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REPUBLIQUE DU BENIN
FRATERNITE- JUSTICE-TRAVAIL
MINISTERE DE L’ECONOMIE
ET DES FINANCES
-----------------
INSPECTION GENERALE DES
FINANCES
-------------------
MARS 2017
1
SOMMAIRE
Introduction .................................................................................... 5
2.3. Les moyens sont en adéquation avec les objectifs du projet ... 18
Conclusion ..................................................................................... 30
2
SIGLES ET ABREVIATIONS
CR : Cadre de Résultats
3
MESRS : Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Scientifique
PV : Procès-Verbal
4
INTRODUCTION
5
- évaluer le niveau de mise en œuvre des recommandations
antérieures par l’entité ;
- administrer aux responsables du projet un questionnaire élaboré
sur la base des procédures du contrôle interne généralement
reconnus à travers les composantes du cadre de référence du
COSO;
- effectuer un examen diagnostic de la situation au regard de la revue
documentaire, de l’observation physique et de l’inspection en vue de
dégager les forces et faiblesses de l’entité et prescrire des
recommandations.
6
1. REVUE DES RECOMMANDATIONS
ANTERIEURES
Le point de mise en œuvre des recommandations contenues dans les
rapports de contrôle antérieurs se présente comme suit :
Si
Niveau de recommandation
mise en faiblement mise
Recommandations Acteur principal œuvre en œuvre,
N° antérieures concerné (faible, formuler
Observations
moyen, nouvelle
total) recommandation
ou reconduire
Au niveau du
projet, les fiches
Nous
d’imputation sont
recommandons que
éditées
les imputations
1- Comptable Total directement à
soient faites à
partir du logiciel
l’encre
PERFECTO et
indélébile.
visées par le
régisseur.
Nous
Les fiches
recommandons que
d’imputation sont
2- le visa de la Comptable total
visées par le
hiérarchie soit
régisseur.
matérialisé.
Nous
recommandons que
Les numéros ne
les numéros
sont pas reportés
de saisie des
sur les pièces
écritures comptables
parce que les
3- dans le Comptable faible
pièces sont
logiciel soient
regroupées par
reportés sur les
activités dans des
fiches
sous-chemises.
d’imputations
correspondantes.
Nous
recommandons que
la comptabilité
Au niveau du
5- veille à ce qu’il y est Comptable Total
projet.
une harmonie entre
les imputations
comptables
7
Si
Niveau de recommandation
mise en faiblement mise
Recommandations Acteur principal œuvre en œuvre,
N° antérieures concerné (faible, formuler
Observations
moyen, nouvelle
total) recommandation
ou reconduire
effectuées et
les enregistrements
comptables.
Nous
recommandons que
l’IMSP veille à
l’enregistrement des Au niveau du
6- Comptable total
charges suivant projet.
leur nature dans les
comptes de charge
appropriés.
Nous
recommandons que
l’AIB soit
Au niveau du
7- systématiquement Comptable total
projet.
prélevé sur toutes les
prestations dont
bénéficie l’IMSP.
Nous
recommandons que
les primes et
indemnités accordés
au personnel de
l’IMSP soient
intégrées dans la
base de
Les avantages ne
détermination des
8- Comptable Inopérant sont pas payés au
retenues à la source
niveau du projet.
sur salaires
(IRPP/traitements et
salaires
et cotisations
sociales) ainsi que
des
charges sociales
patronales.
8
Si
Niveau de recommandation
mise en faiblement mise
Recommandations Acteur principal œuvre en œuvre,
N° antérieures concerné (faible, formuler
Observations
moyen, nouvelle
total) recommandation
ou reconduire
Nous
recommandons
Il n’existe pas
qu’un journal de
une caisse de
caisse soit créé pour
9- Comptable Inopérant menues dépenses
enregistrer les
au niveau du
opérations de caisse
projet.
menues dépenses
effectuées.
Nous Au niveau du
recommandons que projet, le fichier
10- le tableau des Comptable total des
immobilisations soit immobilisations
mis à jour. est tenu.
Nous
recommandons que
les chèques
soient émis au nom
des entreprises
Au niveau du
11- prestataires et que Comptable total
projet.
les copies des
chèques
soient
systématiquement
acquittées.
Nous
recommandons que
Le chef de
12- l’IMSP mette Faible
l’administration
en place un registre
de l’employeur.
Nous
recommandons que
le dossier du
personnel soit tenu à
jour et que les
Le chef de
13- contrats de travail du
l’administration
personnel
conventionné soient
soumis au visa de
l’inspection du
travail.
9
Si
Niveau de recommandation
mise en faiblement mise
Recommandations Acteur principal œuvre en œuvre,
N° antérieures concerné (faible, formuler
Observations
moyen, nouvelle
total) recommandation
ou reconduire
Nous
recommandons que
l’IMSP fasse
les diligences
nécessaires pour se Le projet n’a pas
mettre Inopérant de personnel
14- Comptable
à jour vis-à-vis de la recruté sur ses
Caisse Nationale de ressources.
Sécurité Sociale
jusqu’au 30
Septembre
2014.
Nous
recommandons que
tous les
Les avantages ne
avantages sur salaire
15- Comptable Inopérant sont pas payés au
dont bénéficie
niveau du projet.
chaque agent soient
portés sur sa fiche de
paie.
Nous
recommandons que
la direction de
l’IMSP effectue ses
approvisionnements, Au niveau du
16- Comptable total
conformément aux projet.
dispositions du
manuel de
procédures de
l’UAC.
Source : Extraits des rapports d’audit de l’ISMP de 2012 à 2014
10
2. NOUVELLES OBSERVATIONS ET RECOMMANDATIONS
11
a) Par rapport à l’existence des documents de planification
hiérarchisés
12
- la validité de certains documents exploités dans le cadre du projet
pose problème (versions brouillon, modèle ou proposition etc…).
Autrement dit, les versions définitives ou finales pouvant servir de
documents de repère n’existent pas ;
- il est difficile d’établir une hiérarchie entre ces documents ;
- il n’y a pas de traduction officielle en langue française de la version
anglaise de l’accord de financement ;
- il n’y a pas un document unique de référence finalisé et adapté
au contexte béninois pour la gestion du projet comme l’a pourtant
recommandé le rapport PAD du 21 mars 2014 de la Banque
Mondiale qui a fait l’évaluation à priori des Centres d’Excellence en
Afrique capables d’abriter le projet (voir encadré n°1 en annexe) ;
- la pluralité de ces documents ne facilite pas la compréhension du
projet ;
- il y a une confusion entre « le manuel d’exécution régional du
projet des centres d’excellence africains pour l’enseignement
supérieur (BROUILLON – JUILLET 2014) » et « le modèle de plan
de mise en œuvre 2014 – 2018 [Proposition de CEA N° 043
(Décembre 2014) ».
Constats :
13
projet (ODP), objectif global du projet, objectif principal du projet ;
objectif de plus haut niveau (voir encadrés n°2 à 6);
- dans le contrat de performance, les objectifs sont formulés
différemment (voir encadré n°6) ;
- Il n’y a pas d’objectifs clairement définis dans « Le modèle de plan
de mise en œuvre 2014 – 2018 [Proposition de CEA N° 043
(Décembre 2014) page 3 (voir encadré n°5).
Risque :
Recommandations :
14
Nous nous attendons donc à ce que le cadre institutionnel prévu pour
gérer le projet soit adéquat et fonctionnel.
Constats :
15
création, composition, attributions et fonctionnement du comité
national de suivi du projet des "centres d'excellence en Afrique";
- le Comité Technique d'Exécution (CTE) par arrêté ministériel
n°397/MESRS/DC/SGM/DRFM/DPP/SA du 27 août 2014 portant
création, composition, attributions et fonctionnement du comité
technique d'exécution du projet des "centres d'excellence en
Afrique".
Bien que prévus dans l’organigramme, les organes ci-après n’ont pas
d’existence formalisée (pas d’acte de création) :
- le collectif des points focaux des institutions partenaires n’est pas
formalisé. Il existe, toutefois, un répertoire des points focaux dans
25 pays. Ce répertoire reste à parfaire (mode de désignation
informel, contacts à préciser etc…) ;
- le collectif des responsables des formations ;
- le comité chargé des affaires sociales pour connaître des problèmes
d’accueil et d’hébergement des nouveaux étudiants.
Or, ces organes ont des attributions bien précises dans le plan de mise
en œuvre du projet.
16
La commission n’a pas pu se prononcer sur le nombre de sessions
prévu dans l’année en raison de la non disponibilité de l’arrêté portant
création du COSP.
Il faut toutefois remarquer que c'est en novembre 2015 que tous les
membres du Comité Technique d'Exécution ont été nommés. Le
coordonnateur et son adjoint ont été nommés respectivement par
arrêtés ministériels n°398 et
400/MESRS/CAB/DC/SGM/DRFM/DPP/SA du 27 août 2014 ; les
autres membres ont été nommés par arrêté ministériel n°
830/MESRS/DC/SGM/DRFM/DRH/DPP/SA le 02 novembre 2015.
- le collectif des points focaux des institutions partenaires : aucun PV
ou rapport attestant de la tenue de réunions n’a été présenté à
la commission au titre de l’année 2015.
17
en début de semestre pour faire le point des enseignements et des
délibérations mais il n’y a pas de PV de séance à l’issue de ces
réunions.
Risques :
Recommandations :
18
- de moyens humains (de qualité et en quantité) ;
- d’un plan de formation des acteurs du projet ;
- des éléments de motivation ;
- des moyens matériels suffisants et adaptés ;
- des moyens financiers.
Constats :
Risques :
Recommandations :
19
2.4. LES PROCEDURES FORMALISEES COUVRENT
TOUTES LES FONCTIONS ET SONT REELLEMENT
APPLIQUEES
Les contrôles clés effectués ici ont pour but de s’assurer que les
procédures relatives aux principales fonctions sont formalisées,
appliquées et mises à jour régulièrement.
Constats
20
l'inscription des ressources du projet dans le budget
général de l'Etat;
l'élaboration des outils de gestion (PTA, PPMP et Budget) ;
la mobilisation des ressources du budget national ;
les décaissements des fonds ;
la comptabilisation des opérations ;
l’élaboration des rapports et leur diffusion.
Les tests de conformité ont été effectués sur les trois premières
opérations de la liste ci-dessus pour s’assurer du respect des
procédures prévues dans ledit manuel au titre de 2015. Un projet
étant limité dans le temps, les tests effectués ont consisté à vérifier le
respect de certains délais.
Constats
21
- le coordonnateur du projet a communiqué au DG/CAA le 14
décembre 2015 par lettre n°0104/UAC/IMSP/CEA-
SMA/CA/SA, les numéros des deux (2) comptes ouverts à la
BCEAO pour la gestion du CEA-SMA, financement n°5421-BJ du
20 mai 2014, l’un pour recevoir l’avance et l’autre pour les
décaissements liés aux indicateurs ;
- les responsables du projet n’ont pas connaissance si le reste des
formalités a été effectué par la CAA et dans les délais requis.
Constats :
Risque
Constats :
23
Risque
Recommandation :
Constats :
Risques :
- Rapports non conformes aux prescriptions du bailleur ;
- Redondance dans les états produits.
Recommandation :
25
hiérarchiques (autorisation, réunion, sanctions), des contrôles sur les
processus par la hiérarchie (séparation des tâches et des fonctions,
procédure de prévention et de détection, procédures de traitement des
incidents) et des contrôles indépendants (y compris l’audit et
l’inspection).
Constats :
Risques :
- Non fiabilité des informations produites
- Non réalisation à temps des audits.
Recommandations :
26
- les structures d’audit soient saisies à temps pour la réalisation
des audits.
27
Tableau n° 2 : Tableau récapitulatif des nouvelles recommandations de l’audit 2015
Structure / Acteur
principal chargé de
N° Recommandations
la mise en œuvre de
la recommandation
Finaliser le plan d’exécution du projet qui
sera le document de référence,
28
Structure / Acteur
principal chargé de
N° Recommandations
la mise en œuvre de
la recommandation
procédures du projet pour se conformer
au calendrier d’élaboration du budget
général de l’Etat et aux exigences des
bailleurs.
Veiller à la mise à jour du manuel de
procédures du projet pour se conformer
au calendrier d’élaboration du budget
29
CONCLUSION
Suite à l’évaluation du dispositif de contrôle interne à travers les
composantes du COSO, la commission conclut que le contrôle interne au
niveau du CEA-SMA est de façon globale peu satisfaisante. Les points
critiques observés se présentent comme suit :
30
e) par rapport au système d’information pertinent
Le Président Le Rapporteur
Nicomède HOUNGNIBO
Membre
31
1. LES OBJECTIFS DU PROJET SONT CLAIREMENT
DEFINIS ET DECLINES DE HAUT EN BAS
Encadré n°1
Extraits du document « Rapport PAD 332 du 21 mars 2014 de la Banque
Mondiale » page….
Ce Plan d’exécution peut être amendé au fil de la vie du projet, sous réserve de
l’approbation de la Banque mondiale.
Encadré n°2
Extrait du Rapport PAD 332 du 21 mars 2014 de la Banque Mondiale page 7
32
Encadré n°3
Extrait du Rapport PAD 332 du 21 mars 2014 de la Banque Mondiale Page 44
Encadré n°4
Le manuel d’exécution régional du projet des centres d’excellence africains pour
l’enseignement supérieur (BROUILLON – JUILLET 2014) page 7
33
Encadré n°5
Extrait du « Le modèle de plan de mise en œuvre 2014 – 2018 [Proposition de CEA
N° 043 (Décembre 2014) page 3
Encadré n°6
Extrait du contrat de performance et de financement portant rétrocession du prêt
IDA n°5421-BJ au CEA-SMA signé entre le gouvernement du Bénin et l’Université
d’Abomey Calavi le 21 octobre 2014
En préambule :
Attendu que, le Ministère et l’Association Internationale de Développement
(Association) ont signé le 20 mai 2014 un accord (l’accord de financement) pour la
mise en œuvre d’un projet connu sous le nom « Projet de Centres d’Excellence
d’Enseignement Supérieur en Afrique », dont l’objectif est de soutenir la
République du Bénin dans le but de la promotion de la spécialisation régionale
entre les Universités africaines participantes dans des domaines devant permettre
de relever les défis régionaux de développement, et renforcer les capacités de ces
Universités à offrir une formation de qualité et la recherche appliquée ;
Attendu que, l’objectif global du projet est de répondre aux exigences du marché
du travail en matière de compétences dans des domaines spécifiques souffrant de
pénurie de compétences qui affectent le développement, la réduction de la
croissance économique et la pauvreté ;
34
2. ORGANISATION ADAPTEE
Encadré n°7
Encadré n°8
Comités d’audit :
Ces comités d’audit sont essentiels pour garantir que les problèmes relatifs aux
audits sont portés au plus haut niveau d’attention et résolus. […] La constitution de
comités d’audit (pouvant être un sous-groupe formel du Conseil d’université
incluant des membres du conseil) est un élément de bonne gouvernance
institutionnelle garantissant que la direction résout les problèmes d’audit.
Aussi, il s’agira là d’un ILD pour les CEA afin de les encourager à améliorer leurs
dispositions de gouvernance. Il est prévu que les auditeurs internes relèvent, au
plan fonctionnel, de ces comités et, au plan administratif, du chef
d’établissement, par ex. le vice-chancelier ou le recteur pour les CEA.
35
3. LES PROCEDURES FORMALISEES COUVRENT TOUTES
LES FONCTIONS ET SONT REELLEMENT APPLIQUEES
Encadré n°9
Pour la mise en œuvre du projet, les formalités administratives et comptables
suivantes doivent être accomplies :
Encadré n°10
Telles que définies dans le manuel de procédures, les procédures d'inscription
des ressources du projet dans le budget général de l'Etat au titre de 2015
sont résumées comme suit :
36
Encadré n°11
Telles que définies dans le manuel de procédures, les procédures d’élaboration
des outils de gestion sont résumées comme suit :
37
4. SYSTEME D’INFORMATION PERTINENT
Encadré n°12
Extraits du document « Rapport PAD 332 du 21 mars 2014 de la Banque
Mondiale »
Les Programmes des dépenses éligibles (PDE) vérifiés par le Département d’audit
interne du CEA. »
Les PDE n’ont trait qu’à la composante 1 et doivent principalement comprendre les
salaires du personnel du CEA ou autres coûts de fonctionnement du programme
correspondant à des acquisitions hors passations de marchés. Ces coûts seront
vérifiés par un auditeur interne avant leur soumission à l’IDA pour
remboursement.
38
Encadré n°13
Extraits du document « Rapport PAD 332 du 21 mars 2014 de la Banque
Mondiale »
Le S&E sera principalement mené par chacun des CEA sélectionnés à partir de
leurs bases de données existantes et d’outils de suivi qui seront spécifiquement
modelés pour les exigences de rapportage du projet sur le S&E.
Les outils de S&E des CEA incluent le Cadre de résultats(CR) et le plan de S&E.
Les mécanismes supplémentaires d’examen des CR des CEA et leurs outils de suivi
comprendront :
a) les rapports sur les progrès institutionnels et les rapports d'audit interne de la
qualité et de l'efficacité ;
b) la vérification externe par une tierce partie indépendante qui contrôlera
l’obtention des résultats, dont certains sont cruciaux dans la mesure où ils
concernent les décaissements ;
c) les informations provenant de banques de données
bibliométriquesinternationalementreconnuesetd’agencesd’accréditationelles-
mêmessurles publications de travaux et les accréditations de recherche; et
d) les interactions avec les parties prenantes, y compris les étudiants.
Encadré n°14
Extrait du manuel de procédures de gestion du projet CEA élaboré en octobre 2014
Procédure 6 : Procédures d’élaboration des rapports :
Encadré n°15
Extrait du contrat de performance signé entre le Ministère et l’UAC
Article 21, les responsabilités de l’Université d’Abomey-Calavi
Préparer un programme de travail annuel ;
Réaliser le projet conformément aux obligations opérationnelles du Plan d’exécution
du Projet (y compris le Manuel de Procédures et dans le Manuel de la passation des
marchés) prévues dans l’accord de financement entre l’Association et le Ministère et
comme convenu dans le Manuel de Procédures concernant la gestion financière
approuvé pour l’Université participante : (i) élaborer un manuel de procédures de
gestion financière pour l’université participante ; (ii) maintenir un compte et un
registre distincts des financements reçus du Ministère et rendre des comptes
annuellement et (iii) fournir au Ministère des rapports de gestion financière
semestriels (RGF) en suivant un format prescrit conformément aux procédures
et comme mentionné dans le Manuel de procédures de gestion financière.
39