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-La fonction sécurité est obligatoire dans toutes les entreprises. En effet, la loi (article L. 230-
2 du Code du Travail français) impose à tous les chefs d’établissements de gérer la prévention
des risques professionnels pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs de
l’établissement, y compris les travailleurs temporaires. Il va s’agir notamment :
Cette fonction devra être prise en compte que l’entreprise soit ou non organisée avec un
service sécurité. Le CHSCT influe sur la fonction sécurité de l’entreprise (comme le C.E.
pourra influer sur la politique générale de l’entreprise), mais c’est la direction de
l’établissement qui l’assume au niveau réglementaire et financier
http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2018/12/Manuel-Mase-V2014-imp-dec.2018.pdf
http://mase-asso.fr/wp-content/uploads/2019/10/R%C3%A9f%C3%A9rentiel_Mase_web-
VDEF.pdf
http://www.fondasol.fr/actualites/161/certification_mase_uic_renouvelee_pour_notre_age
nce_de_lyon_.php
- 2) Les différentes étapes de sa mise en place en précisant approximativement le
temps à y consacrer ?
https://www.mase-senegal.com/processus-de-certification/
+ voir
Le Manuel d’amélioration sécurité des entreprises (MASE) aide les entreprises industrielles
utilisatrices et intervenantes à mettre en place un système de management sécurité, santé,
environnement (SSE) selon le principe de l’amélioration continue.
La mise en œuvre du référentiel MASE nécessite la réalisation d’une analyse de risque et la
mise en place de mesures de prévention : document unique, Plan de prévention (PDP,
document élaboré conformément au décret 92-158 du 20 février 1992), Plan particulier de
sécurité et protection de la santé (PPSPS, document élaboré conformément au décret 94-
1159 du 26 décembre 1994), protocole de sécurité.
La maîtrise de risque doit clairement figurer dans le plan d’amélioration SSE.
Cette analyse de risque doit tenir compte : des dangers spécifiques au métier, aux produits et aux
déchets, des risques liés aux produits des clients, des équipements de production, des opérations
réalisées et méthodes associées, des activités sous-traitées, de l’environnement de travail, des
compétences du personnel, etc.
Le thème peut être fixé à l’avance selon un planning établi ou en fonction de l’actualité de
l’entreprise ou des retours d’expérience internes et/ou externes. Dans ce thème et à ce stade de la
préparation il faut définir le(s) « message(s) à faire passer »,
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
https://www.anthea-conseils.com/matinale-du-mase-giphise-les-causeries-les-visites-securite-les-
situations-dangereuses/
https://www.winlassie.com/faq/bonnes-pratiques-hse/comment-bien-organiser-une-causerie-
securite/
https://www4.ac-nancy-metz.fr/genie-biologique/Docs/Chefs%20de%20Travaux/6.%20REFERENTIEL
%20SYSTEME%20COMMUN%202009%5B1%5D.pdf
*des associations locales et nationales (la forme associative locale permet à chacun de s’impliquer s’il
le souhaite dans la vie et dans le déploiement des valeurs associées au système commun MASE -
UIC.).
Amélioration continue :
Ce concept d’amélioration continue est applicable à tous les niveaux de l’entreprise. Par exemple :
-Personnel de terrain par les remontées qu’il peut faire et sa participation éventuelle à la
concertation SSE.
-Encadrement, par son écoute, par son adhésion aux outils de la prévention SSE et par son
exemplarité
Comité de direction :
COMITÉ DE PILOTAGE :
L’ISO 45001 est la première norme internationale proposant un cadre pour le management de
la Santé et Sécurité au Travail (SST). Elle conduit à développer une culture de la prévention,
contrairement à l’OHSAS 18001 qui était plutôt orientée vers la résolution des problèmes
constatés, et positionne la SST comme un enjeu stratégique pour la direction de l’entreprise.
Bénéficiant de l’expérience de normes existantes (OHSAS 18001 et ILO OSH 2001), cette
nouvelle norme vise à satisfaire les exigences légales mais surtout à améliorer les
performances des organisations en matière de : préservation de la santé physique,
psychologique et mentale des travailleurs, maîtrise des risques, protection de l’apparition de
traumatismes et/ou pathologies ainsi que la mise à disposition de lieux de travail sûrs et sains.
La deuxième nouveauté de l’ISO 45001 concerne l’approche de la SST : approche par les
processus, amélioration continue selon le modèle PDCA (planifier, réaliser, vérifier et
améliorer), etc.
Les auteurs du document sont partis du constat que les organisations conjuguent les normes
de système de management, en liant par exemple les actions sur la SST et celles relatives à la
prévention des accidents environnementaux, ou la SST et la qualité et l’environnement : d’où
le fameux « QSE » pour « Qualité Sécurité Environnement ». Concrètement, la méthode pour
définir et mener la politique SST selon l’ISO 45001 est identique à celle de l’ISO 9001 et
l’ISO 14001. Cela permet d’élaborer un bilan global de la performance et donc de réduire le
risque de divergences entre démarches qualité, sécurité et environnement.
1-La différence entre la norme ISO 45001 ET MASE : ( voir favoris tél)
2- Les exigences :
(Il faut imprimer les 2 documents : la norme 45001 + l’essentiel ISO 45001)
La norme + l’essentiel
Il va faire appel au DRH et représentant de déléguée des employés .ce dernier va coordonner
avec les chefs de d’autres départements selon la structure fonctionnelle par exemple : Chef
magasinage, chef de production, chef de méthode, chef d’expédition, chef commercial.
Chacun d’eux sous –responsabilité à un ensemble du personnel, qui il font les sensibiliser ,
les communiquer sur l’instauration de la culture de la sécurité et voir la feuille.
https://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/---ed_protect/---protrav/--
safework/documents/normativeinstrument/wcms_112581.pdf
+ document
1- Les exigences :
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Exige que l’organisme procède « à une évaluation – du risque afin d’identifier les dangers »
et établisse « les exigences légales qui s’appliquent à elle […] ». L’annexe D explique de
manière détaillée les principes et la pratique de l’évaluation du risque.
Analyses initiales
Avant de construire ou de modifier un système de management, il est recommandé de définir
la vision, stratégique de l’entreprise (Cf. 7.3), sa mission, ses valeurs et ses ambitions ; c’est
une responsabilité première de la direction.
Une première analyse peut consister en un diagnostic global ou état des lieux de l’organisme
sur l’ensemble de ses sites afin d’identifier les exigences à prendre en compte en matière de
qualité, de protection de l’environnement et de sécurité (conditions locales, types de risques,
etc.), ainsi que les attentes des parties intéressées ; de déterminer les – points forts et les points
faibles dans ces trois domaines
En matière de sécurité, cette analyse initiale est une exigence de la norme britannique BS
8800 (1996) intitulée « Revue d’état initiale et périodique » Elle fournit des points de
repère pour mesurer les progrès futurs.
vise le respect de la réglementation et la prévention des risques en matière de management de
la santé et de la sécurité au travail ; elle peut être appliquée pour la certification par tierce
partie du système de management.
Ce référentiel a été modifié et remis à jour en 2004 pour constituer la nouvelle norme BS
8800:2004.
Elle incorpore des éléments du référentiel ILO-OSH, en particulier dans le paragraphe
3.2 « Passage en revue initial », beaucoup plus détaillé et exigeant que la première version.
Désormais, cette étape doit devenir la base de départ pour développer le système et être
documentée.
La version 2004 crée aussi deux nouvelles annexes, que nous présenterons :
Norme britannique
Lignes directrices et recommandations ne doivent pas être utilisées à des fins de certification.
Le document BS 8800 est un guide issu de la double structure de l’ISO 90001 :1994 et de
l’ISO 14001 :1996 (la BS 8800 :1995). Ce guide a donc été créé pour la première fois en
1996 avant l’OHSAS 18001. Comme ce document le précise dans son « avant propos » il
s’agit d’orientations et de recommandations et ne peut donc être utilisée à des fins
d’homologation et/ou de certification.
La spécification OHSAS 18001 a donc été conçue dans le but d’harmoniser les pratiques et
pour être utilisée à des fins de certification. Elle a été conçue par une quinzaine
d’organismes de pays différents, pour cette raison elle est mieux reconnue que la BS 8800,
cependant, ce référentiel a le statut de « spécification » et non de « norme » car il n’a pas
été élaboré dans les instances officielles internationales de normalisation. Sa version
originale est publiée par le BSI (en anglais), organisme officiel de normalisation britannique
puis traduit par AFNOR pour la France.
: Le BS 8800 est un référentiel non spécifique aux EE. De plus, il est proche dans son contenu de
l’OHSAS 18001 qui est plutôt utilisé par les entreprises au niveau international et français.
La même réponse mais il faut se baser de la réponse de la différence entre 18001 et 45001
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https://www.tennaxia.com/blog-iso-45001-2018-c-est-parti/
On peut parler ici de « normalisation des normes » : le comité d’expert réuni par ISO a réalisé
ce document pour que le système de management de la sécurité au travail puisse s’intégrer
plus facilement parmi les autres systèmes qualité existants (ISO 9001, ISO 14001, ISO
22000…). La compatibilité des normes a été décidée dans un souci de clarification de
l’organisation et de cohérences des outils et tableaux de bord utilisés pour le pilotage des
actions.
L’ISO 45001 se veut également plus complète sur beaucoup d’aspects, notamment concernant
l’implication de la direction et de l’encadrement dans le processus ainsi que celle des
partenaires (fournisseurs, intervenants, sous-traitants…). La dernière version de l’OHSAS
datant de 2007, il fallait également intégrer les nouvelles méthodes élaborées depuis plus de
10 ans. Mais Il existe de nombreuses similitudes sur les bases du contenu, et l’ISO 45001 a
été conçue de façon à faciliter la transition entre les deux, donc l’adaptation ne posera pas de
problème.
2-Les exigences de la mise place SST selon L’OHSAS 18001 :
Men page 5 tan page 13 ( voir la norme ; bureau PC) + wiam ( révision SST)
https://www.anthea-conseils.com/mase/
10) Les étapes de la mise en place d’un système de Management de la santé et sécurité au
travail :
Voir document zakaria akhsassane (Kayen f gmail ou tarek (b7al b7al) + PPT
9) Les méthodes d’analyse des risques (la méthode AMDEC, PAKA YOKE, HACCP,
document unique) + voir tarek
HACCP
AMDEC :
Dans le cas d’installations à risques d’accident majeur, l’analyse des dangers au stade de la
conception, de la construction et de l’exploitation représente un élément critique dans les
procédures de gestion des risques. Parmi les méthodes et techniques bien documentées visant
à systématiser l’évaluation des risques, on peut citer l’analyse des modes de défaillance, de
leurs effets et de leur criticité (AMDEC).
Ms.Hyd.Boukherissi.PDF.pdf
Téléchargements
PAKA YOKE :
On entend plutôt par esprit qualité la volonté de mettre en place les justes
moyens pour garantir l'obtention du résultat attendu du "premier coup"
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
"Poka Yoke du japonais “yokery”: éviter et “poka”: erreur. Le poka yoke est une méthode pour éviter les
erreurs à leur source. Il est traduit en français par système anti-erreur ou SAE.
L’objectif du Poka-Yoké est de détecter le plus rapidement possible les erreurs, afin de produire des
produits de haute qualité, en utilisant à la fois des appareils de mesure et l’inspection en amont" (1)
http://methodes-supply-chain-ismag.blogspot.com/p/poka-yoke.html
https://coboom.co/2018/06/15/eliminez-les-erreurs-humaines-avec-les-poka-yoke-ou-detrompeurs/
http://jm.prive.pagesperso-orange.fr/docpro/pokayoke.htm
https://doqs.ch/indev/wp-content/uploads/2017/07/88-0054Poka-Yoke.pdf
+Ouvrage kirmi s2
https://www.anact.fr/une-demarche-en-5-etapes
http://www.cdg27.fr/wp-content/uploads/2017/02/Copie-de-Guide-methodologique-pour-la-mise-
en-place-du-DU-1.pdf
comprendre-le-chsct.pdf
https://fiches-pratiques.chefdentreprise.com/Thematique/juridique-1053/FichePratique/Comment-
rediger-document-unique-305080.htm
8) L’ergonomie
(science du travail) : +( document li f downaload tél + voir favoris tél internet expolrer
( les 2 documents ) )
+Comme le note Sperandio (1980, p. 25), l’ergonomie comporte trois grands champs
d’investigation:
• l’étude des processus (surtout cognitifs) de l’homme au travail. Elle porte sur la saisie
de l’information, son traitement, sa mise en mémoire.
Elle traite également de toutes les activités mentales accompagnant la réalisation des tâches;
• l’étude des astreintes qui renvoient au coût de travail pour l’homme (stress, fatigue,
insécurité);
• l’étude des aménagements techniques qui correspond à l’adaptation de la machine, de
l’environnement et de l’organisation du travail qui prolonge, en l’élargissant, l’Human
Engineering
Karnas (2002, p. 98), dans une publication plus récente, considère qu’il existe trois
perspectives en ergonomie:
• une perspective physique qui s’intéresse aux gestes et postures, ainsi qu’aux conditions
d’ambiance;
• une perspective systémique et/ou organisationnelle travaillant sur les systèmes hommes-
machines dans une perspective élargie prenant en compte les structures organisationnelles;
• une perspective cognitive qui se focalise sur les dimensions cognitives des activités
professionnelles.
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L’ergonomie entretient des liens particulièrement étroits avec la psy chologie du travail
et des organisations du fait que ces deux disciplines partagent en partie le même objet
(adaptation du travail à l’homme). Mais la psychologie du travail a une orientation plus
large que l’ergonomie en s’intéressant à d’autres composantes de la situation de travail
(recrutement, insertion, formation, changement organisationnel, etc.).
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L’ergonomie s’attache à comprendre comme à gérer l’activité humaine ; elle concerne la science du
travail. Elle consiste à adapter le travail, les outils et l’environnement à l’homme. C’est l’étude
scientifique de cette relation entre l’homme et les moyens, et les méthodes dont il dispose dans un
contexte, un environnement particulier. Elle vise à concevoir des outils, espaces, contextes, gestes,
process, systèmes les plus appropriés à l’homme afin d’en faciliter l’usage, de réduire les risques
d’insécurité et les risques pour la santé des personnes.
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18
Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) : instance de
représentation du personnel présente dans les entreprises d’au moins 50 salariés. Composé de
représentants du personnel et de l’employeur, il contribue à la protection de la santé physique
et mentale et à la sécurité des travailleurs de l’établissement. Il participe également à
l’amélioration des conditions de travail et veille au respect des prescriptions légales de son
domaine de compétence.
Qualité de vie au travail : sentiment de bien-être ressenti par les salariés par rapport aux
conditions dans lesquelles ils effectuent leur travail et par rapport à leur capacité à s’exprimer
et à agir sur le contenu de celui-ci.
Risques professionnels : dangers pour la santé et la sécurité des travailleurs associés à tous
les aspects liés à l’activité de l’entreprise.
Risques psychosociaux : risques professionnels qui trouvent leur origine à l’intersection
des dimensions individuelles, collectives et organisationnelles et qui mettent enjeu l’intégrité
physique et la santé mentale des salariés.
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Le développement de l’ergonomie est la troisième action à mettre en œuvre pour prévenir les
risques au sein de l’organisation. En effet, une conception de poste de travail inadaptée est un
facteur de risque professionnel qui remet en cause la santé et la sécurité des personnes,
l’efficacité de l’entreprise et la qualité des produits. L’ergonomie a pour but d’éviter ces effets
négatifs et de trouver les meilleures solutions sur les plans de la santé, de la qualité et de
l’efficacité.
L’ergonomie peut être définie comme « l’ensemble des connaissances permettant
d’adapter le travail à l’homme », c’est-à-dire de concevoir des postes de travail,
des installations, des systèmes où il travaille avec un maximum de confort, de
sécurité et d’efficacité.
Cette discipline récente fait appel à des disciplines très diverses allant des sciences humaines
(physiologie, médecine, psychologie, sociologie) aux sciences de l’ingénieur (physique,
mécanique, thermodynamique, électricité, etc.). Elle repose sur l’analyse du comportement de
l’homme au travail, sur le bilan des gestes et postures, et sur les solutions techniques ou d’évolution
des modes opératoires de production.
D’abord focalisée sur le rapport homme/machine, l’ergonomie évolue vers une approche
globale (ergonomie des systèmes élargissant son champ d’action au système de production
complet et participative ).
– chaque acteur, formé à l’ergonomie, participe à l’évolution de l’entreprise. Elle est un
outil de prévention des risques par sa contribution à la conception des situations de
travail puis intervient ex post en supprimant les risques répertoriés .
La démarche ergonomique
Toute entreprise peut développer une démarche ergonomique en respectant quatre étapes.
– Comprendre l’activité réelle de travail : en donnant un sens aux situations « jugées » à priori
dangereuses et en expliquant les écarts avec les règles.
– Appréhender les risques significatifs : en évaluant objectivement les risques.
– Révéler la maîtrise des risques dans l’activité de travail : en transmet- tant les savoir-faire de
prudence aux opérateurs acteurs de la sécurité.
– Allier sécurité et efficacité : en proposant une prévention adaptée aux objectifs de la
production.
Par ces actions, l’entreprise analyse le travail pour décrire et comprendre les difficultés qui
sont en contradiction avec le fonctionnement de l’homme (contraintes physiques,
physiologiques, mécaniques…), pour identifier les causes de ces difficultés et pour faire des
propositions pour modifier la situation de travail.
Cette approche ergonomique cherche à décrire le travail réellement effectué. Pour cela, elle
mobilise différentes questions telles que pourquoi fait-il tel geste ? Ou pourquoi regarde-t-il à
tel endroit ?
L’analyse du travail et la réponse à ces questions ont pour objectif de recueillir des données sur les
éléments qui constituent et caractérisent
l’ensemble de la situation de travail, afin d’y apporter des modifications .
.
Cette démarche est largement développée aujourd’hui pour prévenir les TMS. Sur la base
d’un diagnostic ergonomique construit, les acteurs sociaux et les experts vont dans les ateliers
mettre en place des solutions de prévention sur la base de l’analyse des postes et des situations de
travail, des connaissances scientifiques établies, des spécificités de l’entreprise et des
possibilités de transformation. Chaque entreprise se doit d’adapter les solutions mises en place
en fonction de ses spécificités et de l’évolution de son environnement car il n’y a pas de
recettes toutes faites pour prévenir les TMS. Seule une approche contingente permet d’obtenir
de bons résultats.
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Si vous recevez des visiteurs, mettez-vous à leur place et soyez aussi critique que possible sur
le confort, sur l’image donnée, sur les indiscrétions possibles, etc.
Disposez votre bureau selon votre capacité à vous concentrer. Dans une entreprise, un
collaborateur, assis à son bureau, porte ouverte, avait tout le couloir en enfilade devant lui.
Tout le monde le saluait en passant ; c’était sympathique, mais que de distractions ! Nous
avons parlé de ce problème, il a choisi de tourner sa table de manière à ne plus faire
face au couloir, le problème était résolu pour lui. Parfois dans les bureaux partagés ou
espaces paysagers, il est agréable de se faire face bureau contre bureau. Cependant pour ceux
qui ont de la peine à se concentrer ou qui ont beaucoup d’appels téléphoniques, cela crée
trop de perturbations !
Vérifiez la hauteur de votre siège par rapport à votre table et à votre écran. Vérifiez la
résistance de votre dossier à la pression de votre dos. Une bonne position vous évite des maux
de dos ou de nuque.
Vérifiez la disposition de votre écran. Si vous passez des heures chaque jour à travailler sur
écran, les ergonomes conseillent :
• le haut de l’écran se situe à la hauteur de vos yeux quand vous vous tenez le dos droit sur
votre siège ;
• l’écran est à placer à environ 60-80 cm de vos yeux ;
• l’écran est positionné de manière à ne pas réfléchir la lumière d’une fenêtre ou d’un
éclairage ;
• l’écran devant une fenêtre n’est pas un bon choix en raison du contraste de lumière fatigant
pour les yeux.
Le téléphone est à placer à portée de main, en économie de mouvement. Si vous
passez beaucoup de temps au téléphone, optez pour un téléphone mains libres (oreillette ou
casque). Vous n’aurez plus besoin de chercher à coincer le combiné entre la tête et l’épaule
quand vous aurez besoin de vos mains. Vous pourrez téléphoner et prendre vos notes
directement sur votre ordinateur : grand confort !
Votre éclairage (fenêtres ou lampes) doit être suffisant sur votre table de travail et dans vos
lieux de classement.
Hormis les dossiers dont nous avons déjà parlé, chaque chose a une place adaptée. Les
meubles, objets ou machines devenus inutiles quitteront la pièce pour libérer de l’espace.
Les affichages muraux sont à réactualiser de temps en temps.
Personnalisez votre espace de travail pour en faire un lieu agréable pour vous, vos collègues
et vos visiteurs. Aménagez avec ce qui vous plaît et ce qui convient à l’image de l’entreprise
et à votre fonction.
(Voir Tarek PDF dedans exposé d conditions du travail + PPT d les acteurs) selon le code du
travail européanne
(Ouvrage mieux vivre en entreprise page 147 SCHLOAR VOX + ouvrage : Risques et
souffrance au travail : 97) selon le code du travail marocaine
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6) Les conditions de travail (la qualité de vie au travail, le bien-être au travail) :
+Wiam PDF
+ZOOM’s relation sociales + les risques professionnels ( My tél + Site : relation + santé au
travail 173 tan 221)
-Le CHSCT
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Conditions de travail : elles désignent
d’une manière générale l’en-
Les conditions de travail : environnement dans lequel les employés vivent sur leur lieu de
travail et concernent toutes les caractéristiques qui entrent dans le cadre du travail.
Cela couvre l’environnement physique, matériel et humain lié au poste de travail, le contenu
de l’organisation du travail (amplitude horaire, conditions matérielles, ergonomie du lieu de
travail, tâches et activités à réaliser, ambiance de travail, avantages sociaux, pénibilité et
risques, relations professionnelles…).
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Les questions :
1-HISTORIQUES : ( MAYO+MASLOW+NFOT)
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5) le harcèlement moral :
-les causes
-les conséquences
Ouvrage :
-wiam et tarek
-Le CHSCT
-Mobbing page 97
-Harcèlement en entreprise
-Harcèlement au travail
-Harcèlement moral
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Plan de cours :
Zom’s tél page 165 tan 189
Ouvrage :
Ouvrage :
Ouvrage :