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Introduction
Les fluides produits de la tête de puits sont des mélanges complexes d’hydrogène et de carbone,
tous avec différentes densité, pression de vapeur, et autres caractéristiques physiques. Puisque
un fluide coule du réservoir haute pression et chaud, on apprend par expérience la baisse de
température de pression. Les gaz évoluent du liquide et le flux du puits change de caractère. La
vélocité du gaz porte les gouttelettes liquides, et le liquide porte les bulles de gaz. La séparation
physique de ces phases est l’une des opérations fondamentales dans la production,
transformation, et traitement de l’huile et gaz.
Dans la conception du séparateur huile et gaz, nous séparons mécaniquement d’après le flux
d’hydrocarbure les constituants liquides et gaz qui existent à la température et pression
spécifique. La conception propre du séparateur est importante parce que l’enceinte de
séparation est normalement l’enceinte initiale de traitement dans tout équipement, et la
conception inconvenable du processus de ce constituant peut « rétrécir l’intérieur des pipes » et
réduire la capacité l’équipement entier.
Les séparateurs sont classifiés comme « deux phases » s’ils séparent le gaz du flux de liquide
total et « trois phases » s’ils séparent aussi le flux liquide en ses constituants huile brute et l’eau.
Dans ce chapitre les séparateurs à deux phases fera l’objet de notre étude. En plus, nous
parlerons de la spécification ou condition de la conception d’une bonne séparation et comment
les appareils mécaniques variables prennent avantage des forces physiques dans le flux produit
pour réaliser une bonne séparation.
Les séparateurs sont quelques fois appelés « gas scrubbers » quand le rapport du taux de gaz au
taux du liquide est très élevé. Certains opérateurs utilisent le terme « traps » pour désigner les
séparateurs qui traitent l’écoulement directement des puits. En tout cas ils ont la même
configuration et sont dimensionnés conformément à la même procédure.
Un scrubber est un séparateur à deux phases qui est conçu pour récupérer les liquides reportés
des gaz sortis des séparateurs de production ou pour pêcher les liquides condensés à cause de
refroidissement où de la pression de goutte. Le chargement de liquide dans un scrubber est
beaucoup plus faible que dans un séparateur. Les applications typiques comportent : en amont
des équipements mécaniques tels que les compresseurs, qui pouvait être endommagé, détruit
ou rendu inefficace par le liquide libre. En aval des équipements qui peuvent causer les liquides
à se condenser de la ligne d’écoulement de gaz (tel comme le refroidisseur) ; en amont
l’équipement de déshydratation de gaz pourrait perdre l’efficacité, endommagé ou serait détruit
s’il est contaminé avec les hydrocarbures liquides ; et en aval d’un purge et ou le flamboiement
de la sortie.
Les scrubbers verticaux sont les plus communément utilisés. Les scrubbers horizontaux peuvent
être utilisés, mais les limitations de l’espace dictent l’utilisation d’une configuration verticale.
Coque du récipient
Plaque de-moussante
C’est une bonne idée d’inclure normalement un stabilisateur de turbulence comme le-montre la
figure : 11 pour conserver le tourbillon de se développer quand la vanne de contrôle est ouverte.
Le vortex pourrait aspirer certains gaz hors de l’espace vapeur et le ré-entrainer à la sortie
liquide.
Figure 7 les stabilisateurs de turbulence
II.5.2- Paraffine
L’opération de séparateur peut être affectée de façon défavorable par une accumulation des
paraffines. Les plaques coalescentes dans la section du liquide et l’atténuateur des extracteurs
brouillards en maille dans la section du gaz sont particulièrement inclinées aux tamponnements
par accumulation de paraffine. Là où il est déterminé que la paraffine est un problème actuel ou
potentiel, l’utilisation de plaque type ou l’extracteur brouillard centrifuge serait considéré
II.5.3- Sable
Le sable peut être très gênant dans les séparateurs causant un coupe-circuit de la garniture de
vanne, le tamponnement de séparateurs internes, et l’accumulation au fond de séparateurs. Une
garniture spécialement dure peut minimiser les effets du sable sur les vannes. L’accumulation
du sable peut être allégée par l’utilisation des gicleurs du sable et les drains.
Le tamponnement de séparateurs internes est un problème qui doit être considéré dans la
conception du séparateur. Une conception qui promouvra une bonne séparation et aura un
minimum de pièges pour l’accumulation de sable peut être difficile à atteindre, puisque la
conception fournit le meilleur mécanisme séparant les phases gaz, huile et eau et fournira aussi
une zone pour l’accumulation du sable. Un équilibre pratique pour ces facteurs est une meilleure
solution.
II.5.2- Liquid carry-over and gaz blowby
Liquid carry-over et gaz blowby sont deux problèmes communs d’opérations. Liquid carry-
over survient quand le liquide libre s’échappe avec la phase gazeuse et peut indiquer le niveau
de liquide prélevé, endommagement interne de récipient, la mousse, la conception inconvenant,
les sorties bouchées de liquide, ou un taux d’écoulement qui excède le taux de la conception du
récipient.
Gaz blowby survient quand le gaz libre s’échappe avec la phase liquide et peut être une
indication du niveau bas d’écoulement de liquide, turbulence, ou faillite du contrôleur de
niveau.
II.6- Théorie
II.6.1- Constitution
Dans la section de stabilisation gravitaire les gouttelettes liquides se décantent à la vélocité
déterminée par l’équation de force gravitaire sur la goutte à la force de drainage causée par ces
mouvements relatifs à la phase continue du gaz.
La force de trainée est déterminée par cette équation :
𝑽𝟐𝒕
𝑭𝑫 = 𝑪𝑫 𝑨𝝆 ( ) − − − − − − − −(𝟏 )
𝟐𝒈
Où
ΔS. G : Différence de gravité spécifique relative à l’eau de la goutte et du gaz ;
dm : diamètre de la goutte en micron ;
µ : viscosité du gaz en (cp).
Malheureusement, pour la conception des équipements de production il peut être montré que
loi de stokes ne gouverne pas, la formule suivante plus la formule complète du coefficient de
trainée doivent être utilisés :
𝟐𝟒 𝟑
𝐂𝐃 = + + 𝟎, 𝟑𝟒
𝐑 𝐞 √𝐑 𝐞
En égalisant la force de trainée et la force d’Archimède (force de flottation)
𝛑𝐃𝟐
𝐅𝐁 = (𝛒𝐋 − 𝛒𝐠 ) − − − − − − − − − − − −(𝟑)
𝟔
Quand la force de trainée est égale à la force de flottation l’accélération de gouttes est nulle
pour qu’elles se déplacent à la vitesse constante. C’est la vélocité terminale.
𝐹𝐷 = 𝐹𝐵
La vélocité de la décantation terminale est donnée par :
𝟏/𝟐
𝛒𝐥 − 𝛒𝐠 𝐝𝐦
𝐕𝐭 = 𝟎, 𝟎𝟏𝟗𝟗 [( ) ] − − − − − −(𝟒)
𝛒𝐠 𝐂𝐃
3
𝜌𝑙 : densité du liquide en (lb/ft ) ;
𝜌𝑔 : densité du gaz à la température et pression dans le séparateur en (lb/ft3).
Le gaz doit abandonner les gouttelettes de brouillard qu’il entraine durant son
passage dans la chambre secondaire. En conséquence, la capacité de traitement
d’un séparateur est fonction de la vitesse de passage "𝓋" du gaz dans cette
chambre.
La vitesse critique d’écoulement du gaz "𝓋c " est atteinte quand le temps mis
pour parcourir L (Aa) est identique au temps que met la gouttelette pour tomber
de a en b ( ).
𝟐 𝐠𝛗𝟐 (𝐝𝟏 − 𝐝𝟐 )
𝓿𝐜 = 𝐠𝛍
𝓋 (cm/s)
φ : Rayon de la gouttelette (cm)
d1 : Masse spécifique de la sphère
d2 : Masse spécifique du sous pression g/cm3
g (cm/s 2 )
μ : viscosité (…)
La vitesse dans le séparateur a débit de gaz standard Q.
𝐐
𝓿= 𝐒. 𝐏
𝓋 : vitesse d’écoulement
Q : débit à gaz standard (P = 1 ber)
S : section disponible pour le passage du gaz -2/3 et 1/3 diamètre du séparateur
selon la hauteur de l’interface gaz/liquide
P : pression dans le séparateur
Schéma
𝛑 𝐫𝟐 𝟐
𝐒𝟏 = 𝟑𝟔𝟎
- (𝐫 − 𝐡)√𝐫 𝟐 − 𝛗𝟐
𝛑 𝐫 𝟐 𝟐′
𝐒𝟐 = 𝟑𝟔𝟎
+(𝐫 − 𝐡)√𝐫 𝟐 − 𝛗𝟐
b) Séparateur vertical
La vitesse limite d’écoulement du gaz est atteinte quand elle est égale à la
vitesse de chute des gouttelettes liquides : deux vitesses et de sens opposé
donnant une résultante nulle.
1- Capacité de traitement en huile
Elle dépend d’un temps de rétention (temps nécessaire à l’obtention de
l’équilibre thermodynamique pression-température et à la séparation par gravité
de phase huile-gaz alors existantes).
𝐕
T= 𝐐
V = T. Q
T : temps de rétention
V : volume disponible dans le séparateur, pour le liquide (m3 )
Q : débit (m3 /S)
NB : si le champ à une production irrégulière, c’est le débit instantané de point
qu’il faut prendre en considération.
𝟐𝟎𝟎 𝐟 − 𝟎,𝟔 𝐏
Fonds en anse de panier : P = e.
𝐑𝐢
e : épaisseur minimale de paroi en mm
P : pression en ber
De : Diamètre extérieur (mm)
R i : Rayon sphérique intérieur
𝐒𝐄
f=
𝛂
a) Séparateur éclair
b) La vaporisation différentielle
𝐏𝟐 = 𝐏𝐬 . 𝐑 𝐧−𝟏
𝐏𝟑 = 𝐏𝐬 . 𝐑𝐧−𝟐
CONCLUSION
Un effluent de gisement d’huile où la fraction gazeuse c’est-à-dire GOR de 1000SCF/STB et
plus, le traitement requis est la stabilisation dans laquelle la séparation de gaz /huile pour la
spécification sur les bruts de tension (ou de pression) de vapeur Reid (TVR) ou Reid Vapor
Pressure (RVP) de 5-12 Psia.
Les concepts de la conception du séparateur qui ont été présentées dans le chapitre 2 se
rapportent à la séparation de deux phases du liquide et gaz et sont applicables à la séparation de
gaz qui prend place dans les séparateurs tri-phasiques, gas scrubbers et tout autre équipement
dans lequel le gaz est séparé d’une phase liquide.
Quand l’huile et l’eau sont mélangées avec une certaine intensité et sont permises de se
stabiliser, au fond apparaitra une couche d’eau libre. L’accroissement de cette couche d’eau
d’eau avec le temps suivra une courbe comme cela indique la figure 17. Après une période de
temps, s’étendant de 3 à 30 minutes, la variation de la hauteur de l’eau sera négligeable. La
fraction d’eau, obtenue de la section gravitaire, est appelée « free water ». Il est normalement
bénéfique de séparer l’eau libre avant d’essayer de traiter l’huile restante et les couches
d’émulsion. Le séparateur tri-phasique et « free-water knockout » sont les termes qui sont
utilisés pour décrire les pressions des récipients qui sont désignées pour séparer et déplacer
(Figure 17 : croissance de la couche d’eau en fonction du temps) l’eau libre d’un mélange de
l’huile brute et d’eau. Parce que l’écoulement entre normalement dans ces récipients soit
directement :
1- D’un puits produisant ;
2- D’un séparateur d’opération haute pression, le récipient doit être conçu pour séparer le
gaz qui se projette du liquide, aussi bien que séparer l’huile et l’eau.
Le terme séparateur tri-phasique est utilisé quand-t-il y a une grande quantité du gaz à être
séparer du liquide, et les dimensions du récipient sont déterminées par l’équation de la capacité
du gaz traitée dans le chapitre2. « Free-water knockout » est généralement utilisé quand la
quantité du gaz est relativement petite à la quantité d’huile et eau, et les dimensions du récipient
sont déterminées par les équations de séparation huile/eau traité dans ce chapitre. Peu importe
que le nom soit donné au récipient, tout récipient qui est conçu pour séparer deux phases de
liquide immiscible emploiera les concepts décrits dans ce chapitre. Dans ce chapitre, nous
appellerons un tel récipient un séparateur tri-phasique.
Les vaisseaux internes communs aux séparateurs de deux phases et de trois phases, tels que
diffuseurs d’entrée, stabilisateurs de vague, plaques de-moussants, stabilisateurs de tourbillon,
stabilisateur de vaisseau, gicleurs de sable et des drains et extracteur de brouillards, sont
couverts dans le chapitre précédent. D’autres compartiments intérieurs qui aident dans la
séparation d’huile et eau sont présentés dans cette section.
C’est possible d’utiliser une plaque variante ou pipe coalesceur conçu pour aider dans la
coalescence des gouttelettes d’huile dans l’eau et de gouttelettes d’eau dans l’huile.
L’installation des plaques coalescentes dans la section liquide causera la taille des gouttelettes
d’eau entrainée dans la phase d’huile pour augmenter, faisant plus facilement la constitution
gravitaire de ces gouttes à l’interface eau-huile. Ainsi, l’utilisation des plaques coalescentes
(Fig.23) conduira souvent à la capacité à traiter un taux d’écoulement donné dans un plus petit
récipient. Toutefois, à cause du potentiel d’un tampon avec du sable, paraffine, ou produits
corrosifs, l’utilisation des plaques coalescents est déconseillée, excepté pour le cas où il y a
d’espace dans le vaisseau et le poids est assez grand pour justifier l’augmentation du cout
opératoire et diminuer sa disponibilité.
Figure 19 : Schéma d’un séparateur tri-phasique horizontal avec les plaques coalescentes
incorporées
Les coalesceurs d’écoulement turbulent, qui étaient commercialisés sous le nom de SP Packs,
utilise la turbulence créée par l’écoulement dans une allée de pipe tortueux pour fournir une
coalescence. Comme montre la figure 24, SP Packs occupe plus d’espace dans le récipient que
les plaques coalescents, mais comme ils n’ont pas des petits déblayages, ils ne sont pas
susceptibles d’être bouchés.
Figure 20 Schéma d’un séparateur tri-phasique horizontal avec les coalesceurs d’écoulement turbulent
SEPARATION DU GAZ
Les concepts et équations afférents à la séparation diphasique décrits pour les séparations
diphasique sont également valides pour la séparation tri-phasique.
a. Constitution de l'huile-eau
Il peut être montré que l’écoulement autour de la constitution des gouttelettes d'huile dans l'eau
ou des gouttelettes d’eau dans l'huile sont laminaire ainsi la loi de STOKES s’impose. La
vélocité terminale de la goutte est :
Unités de champ
𝟏, 𝟕𝟖 ∗ 𝟏𝟎−𝟔 (∆𝑺𝑮)𝒅𝟐𝒎
𝑽𝒕 = − − − − − − − (𝟗)
𝝁
Unité de système internationale
𝟓, 𝟓𝟔 ∗ 𝟏𝟎−𝟕 (∆𝑺𝑮)𝒅𝟐𝒎
𝑽𝒕 = − − − − − − − (𝟏𝟎)
𝝁
Unités de champ
𝟏⁄
𝐓𝐙𝐐𝐠 𝛒𝐠 𝐂𝐝 𝟐
𝐝 ∗ 𝐋𝐞𝐟𝐟 = 𝟒𝟐𝟎 [ ] [( ) ] − − − − − − − − − −(𝟏𝟏)
𝐏 𝛒𝐥 − 𝛒𝐠 𝐝𝐦
𝟏⁄
𝐓𝐙𝐐𝐠 𝛒𝐠 𝐂𝐝 𝟐
𝐝 ∗ 𝐋𝐞𝐟𝐟 = 𝟑𝟒, 𝟓 [ ] [( ) ] − − − − − − − − − −(𝟏𝟐)
𝐏 𝛒𝐥 − 𝛒𝐠 𝐝𝐦
La vélocité des gouttelettes d’eau qui se stabilise à travers huile peut être calculée en utilisant
la loi de Stokes. De cette vélocité et du temps de rétention spécifique de la phase de l'huile, la
distance qu'une gouttelette d'eau puisse se stabiliser peut être déterminée. Cette distance de
stabilisation établit une épaisseur du tampon d'huile maximale donnée par la formule suivante:
Unité du champ
𝟎, 𝟎𝟎𝟏𝟐𝟖(𝒕𝒓 )𝒐 (∆𝑺𝑮)𝒅𝟐𝒎
𝒉𝒐 = − − − − − − − − − − − (𝟏𝟓)
𝝁
Unité du système international
𝟎, 𝟎𝟑𝟑(𝒕𝒓 )𝒐 (∆𝑺𝑮)𝒅𝟐𝒎
𝒉𝒐 = − − − − − − − − − − − −(𝟏𝟔)
𝝁
Celle-ci est l’épaisseur maximale du tampon d’huile, peut être et ensuite permet aux gouttelettes
liquides de se former hors du temps de rétention d’huile. Pour dm = 500 microns, l’équation
suivante peut être utilisée.
Unité du champ
𝟑𝟐𝟎(𝒕𝒓 )𝒐 (∆𝑺𝑮)
(𝒉𝒐 )𝒎𝒂𝒙 = − − − − − − − − − − − −(𝟏𝟕)
𝝁
Unité du système international
𝟖𝟐𝟓𝟎(𝒕𝒓 )𝒐 (∆𝑺𝑮)
(𝒉𝒐 )𝒎𝒂𝒙 = − − − − − − − − − − − (𝟏𝟖)
𝝁
Pour un temps de rétention d’huile et d’eau donné, la contrainte maximale de l’épaisseur établie
un diamètre maximal conformément à la procédure suivante :
1. Estimer (ho)max. Utilise 500microns de gouttelette s’il n’y a pas d’autres informations
valables.
2. Calculer la fraction de surface de la grande section du récipient occupée par la phase
d’eau. Celle-ci est donnée par :
𝑨𝒘 𝑸𝒘 (𝒕𝒓 )𝒘
= 𝟎, 𝟓 − − − − − − − − − (𝟏𝟗)
𝑨 (𝒕𝒓 )𝒐 𝑸𝒐 + (𝒕𝒓 )𝒘 𝑸𝒘
3. De la figure, déterminer le coefficient 𝛽 :
4. Calculer dmax
(𝒉𝒐 )𝒎𝒂𝒙
𝒅𝒎𝒂𝒙 = − − − − − − − −(𝟐𝟎)
𝜷
Ou
𝒉𝒐
𝜷= − − − − − − − − − − − (𝟐𝟏)
𝒅
Unité du champ
Capacité du gaz
𝒅
𝑳𝒔𝒔 = 𝑳𝒆𝒇𝒇 + − − − − − − − − − (𝟐𝟔)
𝟏𝟐
Capacité liquide
Unité du système international
Capacité du gaz
𝒅
𝑳𝒔𝒔 = 𝑳𝒆𝒇𝒇 + − − − − − − − − − −(𝟐𝟕)
𝟏𝟎𝟎𝟎
Capacité du liquide2
𝟒
𝑳𝒔𝒔 = 𝑳𝒆𝒇𝒇 − − − − − − − − − − − −(𝟐𝟖)
𝟑
CONCLUSION
L’eau est produite avec l’huile et le gaz nécessitant une séparation de trois phase dans le but de
récupérer l’huile dégazée, éliminer l’eau (BSW< 0,1 à 1%) et le sel (20 à 60 mg/l). La
connaissance des caractéristiques des effluents dictent choix des équipements.