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Introduction & Motivation

OUESLATI Amor

Université de la Manouba
R École Nationale des Sciences de L’Informatique

29 avril 2020 n
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Omar OUESLATI 1 / 15 Introduction & Motivation


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Modélisation Mathématique

Représentations mathématiques : qui retracent le comportement d’un

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phénomène quelconque Biologique, économique, financiers,
informatique, physique, chimique,...
Lorsqu’on dit modèle mathématique, c’es la meilleure représentation
(linguistique, graphique, tableaux, ...) qu’on peut avancer, en terme de
précision et de maniabilité.
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Un modèle mathématique est une caractérisation de l’information

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Cette information à deux propriétés essentielles :

incertitude : théorie des probabilités.


complexité : théorie floue.
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Un modèle mathématique est un outil d’aide à la décision

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Classification
Régression
prévision
...
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Parmi ces outils d’aide à la décision

Automatic trading

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Bioinformatics
Business intelligence
Image
Big Data
...
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Ils nécessitent une bonne maîtrise de :

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Statistiques
Mathématiques, optimisation
Informatique
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Data science

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Objectif des Statistiques

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Fournir,

une description simple et aussi complète que possible (modèle

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probabiliste (M : f (x, θ))
d’une population (ou ensemble (P))
d’individus (ou éléments ou unités) envisagées
sous l’angle d’un caractère donné (C), représenté par une variable
statistique ou aléatoire X .
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à travers l’information récupéré d’un échantillon (S).

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au moyen d’un nombre limité de caractéristiques, par exemple,
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X
La moyenne X¯n = 1/n Xi ),
i=1
N
X
La variance Sn2 = 1/n (Xi − µ)2 )
i=1

Mêmes d’autres propriétés : médiane, quantiles, les moments d’ordre r ,


asymétrie, aplatissement,...
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Branches des statistiques

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Les statistiques est une science ayant deux subdivisions :
1 Statistiques descriptives : collecte, organisation, description et
présentations des données.

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2 Statistiques inferentielles : Faire des inférences sur la totalité de la
population moyennant une information récupérée d’un échantillon.
En fait, Cette discipline a 4 composantes :
1 Théorie des probabilités.
2 Théorie d’échantillonnage
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Théorie de l’estimation.
4 Théorie des tests d’hypothèses.
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Statistiques descriptives Théorie de l’échantillonnage Théorie des probabilités
x1 , ..., xn X1 , ..., Xn
Ehantillon observé Echantillon Aléatoire Populpation
Observé Empirique Théorique

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Caractère X : v.s y = g(X1 , ..., Xn ) : v.a.r X : v.a.r
Caractérisation f.c ou f.g.m f.c ou f.g.m
F.R, d.d.fr F.R , d.d.p F.R , d.d.p
Ptés
n n
Tendance 1X 1X E(X ), Me
xn = xi , Me Xn = Xi , Me
n n
i=1 i=1
n n
Dispersion sn2 =
1X
(xi − x n )2 Sn2 =
1X
(Xi − X n )2 V (X ) = E(X − E(X ))2
n n
i=1 i=1
Assymetrie
Applatissement
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Inférence Statistique & Modèles Probabilistes

Jusqu’à ce moment, on a supposé (implicitement ou explicitement) que


tous les paramètres nécessaires pour faire des calculs des probabilités

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d’un modèle probabiliste sont disponibles ou connus.
En statistiques, cependant, les rôles des paramètres (d’un modèle
probabiliste) et les réalisations (d’une expérience) sont un peu inversés
Le résultat d’une expérience est observée par l’expérimentateur alors
que la vraie valeur du paramètre (ou plus généralement, la vraie
distribution de probabilité) est inconnue à l’expérimentateur.
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En d’autres termes, l’objectif des statistiques est d’utiliser les résultats
des expériences aléatoires (c’est à dire les données à par de
l’expérience) pour faire des inférences sur les valeurs des paramètres
inconnues de la distribution de probabilité présumée sous-jacente.
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Ainsi, on suggère qu’il n’y a aucune ambiguité relative au modèle
probabiliste pour une expérience donnée.

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Cependant, dans les problèmes statistiques réels, il peut y avoir une
grande incertitude sur le choix du modèle de probabilité approprié et le
modèle n’est choisi que lorsque les données sont obtenues.
De plus, dans plusieurs problèmes (peut être presque tous), il est
reconnue que tout modèle est, au mieux, une approximation de la
réalité.
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Il devient important pour un statisticien de vérifier que tout modèle

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présumé est plus ou moins proche de la réalité et être prudent des
conséquences de l’erreur de spécification du modèle.
Dans la philosophie des statistiques, le modèle doit être le plus simple
dans le possible.
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