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Morgane-D

Rengard
Groupe 1
Sociologie Contemporain

Texte 1 et 2 : « Tableau de famille » de Bernard Lahire ; « Quand les enfants parlent l’ordre
social » de Wilfried Lignier et Julie Pagis

La question de la famille dans la socialisation est une question très souvent posé,
surtout en sociologie. La place des parents dans la socialisation primaire.
Les plus grands sociologues ont donc essayer d’en savoir plus.
Tout d’abord Bernard Lahire est professeur de sociologie à l’École normale supérieure de
Lyon et membre senior de l’Institut Universitaire de France. Ses travaux ont porté
successivement sur la production de l’échec scolaire à l’école primaire, les modes
populaires d’appropriation de l’écrit, les réussites scolaires en milieux populaires, les
différentes manières d’étudier dans l’espace de l’enseignement supérieur, l’histoire du
problème social appelé « illettrisme », les pratiques culturelles des Français.
Les recherches de Wilfried LIGNIER se concentre sur deux thèmes : celui de l’enfance et
celui de la médicalisation. Pour ce qui est de Julie PAGIS, c’est une chercheuse en
sociologie politique qui inscrit ces recherches dans deux domaines principalement : les
sciences sociales de l’enfance et les trajectoires militantes.
Nous pouvons, nous posé cette question «  Quel est le rapports de la perception des choses
dans les deux textes d’un point de vue familiale et sociétale ? »
Dans le Texte de Bernard Lahire, il s'intéresse dans Tableaux de Familles, Seuil, 1995, aux
dissonances entre la famille et l'école, notamment en ce qui concerne l'accès au livre et à la
pratique de la lecture.
Wilfried Lignier et Julie Pagis militantes. Durant cette enquête d’ordre collectif, ils se sont
intéressés aux perceptions enfantines de l’ordre social (= état de l’organisation sociale) qui
s’est menée dans deux écoles élémentaires parisiennes.

Dans un 1er temps, nous verrons la famille d’Alberto et sa place. Dans un second
temps nous verrons les places des élèves dans une écoles mixte socialement. Et en fin nous
verrons les points commun et divergent de ses rapports.
La famille d’Alberto et sa place.
Dans le texte de B.Lahire, on y parle de la structure du comportement et la personnalité de
l’enfant. C’est à dire comment le jeune individue se construits dans la société.
Lahire par du postulat des conditions de coexistence et des conditions d’existence. Postulat
repris par Nobert Elias. L’individu se place dans un espace donné. Alberto vient d’une
famille d’immigré Portugais.
On remarque déjà une différence d’alphabétisation entre la mère et le père, La mère sais lire
hors le père non. Le père se bat pour que sa famille soit totalement intégré autant
économiquement que socialement. La mère d’Alberto quand à elle se prote comme garant
de l’éducation et de la scolarisation de l’Alberto
On remarque très vite que les parents d’Alberto veulent qu’ils réussie mais tout étant
conscience que cela va être compliqué. Cela limite l’espace donner pour leur enfant. Ils se
disent « j’espère qu’il arrivera mais si il arrive pas c’est pas si grave »
Alberto inconsciemment comprend son rôle, il développe sont comportement en reportant
ce que lui laisse toujours inconsciemment ses parents.
On peut prendre l’exemple du dictionnaire c’est à dire que les parents ont acheter un
dictionnaire pour Alberto. Le dictionnaire symbolise la réussites scolaire, dans le collectif.
Ces dernier se plaint au sociologue que leur enfant ne l’utilise pas assez. Ils voudraient
montrer l’exemple mais tout en sachant que cela ne changera pas car Alberto préférera
regarder la télévision avec et comme ses parents.
Cet exemple nous montre l’espace donner par les parents d’Alberto dans un espace donner.
De plus nous voyons une cristallisation du comportement de l’enfant car il doit se
« dépatouiller » pour savoir où est sa place dans cette espace donner.

Retrouve-t-on un exemple de cette espace donné ?

C’est ce que nous allons voir dans cette second partie. les places des élèves dans une écoles
mixte socialement.
Dans le second texte de Lignier et Pagis, on y voit une classe qui est éclectique socialement
c’est à dire que les enfants sont issue de milieu différents voir même opposé. Les
sociologues dans des entretiens en groupe. On remarque toute suite une disparité dans leurs
comportement même cela est dut à un caractère différent ou peut penser que cela est aussi
dût à leurs différences socialement.
Camille est Iris sont d’accord entre elles mais sont dans une opposition envers les autres
élèves qui font partie d’une classe inférieur que les 2 jeunes filles.
Driss, est le « tchatcheur » c’est à dire que c’est le « beau parleur » du petite groupe d’élève.
Et contrairement à Camille et Iris, Driss vient d’une catégorie socio-professionnelle
inférieur. Et inconsciemment les autres élèves se mettent d’un coté à l’autre au vue des
points commun culturelles qu’ils ont soit avec Driss soit avec Camille.
On remarque ainsi le même schéma d’une place donné. C’est à dire qu’il y a toujours une
place donné pour chaque élèves dans cette espace qu’on appelle la classe. On y remarque
aussi une forme de reproduction sociale avec le terme dominant dominer. Des différence
dans les pratiques culturelles et il y a aussi une différences dans leurs différences de parler.
En conclusion de cette partie, on peut remarqué que dans cette exemple de micro société.
Une reproduction social, mais aussi une reproduction de l’espace donné des individues.

Maintenant nous allons voir les points commun et divergent de ses rapports. Dans les 2
textes
On peut remarque qu’il y a un énorme points commun entre les 2 textes : Le terme d’espace
donner pour les individue
Pour mieux le comprendre nous pouvons faire un schéma comme celui-ci :
Ce schéma nous montre que dans un espace donné, l’individu se limitera à l’espace resta.
Cela marche autant dans une famille, que dans une classe que dans la société en générale.
Et ce que nous montre les 2 textes.
Je peut d’ailleurs reprendre ce schéma et aussi cette réflexion sur la place d’un individu dans
une association ou l’on retrouve ces mêmes caractéristiques.
Mais il y a aussi des points divergents dans les 2 textes. Notamment leurs postulats car
l’enquête de Lignier et Pagis ne possède pas de postulat clair ou du moins un postulat qui est
contestable, et cela même dans la façon de le présenter qui est absolument pas clair,
contrairement a l’étude de Lahire, qui utilisa ses recherches pour appuyer son propos.
De plus même si il y a beaucoup de concordance dans les 2 textes, nous pouvons dire que le
questionnement est différent.

En conclusion nous pouvons dire que les deux textes possède une réflexion propres mais
reflète une chose en particulier, l’espace donner dans individu dans la société en générale.
Lahire à son propre propos sur l’espace, c’est presque une histoire cognitive.
Hors pour Lignier et Pagis c’est facteur sociaux.
On retrouve d’ailleurs cette idée d’espace social, en prenant par exemple l’espace donner au
individu dans une association.
Nous pouvons se poser la question : «  Les espaces sociales vient-il des habitus des
individus ? »

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