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FEMMES, CINEMA ET TV EN AFRIQUE

INTRODUCTION

Vouloir faire un cours sur les cinémas Africains c’est consciemment au volant de sa
berline lors d’un voyage pour une contrée très lointaine, choisir un labyrinthe l’issue incertain,
au détriment d’une autoroute avec commodités.

C’est quitter l’autoroute des sentiers conçus (le cinéma monde : le cinéma défini,
théorisé, systématisé, vendu et imposé par l’accident). Pour parler de Christian Metz, Dziga
Vertov, du western, du policier, du film d’aventure d’Hugo de truhau, Murnau, sergeo Léon…
est sans doute ce qui fait de nous des érudits au sens occidental du terme en matière du
cinéma.

C’est refuser le confois des théories cinématographique savamment conditionnées, et


qui ont été facilement imposées au Africains au vue de leurs rapport très étroits a
l’extraversion.

C’est emprunter le chemin le plus escarpé, le plus truffé d’embuches, et de termes


étranges (l’aventurer dans ce secteur qui poursuit sans beaucoup d’aides et de force son
parcours de maturation, systématisation d’une théorie propre, rompre l’extraversion, ériger
une critique spécifique, systématiser la question du genre) dont : l’oralité, le code de
l’indigénat, les symboles purement Africain, l’identité culturelle Africaine, Alexis Tcheuyap,
Tchoufe, J.P Bekolo, Ousmane Sembene , Djibril Diop Mambety, Osvalde Lewatte, l’Afro
centrisme, le féminisme, le patriarcat, l’excision…

C’est vouloir regarder comme Africain nos manifestations cinématographiques avec


d’autres théoriques et méthodologiques que celles issue de notre rapport avec l’occident.

DEFINI LE CINEMA AFRICAIN

I. Que ce que le cinéma Africain

L’histoire et l’esthétique sont deux aspects fondamentaux qui témoignent du


rayonnement cinématographique d’un peuple ou d’une nation. Dans un contexte de
globalisation culturelle, de cinéma monde, chaque nation se doit de s’ouvrir aux autres
cultures du monde tout en préservant son identité culturelle.

Mais in convient de constater que le cinéma africain en général et d’Afrique centrale


n’arrive toujours pas à affirmer son identité culturelle, laissant ainsi subjuguer par les valeurs
idéologique et esthétique des pays dont le cinéma possède une véritable base historique et
esthétique. Franck UKADIKE (1994), pour justifier le faible socle historique, idéologique et
esthétique du cinéma en Afrique estime que, le cinéma en Afrique noir ne s’est pas développé
selon les différentes circonstances que le cinéma européen ou américain. Le passé colonial et
le présent néocolonial ont joué en défaveur des africains pour l’émergence d’un réel cinéma
national capable de parler pour et avec les africains.

S’il est facile de parler d’un cinéma français, américain ou bien hindou, l’attache
s’avère moins léger lorsqu’il s’agit du cinéma issue des pays africains au point ou les critique
occidentaux et certains africains ce son convenu, sans doute, pour s’alléger la tâche d’utiliser
le terme cinéma africain » pour désigner les films d’Afrique.

Que ce que le cinéma africain ?

Victor Okhai 2008, pour répondre à cette question, la décline dans un premier temps
en trois autres questions.

“Is African cinema, cinema by Africans including those outside of Africa? Is African cinema,
cinema based on Afrocentric stories and settings? Is African cinema, cinema according to st
founders?”

Même si pour définir le cinéma africain, certains propose une classification celons
quatre groupe sociologue : francophone, arabophone, lusophone, anglophone ; Victor Okhai
définir donc le cinéma africain comme :

“That cinema by Africans, which cuts across the socio-cultural boundaries of the
continent defying all artificial, geographical barriers, capturing the essence of African tales
by moonlight with terms which know no color, language, or nationality but which by
themselves are a reflection in the mind of individuals of his own experiences and
environment.”

Cette difficulté à s’accorder et a définir le cinéma africain, loin de remettre en question


son existence, met au bout du jour son inaptitude, à se faire une place sur la scène
cinématographique mondial tant sur le plan historique, économique et esthétique. Par contre,
même sur le secteur cinématographique de certains pays africains, tels que : l’Afrique du sud,
le Maroc, l’Algérie et le Nigeria, se veut dynamique, tel n’est pas le cas pour les pays de
l’Afrique noir francophone, en occurrence de ceux de l’Afrique central. Cette leçon pose donc
la problématique de la systématisation d’une histoire et d’une esthétique propre au cinéma
africain.

 La caractérisation du cinéma africain (le trait caractéristique du cinéma Africain)

Le désire contextualisé le cinéma en Afrique, le désire de redéfinir les mœurs Africain


dans le cinéma. De se redéfinira dans le cinéma. Ils utilisent nos éléments culturels pour faire
nos films. Ils s’appuient sur les contes, les griots

L’émancipation du point de vue politique. La résistance pour se redéfinir du Jouques de


l’occident. Les libérations de l’Afrique des occidentaux

Le désire d’imposer une vision philosophique purement africain.

On voir les femmes s’imposer dans le secteur cinématographique en Afrique.

Tout le cinéma africain tende toujours la main pour le financement de leurs films.

Le numérique en Afrique.

 L’oralité et cinéma africain francophone ; une parente esthétique


 Des mots aux images, littérature et cinéma en Afrique francophone
 Les choix thématique dans le cinéma sud-sourien
 L’état de la recherche sur le cinéma d’Afrique
 Le cinéma d’Afrique et sa crique

Toujours formuler une hypothèse avant de procédé a l’analyse

Livre : Les exigences du scénario dans le cinéma Africain : Moussa Konaté

Jean rouche:
Le gore : un sous-genre du genre fantastique

VISIONAGE

Histoire des petits gens : un film de Djibril Diop Mambety

-le salut de l’Afrique se repose sur les mains des petites gens.

- toute la souffrance de l’Afrique vient du lien qu'il a avec la zone Franc

This film put light in the lives of then handicaps and gives them an important place in
the society. Nothing should hinder you from living life like any normal person. The director in
this film gives a woman an important place in this film, by affirming the say that “what a man
can do, a woman can do better”. He demonstrates that life should be complementary between
a man and a woman. He reduces the dominance of man on the African woman.

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