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PERFORMANCES
AÉRODYNAMIQUES D’UNE
ÉOLIENNE À AXE VERTICAL
« darrieus »
2019/2020
Recherche bibliographique
Plan de travail
Introduction
Historique de l’énergie éolienne
Définition d’une énergie éolienne
Définition d’une éolienne
Les premières réalisations
Les éléments constitutifs d’un aérogénérateur
Types des éoliennes
Caractérisations des éoliennes
Aérodynamique du rotor éolien type Darrieus –H
1) 1
Introduction
L'utilisation des énergies renouvelables pour la production de l'énergie est une option
énergétique prometteuse qui répond à la demande croissante en énergie dans le monde,
avec des avantages comme l'abondance, l'absence de toute pollution et la disponibilité
en plusieurs points du globe terrestre. [5] L’énergie éolienne est une bonne alternative
pour la consommation des énergies fossiles, donc, elle a de la place dans le futur
immédiat vu sa propreté et renouvelable. La puissance totale d’énergie éolienne
installée au niveau mondial est de 42 000 MW. [6] …..
Le vent, comme étant une source d’énergie traditionnelle non polluante, a été exploité
depuis plusieurs siècles pour la propulsion des navires (avant 3000 ans environ),
l’entrainement des moulins (environs 200000 moulins à vent en Europe vers le milieu du
19ème siècle) . L’énergie éolienne est l’une des plus vieilles énergies de la terre. Le vent
fût utilisé pendant plusieurs siècles pour la propulsion des navires, il présentait presque la
seule source d’énergie pour les navires jusqu’à ce que WATT a inventé le moteur à vapeur
dans le dix-huitième siècle L’histoire nous apprend qu’au dix-septième siècle A.J.C,
l’empereur de Babylone, HAMMURABI, avait conçu un système d’irrigation basé sur
l’énergie éolienne. Trois siècles A.J.C, L’Egyptien HERO d’Alexandrie avait décrit une
simple turbine éolienne à axe horizontal à quatre pales pour getter des organes. Les perses
utilisaient en septième siècle des éoliennes rudimentaires à axe vertical qui servait à
l’irrigation des terres cultivées et au meulage du grain. Ce type de moulins à vent va se
répandre dans le monde arabe. Par la suite, les croisées les ramenèrent en Orient. D’abord
le système éolien est utilisés pour le pompage d’eau (POLDER), elles servirent par la suite
au seizième siècle à d’autres fonctions, tel que couper le bois. Ce n’est qu’en 1890 au
Danemark que les éoliennes seront utilisées pour créer de l’énergie électrique.[6]
1) 2
Figure 1 : Moulin à vent du XIVème siècle.
l’énergie éolienne est abondante : le vent est inépuisable. Il constitue donc une
véritable ressource renouvelable.
l’énergie éolienne est propre : les éoliennes n’engendrent pas de pollution.
Elles ne rejettent pas de substance dangereuse dans l’environnement et ne
produisent pas de déchet. Elles contribuent donc à une réduction substantielle des
émissions de gaz à effets de serre. [4]
L’énergie éolienne est un secteur d’activité aujourd’hui en pleine croissance. Cette
croissance économique est de 30% par an depuis 1995. La production d'énergie
éolienne à un énorme potentiel de création d'emplois dans les domaines du
développement et de la fabrication. [6]
1) 3
Définition d’une éolienne :
Un aérogénérateur, plus communément appelé éolienne, est un dispositif qui transforme une
partie de l’énergie cinétique du vent (fluide en mouvement) en énergie mécanique disponible
sur un arbre de transmission puis en énergie électrique par l’intermédiaire d’une génératrice.
La limite de Betz prouve qu’une partie seulement de la puissance cinétique du vent peut être
transformée en puissance mécanique via le rotor éolien. [6] « Le lecteur notera aussi une
limite intéressante, déterminée par la loi de Betz, qui prouve que Cp maximal = 16/27, c’est-
à-dire ~ 0,59. Au-delà de la belle formule, ceci signifi e qu’il est physiquement impossible de
récupérer plus de 59 % de l’énergie cinétique du vent avec une éolienne simple. Mais 59 %
d’une ressource qui ne vous coûte que le moyen de la transformer, c’est beaucoup mieux que
la quasi-totalité des autres ressources énergétiques. » [3]
Georges Darrieus, ingénieur de l’École Centrale Paris, fit sa carrière au service Études et
Recherches de la Compagnie Électro-Mécanique située au Bourget. Dès 1925, il dépose un
brevet en France concernant les éoliennes à axe vertical auquel on associera son nom par la
suite. Mais il débutera ses réalisations sur des prototypes à axe horizontal. C’est sur les
terrains attenant à l’usine du Bourget qu’il fit construire par la CEM en 1927 une première
éolienne de 8 m de diamètre rompant définitivement avec la conception classique des moulins
américains (figure 3 )
– Vitesse de rotation rapide (80 tr/min) pour une puissance de 1.8 kW avec 5 m/s de vent,
– Rotor à 4 pales disposé en aval du mât,
– Absence de système additionnel d’orientation,
– Positionnement du système de production électrique dans une nacelle profilée en haut du
mât.
Ce développement s’appuie sur des réflexions importantes sur les rapports entre vitesse de
rotation et nombre de pale et possède déjà toutes les caractéristiques d’une éolienne moderne.
L’orientation est assurée par l’inclinaison vers l’arrière des pales, qui, formant ainsi un cône
en rotation, crée naturellement une surface latérale. Les pales sont de conception biplane sur
une grande partie de leur envergure, ceci pour compenser la pression du vent qui tendrait à les
fléchir davantage vers l’arrière. Pour compléter ses études, Darrieus réalisera ensuite deux
autres prototypes de 10 et 20 m de diamètre à, respectivement, 3 et 2 pales.( Figure 4 ) .[2]
1) 4
Figure 3 : 1re Éolienne Darrieus avec rotor de 8 m, tiré de la revue La Nature, n° 2823,
décembre 1929 (collection M. Rapin)
Figure 4 : 3 éme Éolienne Darrieus avec rotor de 20 m, tiré de la revue La Nature, n°
2823, décembre 1929 (collection M. Rapin)
D’autres réalisations sont bien sûr apparues ailleurs dans le monde, par exemple aux États-
Unis avec des petites unités Jacobs de 1 à 3 kW. Poursuivant les efforts et développements
déjà produits et soutenus par son gouvernement, le Danemark possédait quant à lui, à la fin de
la Première guerre mondiale, plus d’une centaine d’unités allant jusqu’à 35 kW, comme les
Lykkegaard issues des Klapsejler de La Cour (figure 5). [2]
1) 5
Figure 5 : Éolienne de conception Lykkegaard (avec éléments de pale mis en drapeau),
utilisée pour le pompage de l'eau à Combres, Eure-et-Loir (collection M. Rapin)
1) 6
Le système de contrôle électronique : il gère le fonctionnement général de
l’éolienne et de son mécanisme d’orientation.
On appelle éolienne tout appareil capable de capter l’énergie du vent. Si les éoliennes
tripales à axe horizontal sont les plus courantes à l’heure actuelle, il existe de nombreuses
formes d’éoliennes différentes, tellement diverses que l’établissement d’un classement des
technologies est complexe. Le tableau 1 présente une liste d’une sélection non-exhaustive
des principales technologies élémentaires d’appareils qui captent l’énergie éolienne pour
la production d’électricité. Les technologies sont classées en catégories en se basant sur un
classement Martin qui trie les machines selon des critères techniques liés au principe de
fonctionnement des machines (l’axe de rotation, la force aérodynamique qui crée la
puissance mécanique, etc.). [8]
1) 7
Capteurs Par conversion électrostatique (utilisation des vents ioniques) (1)
statiques
Capteurs Par rotation axiale (axe horizontal) :
dynamique Propulsée principalement par la portance
s A pale ou à hélice (2)
A cylindre(s) rotatif(s) (3)
Propulsée en confinant l’écoulement (4)
Par rotation transversale (axe vertical)
Propulsée principalement par la traînée
A écran (5)
A clapet battant (6)
A orientation ou déformation cyclique des aubes (7)
A traînée différentielle (8)
Propulsée principalement par la portance
A pale ou à hélice
A pales fixes
A orientation cyclique des aubes (9)
A cylindre(s) rotatif(s) (10)
Propulsée par le frottement pariétal (11)
Par translation (vibration ou oscillation, contrôlées ou désordonnées) (12)
Par translation transversale (type tapis roulants)
Par oscillation transversale (type ailes oscillantes) (13)
Par vibrations ordonnées ou désordonnées (14)
Par oscillation circulaire (15)
(16)
La plupart des éoliennes actuellement installées utilisent des turbines à axe horizontal. Les
différentes constructions des aérogénérateurs utilisent les voilures à deux, trois pâles (les
plus courantes) et les multi pâles. La caractéristique de puissance Cp dépend
principalement du nombre de pales utilisé. La figure (montre l'évolution du coefficient de
puissance Cp pour des turbines réelles à axe horizontal avec 1, 2, 3 et 4 pales. On
remarque que pour chaque type d'éolienne correspond une vitesse normalisée, qui
maximise le rendement aérodynamique. Ainsi un fonctionnement à vitesse de rotation
variable, selon la vitesse du vent, peut permettre de rester sur le maximum de la courbe.
1) 8
Les HAWT classiques utilisent des profils aérodynamiques et fonctionnent sur la force de
portance.
Les principales caractéristiques de ce type d’éoliennes sont les suivantes Exploite la force
de portée du vent.
- Coefficient de puissance max = 45-50%
- Vitesse spécifique optimale = 5 à 6
- Vitesse de démarrage = 4-5m/s. [6]
Les éoliennes à axe vertical ont été les premières structures développées pour produire de
l’électricité, paradoxalement, en contradiction avec le traditionnel moulin à vent à axe
horizontal. Elles possèdent l’avantage d’avoir les organes de commande et le générateur
au niveau du sol ; donc facilement accessibles. De nombreuses variantes ont été testées
depuis les années vingt, dont beaucoup sans succès, mais deux structures sont parvenues
au stade de l’industrialisation. [4]
1) 9
Figure 8 : éolienne à axe vertical
C’est en 1924, pratiquement au même moment où Georges Jean Marie Darrieus dépose
son brevet de turbine à axe vertical, que Sigurd Savonius, un architecte finlandais, mais
dont l’esprit était bien plus celui d’un ingénieur et d’un inventeur, développa une éolienne
à axe vertical dont le principe porte aujourd’hui le nom, le rotor de Savonuis. Son brevet
en fut déposé en 1929. Son principe en est fort simple : deux demi-cylindres placés en
sens opposés sur un axe vertical forment des godets. Vu du dessus, le rotor de Savonius
dans sa forme la plus basique dessine un S. Le vent vient s’engouffrer tour à tour dans ces
godets, produisant ainsi la mise en rotation de l’axe afin de générer de l’électricité.
Techniquement parlant, son principe est basé sur un couple aérodynamique induit par
l’écoulement du flux d’air dans la structure créée par Savonius. Du point de vue de son
fonctionnement, elle démarre et entre en rotation (et par conséquent en production)
facilement, même sous le coup de faibles vents. Cette qualité manque à l’éolienne
Darrieus ; c’est pourquoi celle-là est souvent associée à celle-ci dans une éolienne hybride
afin de lui servir de lanceur comme indiqué dans la Figure 9. [4]
1) 1
- Vitesse de démarrage = 2-3m/s. [6]
Eolienne Darrieus :
Les éoliennes de type Darrieus sont constituées de deux ou trois pales à profils
aérodynamiques , Cette éolienne peut fournir une puissance plus élevée que celle du type
Savonius. Son fonctionnement est base sur le fait qu’un profil place dans un écoulement
d’air selon différents angles est soumis à des forces de direction et d’intensités variables,
la résultante de ces forces généré alors un couple moteur entrainant la rotation du
dispositif. Ces forces sont créées par la combinaison de la vitesse propre de déplacement
du profil et de la vitesse du vent. [6]
1) 1
Figure 11 :Représentation d’une masse d’air qui « traverse » le rotor de
l’éolienne. [3]
Si, pendant l’unité de temps, cette énergie pouvait être complètement récupérée à l'aide
d'une hélice qui balaie une surface s, située perpendiculairement à la direction de la vitesse
du vent, la puissance instantanée fournie serait, alors :
1
Pd = 𝜌𝑠V³. [7]
2
Pour classer les éoliennes par rapport à la limite de Betz, on utilise couramment le
coefficient de puissance définit par :
Péolienne
Cp= 1
ρSV ₀3
2
Et la vitesse spécifique λ
ΩR
Avec λ=
V₀
1) 1
Figure 12 : Représentation des performances des différents types d’éolienne
On remarque en tout premier lieu que les éoliennes à axe horizontale, dites à vitesse
rapide possèdent potentiellement un rendement plus important que les autres formules, ce
qui explique leur domination du marché des machines actuelles. On observe par ailleurs
que Une machine bipale peut atteindre des 𝑪𝒑 significativement plus élevés qu’une mono-
pale et ce, pour des λ moins élevés (de l’ordre de 9 à 12) : la plage d’opération de ce type
de machine est donc assez importante ;
- Une machine tripale peut atteindre des 𝑪𝒑 légèrement supérieurs à ceux d’une plage
bipales, là encore pour des λ moins élevés (de l’ordre de 6 à 8) : la plage de rendement
maximal est cette fois un peu plus restreinte ;
- L’utilisation de pales supplémentaires n’apporte pas de gain additionnel. Dans ce cas,
l’ajout d’une surface dans le type de courant, qui traine dans l’écoulement, devient
pénalisant pour la performance globale du rotor. Les multi-pales dites américains en
sont l’illustration. [2]
Une éolienne fonctionne en prélevant l'énergie cinétique du vent traversant son rotor. La
puissance fournie par une éolienne s'exprime : [1]
P = 1/2 Cp ρV³ A
avec :
- Cp le coefficient de puissance,
– P la puissance (W),
-V la vitesse du vent (m/s),
- A la surface balayée par le rotor (m²),
- ρ la densité de l'air (1,225 kg/m³).
Comme la puissance est proportionnelle au cube de la vitesse du vent, il est évident que
l'emplacement de l'éolienne est un point très important. On cherchera ainsi des lieux
fortement ventés si possible de manière régulière tout au long de l'année. Souvent ces
1) 1
lieux à grands potentiels éoliens sont des régions à faible densité d'habitation ( peu
hospitaliers) et le montage de grands générateurs demande un renforcement du réseau
local pour accepter des puissances importantes non utilisées localement.La différence de
densité des fluides actionneurs (de l'eau à l'air) explique clairement pourquoi les éoliennes
sont beaucoup plus grandes que les génératrices hydrauliques. Une éolienne de 1,5 MW
aura un rotor de 60 m de diamètre monté sur une tour de 80 à 90 m. La force exercée sur
le rotor étant proportionnelle au carré de la vitesse de vent, ces génératrices doivent ainsi
résister à des efforts importants lors de tempêtes. Les machines modernes utilisent un
design à trois pales donnant une valeur élevée à Cp tout en présentant une esthétique
plaisante.
1) 1
Figure 14 : Distribution des vitesses de vent d'un site moyennement venté
Utilisant une génératrice asynchrone (à induction) sont les plus simples et considérées
comme robustes. La figure 15 montre un schéma simplifié des éléments d'une éolienne à
vitesse constante. Le rotor est couplé à la génératrice par une boîte d'engrenages (boite de
vitesses) augmentant la vitesse de sortie. La génératrice asynchrone produit typique-ment
690 V pour des vitesses de 1 000 ou 1 500 tr/min. La sortie de la génératrice est connectée
temporairement à un démarreur progressif à thyristors qui sera découplé lorsque la
machine aura atteint sa vitesse nominale
1) 1
Figure 15 : éolienne à vitesse constante
1) 1
Aérodynamique du rotor éolien type Darrieus –H :
Le fonctionnement de DARRIEUS –H :
Son fonctionnement est basé sur le fait qu’un profil placé dans un écoulement d’air selon
différents angles est soumis à des forces de direction et d’intensités variables, la résultante
de ces forces génère alors un couple moteur entraînant la rotation du dispositif (Figure18)
Ces forces sont créées par la combinaison de la vitesse propre de déplacement du profil et
de la vitesse du vent. Lorsqu'elle est à l’arrêt, l’éolienne doit donc être lancée par un
dispositif annexe (montage d'une éolienne Savonius sur le même rotor ou utilisation d’une
génératrice en moteur). Ces éoliennes sont la plupart du temps de puissance moyenne et
ne dépassent que très rarement 500 kW en raison de leur grande sensibilité. Leur
rendement est plus important que celui d’une éolienne de type Savonius. C’est la seule
éolienne à axe vertical qui ait jamais été fabriquée : une compagnie américaine fabriqua
l’éolienne jusqu’à sa faillite en 1997.
1) 1
Figure 18 : Fonctionnements de l’éolienne DARRIEUS H. [7]
1) 1
1. Le profil plan : Le profil plan convexe porte bien même à faible incidence mais il
est légèrement instable. Il est utilisé en aviation générale.
3. Le profil cambré (ou creux) : Le profil cambré (ou creux) est très porteurmais il
et assez instable. Lorsque l'incidence augmente, il cherche à cabrer.
Plusieurs familles des profils d'ailes ont été conçues et testées. Les plus utilisés de nos
jours, sont les profils NACA (National Advisory Commitée for Aéronautics). Ils sont
couramment utilisés, ce qui les rend pratiques dans la validation des méthodes
numériques. Il y'a plusieurs classifications des profils NACA. Les plus utilisés sont
ont des désignations à quatre et à cinq chiffres. Ces chiffres nous renvoient aux
caractéristiques géométriques du profil, Comme exemple. [5]
1) 1
Quelques types de profils NACA :
1) 2
Références bibliographiques :
[2] Rapin M , Noël J-M .2010. ÉNERGIE ÉOLIENNE. Dunod, paris, 293p.
1) 2
[4] Akermi N .2019.Etude prédictive des performances aérodynamiques d’une
éolienne Darrieus par un model instationnaire a six degré de liberté. Thèse de doctorat
en sciences. Université d’Oran de sciences et technologies Mohamed Boudiaf, 111p.
[5] CHITOUR K .2016. Contribution à l’étude aérodynamique des pales d’une Eolienne
de forme NACA 0012.projet de fin d’études, Université Mohamed Boudiaf - M’sila, 40p.
[7] Said M et Amiri A .2017. Etude de l’effet du l’angle de calage sur les performances
aérodynamiques d’une éolienne à axe verticale. Projet fin d’études, Université Djilali
Bounaama - Khemis Miliana, 58p.
[8] Archives –ouverts hall sur contribution à l’étude aérodynamique d’une éolienne pour
Une méthode de sillage libre se Saïd chkir submitted en 21 AUOT 2010.
1) 2