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Exercice 1: Le signal s∗(t), que nous pouvons représenter graphiquement (figure : Train d'impulsions) peut être écrit sous la forme d’une
.Le signal s1∗(t) est un échelon unitaire et le signal s2∗(t) est un échelon unitaire retardé de k0 + 1 échantillons (soit d’un temps (k0 + 1 ) Te
z − z−k0
d’où : S(z) =
z−1
e jvt − e− jvt
s(t) = sin vt =
2j
z sin vTe
d’où : S(z) =
z2 − 2z cos vTe + 1
1
Exercice 4 : La fonction de transfert en z nous conduit immédiatement à l’équation de récurrence :
1 − z−1
G(z) = ⇔ S(z) 1 − 0,25z−1 + 0,25z−2 = E(z) 1 − z−1
1 − 0,25z−1 + 0,25z−2
Exercice 5 : Nous pouvons considérer qu’un signal quelconque de transformée en z connue est la sortie d’un système de fonction de transfert
G(z) = S(z) lorsque ce système est sollicité, à son entrée, par une impulsion unité. En effet, on a dans ce cas
E(z) = 1 ⇒ S(z) = G(z)E(z) = G(z)
Il suffit donc, dans ces conditions, de rechercher l’équation de récurrence correspondant à cette fonction de transfert et
de calculer la suite d’échantillons de sortie du système lorsque le signal d’entrée est une impulsion unité.
S(z) 0,3z−1
On a : G(z) = =
E(z) 1 − 1,7z−1 + z−2
d’où : S(z) 1 − 1,7z−1 + z−2 = E(z) 0,3z−1
2
Exercice 7 : Calculons successivement les fonctions de transfert en z, G1(z) e t G2(z) définies respectivement comme les équivalents à la
dérivation et à l’intégration de la fonction de transfert en temps continu G(p). p
3 3 3Te 1,5
On a : G( p) = → G1 (z) = = =
p+1 1 − z−1 1 + Te − z−1 1,5 − z−1
+1
Te
3 3 3Te 1 + z−1
et : G( p) = → G2 (z) = =
p+1 2 1 − z−1 2 1 − z−1 + Te 1 + z−1
+1
Te 1 + z−1
3Te 1 + z−1 1,5 1 + z−1
soit : G2 (z) = =
2 + Te + (Te − 2) z−1 2,5 − 1,5z−1
Par ailleurs, d’après la table des équivalents, on a :
3 1 − e−Te 1,2
G3 (z) = =
z − e−Te z − 0,6
Déterminons à présent les équations de récurrence correspondant à ces trois fonctions de transfert et calculons les premiers éléments de la
suite d’échantillons de sortie
1,5
G1 (z) = ⇒ sk = ek + 0,667sk−1
1,5 − z−1
1,5 1 + z−1
G2 (z) = ⇒ sk = 0,6ek + 0,6ek−1 + 0,6sk−1
2,5 − 1,5z−1
1,2
G3 (z) = ⇒ sk = 1,2ek−1 + 0,6sk−1
z − 0,6
Représentons, sur le même diagramme, les trois réponses temporelles ainsi obtenues (figure : Réponses temporelles comparées ). Le résultat
est plus qu’éloquent : les trois réponses sont très proches les unes des autres, hormis les premiers instants d’échantillonnage.e
De plus, chaque suite semble converger vers la même limite s∞ = 3, ce qui est confirmé par le calcul des trois valeurs finales :s
z−1 z 1,5
s1∞ = lim 1 − z−1 S1 (z) = lim G1 (z) · = =3
z→1 z→1 z z−1 1,5 − 1
z−1 z 1,5 × 2
s2∞ = lim 1 − z−1 S2 (z) = lim G2 (z) · = =3
z→1 z→1 z z−1 2,5 − 1,5
z−1 z 1,2
s3∞ = lim 1 − z−1 S3 (z) = lim G3 (z) · = =3
z→1 z→1 z z−1 1 − 0,6