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Exposé 16 

: La fonction sécurité et santé au travail

-La  fonction sécurité est obligatoire dans toutes les entreprises. En effet, la loi (article L. 230-
2 du Code du Travail français) impose à tous les chefs d’établissements de gérer la prévention
des risques professionnels pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs de
l’établissement, y compris les travailleurs temporaires. Il va s’agir notamment :

 d’évaluer les risques professionnels,


 de mettre en place une organisation et des moyens adaptés,
 de planifier les actions de prévention, d’information et de formation à propos de ces
risques professionnels.

Dans une entreprise il y a des fonctions incontournables qu’il faut assumer :

 la fonction gestion des ressources humaines,


 la fonction achat,
 la fonction production,
 la fonction vente,
 la fonction gestion financière et comptabilité,
 la fonction sécurité etc.….

Cette fonction devra être prise en compte que l’entreprise soit ou non organisée avec un
service sécurité. Le CHSCT influe sur la fonction sécurité de l’entreprise (comme le C.E.
pourra influer sur la politique générale de l’entreprise), mais c’est la direction de
l’établissement qui l’assume au niveau réglementaire et financier

Exposé 15 le MASE  : Manuel d’amélioration de la sécurité des entreprises.

1) C’est quoi MASE  ;


- https://www.dnvgl.fr/services/mase-manuel-d-amelioration-securite-entreprise-49832
-
-
- 1) Les exigences du référentiel MASE ?
L’engagement de la direction , la planification , l’inventaire des risques
,l’organisation , la documentation , la formation , et la communication.

http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2018/12/Manuel-Mase-V2014-imp-dec.2018.pdf
http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2019/10/R%C3%A9f%C3%A9rentiel_Mase_web-
VDEF.pdf
http://www.fondasol.fr/actualites/161/certification_mase_uic_renouvelee_pour_notre_age
nce_de_lyon_.php
- 2) Les différentes étapes de sa mise en place en précisant approximativement le
temps à y consacrer ?

https://www.mase-senegal.com/processus-de-certification/

Voir la version 2014 (5.2 page 10)


https://www.marense.com/systemes-de-management-et-certification/mase-management-
de-la-securite/
http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2019/10/R%C3%A9f%C3%A9rentiel_Mase_web-
VDEF.pdf
http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2018/12/Manuel-Mase-V2014-imp-dec.2018.pdf
https://www.marense.com/systemes-de-management-et-certification/mase-management-
de-la-securite/
https://www.techni-contact.com/produits/1716-7706747-organisme-certification-le-
mase.html

+ voir

Le Manuel d’amélioration sécurité des entreprises (MASE) aide les entreprises industrielles
utilisatrices et intervenantes à mettre en place un système de management sécurité, santé,
environnement (SSE) selon le principe de l’amélioration continue.
La mise en œuvre du référentiel MASE nécessite la réalisation d’une analyse de risque et la
mise en place de mesures de prévention : document unique, Plan de prévention (PDP,
document élaboré conformément au décret 92-158 du 20 février 1992), Plan particulier de
sécurité et protection de la santé (PPSPS, document élaboré conformément au décret 94-
1159 du 26 décembre 1994), protocole de sécurité.
La maîtrise de risque doit clairement figurer dans le plan d’amélioration SSE.
Cette analyse de risque doit tenir compte : des dangers spécifiques au métier, aux produits et aux
déchets, des risques liés aux produits des clients, des équipements de production, des opérations
réalisées et méthodes associées, des activités sous-traitées, de l’environnement de travail, des
compétences du personnel, etc.

- 3) Les différents thèmes à aborder dans une réunion de direction ?

Le thème peut être fixé à l’avance selon un planning établi ou en fonction de l’actualité de
l’entreprise ou des retours d’expérience internes et/ou externes. Dans ce thème et à ce stade de la
préparation il faut définir le(s) « message(s) à faire passer »,

1. MASE demande un minimum d’investissement pour faire vivre l’outil de management


SSE. L’association MASE demande aux entreprises de réaliser des réunions de
causeries SSE. Elle consiste à aborder un thème de Santé, de Sécurité ou
d’Environnement (SSE) avec les compagnons. Le thème doit être choisi en fonction
des attentes de la politique, mais
2. 22. 21 également aux écarts constatés sur chantiers dans le domaine SSE. Ces
réunions se déroulent en petit comité (par équipe de travail) et généralement sur
chantier. L’animateur expose le thème avec un « support de causerie » et laisse libre
parole aux compagnons. Toutes les informations sont écrites sur la fiche « gestion
des causeries » (voir annexe page 70). Lors d’une réunion ultérieure (réunion
mensuelle), toutes ces fiches sont reprises et analysées, et peuvent faire l’objet d’un
plan d’action éventuelle. Ce plan d’action sera inscrit dans le plan d’action de
l’Agence. D’autres actions sont également demandées :  Des audits sécurité sur
chantier.  Des fiches d’autocontrôle doivent être faites par le conducteur travaux sur
ses chantiers pour veiller à la qualité.  … Il est également demandé de promouvoir
l’esprit et le comportement sécurité. Pour cela, l’entreprise doit mettre en place un
système de sensibilisation et de motivation du personnel de façon à développer la
culture Santé – Sécurité – Environnement. 3.1.5.2 Solutions en place ou apportées Il
n’existait pas de réunion régulière et systématique de direction pour faire un point sur
ces actions, hormis la réunion mensuelle de direction
Concernant les thèmes, la meilleure solution est d’en discuter avec l’équipe projet, c’est
à l’équipe de soulever les problématiques et de fait de suggérer les thèmes de causerie, et
les aspects santé et environnementales

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

https://www.anthea-conseils.com/matinale-du-mase-giphise-les-causeries-les-visites-securite-les-
situations-dangereuses/

https://www.winlassie.com/faq/bonnes-pratiques-hse/comment-bien-organiser-une-causerie-
securite/

- 4) -Et qui doit-on inviter ?

Engagement de la direction ( organisation de pilotage )

La composition de cette organisation est à la discrétion de l'employeur (1 à plusieurs personnes). Elle


peut avoir la forme de réunion de direction, comité SSE, ou autre type de réunion.

https://www4.ac-nancy-metz.fr/genie-biologique/Docs/Chefs%20de%20Travaux/6.%20REFERENTIEL
%20SYSTEME%20COMMUN%202009%5B1%5D.pdf

Page 5 version 2019


Le système commun MASE - UIC s’appuie sur :

*un Comité Stratégique National (CSN).

*des associations locales et nationales (la forme associative locale permet à chacun de s’impliquer s’il
le souhaite dans la vie et dans le déploiement des valeurs associées au système commun MASE -
UIC.).

* des cabinets d’audits.

Analyse des risques :


Pour réaliser cette analyse des risques, l’employeur s’appuiera sur des personnes compétentes :
salarié(s) de l’entreprise compétent(s) en SSE, service de santé au travail, IPRP, personne compétente
en radioprotection, conseiller transport des marchandises dangereuses, …

Amélioration continue :

Ce concept d’amélioration continue est applicable à tous les niveaux de l’entreprise. Par exemple :

-Personnel de terrain par les remontées qu’il peut faire et sa participation éventuelle à la
concertation SSE.

-Encadrement, par son écoute, par son adhésion aux outils de la prévention SSE et par son
exemplarité

-Direction par les moyens permanents qu’elle met en œuvre.

-Les Instances Représentatives du Personnel (si existantes) par leur implication,

Exigences de ressources humaines :

Ressources humaines L'employeur affecte les salariés qualifiés et compétents en nombre


suffisant. Il s’assure de l’adéquation entre les compétences des ressources affectées et celles
exigées pour la réalisation du travail (formations, expériences, aptitudes médicales,…) ainsi
que leurs capacités à mettre en œuvre les précautions nécessaires pour leur sécurité, santé et le
respect de l’environnement. En cas de recours à du personnel intérimaire, l'employeur informe
l'agence d'emploi de toute modification de la mission initialement prévue.

Comité de direction  :

Comité de direction : Groupe de personnes chargé de mettre en œuvre et de piloter le système


de management de l’entreprise.

COMITÉ DE PILOTAGE  :

Le comité de pilotage (COPIL) est une instance de l’association. Il effectue différentes


missions (certification, réunions, représentativité…). Ses membres, répondant aux conditions
d’éligibilités, sont désignés par le conseil d’administration.

14) La norme 45001  :

0) pourquoi choisir la norme ISO 45001 ?

L’ISO 45001 est la première norme internationale proposant un cadre pour le management de
la Santé et Sécurité au Travail (SST). Elle conduit à développer une culture de la prévention,
contrairement à l’OHSAS 18001 qui était plutôt orientée vers la résolution des problèmes
constatés, et positionne la SST comme un enjeu stratégique pour la direction de l’entreprise.
Bénéficiant de l’expérience de normes existantes (OHSAS 18001 et ILO OSH 2001), cette
nouvelle norme vise à satisfaire les exigences légales mais surtout à améliorer les
performances des organisations en matière de : préservation de la santé physique,
psychologique et mentale des travailleurs, maîtrise des risques, protection de l’apparition de
traumatismes et/ou pathologies ainsi que la mise à disposition de lieux de travail sûrs et sains.

La première innovation de l’ISO 45001 est de positionner le thème de la SST au niveau de la


direction de l’organisme. Connaissance du contexte des activités, identification des parties
prenantes pertinentes, liste des risques et opportunités, hiérarchie des mesures de prévention :
la norme induit plusieurs nouveaux réflexes dans la conduite des activités. En s’interrogeant
par exemple sur la fréquence d’exposition aux risques et à la gravité des impacts, ou sur le
niveau de connaissance des consignes de sécurité de la part des fournisseurs, l’entreprise peut
anticiper les sujets majeurs pouvant avoir des conséquences, positives ou négatives, sur
l’atteinte des objectifs en matière de santé et sécurité.

La deuxième nouveauté de l’ISO 45001 concerne l’approche de la SST : approche par les
processus, amélioration continue selon le modèle PDCA (planifier, réaliser, vérifier et
améliorer), etc.

Les auteurs du document sont partis du constat que les organisations conjuguent les normes
de système de management, en liant par exemple les actions sur la SST et celles relatives à la
prévention des accidents environnementaux, ou la SST et la qualité et l’environnement : d’où
le fameux « QSE » pour « Qualité Sécurité Environnement ». Concrètement, la méthode pour
définir et mener la politique SST selon l’ISO 45001 est identique à celle de l’ISO 9001 et
l’ISO 14001. Cela permet d’élaborer un bilan global de la performance et donc de réduire le
risque de divergences entre démarches qualité, sécurité et environnement.

+ voir page 4 (l’essentiel de la norme ISO 45001 )

1-La différence entre la norme ISO 45001 ET MASE : ( voir favoris tél)

2- Les exigences  :

(Il faut imprimer les 2 documents : la norme 45001 + l’essentiel ISO 45001)

3 les différentes étapes de sa mise en place (en précisant le temps) :

La norme + l’essentiel

4-Les différents thèmes à aborder :

DOC 23 = Page 39 + page 22 (voir la norme ISO 45001 V 2016)

5- et qui doit- on inviter ?

Il va faire appel au DRH et représentant de déléguée des employés .ce dernier va coordonner
avec les chefs de d’autres départements selon la structure fonctionnelle par exemple : Chef
magasinage, chef de production, chef de méthode, chef d’expédition, chef commercial.
Chacun d’eux sous –responsabilité à un ensemble du personnel, qui il font les sensibiliser ,
les communiquer sur l’instauration de la culture de la sécurité et voir la feuille.

+(voir la norme ISO 45001 V 2018)

13) La référentiel OIT  :

+ p  : 33 ouvrage ( maîtiser et mettre en l’OHSAS) .

Il faut imprimer le document ci-dessous :

https://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/---ed_protect/---protrav/--
safework/documents/normativeinstrument/wcms_112581.pdf

+ document

1-Les exigences le L’OIT = (depuis la page 3 jusqu’à 12 (communication)).

2- les étapes de sa mise en œuvre (depuis la page 12 jusqu’à page 23.).

12) La nome BS 8800  :

1- Les exigences  :

BS 8800 : référentiel anglais relatif à la sécurité au travail


Référentiel
Ensemble d'exigences servant de référence, de guide pour la construction et la vérification d'un
système. Ce sont des modèles d'exigences

----------------------------------------------------------------------------------------
Exige que l’organisme procède « à une évaluation – du risque afin d’identifier les dangers »
et établisse « les exigences légales qui s’appliquent à elle […] ». L’annexe D explique de
manière détaillée les principes et la pratique de l’évaluation du risque.

Analyses initiales
Avant de construire ou de modifier un système de management, il est recommandé de définir
la vision, stratégique de l’entreprise (Cf. 7.3), sa mission, ses valeurs et ses ambitions ; c’est
une responsabilité première de la direction.
Une première analyse peut consister en un diagnostic global ou état des lieux de l’organisme
sur l’ensemble de ses sites afin d’identifier les exigences à prendre en compte en matière de
qualité, de protection de l’environnement et de sécurité (conditions locales, types de risques,
etc.), ainsi que les attentes des parties intéressées ; de déterminer les – points forts et les points
faibles dans ces trois domaines

En matière de sécurité, cette analyse initiale est une exigence de la norme britannique BS
8800 (1996) intitulée « Revue d’état initiale et périodique » Elle fournit des points de
repère pour mesurer les progrès futurs.
vise le respect de la réglementation et la prévention des risques en matière de management de
la santé et de la sécurité au travail ; elle peut être appliquée pour la certification par tierce
partie du système de management.

BS est un « Guide des systèmes de management de Santé et de Sécurité au travail » .

Ce référentiel a été modifié et remis à jour en 2004 pour constituer la nouvelle norme BS
8800:2004.
Elle incorpore des éléments du référentiel ILO-OSH, en particulier dans le paragraphe
3.2 « Passage en revue initial », beaucoup plus détaillé et exigeant que la première version.
Désormais, cette étape doit devenir la base de départ pour développer le système et être
documentée.
La version 2004 crée aussi deux nouvelles annexes, que nous présenterons :

Norme britannique
Lignes directrices et recommandations ne doivent pas être utilisées à des fins de certification.

Eléments de système de management :


3.1 Généralités
3.2Passage en revue initial
3.3 Politique S & T
3.4 Organisation
3.4.1 Généralités
3.4.2Responsabilités
Responsabilités de la direction
Responsabilités générales
Délégation
3.4.3 Dispositions organisationnelles

2- Les étapes à mise en œuvre  :

3.5 Planification et mise en œuvre


3.5.1Généralités
3.5.2Objectifs
3.5.3Évaluation et maîtrise du risque
3.5.4 Exigences légales et autres
3.5.5 Dispositions à prendre pour le management S & T
3.5.6 Mise en œuvre et documentation
4.4 Mesure de la performance
3.6 Mesure de la performance
3.7 Enquête
3.8 Audit
3.9 Revue de performance
Le management de la santé et de la
sécurité au travail
28
P :28+29+30 LES ANNEXES de la BS 8800 ( ouvrage maîtriser et mettre en œuvre
L’OHSAS

3- les différents thèmes à aborder dans une réunion de direction  :

4-Et qui doit-on inviter  ?

5- La différence entre la norme BS 8800 ET OHSAS 18001  ?

Le document BS 8800 est un guide issu de la double structure de l’ISO 90001 :1994 et de
l’ISO 14001 :1996 (la BS 8800 :1995). Ce guide a donc été créé pour la première fois en
1996 avant l’OHSAS 18001. Comme ce document le précise dans son « avant propos » il
s’agit d’orientations et de recommandations et ne peut donc être utilisée à des fins
d’homologation et/ou de certification.

La spécification OHSAS 18001 a donc été conçue dans le but d’harmoniser les pratiques et
pour être utilisée à des fins de certification. Elle a été conçue par une quinzaine
d’organismes de pays différents, pour cette raison elle est mieux reconnue que la BS 8800,
cependant, ce référentiel a le statut de « spécification » et non de « norme » car il n’a pas
été élaboré dans les instances officielles internationales de normalisation. Sa version
originale est publiée par le BSI (en anglais), organisme officiel de normalisation britannique
puis traduit par AFNOR pour la France.

: Le BS 8800 est un référentiel non spécifique aux EE. De plus, il est proche dans son contenu de
l’OHSAS 18001 qui est plutôt utilisé par les entreprises au niveau international et français.

6-La différence entre la norme BS 8800 et ISO 45001 V 2018  ?

La même réponse mais il faut se baser de la réponse de la différence entre 18001 et 45001 

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11) La série 18001 OHSAS  :

1- LA DIFFÉRENCE ENTRE OHSAS 18001 ET ISO 45001 ?


QUELLES SONT LES PRINCIPALES DIFFÉRENCES ENTRE
L’OHSAS 18001 ET ISO 45001 ?
Il existe de nombreuses différences, mais le principal changement est
qu’ISO 45001 se concentre sur l’interaction entre un organisme et son
environnement métier, tandis que le référentiel OHSAS 18001 était
axé sur le management des dangers en matière de S&ST et d’autres
problèmes internes. Mais les normes diffèrent également à de
nombreux autres égards :

 ISO 45001 répond à une approche processus, alors que le


référentiel OHSAS 18001 établit une procédure.
 ISO 45001 est dynamique au niveau de l’ensemble des articles,
ce qui n’est pas le cas de l’OHSAS 18001.
 ISO 45001 tient compte des risques et des opportunités, tandis
que l’OHSAS 18001 ne traite que des risques.
 ISO 45001 intègre les points de vue des parties intéressées, ce
que ne fait pas l’OHSAS 18001.

Ces points représentent une évolution majeure de la manière dont le


management de la santé et de la sécurité est perçu. La S&ST n’est
plus traitée isolément. Elle doit être prise en compte dans la
perspective de la gestion d’un organisme sain et pérenne. Cela dit,
bien que les deux normes diffèrent dans leur approche, un système de
management établi conformément à l’OHSAS 18001 constituera une
base solide pour passer à ISO 45001.
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https://www.tennaxia.com/blog-iso-45001-2018-c-est-parti/

On peut parler ici de « normalisation des normes » : le comité d’expert réuni par ISO a réalisé
ce document pour que le système de management de la sécurité au travail puisse s’intégrer
plus facilement parmi les autres systèmes qualité existants (ISO 9001, ISO 14001, ISO
22000…). La compatibilité des normes a été décidée dans un souci de clarification de
l’organisation et de cohérences des outils et tableaux de bord utilisés pour le pilotage des
actions.

L’ISO 45001 se veut également plus complète sur beaucoup d’aspects, notamment concernant
l’implication de la direction et de l’encadrement dans le processus ainsi que celle des
partenaires (fournisseurs, intervenants, sous-traitants…). La dernière version de l’OHSAS
datant de 2007, il fallait également intégrer les nouvelles méthodes élaborées depuis plus de
10 ans. Mais Il existe de nombreuses similitudes sur les bases du contenu, et l’ISO 45001 a
été conçue de façon à faciliter la transition entre les deux, donc l’adaptation ne posera pas de
problème.
2-Les exigences de la mise place SST selon L’OHSAS 18001  :

Men page 5 tan page 13 ( voir la norme ; bureau PC) + wiam ( révision SST)

3-Les étapes de la mise en place SST selon L’OHSAS 18001  :

*PDCA (La norme + wiam+tarek war9a).

4-La différence entre OHSAS et MASE :

Change LE NOM ISO 45001 B OHSAS 18001.

https://www.anthea-conseils.com/mase/

+ voir ouvrage 10 clès

10) Les étapes de la mise en place d’un système de Management de la santé et sécurité au
travail  :

Voir document zakaria akhsassane (Kayen f gmail ou tarek (b7al b7al) + PPT

9) Les méthodes d’analyse des risques (la méthode AMDEC, PAKA YOKE, HACCP,
document unique) + voir tarek

HACCP

1- Les exigences + les étapes (voir la norme ISO 22000 V 2018).

AMDEC  :

Dans le cas d’installations à risques d’accident majeur, l’analyse des dangers au stade de la
conception, de la construction et de l’exploitation représente un élément critique dans les
procédures de gestion des risques. Parmi les méthodes et techniques bien documentées visant
à systématiser l’évaluation des risques, on peut citer l’analyse des modes de défaillance, de
leurs effets et de leur criticité (AMDEC).

Ms.Hyd.Boukherissi.PDF.pdf
Téléchargements

PAKA YOKE  :

L e Poka-Yoke, terme japonais que l'on peut traduire en français par


prévention d'erreur ou plus simplement détrompeur, correspond à une
méthode de conception des produits intégrant dès l'origine la prévention
des erreurs potentielles.
Nous sommes là dans un véritable esprit qualité.

En effet, l'enchaînement suivant :


"Réaliser" - "Contrôler" - "Corriger" n'est pas le fruit d'une démarche dans
l'esprit qualité.

On entend plutôt par esprit qualité la volonté de mettre en place les justes
moyens pour garantir l'obtention du résultat attendu du "premier coup"

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

"Poka Yoke du japonais “yokery”: éviter et “poka”: erreur. Le poka yoke est une méthode pour éviter les
erreurs à leur source. Il est traduit en français par système anti-erreur ou SAE.

L’objectif du Poka-Yoké est de détecter le plus rapidement possible les erreurs, afin de produire des
produits de haute qualité, en utilisant à la fois des appareils de mesure et l’inspection en amont" (1) 

http://methodes-supply-chain-ismag.blogspot.com/p/poka-yoke.html

Les étapes de la mise en œuvre :

https://coboom.co/2018/06/15/eliminez-les-erreurs-humaines-avec-les-poka-yoke-ou-detrompeurs/

http://jm.prive.pagesperso-orange.fr/docpro/pokayoke.htm

https://doqs.ch/indev/wp-content/uploads/2017/07/88-0054Poka-Yoke.pdf

+ Document photocopie ALI

+Ouvrage kirmi s2

Document unique  : ( + voir ouvrage internet site yassini  : Risques et souffrances au


travail)

https://www.anact.fr/une-demarche-en-5-etapes

http://www.cdg27.fr/wp-content/uploads/2017/02/Copie-de-Guide-methodologique-pour-la-mise-
en-place-du-DU-1.pdf

comprendre-le-chsct.pdf

https://fiches-pratiques.chefdentreprise.com/Thematique/juridique-1053/FichePratique/Comment-
rediger-document-unique-305080.htm

8) L’ergonomie
(science du travail)  : +( document li f downaload tél + voir favoris tél internet expolrer
( les 2 documents ) )

1-Définition de l’ergonomie (revoir GRH S1 IMQ)

+Comme le note Sperandio (1980, p. 25), l’ergonomie comporte trois grands champs
d’investigation:

• l’étude des processus (surtout cognitifs) de l’homme au travail. Elle porte sur la saisie
de l’information, son traitement, sa mise en mémoire.
Elle traite également de toutes les activités mentales accompagnant la réalisation des tâches;
• l’étude des astreintes qui renvoient au coût de travail pour l’homme (stress, fatigue,
insécurité);
• l’étude des aménagements techniques qui correspond à l’adaptation de la machine, de
l’environnement et de l’organisation du travail qui prolonge, en l’élargissant, l’Human
Engineering

Karnas (2002, p. 98), dans une publication plus récente, considère qu’il existe trois
perspectives en ergonomie:
• une perspective physique qui s’intéresse aux gestes et postures, ainsi qu’aux conditions
d’ambiance;
• une perspective systémique et/ou organisationnelle travaillant sur les systèmes hommes-
machines dans une perspective élargie prenant en compte les structures organisationnelles;
• une perspective cognitive qui se focalise sur les dimensions cognitives des activités
professionnelles.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’ergonomie entretient des liens particulièrement étroits avec la psy chologie du travail
et des organisations du fait que ces deux disciplines partagent en partie le même objet
(adaptation du travail à l’homme). Mais la psychologie du travail a une orientation plus
large que l’ergonomie en s’intéressant à d’autres composantes de la situation de travail
(recrutement, insertion, formation, changement organisationnel, etc.).
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
L’ergonomie s’attache à comprendre comme à gérer l’activité humaine ; elle concerne la science du
travail. Elle consiste à adapter le travail, les outils et l’environnement à l’homme. C’est l’étude
scientifique de cette relation entre l’homme et les moyens, et les méthodes dont il dispose dans un
contexte, un environnement particulier. Elle vise à concevoir des outils, espaces, contextes, gestes,
process, systèmes les plus appropriés à l’homme afin d’en faciliter l’usage, de réduire les risques
d’insécurité et les risques pour la santé des personnes.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’International Ergonomics Association propose également en 2000 une définition


intéressante : « L’ergonomie (ou human factors) est la discipline scientifique qui vise la
compréhension fondamentale des interactions entre les humains et les autres composantes
d’un système, et la profession qui applique principes théoriques, données et méthodes en vue
d’optimiser le bien-être des personnes et la performance globale des systèmes […] Les
praticiens de l’ergonomie, les ergonomes, contribuent à la planification, la conception et
l’évaluation des tâches, des emplois, des produits, des organisations, des environnements et
des systèmes en vue de les rendre compatibles avec les besoins, les capacités et les limites
des personnes ».
Les 3 types de l’ergonomie :

Physique : s’intéresse aux caractéristiques anatomiques, anthropométriques, physiologiques et


biomécaniques de l’homme dans leur relation avec l’activité physique. Les thèmes pertinents
comprennent les postures de travail, la manipulation d’objets, les mouvements répétitifs, les
troubles musculosquelettiques, la disposition du poste de travail, la sécurité et la santé.

Cognitive : s’intéresse aux processus mentaux, tels que la perception, la mémoire,


le raisonnement et les réponses motrices, dans leurs effets sur les interactions entre les
personnes et d’autres composantes d’un système. Les thèmes pertinents comprennent la
charge mentale, la prise de décision, la performance experte, l’interaction homme-machine,
la fiabilité humaine, le stress professionnel et la formation dans leur relation à la conception
personne-système.

Organisationnelle : s’intéresse à l’optimisation des systèmes socio-techniques ; ceci incluant


leur structure organisationnelle, règles et processus. Les thèmes pertinents comprennent la
communication, la gestion des ressources des collectifs, la conception du travail, la
conception des horaires de travail, le travail en équipe, la conception participative,
l’ergonomie communautaire, le travail coopératif, les nouvelles formes de travail, la culture
organisationnelle, les organisations virtuelles, le télétravail et la gestion par la qualité

18
Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) : instance de
représentation du personnel présente dans les entreprises d’au moins 50 salariés. Composé de
représentants du personnel et de l’employeur, il contribue à la protection de la santé physique
et mentale et à la sécurité des travailleurs de l’établissement. Il participe également à
l’amélioration des conditions de travail et veille au respect des prescriptions légales de son
domaine de compétence.

Conditions de travail : ensemble des facteurs relatifs au poste, à l’environnement matériel et


humain et à l’organisation du travail. Les conditions de travail recouvrent la sécurité, la
protection de la santé du travailleur, la charge psychosociale occasionnée par le travail,
l’hygiène du lieu de travail, l’ergonomie, l’embellissement des lieux de travail, les mesures
prises par l’entreprise en matière d’environnement…

Ergonomie : science du travail ayant pour objet l’adaptation du travail à l’homme en


considérant tous les aspects du travail (dimensions physiologiques et psychologiques, facteurs
sociaux, facteurs objectifs et subjectifs…). L’amélioration des conditions de travail favorise
également la satisfaction des travailleurs, leur confort, leur santé mais aussi leur efficacité.
Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) : institution chargée de prévenir les
accidents du travail et les maladies professionnelles par des actions d’anticipation, de
sensibilisation, d’information et d’accompagnement.

Qualité de vie au travail : sentiment de bien-être ressenti par les salariés par rapport aux
conditions dans lesquelles ils effectuent leur travail et par rapport à leur capacité à s’exprimer
et à agir sur le contenu de celui-ci.

Risques professionnels : dangers pour la santé et la sécurité des travailleurs associés à tous
les aspects liés à l’activité de l’entreprise.
Risques psychosociaux : risques professionnels qui trouvent leur origine à l’intersection
des dimensions individuelles, collectives et organisationnelles et qui mettent enjeu l’intégrité
physique et la santé mentale des salariés.
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Le développement de l’ergonomie est la troisième action à mettre en œuvre pour prévenir les
risques au sein de l’organisation. En effet, une conception de poste de travail inadaptée est un
facteur de risque professionnel qui remet en cause la santé et la sécurité des personnes,
l’efficacité de l’entreprise et la qualité des produits. L’ergonomie a pour but d’éviter ces effets
négatifs et de trouver les meilleures solutions sur les plans de la santé, de la qualité et de
l’efficacité.
L’ergonomie peut être définie comme « l’ensemble des connaissances permettant
d’adapter le travail à l’homme », c’est-à-dire de concevoir des postes de travail,
des installations, des systèmes où il travaille avec un maximum de confort, de
sécurité et d’efficacité.

Cette discipline récente fait appel à des disciplines très diverses allant des sciences humaines
(physiologie, médecine, psychologie, sociologie) aux sciences de l’ingénieur (physique,
mécanique, thermodynamique, électricité, etc.). Elle repose sur l’analyse du comportement de
l’homme au travail, sur le bilan des gestes et postures, et sur les solutions techniques ou d’évolution
des modes opératoires de production.
D’abord focalisée sur le rapport homme/machine, l’ergonomie évolue vers une approche
globale (ergonomie des systèmes élargissant son champ d’action au système de production
complet et participative ).
– chaque acteur, formé à l’ergonomie, participe à l’évolution de l’entreprise. Elle est un
outil de prévention des risques par sa contribution à la conception des situations de
travail puis intervient ex post en supprimant les risques répertoriés .

La démarche ergonomique
Toute entreprise peut développer une démarche ergonomique en respectant quatre étapes.
– Comprendre l’activité réelle de travail : en donnant un sens aux situations « jugées » à priori
dangereuses et en expliquant les écarts avec les règles.
– Appréhender les risques significatifs : en évaluant objectivement les risques.
– Révéler la maîtrise des risques dans l’activité de travail : en transmet- tant les savoir-faire de
prudence aux opérateurs acteurs de la sécurité.
– Allier sécurité et efficacité : en proposant une prévention adaptée aux objectifs de la
production.
Par ces actions, l’entreprise analyse le travail pour décrire et comprendre les difficultés qui
sont en contradiction avec le fonctionnement de l’homme (contraintes physiques,
physiologiques, mécaniques…), pour identifier les causes de ces difficultés et pour faire des
propositions pour modifier la situation de travail.
Cette approche ergonomique cherche à décrire le travail réellement effectué. Pour cela, elle
mobilise différentes questions telles que pourquoi fait-il tel geste ? Ou pourquoi regarde-t-il à
tel endroit ?
L’analyse du travail et la réponse à ces questions ont pour objectif de recueillir des données sur les
éléments qui constituent et caractérisent
l’ensemble de la situation de travail, afin d’y apporter des modifications .
.
Cette démarche est largement développée aujourd’hui pour prévenir les TMS. Sur la base
d’un diagnostic ergonomique construit, les acteurs sociaux et les experts vont dans les ateliers
mettre en place des solutions de prévention sur la base de l’analyse des postes et des situations de
travail, des connaissances scientifiques établies, des spécificités de l’entreprise et des
possibilités de transformation. Chaque entreprise se doit d’adapter les solutions mises en place
en fonction de ses spécificités et de l’évolution de son environnement car il n’y a pas de
recettes toutes faites pour prévenir les TMS. Seule une approche contingente permet d’obtenir
de bons résultats.

Normes et protections ergonomiques


La démarche ergonomique peut être facilitée par une connaissance et une application de
normes et protections ergonomiques. Ces normes, initialement apparues aux États-Unis au
milieu des années quatre- vingt-dix, ont pour objet de réduire le nombre et la sévérité des
TMS causés par l’exposition à certains facteurs de risques sur le lieu de travail tels que les
mouvements répétitifs, les postures vicieuses, les travaux de force (notamment de
soulèvement), les vibrations.
Développées par l’OSHA (Occupational Safety, and Health Administration), ces normes
imposent aux employeurs de :
– fournir à tout employé des informations de base relatives aux TMS ;
– signaler des TMS aux autorités en charge ;
– identifier les actions risquant de provoquer des TMS ;
– améliorer les postes de travail en résolvant les problèmes ergonomiques ;
– former aux TMS l’ensemble des salariés nouvellement recrutés et tous les trois ans pour les
salariés occupant des postes à risque ;
– évaluer le programme ergonomique interne tous les trois ans
.
Ces normes peuvent ainsi servir de guide pour la mise en place d’une politique ergonomique
au sein des organisations. L’information et la formation sont présentes dans ces normes et
montrent l’importance de cette quatrième étape pour améliorer les conditions de travail
au sein des organisations.

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L’ergonomie de votre espace de travail


Repensez votre espace de travail de manière à ce qu’il soit le plus pratique et le plus
confortable possible. Pour cela, imaginez que vous arrivez comme un nouveau collaborateur
qui remet tout en question en héritant de l’organisation du prédécesseur. Soyez critique.
Utilisez la liberté que vous avez et les ressources à votre disposition, tout en sachant
que parfois il faut composer avec peu de moyens, des locaux peu adéquats et du matériel
ancien. Même si les contraintes sont importantes, sachez que beaucoup peut être fait avec du
simple bon sens.
Les dossiers seront localisés selon le rapport proximité/fréquence d’utilisation. La règle est
simple : plus vous les utilisez, plus ils seront proches et moins il faudra de mouvements pour
les saisir.
Pensez à un cockpit d’avion. Tout ce qui est indispensable est pensé pour être accessible
depuis le siège du pilote.
Est-ce que les tiroirs de votre bureau sont occupés par des documents et du matériel
utilisés à grande fréquence ? S’ils sont encombrés de documents et objets peu utilisés, videz
ces tiroirs, et voilà de la place disponible !
Vérifiez si le mobilier est disposé de manière pratique. Les flux de déplacements des
personnes doivent être organisés avec logique. Ainsi vous évitez de vous faire des bleus
aux jambes en butant sur les meubles .

Si vous recevez des visiteurs, mettez-vous à leur place et soyez aussi critique que possible sur
le confort, sur l’image donnée, sur les indiscrétions possibles, etc.
Disposez votre bureau selon votre capacité à vous concentrer. Dans une entreprise, un
collaborateur, assis à son bureau, porte ouverte, avait tout le couloir en enfilade devant lui.
Tout le monde le saluait en passant ; c’était sympathique, mais que de distractions ! Nous
avons parlé de ce problème, il a choisi de tourner sa table de manière à ne plus faire
face au couloir, le problème était résolu pour lui. Parfois dans les bureaux partagés ou
espaces paysagers, il est agréable de se faire face bureau contre bureau. Cependant pour ceux
qui ont de la peine à se concentrer ou qui ont beaucoup d’appels téléphoniques, cela crée
trop de perturbations !
Vérifiez la hauteur de votre siège par rapport à votre table et à votre écran. Vérifiez la
résistance de votre dossier à la pression de votre dos. Une bonne position vous évite des maux
de dos ou de nuque.
Vérifiez la disposition de votre écran. Si vous passez des heures chaque jour à travailler sur
écran, les ergonomes conseillent :
• le haut de l’écran se situe à la hauteur de vos yeux quand vous vous tenez le dos droit sur
votre siège ;
• l’écran est à placer à environ 60-80 cm de vos yeux ;
• l’écran est positionné de manière à ne pas réfléchir la lumière d’une fenêtre ou d’un
éclairage ;
• l’écran devant une fenêtre n’est pas un bon choix en raison du contraste de lumière fatigant
pour les yeux.
Le téléphone est à placer à portée de main, en économie de mouvement. Si vous
passez beaucoup de temps au téléphone, optez pour un téléphone mains libres (oreillette ou
casque). Vous n’aurez plus besoin de chercher à coincer le combiné entre la tête et l’épaule
quand vous aurez besoin de vos mains. Vous pourrez téléphoner et prendre vos notes
directement sur votre ordinateur : grand confort !

Votre éclairage (fenêtres ou lampes) doit être suffisant sur votre table de travail et dans vos
lieux de classement.
Hormis les dossiers dont nous avons déjà parlé, chaque chose a une place adaptée. Les
meubles, objets ou machines devenus inutiles quitteront la pièce pour libérer de l’espace.
Les affichages muraux sont à réactualiser de temps en temps.
Personnalisez votre espace de travail pour en faire un lieu agréable pour vous, vos collègues
et vos visiteurs. Aménagez avec ce qui vous plaît et ce qui convient à l’image de l’entreprise
et à votre fonction.

7) Les acteurs du Management de la sécurité et santé au travail :

(Voir Tarek PDF dedans exposé d conditions du travail + PPT d les acteurs) selon le code du
travail européanne

(Ouvrage mieux vivre en entreprise page 147 SCHLOAR VOX + ouvrage : Risques et
souffrance au travail : 97) selon le code du travail marocaine
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6) Les conditions de travail (la qualité de vie au travail, le bien-être au travail)  :

Gestion des ressources humaines (Maxi fiches 74 vers 93 ) voir tél

=Ouvrage PDF tél (MEMONTOS LMD) p : 143+144+145.

+Wiam PDF

+Ouvrage l’essentiel de la GRH 2019-2020 p : 29

+Ouvrage risques psychosociaux et SST : une perspective managériale. ( 9+119+149)

+Ouvrage GRH : Eline nicolas p 39 -61

+Risques psychosociaux et qualité de vie au travail (106+159 n 193)

+ZOOM’s relation sociales + les risques professionnels ( My tél + Site : relation + santé au
travail 173 tan 221)

+ L’essentiel du Management des entreprises (page 118 n 125).

+LES FONDAMENTAUX DE LA GRH (page 89 n page 104)

+Management des entreprises : page 96+97

-Le CHSCT

+Peretti, jean tél drive page 184+185+187+162+167

+Promouvoir le bien être au travail

-Les fondamentaux du Management

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Conditions de travail : elles désignent
d’une manière générale l’en-
Les conditions de travail : environnement dans lequel les employés vivent sur leur lieu de
travail et concernent toutes les caractéristiques qui entrent dans le cadre du travail.
Cela couvre l’environnement physique, matériel et humain lié au poste de travail, le contenu
de l’organisation du travail (amplitude horaire, conditions matérielles, ergonomie du lieu de
travail, tâches et activités à réaliser, ambiance de travail, avantages sociaux, pénibilité et
risques, relations professionnelles…).
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Les questions :

1-HISTORIQUES : ( MAYO+MASLOW+NFOT)

2-comment améliorer les conditions du travail ? (les procédures)

3-les exigences (cadre juridique condition du travail)

4-les moyens d’améliorations de la QVT

5- comment peut-on évaluer LA QVT (les indicateurs)

6- les actions d’améliorations QVT

7- Les acteurs de QVT

7-comment améliorer le bien être au travail ? (procédure)

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5) le harcèlement moral  :

- Les intervenants (les acteurs) lors d’un harcèlement moral au travail :

-Les mesures de lutter contre l’harcèlement moral  :

-les causes

-les conséquences

Harcèlement moral au travail : il


concerne une relation répréhensible
Il concerne une relation répréhensible d’un individu ou d’un groupe envers un autre
définit par l’article L1152-1 du Code du travail, issu de la loi de modernisation sociale
du 17janvier 2002 : « aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèle-
ment moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail

susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou


mentale ou de compromettre son avenir professionnel ».

Ouvrage :

-wiam et tarek

-Risques psychosociaux et SST : une perspective managériale ( page 189-199)

-100 question : santé et bien vivre au travail

-Risques et souffrances au travail ( chapitre 7 : lutter contre le stress ,l’épuissement et le


harcèlement psychologique au travail : page 147)

-prendre des risques pour réussir page 89

-COMPRENDRE LES RISQUES RESSOURCES HUMAINES page :178

-Toute la fonction commercial page 423

-Le CHSCT

-Mémontos LMD my tél dribve page : 152-155

-Mobbing page 97

-Réalités des risques psychosociaux page 37

-Les tabous dans l’entreprise page 99 tan 153

-Harcèlement en entreprise

-Harcèlement au travail

-Harcèlement moral

-Prévenir le harcèlement moral et la souffrance au travail

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3 )Les risques psychosociaux :

Plan de cours :
Zom’s tél page 165 tan 189

+wiam SST révsiion+ pdf+ tarek

+Maxi Fiches-Gestion des resources humaines page 95

+zomm’s site internet 191 tan 197

+zomm’s excercices site internet

Ouvrage :

+Santé au travail et risques psychosociaux chapitre 3 page 63

+Risques psychosociaux en entreprise

+Prévenir les risques psychosociaux

+Risques psychosociaux et qualité de vie au travail (37-76)

+Agir sur le stress et les violences au travail

+100 questions : santé et bien vivre au travail

+100 question CHSCT

+Risques et souffrance au travail page 97 tan 142

+Promouvoir le bien être au travail

2) Les maladies professionnel

Ouvrage :

Mémontos LMD page 145

Zomms 186 + drive

100 questions : santé et bien vivre au travail

Wiam w tarek w sanae


1) La prévention des accidents du travail

Ouvrage :

L’essentiel de la GRH page 33

Mémontos LMD page 145

Zomm’s 186 + drive

100 questions : santé et bien vivre au travail

Wiam w tarek w sanae

*Les fondamentaux du Management :

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