CARACTERISTIQUES D’UNE
MACHINE ASYNCHRONE
Historique
La paternité de la machine asynchrone est controversée. Elle pourrait être attribuée à trois
inventeurs en 1887, Nicola Tesla dépose un brevet sur la machine asynchrone, puis en mai de
l'année suivante cinq autres brevets. Pendant la même période Galileo Ferrari publie des traités
sur les machines tournantes, avec une expérimentation en 1885, puis une théorie sur le moteur
asynchrone en avril 1888. En 1889, Michel Ossipowitsch Doliwo-Dobrowolski, électricien
allemand d'origine russe, invente le premier moteur asynchrone à courant triphasé à cage
d'écureuil qui sera construit industriellement à partir de 1891.
Machines Asynchrone a 8 KW
CHAPITRE I
INTRODUCTION
I.1.Introduction
La machine asynchrone, connue également sous le terme « anglo-saxon » de machine à
induction, est une machine électrique à courant alternatif sans connexion entre le stator et le
rotor, les machines possédant un rotor « en cage d'écureuil » sont aussi connues sous le nom de
machines à cage ou machines à cage d'écureuil,le terme asynchrone provient du fait que la
vitesse de ces machines n'est pas forcément proportionnelle à la fréquence des courants qui les
traversent.
La machine asynchrone a longtemps été fortement concurrencée par la machine synchrone dans
les domaines de forte puissance, jusqu'à l'avènement de l'électronique de puissance ,on la
retrouve aujourd'hui dans de nombreuses applications, notamment dans le transport (métro,
trains, propulsion des navires), dans l'industrie (machines-outils), dans l'électroménager.
Elle était à l'origine uniquement utilisée en moteur mais toujours grâce à l'électronique de
puissance, elle est de plus en plus souvent utilisée en génératrice, c’est par exemple le cas dans
les éoliennes.
L’organisation d’une machine asynchrone est constituée des principaux éléments suivants :
Le stator
(partie fixe) constitué de disques en tôle magnétique portant les enroulements
chargés de magnétiser l’entrefer.
Le rotor
(partie tournante) constitué de disques en tôle magnétique empilés sur l’arbre de la
machine portant un enroulement bobiné ou injecté.
Les organes mécaniques permettant la rotation du rotor et le maintien des différents sous-
ensembles.
2) Constitution et Présentation
Le rotor est constitué de conducteurs en court-circuit qui sont parcourus par des courants
induits par le champ magnétique créé par les courants statoriques,c'est la principale différence
avec une machine synchrone, laquelle a un rotor avec un champ magnétique provenant
d'aimants permanents ou de bobines alimentées en courant continu.
Cette machine peut, selon sa construction, être reliée à un réseau monophasé ou polyphasé
(généralement triphasé car c'est celui de la distribution).
La machine asynchrone est la machine électrique la plus utilisée dans le domaine des
puissances supérieures à quelques kilowatts car elle offre alors le meilleur rapport qualité prix.
3-1) Stator
Les différents types de moteurs asynchrones ne se distinguent que par le rotor, dans tous les
cas le stator reste, au moins dans son principe, le même. Il est constitué d’un enroulement
bobiné réparti dans les encoches du circuit magnétique statorique,ce circuit magnétique est
constitué d’un empilage de tôles dans lesquelles sont découpées des encoches parallèles à l’axe
de la machine.
Le circuit du rotor est constitué de barres conductrices régulièrement réparties entre deux
couronnes métalliques formant les extrémités, le tout rappelant la forme d’une cage d’écureuil,
bien entendu, cette cage est insérée à l’intérieur d’un circuit magnétique analogue à celui du
moteur à rotor bobiné.
Les barres sont faites en cuivre, en bronze ou en aluminium, suivant les caractéristiques
mécaniques et électriques recherchées par le constructeur.
4) Symboles
Courants induits
Entrefer
Avant d'observer une vitesse permanente, il faut lancer le moteur, le moteur va accélérer et l'on
.parlera alors de vitesse "transitoire" (c'est - à - dire une vitesse qui varie au cours du temps)
Lors du freinage du moteur il y aura une décélération, et donc également une vitesse
.transitoire
La vitesse se stabilise lorsque Cmoteur = Crésistant (avec les conditions de stabilité vues en
.Terminale)
La vitesse de démarrage correspond en fait à la durée de démarrage (ce n'est pas une vitesse).
Pour ce qui est de la vitesse on parle plutôt de vitesse transitoire qui évolue au cours du temps
.et n'a donc pas de valeur fixe comme la vitesse permanente
La vitesse se stabilise quand le couple d'accélération devient nul, c'est à dire au moment les
.courbes des moments de couple se rejoignent
.Démarrage direct )5-2
Lorsque le couple de démarrage est le critère le plus important, il faudra veiller à limiter la
chute de tension pendant la phase de démarrage à 3% max, ceci correspond à une diminution
du couple de 6 à 8%.
Il est souvent intéressant pour des moteurs de forte puissance d’opter pour des tensions
d’alimentation plus élevées.
Pour les moteurs à cage la solution la plus couramment employée consiste à sous alimenter la
machine pendant la phase de démarrage, Il faut cependant que la charge mécanique permette
cette sous alimentation car diminuer la tension dans un rapport 1/n entraîne une diminution du
couple dans un rapport 1/n2. Les solutions techniques sont les suivantes :
6) Démarrage étoile - triangle :
Il nécessite la sortie des 6 bornes moteur et n’est envisageable que pour des petites puissances à
cause de la brutalité des régimes transitoires lors du changement de couplage, c’est un procédé
extrêmement simple et peu coûteux.
Le couplage nominal de la machine doit être ‘‘triangle’’.
Insertion de résistances ou inductances statoriques :
Cette solution est de plus en plus abandonnée au profit de solutions électroniques d’un coût
voisin, d’un volume moindre et d’un rendement bien meilleur.
En outre le couple d'accélération est relativement élevé, il y a un à-coup au démarrage (ce n'est
.jamais très bon pour la mécanique)
Avantages :
.Simplicité de l'appareillage, rapidité de la mise en régime
Inconvénient :
Démarrage brutal, courant d'appel élevé ce qui perturbe les appareils branchés sur la même
.ligne (outre la chute de couple qui résulte de la chute de tension)
Procédé utilisé pour des puissances < 10 x la puissance apparente du réseau ou des moteurs de
.petite puissance
Avantage :
Possibilité de choisir le couple de démarrage, réduit dans le même rapport que le courant
.d'appel
Passage des divers temps de démarrage sans coupure de courant (absence de surtensions).
.S'utilise quand le procédé étoile /triangle abaisse trop le couple de démarrage
Inconvénient :
.Onéreux, et donc réservé pour des puissances > 50 kW approximativement
Avantage :
Possibilité de choisir le couple de démarrage et le passage des différents temps de démarrage
.sans coupure de courant
Inconvénient :
.Si le courant est divisé par 3 alors le couple est divisé par 9
Avantage :
par rapport à tous les autres procédés de démarrage, l'appel de courant est le plus faible pour un
couple de démarrage donné. Possibilité de choisir le couple de démarrage (qui peut atteindre le
couple maximal vu au couplage direct) et le nombre de temps de démarrage (démarrage en
.douceur)
Inconvénient :
En général ce procédé est réservé pour les démarrages difficiles, lorsqu'un couple de démarrage
élevé est exigé (broyeurs, malaxeurs...), pour des machines qui ont un grand moment d'inertie
(grosses pompes) ou lorsqu'un démarrage progressif est nécessaire (ascenseurs...)
Sur la même ligne, la plaque signalétique indique pour chacun des couplages la valeur de
.l'intensité du courant qui sera absorbée au régime nominal
Bobinages )14
Les bobines sont logées dans les encoches du stator. S'il y a une paire de pôles magnétique
pour chacune des trois phases, la fréquence de synchronisme est alors de 3000 tr/mn, si on
augmente le nombre de paires de pôles, il est possible d'obtenir des moteurs avec des
. fréquences de rotation différentes
1paire de pôles => 3000 tr/mn 2 paires de pôles => 1500 tr/m
Principe de fonctionnement )1
Le principe des moteurs à courants alternatifs réside dans l'utilisation d'un champ magnétique
.tournant produit par des tensions alternatives
La circulation d'un courant dans une bobine crée un champ
.magnétique B
.Le champ magnétique résultant tourne à la même fréquence que le courant soit 50 tr/s
Le stator est constitue de barres d'aluminium noyées dans un circuit magnétique. Ces barres
sont reliées à leur extrémité par deux anneaux conducteurs et constituent une "cage
d'écureuil". Cette cage est en fait un bobinage à grosse section et très faible
.résistance
Cette cage est balayée par le champ magnétique tournant. Les conducteurs sont alors traverses
.par des courants de Foucault induits
Des courants circulent dans les anneaux formes par la cage, les forces de Laplace qui en
résultent exercent un couple sur le rotor. D'après la loi de Lenz les courants induits s'opposent
.par leurs effets à la cause qui leur a donne naissance
Le rotor tourne alors dans le même sens que le champ mais avec une vitesse légèrement
.inférieure a la vitesse de synchronisme de ce dernier
.
: Fonctionnement à vide )2
Courant a vide )2-1
Raisonnons sur un moteur asynchrone triphasé à bagues, nous supposons en premier lieu que le
.rotor est arrêté et que les bagues sont ouvertes, tandis que le stator est alimenté
Le stator engendre dans l’entrefer de la machine un champ tournant ,toute prélevant au réseau un
courant très faible que l’on appelle courant à vide .en effet on sait que le champ tournant est dans
l’axe d’une phase aux époque ou l’intensité est maximale dans cette phase, dans ces conditions
,le flux ,qui traverse chacune des phases du stator est alternatif et ,si la machine n’est pas saturée
(ce que nous supposons ),ce flux est constamment proportionnel à l’intensité qui traverse la
. phase considérée
Soit Φ=Φn sinωr la valeur instantanée du flux qui traverse chaque spire du stator, la f.e.m
: induite par phase a pour expressions
n1m 222
. kf 1N 1m E1=4.44f
Le glissement est une grandeur qui rend compte de l'écart de vitesse de rotation d'une machine
asynchrone par rapport à une machine synchrone hypothétique construite avec le même stator.
Le glissement est toujours faible, de l'ordre de quelques pour cent : de 2 % pour les machines les
plus grosses à 6 ou 7 % pour les petites machines triphasées, il peut atteindre 10 % pour les
petites machines monophasées. Les pertes par effet Joule dans le rotor étant proportionnelles au
glissement, une machine de qualité se doit de fonctionner avec un faible glissement.
En 50 Hz c'est un sous-multiple de 3000 tr/min, soit : 3000 ; 1500 ; 1000 ; 750 ; etc.
En 60 Hz c'est un sous-multiple de 3600 tr/min, soit : 3600 ; 1800 ; 1200 ; 900 ; etc.
Soit le nombre de paires de pôles de la machine et la fréquence de l'alimentation. On a :
en tr/s ou en tr/min.
, soit
Avec :
Fonctionnement en charge )3
Les deux champs statorique B1 et rotorique B2 tournent bien à la même vitesse et ce sont une
.condition nécessaire pour qu’il y ait couple
Les deux champs font, dans l’espace un angle supérieur à 90° en raison de l’action
démagnétisante du rotor, ils se composent vectoriellement pour donner naissance au champ
.d’induction résultant B
par la résistance d’une phase du stator et par son inductance cyclique de fuites, on retrouve la
même relation que pour le transformateur (ou l’alternateur), soit
V E
1 1
444. fn
1
Pour une tension statorique de valeur efficace constante, le flux maximal est constant quelle
.que soit la charge de la machine
Si on suppose que le stator est branché en étoile et que le rotor est à bagues, on a en notations
nI
1
3n
1 I
2 2
R M
etC 3n I
2 0
: complexes
2
m n k N
2 2 2 I I I'
1 0 2 I '2 m I 2
n kN 1 1 1
Soit : Avec : et
Ou trouve la même relation que pour le transformateur, le signe moins, pour l’expression de
À l'aide de grandeurs électriques fournies : tensions entre phases, intensités des courants de ligne
et facteur de puissance, il est possible de calculer la puissance active absorbée et d'en déduire le
rendement de la machine fonctionnant au régime nominal.
En monophasé :
En triphasé :
Le rendement :
6) Schémas équivalents :
6-1) Schéma général
Correspondent à un schéma équivalent ne comportant que des tensions et des courants ayant une
fréquence identique à celle de l'alimentation qui alimente la machine et dont le schéma est le
suivant :
Dans le montage en triangle, chacune des bobines est alimentée avec la tension nominale du
.réseau (400V)
II protège également le dispositif en aval contre les risques de court circuit grâce aux
fusibles.
Le contacteur permet d'alimenter le moteur avec une commande manuelle ou automatique avec
un automate programmable.
Le relais thermique protège le moteur contre les surcharges de courant, I’ intensité maximale
admissible est réglable. Son action différentielle permet de détecter une différence de courants
entre les phases en cas de coupure d'une liaison par exemple.
Le transformateur abaisse la tension secteur a une valeur de 24V pour garantir la sécurité
.des utilisateurs sur la partie commande
S
e
c
t
i
o
n
n
e
u
r
Contacteur Relais
thermique
La variation de vitesse ) 7-4
forme d'une tension de 0 a 10V par exemple une protection du moteur est intégrée au
.variateur
L'onduleur travaille en hacheur, il va moduler le courant par largeur d'impulsions (PWM), le
.courant résultant est proche d'une sinusoïdale
Schéma interne d'un variateur
8) Caractéristiques électromécaniques
Par rapport au cas précédent, la puissance utile devient la puissance électrique fournie au réseau et
la puissance mécanique est la puissance absorbée.
3 2
Pjs= RI R
2
: résistance entre deux bornes du stator
Elles ne dépendent que de la tension U et de la fréquence f et sont donc constantes si le moteur est
.couplé au réseau
Les forces qui s’exercent sur les conducteurs du rotor tournent à la vitesse Ωs: elles glissent sur le
.rotor qui, lui, ne tourne qu’à la vitesse
Pertes par effet joule et pertes dans le fer au rotor : pjr et pfr
.Ces pertes représentent la différence entre Ptr et PM. Elles sont dues aux courants induits
.Elles ne sont pas mesurables car le rotor est court-circuité. On les calcule
Pertes mécaniques : pm
.Pratiquement constantes
Pertes «collectives» : pc
,Ces pertes ne dépendent que de U, f et n. Comme ces grandeurs sont généralement constantes
pc = pfs + pm
Tp = pc*ωS
Le couple de perte est une grandeur constante quelle que soit la vitesse
et la charge de la machine
Puissance utile : Pu
Puissance utile : Pu = PM - pm
11-1) Constitution
11-2) stator
Il est constitué d'un cylindre ferromagnétique entaillé d'encoches permettant d'y loger les
bobinages. Ce cylindre est constitué d'un empilement de plaques de tôle afin de limiter les
courants de Foucault.
11-3) rotor
Structure d'un
Rotor en cage Coupe d'un rotor à Tôle utilisée pour la
rotor en cage
d'écureuil cage à encoches réalisation d'une cage à
d'écureuil
profondes double encoche]
14) Réversibilité
Les équations (1) décrivant le fonctionnement des moteurs à courant alternatif dans un référentiel d-
: q se retrouvant dans la littérature technique consacrée aux machines électriques
D
U R I Sd
sd a sq s sd
TD
d
sq
U
a sd R S I sq
sq
td )1(.……………………………………
D
U qr
Rr I dr dr
( a r )
dt qr
D
rq
U rq R
rI rq
( )
td a r rd
d
U sd R
sI sd
td
sd
d
sq
U sq
R sI sq
td
)2(.……………………………………
d
0 Rr I dr dr
r
dt qr
d
r
rq
0 R rI sq
td rd
Le rotor du moteur asynchrone à cage étant fermé sur lui même (court –circuit), on prend et égales à
u u rd
rq
.zéro
: Les flux couplés statorique et rotorique sont obtenus à partir des inductances propres et mutuelles
Equations de flux )1-2.
sd
L i L i
s sd rs rd
sq
L i L i
s sq rs rq
)3(.……………………………………
rd
L i L i
r rd rs sd
qr
Lr i qr L sr i qs
3
C me
2
[
p )4(.……………………………………
sd
3
i
sq sq i
sd
]
2 L
p rs
(isq ird isd irq )
d m
C C )5(.……………………………………
me r
td
: Dans l’équation (2) sont obtenues Les tensions biphasées comme suit
2 1 1
u sd
3u
( sa
2u sb
2u sc
)
)6(.……………………………………
2 3 3
u sq
3 2u
( sb
2u sc
)
2
isa
3 i sd
2 1 3 )7(.……………………………………
isb
( isd
3 2 2 isq
)
2 1 3
i sc
( isd
3 2 2 i sq
)
1
is K i
sqd i iK
;sqd s
1
s ;Vsqd
V K Vsqd VK s
; sqd K
1
s K sqd s
Les vecteurs courant, tension et flux statoriques s’expriment, dans la nouvelle base, sous la forme
: suivante
sd Vsd sd
i
sqd sq ;Vsqd
Vsq i
;sqd sq
i
0 s V 0 s i0 s
dans le système αβ, on a toujours des grandeurs électriques alternatives, mais les équations
La machine a un comportement stable, cela signifie que lorsqu'il est soumis à de petites
perturbations, il revient à son point de fonctionnement initial avec d'éventuelles oscillations
.amorties jusqu'au retour à l'équilibre
Lorsque l'on passe d'un état stable statique à un autre, suite à une perturbation durable voulue ou
non, ce changement d'équilibre s'accompagne d'un régime variable oscillatoire amorti considéré
.comme acceptable vis-à-vis des intervalles de tension, et de durée prédéfinis
a) temporisation = 300 ms
b) temporisation = 350 ms
Démarrage d'un moteur a cage à vide lors d'une mise sous tension
2)Résultats de simulation.
a-Résultats de simulation en charge par simulink
essetiV
0061 euqiténamortcelé elpuoc
0004
0041
0053
0021
0003
0001 0052
008 0002
006 0051
nim/srt essetiV
004
euqiténgamortcelé elpuoc
0001
002 005
0 0
0 50.0 1.0 51.0 2.0 52.0 3.0 53.0 4.0 54.0 5.0 0 50.0 1.0 51.0 2.0 52.0 3.0 53.0 4.0 54.0 5.0
spmeT spmeT
002 002
001 001
0 0
001- 001-
euqirotats tnaruoC
noitatnemila'd noisneT
002- 002-
003- 003-
0 5 01 51 02 52 03 53 04 54 05 0 50.0 1.0 51.0 2.0 52.0 3.0 53.0 4.0 54.0 5.0
spmeT spmeT
Figure (3) : Courant statoriques=f (t) Figure (4) : Tension d’alimentation=f (t)
3500
2500
2000
1500
1000
500
0
0 0.05 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4 0.45 0.5
Temps
essetiV
0061
0041
0021
0001
008
006
nim/srt essetiV
004
002
0
0 50.0 1.0 51.0 2.0 52.0 3.0 53.0 4.0 54.0 5.0
spmeT
002 002
001 001
0 0
001- 001-
euqirotats tnaruoC
noitatnemila'd noisneT
002- 002-
003- 003-
0 5 01 51 02 52 03 53 04 54 05 0 50.0 1.0 51.0 2.0 52.0 3.0 53.0 4.0 54.0 5.0
spmeT spmeT
1) à vide :
Le Courant statorique, après un fort courant de démarrage qui vaut (20.75 A) et un temps de réponse Tr
de (0.5s), le courant entre dans son régime normale.
Pour le couple électromagnétique, le couple de démarrage atteint la valeur nul et après un temps de
réponse de (0.5s), il atteint sa valeur finale.
La vitesse atteint presque la vitesse de synchronisme (1500 tr/min), après un temps de réponse de
(0.3s).
2) En charge
Pour le test en charge, le temps de réponse augmente jusqu’à (0.5s), la vitesse subit une diminution
(1400tr/min), l’intensité du courant dans le régime normal augmente à 21.91 A, et le couple
électromagnétique atteint sa valeur finale de (50 N.m) pour un coefficient de frottement non nul de
valeur 0.00187.
: Conclusion générale )5
Ce travail présente la modélisation et la simulation d’un moteur asynchrone à cage par le logiciel
MATLAB/SIMULINK. Ce type de moteur s’est imposé dans l’industrie grâce à sa robustesse et sa
simplicité de construction; par contre sa simulation est difficile, car le modèle est fortement non
linéaire. Actuellement, la disponibilité de puissants outils informatiques de calcul permet de surmonter
cette difficulté. Le processus de démarrage du moteur, suivi de l’application d’une charge entraînée a
été modélisé et simulé. Les résultats obtenus démontrent la justesse du modèle développé. D’autres
régimes de fonctionnement du moteur peuvent être facilement étudiés.
ANNEXE
Flux et courants.
Couple électromagnétique.
Partie mecanique.
Courants statoriques.
% Paramètres électriques
% Paramètres mécaniques
J = 0.04 ;% Inertie du moteur au bout d'arbre
BIBLIOGRAPHIE
)1
)2
)3
)4
)5
)6
)7
)8
)9
)10
Sommaire
Historique…………………………………………………………………………………….2
CHAPITRE I
Introduction ……………………………………………………………………………………………………………….4 )1
Organisation de la machine………………………………………………………………………………………..5 )3
Stator…………………………………………………………………………….…..…..6 )3-1
Rotor bobiné………………………………………………………………………....…..6)3-2
Symboles…………………………………………………………………………………...7 )4
Bobinages………………………………………………………………………………..14 )12
CHAPITRE II
Principe de fonctionnement…………………………………………………………...17 )1
Fonctionnement a vide ………………………………………………………….……...19 )2
Fonctionnement en charge…………………………………………………………..…..20 )3
Puissance et rendement………………………………………………………………….22 )5
Schémas équivalents …………………………………………………………………….23 )6
Constitution………………………………………………………………………….…34)11-1
stator……………………………………………………………………………..…..…34 )11-2
rotor…………………………………………………………………………….…….… 34 )11-3
Réversibilité…………………………………………………………………………..…..35 )15
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
Conclusion générale…………………………………………………………………..…..49 )5
Annex……………………………………………………………………………………..…50
Bibliographie……………………………………………………………………………….…52
Sommaire………………………………………………………………………………….…..53