Lje La distance de travée dans le chemin en aval ou en amont.


Psystème La marge du système.

La figure 10 montre les distances de portée maximales pour les divers types de PON sur la base des besoins en bande passante
projetés pour les années à venir. Nous constatons que si nous utilisons l'architecture PON standard ou TDM-WDM PON en cascade avec
des récepteurs PIN, nous ne pouvons pas transmettre d'informations dans la fenêtre de 12 ans au débit de données souhaité de 1 Gb/s.
Cependant, si chaque récepteur des abonnés se transforme en APD, ces deux types de PON peuvent couvrir près de 20 km.

3.3 Nombre maximal d'abonnés fournis


Ici, nous considérons quels sont les problèmes qui limitent le nombre d'abonnés qui peuvent être desservis dans un PON.
Dans l'architecture point à point, une fibre fournit le service à un seul abonné. Ainsi, ce PON a besoin de gros câbles à fibres
(câbles d'alimentation) pour déployer une structure FTTP. Dans les architectures PON TDM-WDM en cascade, le nombre
maximum d'abonnés est limité par le budget de puissance. Nous devons faire un compromis entre la distance transmise et le
nombre de ports du séparateur. Sur la figure 11(a)-(b), nous traçons la relation au débit binaire sans erreur. Cela montre que
nous ne pouvons pas transmettre de données à plus de 8 abonnés dans chaque source lumineuse du PON Cascaded TDM-WDM.

Dans l'architecture WDM-PON standard, le nombre d'abonnés peut être augmenté jusqu'à la limite fixée par la diffusion
Raman stimulée (SRS) [6]. Si nous voulons transmettre plus de longueurs d'onde dans une liaison fibre, il y a un compromis entre
la distance transmise et la puissance transmise maximale. Cela signifie que nous devons considérer trois problèmes dans un
WDM-PON : la longueur de la fibre, le nombre de canaux (longueurs d'onde) et le maximum transmis
Puissance. La formule est décrite comme
-
W 1
Po= Po(i ) = gRΔλsPLe W(W −1) (5)
i=1 2Δλ UNEc 2e
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gR Le coefficient de gain Raman. (6×dix−14 m/W à 1550 nm)

Δλs L'espacement des canaux. (ex : ici 100 GHz -> 0,8 nm)

Le La longueur effective de

W fibre. Le numéro de la chaîne.

Δλc Le Raman gagne en bande passante. (ex : 125

UNEe nm) La zone effective. (SMF : 85 m2 )

Ensuite, nous traçons cette relation comme sur la figure 12. Nous pouvons trouver un avantage incroyable d'un WDM-PON régulier qui,
lorsqu'il utilise 64 longueurs d'onde (à 100 GHz d'intervalle), peut desservir 64 abonnés et transmettre des données sur une distance de 40 km en
même temps.

Fig. 10 La distance de portée maximale avec les récepteurs PIN.

4. Conclusions
Nous avons analysé plusieurs architectures PON qui sont économiques dans le service à large bande de prochaine génération. À partir
des besoins en bande passante de chaque abonné, nous pouvons trouver leurs avantages individuels sur une période de 12 ans. Le PON
régulier est une technologie utile actuellement car il peut desservir plus d'abonnés sur une fibre et peut fournir suffisamment de bande
passante pour leur service requis. Cependant, cinq ou six ans plus tard, nous devons moderniser nos équipements. Si nous utilisons
toujours la technologie de multiplexage temporel et d'accès multiple (TDM et TDMA) utilisée dans un PON régulier, nous rencontrerons
quelques problèmes. Premièrement, le budget de puissance optique devient plus petit et nous ne pouvons pas utiliser le lien d'origine
pour transmettre le nouveau débit de données plus élevé. D'autre part, cela signifie également que nous ne pouvons pas transmettre nos
informations sur une plus longue distance. Deuxième, la largeur de bande de modulation des sources lumineuses situées dans l'OLT et
l'ONU doit être extérieurement élevée. Si le débit de chaque abonné est de 1,25 Gb/s et que nous fournissons 32 abonnés en même
temps, la bande passante de modulation de chaque source lumineuse est égale à 40 Gb/s. C'est impossible à faire et il faut envisager
d'autres architectures.
L'architecture WDM-PON standard est un meilleur choix que les autres. Le WDM-PON standard présente certains avantages, par exemple, il
peut fournir de nombreuses applications différentes dans une liaison fibre optique et le débit binaire est indépendant de chaque longueur d'onde.
Nous n'avons pas besoin de la bande passante de modulation ultra-élevée de chaque source lumineuse. D'autre part,
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nous pouvons utiliser des sources lumineuses à faible vitesse pour activer notre application. Cependant, il est potentiellement plus coûteux. Dans l'architecture
WDM-PON standard, nous avons besoin de plus de sources lumineuses dans l'OLT et chaque source lumineuse est spécifique à la longueur d'onde. Un
équipement plus stable en longueur d'onde est nécessaire, ce qui augmente le coût lorsque nous déployons cette architecture. Ainsi, une future tâche à résoudre
pour les ingénieurs consiste à créer des sources lumineuses incolores peu coûteuses pour cette application.

11(a)

11b)
Fig. 11 La distance de portée maximale par rapport au numéro de port différent du séparateur dans (a) un PON régulier et (b) un PON TDMWDM en cascade utilisant
récepteurs PIN.
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Fig. 12 La longueur de transmission possible en WDM-PON standard avec un débit de données de 1,25 Gb/s avec une pénalité de puissance de 0,5 dB.

5. Références
[1] G. Keiser, Concepts et applications FTTX (Wiley, Hoboken, New Jersey, 2006).

[2] A. Banerjee, Y. Park, F. Clarke, H. Song, S, Yang, G. Kramer, K. Kim et B. Mukherjee, « Technologies de réseau

optique passif multiplexé en longueur d'onde (WDM-PON) pour accès à large bande : un examen, » J. Réseau

optique 4, (novembre 2005).

[3] J.-J. Yoo et. al., « Architecture de réseau optique passif hybride AWDM-Ethernet », dans ICACT, éd., Vol. 3 de la série

des actes de l'ICACT (The 8th International Conference on Advanced Communication Technology, Phoenix Park,

Corée, 2006)

[4] C.-H. Lee, WV Sorin et BY Kim, « La fibre à la maison – Une infrastructure PON »,J. Technologie Lightwave
24, 4568-4583 (déc. 2006).
[5] J. George, « Applications convaincantes de la fibre jusqu'au domicile », Le prisme FTTH, vol. 3, non. 2, 47-55 (2006)

[6] R. Ramaswami et. Al.,Réseaux optiques – Une perspective pratique (Éditions Morgan Kaufmann, 2002), chap. 4-5

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