Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
réalisée en collaboration
avec le syndicat des
industries de matériels
de manutention (SIMMA),
par un groupe de travail comprenant
l’INRS, le SIMMA,
des représentants des CRAM
et des constructeurs,
après consultation des CRAM.
ED 771
Cette brochure a été réalisée par
1.1. Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.3. Terminologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2. RÉGLEMENTATION - NORMALISATION . . . . . . . . . . . . . 9
3. CONCEPTION ET CONSTRUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
4. UTILISATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
3
Stockage à grande hauteur.
4
1. GÉNÉRALITÉS
5
Généralités
6
Généralités
7
Généralités
8
2. RÉGLEMENTATION - NORMALISATION
9
3. CONCEPTION ET CONSTRUCTION
11
Conception et construction
12
Conception et construction
la rotation des charges, et les cadences pour Les informations suivantes doivent être four-
calculer l’installation. nies par l’utilisateur pour le dimensionne-
ment des équipements de stockage :
• Moyens de manutention
- Nature et résistance du sol.
Les moyens de manutention utilisés condi-
tionnent la conception du rayonnage métal- En règle générale les sols béton sont
lique (dimensionnement, résistance), les lar- capables de supporter une pression de 45
geurs d’allées, les hauteurs de stockage et à 70 kg/cm2.
les dispositifs de protection (protection des La simple indication de la charge admissible
pieds d’échelles...). uniformément répartie n’est pas suffisante
pour s’assurer de l’aptitude du sol à sup-
• Jeux fonctionnels
porter les charges localisées induites par le
En fonction des contraintes d’exploitation, rayonnage.
l’utilisateur déterminera si besoin, des jeux
Préciser la charge localisée admissible par
fonctionnels supérieurs à ceux définis au
le sol, par exemple 8 tonnes pour une plati-
§ 3-2-5.
ne de surface efficace 135 × 135 mm.
• Propriétés de l’assise de l’équipement Certains sols (enrobés, dalles préfabri-
de stockage quées) ont, en général, une faible capacité
Les sols et les fondations doivent être de charge et peuvent présenter une assise
capables de supporter toutes les charges de irrégulière. Ces sols ne sont pas recomman-
l’équipement de stockage ; cette vérification dés dans le cas de charges lourdes concen-
est du ressort de l’utilisateur. trées.
13
Conception et construction
3.2.2 Conception
et dimensionnement
14
Conception et construction
3.2.2.2 Stabilité
Assurer la stabilité des rayonnages :
- des entretoises de jumelage qui seront
• par un sol plan et horizontal positionnées comme suit :
En cas d’impossibilité d’avoir un sol plan, les . une en position basse située au premier
impératifs (pentes, faux aplomb) doivent être nœud de diagonale,
pris en compte dans le calcul. . une en position haute située à la
• en limitant leur déplacement par : dernière traverse,
- un calage au sol de chaque pied d’échelle . au moins une supplémentaire à chaque
(supprimer tout mouvement relatif des cales éclissage,
avec les platines de pieds d’échelle), - des portiques d’allée :
- la fixation des pieds d’échelle au sol à rai- Ces portiques d’allée se situeront à une dis-
son d’un ancrage au moins par pied, tance minimale de 150 mm au-dessus du
- des éléments de répartition, sommet de la charge du dernier niveau de
pose. Il y a lieu de tenir compte des carac-
La pression exercée par un montant sur le sol
téristiques des chariots utilisés.
est fonction de la charge sur les rayonnages
et de la surface d’appui. Une pression trop éle- Si H est la hauteur du dernier niveau et L la
vée risque de provoquer un poinçonnement du largeur de l’échelle (dans le cas des rayon-
sol qui peut occasionner des déformations, nages doubles faces, L sera la largeur totale
voire un écroulement des rayonnages. Pour des deux échelles plus l’entretoise), ils seront
éviter ce phénomène, en fonction de la résis- disposés en fonction du ratio H/L, comme
tance de la dalle de béton, fixer sous les pieds indiqué ci-dessous :
des montants des éléments de répartition. - aucun si H/L est inférieur à 6,
- des pièces de contreventement si néces- - 1 toutes les trois travées si H/L est compris
saire, entre 6 et 8,
15
Conception et construction
• En tenant compte, le cas échéant, de la La largeur des allées de service est fonction
fixation à une autre structure. du type de chariot, de ses dimensions et de
son rayon de braquage, ainsi que des
Dans le cas où une liaison vis-à-vis double
dimensions des charges et du site de travail.
face stable n’est pas réalisable, le fabricant
doit pouvoir justifier la stabilité transversale • Article R 233-13-17 du Code du travail :
du rayonnage isolé. « Des mesures d’organisation doivent être
prises pour éviter que les travailleurs à pied
ne se trouvent dans la zone d’évolution des
équipements de travail... ».
Cela nécessite, pour prévenir ce risque,
d’organiser la séparation physique des
voies de circulation des chariots et des pié-
tons.
Les allées de circulation piétons doivent
avoir une largeur d’au moins 80 centi-
mètres. Dans la zone de stockage, la circu-
lation des piétons est interdite, celle d’un
opérateur est autorisée.
Ne réaliser aucun stockage au-dessus
des allées de circulation sauf précautions
Protection d’extrémité de rangée. particulières : plancher ajouré (cf. norme
16
Conception et construction
17
Conception et construction
3.2.6 Aménagement
des alvéoles
18
Conception et construction
figure 1
figure 2
lisses, installer un plancher plein ou à claire Aménager les alvéoles destinés au stockage
voie ou tout autre dispositif remplissant la des charges dont la base a une configura-
même fonction. tion particulière avec des équipements
Dans ce cas, veiller à respecter la conformité d’une résistance appropriée, parfaitement
des règles incendie ainsi que celles con- adaptés à la géométrie des charges en ques-
cernant le positionnement des palettes tion (planchers, berceaux, traverses, sup-
en profondeur. ports, etc.). Ceux-ci doivent être conçus de
19
Conception et construction
manière à éviter tout déplacement pouvant pleins, grillage simple torsion, filet, etc.) sur
entraîner leur chute intempestive ou celle de une hauteur allant du premier niveau de lisse
la charge. jusqu’au dessus de la charge stockée
Pour les palettes de type perdu, utiliser la plus haute.
systématiquement un support approprié Prolonger les échelles en bordure d’allée de
capable de soutenir la palette selon les circulation, d’une longueur au moins égale
dispositions prévues au § 4.2.3. à la hauteur des charges stockées. En cas de
Pour les alvéoles situés au-dessus d’un pas- présence d’opérateur, les pourvoir sur toute
sage d’évacuation ou un alvéole où sont réa- leur hauteur de dispositifs de retenue si les
lisées des opérations de picking, installer un éléments de charge sont susceptibles de pas-
plancher capable de s’opposer à la chute ser à travers l’échelle.
d’objets (panneaux pleins ou ajourés à
3.2.7 Montage de l’installation
maille compatible avec les objets stockés, ou
panneaux de toute autre conception) et L’installation d’un équipement de stockage
dimensionné pour éviter sa rupture brusque doit être effectuée par un personnel qualifié.
sous les contraintes engendrées par la défor- Il est vivement recommandé qu’elle soit réa-
mation des supports de charge. lisée par le constructeur ou son mandataire
Sur les faces arrières des travées simples qualifié pour assurer une totale sécurité. Si
situées en bordure d’allées de circulation, l’utilisateur effectue le montage par ses
d’aires de transit ou de postes de travail, ins- propres moyens, il doit se conformer aux ins-
taller des dispositifs de retenue adaptés aux tructions données par le constructeur et assu-
charges stockées (panneaux grillagés ou rer lui-même la vérification générale et le
Plancher alvéolé.
20
Conception et construction
Panneaux grillagés sur les faces arrières des travées en bordure d’allée de circulation.
21
Conception et construction
22
Conception et construction
23
4. UTILISATION
- des collisions chariot/opérateur dans les Les chutes de charges peuvent avoir pour
allées de service où les opérateurs sont ame- cause :
nés à circuler fréquemment ou à séjourner - l’utilisation de plateaux de chargement
pour des tâches particulières telles que (palettes...) n’apportant pas toutes les
confection ou division des charges, prépa- garanties de résistance et de tenue en ser-
ration de commandes ; vice ;
- des collisions chariot/chariot dans des - une mauvaise confection des charges pro-
allées de circulation ou des aires de venant d’un manque de cohésion entre élé-
manœuvre trop réduites ; ments de charge avec pour conséquence
Protections de rayonnage.
25
Utilisation
des éléments qui débordent de la palette. - substances dangereuses provenant des pro-
Une conduite heurtée, un sol en mauvais état duits stockés en rayonnage ou à proximité.
(trous, dénivellations, pentes...) accentuent Le manque d’information et de formation et
cette anomalie ; les cadences excessives sont bien souvent
- une défectuosité ou l’absence de disposi- des facteurs aggravants.
tif de rétention (filet, housse...) ;
- une mauvaise appréciation par le cariste de Les opérateurs sont informés des caractéris-
la hauteur de pose ou dépose de la charge ; tiques des charges manutentionnées, des
capacités des rayonnages, des plans de
• de l’écroulement des palettiers en raison
chargement type, des règles de chargement
de surcharges localisées ou générales qui
et de déchargement, des caractéristiques et
créent des sollicitations pouvant entraîner
des conditions d’utilisation des chariots
des déformations permanentes des éléments
employés, du plan de circulation...
de structure provenant :
Les utilisateurs d’engins de manutention
- d’une réaffectation de palettiers ne tenant (transpalettes, gerbeurs, chariots...) doivent
pas compte des limites maximales admis- avoir reçus une formation adéquate(1) (2).
sibles en raison de l’ignorance du poids réel
Seuls sont autorisés à conduire les chariots
des charges manutentionnées et de l’état des
automoteurs à conducteur porté les caristes
éléments réutilisés, corrosion notamment ;
en possession de l’autorisation de conduite
- de heurts des chariots de manutention ou délivrée par le chef d’établissement(1).
de leur charge provoquant des déformations Cette autorisation de conduite est délivrée
des éléments de la structure préjudiciables à après la prise en compte des trois éléments
la stabilité de l’ensemble ; suivants(3) (4) :
- du remplissage des conteneurs lors du • aptitude médicale(3).
déclenchement du réseau de détection et Elle doit être vérifiée lors d’une visite médi-
d’extinction d’incendie automatique ; cale adaptée aux équipements concernés
• de conditions d’exploitation défavo- auprès du médecin du travail. Elle sera réa-
rables telles que : lisée avant la formation.
26
Utilisation
Charge filmée.
27
Utilisation
28
Utilisation
29
Utilisation
Une signalisation appropriée sera disposée • Pour assurer un éclairage suffisant des
à l’entrée des allées de service. zones d’exploitation des palettiers et notam-
• Interdire de passer sous les charges stoc- ment des allées de circulation, il convient :
kées dans un rayonnage par accumulation. - d’assurer régulièrement le dépoussiérage
• Pour les palettiers standard, maintenir des réflecteurs et des sources lumineuses et
dans les locaux de stockage une température de procéder à leur changement s’il y a lieu,
supérieure ou égale à celle préconisée par - de disposer de moyens sûrs tels que des
le constructeur. échafaudages, des plates-formes élévatrices
• Dans le cas où l’installation est équipée mobiles de personnel... pour exécuter ces
d’un réseau de détection et d’extinction d’in- travaux et le remplacement dans les
cendie automatique, utiliser des conteneurs meilleurs délais des sources lumineuses.
percés ou avec un fond à caillebotis ayant
un évidement d’au moins 50 % de façon à 4.2.9 Maintenance
éviter leur remplissage qui risquerait de pro-
• Le chef d’entreprise est tenu de maintenir
voquer l’écroulement du palettier.
l’installation en état de conformité avec les
• Veiller à ce qu’une variation de tempéra- règles techniques de conception et de
ture ou d’hygrométrie n’entraîne pas de construction applicables lors de sa mise en
déformation ou détérioration des embal- service (art. R 233-1-1 du Code du travail).
lages des produits stockés ainsi que des sup-
• Le bon entretien de l’installation et le res-
ports de charge qui puissent les rendre
pect de la périodicité des vérifications pré-
instables.
conisées par le constructeur concourent à la
protection des opérateurs.
• Les opérations de maintenance de l’ins-
tallation sont de la responsabilité de l’utili-
sateur. Celui-ci doit faire procéder :
- à la suite de tout choc, à une vérification,
en s’assurant de la verticalité des échelles sou-
vent déplacées de leur aplomb et, s’il y a lieu,
au remplacement de tout élément déformé ;
Proscrire des redressages, des ajouts par
soudure qui peuvent diminuer la résistance
de l’installation, sauf après accord écrit du
constructeur ;
- à une surveillance permanente et attentive
en vue de détecter les anomalies facilement
visibles : éléments déformés, défauts de ver-
ticalité, affaissement du sol, verrous de sécu-
rité manquants, tenue des soudures, présence
des boulons, charges détériorées... et
Allée piétonne protégée et matérialisée. réaliser leur réparation immédiatement.
30
Utilisation
Attaches de fixation.
Pour cela se reporter à la notice d’instruc- échelles soient remises à l’intérieur des tolé-
tions du constructeur ; rances de verticalité.
- au moins tous les ans, à une vérification • L’état et l’efficacité des cales de pieds,
périodique approfondie par une personne des dispositifs d’ancrage et de verrouillage,
compétente employée par l’utilisateur ou le du boulonnage.
constructeur ou une entreprise spécialisée On s’assurera par des méthodes d’échan-
ou un organisme de contrôle. tillonnage que :
Nota : la compétence implique notamment, - les pieds sont en contact avec le sol ;
outre la qualification, l’expérience du métier - les cales sont en place (dans le cas d’utili-
de vérificateur, en particulier une pratique sation d’un béton sans retrait vérifier que le
habituelle de celui-ci. béton est encore efficace) ;
Lors de la vérification périodique, - les ancrages sont en bon état ;
on contrôlera notamment : - les dispositifs de verrouillage sont bien en
• L’aplomb des rayonnages. place ;
Dans un rayonnage en exploitation sous - les boulons sont serrés correctement.
charge nominale, le faux aplomb mesuré à • Les déformations globales des montants,
chaque niveau de pose ne doit pas dépas- des lisses...
ser le faux aplomb initial de 1/350, aug- - Pour les montants, on place une règle de
menté d’un déplacement de 1/200 de la précision en acier d’un mètre de long en
hauteur du niveau considéré. contact avec une surface sur le coté concave
Dans le cas contraire, rechercher les causes de l’élément endommagé, de manière que
et intervenir sur l’installation pour que les la partie endommagée se trouve centrée
31
Utilisation
Plancher plein.
le plus possible par rapport à la longueur de prorata des limites fixées pour une longueur
la règle. L’espace maximal entre le profil et de un mètre. Les éléments qui sont voilés,
la règle ne doit pas dépasser 2,5 mm. bosselés, arrachés ou fendus doivent être
- Les lisses fléchissent dans les conditions de remplacés.
charge maximale autorisée en utilisation - Les lisses dont les connecteurs sont défor-
dans la limite admissible de 1/200 de leur més ou les soudures endommagées doivent
longueur d’entre-axe de montants. Ce flé- être déchargées et il conviendra de deman-
chissement doit disparaître lorsque les lisses der conseil au constructeur.
sont déchargées et ne doit pas être confon- • L’état du sol et du bâtiment.
du avec une déformation permanente pro- L’utilisateur doit s’assurer visuellement que le
voquée par une surcharge ou un dommage sol ne fait pas apparaître de fissures ou d’af-
du à un choc. faissement.
- Lorsque les déformations dépassent les • La présence et l’état de conservation jus-
indications données précédemment, les élé- qu’au plan supérieur de la charge située au
ments endommagés doivent être déchargés plus haut, de protections grillagées, de filets
et remplacés après consultation du construc- ou tout autre moyen approprié destiné à évi-
teur. Si la réparation n’est pas réalisée par ter les chutes éventuelles des produits stoc-
le constructeur, s’assurer que les prescrip- kés.
tions de celui-ci ont été scrupuleusement res-
• Les éléments de structure à la suite d’un
pectées.
incendie. Tout élément dont la peinture a été
• Les déformations localisées. brûlée doit être remplacé.
- Les courbures localisées, d’une longueur • Les éléments de structure rouillés doivent
inférieure à un mètre, peuvent être jugées au être remplacés.
32
Utilisation
• L’état des charges (support, conditionne- Les rapports de vérification périodique seront
ment, positionnement). joints à ce registre. Les travaux effectués pour
Certaines vérifications pourront être effec- remédier aux anomalies ainsi que les dates
tuées en faisant appel à des méthodes sta- de leur réalisation seront également men-
tistiques. tionnés. Noter aussi toutes informations rela-
tives aux charges (état, masse...).
Consignation sur un registre
Les anomalies relevées lors des vérifications
En cas de non respect de ces règles, la
seront consignées sur un registre ainsi que responsabilité du constructeur ne peut être
les dates auxquelles elles ont été constatées. engagée lors d’un éventuel sinistre.
33
COMPOGRAVURE
IMPRESSION, BROCHAGE
IMPRIMERIE CHIRAT
42540 ST-JUST-LA-PENDUE
AOÛT 2003
DÉPÔT LÉGAL 2003 N° 8810
IMPRIMÉ EN FRANCE
L’Institut national de recherche et de sécurité Pour commander les films (en prêt), les brochures et les affiches de l’INRS,
L’Institut national de recherche et de sécurité adressez-vous au service prévention de votre CRAM ou CGSS.
(INRS) est une association déclarée sans but
lucratif (loi du 1er juillet 1901), constituée sous
l’égide de la Caisse nationale de l’assurance Services prévention des CRAM
maladie. Il est placé sous la tutelle
des pouvoirs publics et le contrôle financier ALSACE-MOSELLE BRETAGNE NORD-EST
de l’État. Son conseil d’administration est (67 Bas-Rhin) (22 Côtes-d’Armor, 29 Finistère, (08 Ardennes, 10 Aube, 51 Marne,
35 Ille-et-Vilaine, 56 Morbihan) 52 Haute-Marne, 54 Meurthe-et-Moselle,
composé en nombre égal de représentants 14 rue Adolphe-Seyboth
236 rue de Châteaugiron 55 Meuse, 88 Vosges)
du Mouvement des entreprises de France BP 392 81 à 85 rue de Metz
67010 Strasbourg cedex 35030 Rennes cedex
et des organisations syndicales de salariés. tél. 02 99 26 74 63 54073 Nancy cedex
tél. 03 88 14 33 00 tél. 03 83 34 49 02
fax 03 88 23 54 13 fax 02 99 26 70 48
L’INRS apporte son concours aux services fax 03 83 34 48 70
ministériels, à la Caisse nationale (57 Moselle) CENTRE
de l’assurance maladie, aux Caisses (18 Cher, 28 Eure-et-Loir, 36 Indre, NORD-PICARDIE
3 place du Roi-George 37 Indre-et-Loire, 41 Loir-et-Cher, 45 Loiret) (02 Aisne, 59 Nord, 60 Oise,
régionales d’assurance maladie, aux comités BP 31062 62 Pas-de-Calais, 80 Somme)
36 rue Xaintrailles
d’hygiène, de sécurité et des conditions 57036 Metz cedex 1 11 allée Vauban
45033 Orléans cedex 1
de travail, aux entreprises, enfin à toute tél. 03 87 66 86 22 tél. 02 38 79 70 00 59662 Villeneuve-d’Ascq cedex
personne, employeur ou salarié, qui fax 03 87 55 98 65 fax 02 38 79 70 30 tél. 03 20 05 60 28
s’intéresse à la prévention. L’INRS recueille, fax 03 20 05 63 40
élabore et diffuse toute documentation (68 Haut-Rhin) CENTRE-OUEST
intéressant l’hygiène et la sécurité du travail : 11 avenue De-Lattre-de-Tassigny (16 Charente, 17 Charente-Maritime, NORMANDIE
brochures, dépliants, affiches, films, BP 488 19 Corrèze, 23 Creuse, 79 Deux-Sèvres, (14 Calvados, 27 Eure, 50 Manche,
68020 Colmar cedex 86 Vienne, 87 Haute-Vienne) 61 Orne, 76 Seine-Maritime)
renseignements bibliographiques... Il forme 4 rue de la Reynie Avenue du Grand-Cours, 2022 X
des techniciens de la prévention et procède tél. 03 89 21 62 20
fax 03 89 21 62 21 87048 Limoges cedex 76028 Rouen cedex
en son centre de recherche de Nancy aux tél. 05 55 45 39 04 tél. 02 35 03 58 21
études permettant d’améliorer les conditions fax 05 55 79 00 64 fax 02 35 03 58 29
AQUITAINE
de sécurité et l’hygiène de travail. (24 Dordogne, 33 Gironde,
40 Landes, 47 Lot-et-Garonne, ÎLE-DE-FRANCE PAYS DE LA LOIRE
Les publications de l'INRS sont distribuées 64 Pyrénées-Atlantiques) (75 Paris, 77 Seine-et-Marne, (44 Loire-Atlantique, 49 Maine-et-Loire,
par les Caisses régionales d'assurance 80 avenue de la Jallère 78 Yvelines, 91 Essonne, 53 Mayenne, 72 Sarthe, 85 Vendée)
33053 Bordeaux cedex 92 Hauts-de-Seine, 93 Seine-Saint-Denis, 2 place de Bretagne
maladie. Pour les obtenir, adressez-vous 94 Val-de-Marne, 95 Val-d’Oise)
tél. 05 56 11 64 00 BP 93405, 44034 Nantes cedex 1
au service prévention de la Caisse régionale 17-19 place de l’Argonne tél. 02 51 72 84 00
fax 05 56 39 55 93
de votre circonscription, dont vous trouverez 75019 Paris fax 02 51 82 31 62
l’adresse en fin de brochure. tél. 01 40 05 32 64
AUVERGNE
fax 01 40 05 38 84 RHÔNE-ALPES
(03 Allier, 15 Cantal, 43 Haute-Loire,
63 Puy-de-Dôme) (01 Ain, 07 Ardèche, 26 Drôme,
48-50 boulevard Lafayette LANGUEDOC-ROUSSILLON 38 Isère, 42 Loire, 69 Rhône,
63058 Clermont-Ferrand cedex 1 (11 Aude, 30 Gard, 34 Hérault, 73 Savoie, 74 Haute-Savoie)
Les Caisses régionales d’assurance maladie 48 Lozère, 66 Pyrénées-Orientales) 26 rue d’Aubigny
tél. 04 73 42 70 22
Les Caisses régionales d’assurance maladie 29 cours Gambetta 69436 Lyon cedex 3
fax 04 73 42 70 15
disposent, pour diminuer les risques 34068 Montpellier cedex 2 tél. 04 72 91 96 96
professionnels dans leur région, tél. 04 67 12 95 55 fax 04 72 91 97 09
BOURGOGNE et FRANCHE-COMTÉ
d’un service prévention composé fax 04 67 12 95 56
(21 Côte-d’Or, 25 Doubs, 39 Jura,
d’ingénieurs-conseils et de contrôleurs 58 Nièvre, 70 Haute-Saône, SUD-EST
de sécurité. Par les contacts fréquents que 71 Saône-et-Loire, 89 Yonne, MIDI-PYRÉNÉES (04 Alpes-de-Haute-Provence,
90 Territoire de Belfort) (09 Ariège, 12 Aveyron, 31 Haute-Garonne, 05 Hautes-Alpes, 06 Alpes-Maritimes,
ces derniers ont avec les entreprises, ils sont ZAE Cap-Nord 32 Gers, 46 Lot, 65 Hautes-Pyrénées, 13 Bouches-du-Rhône, 2A Corse Sud,
à même non seulement de déceler les risques 38 rue de Cracovie 81 Tarn, 82 Tarn-et-Garonne) 2B Haute-Corse, 83 Var, 84 Vaucluse)
professionnels particuliers à chacune d’elles, 21044 Dijon cedex 2 rue Georges-Vivent 35 rue George
mais également de préconiser les mesures tél. 03 80 70 51 22 31065 Toulouse cedex 9 13386 Marseille cedex 5
préventives les mieux adaptées aux différents fax 03 80 70 51 73 tél. 05 62 14 29 30 tél. 04 91 85 85 36
postes dangereux et d’apporter, par leurs fax 05 62 14 26 92 fax 04 91 85 79 01
conseils, par la diffusion de la documentation
éditée par l’Institut national de recherche
et de sécurité, une aide particulièrement
efficace à l’action des comités d’hygiène, Services prévention des CGSS
de sécurité et des conditions de travail.
GUADELOUPE GUYANE LA RÉUNION MARTINIQUE
Immeuble CGRR Espace Turenne Radamonthe 4 boulevard Doret Quartier Place-d’Armes
Rue Paul-Lacavé Route de Raban, BP 7015 97405 Saint-Denis cedex 97210 Le Lamentin cedex 2
97110 Pointe-à-Pitre 97307 Cayenne cedex tél. 02 62 90 47 00 tél. 05 96 66 51 31
tél. 05 90 21 46 00 tél. 05 94 29 83 04 fax 02 62 90 47 01 05 96 66 51 33
fax 05 90 21 46 13 fax 05 94 29 83 01 fax 05 96 51 81 54
Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’INRS,
de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite.
Il en est de même pour la traduction, l’adaptation ou la transformation, l’arrangement ou la reproduction,
par un art ou un procédé quelconque (article L. 122-4 du code de la propriété intellectuelle).
La violation des droits d’auteur constitue une contrefaçon punie d’un emprisonnement de deux ans
et d’une amende de 150 000 euros (article L. 335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle).