Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
ASTUCES IMPORTANTES :
Il est important de savoir que chaque partie devrait avoir équilibre au niveau des
pages. Une partie ou un chapitre ne doit pas être trop grand plus qu’un autre.
Il est possible de faire des dossiers de fiche de lecture ; chaque dossier peut
correspondre à un chapitre afin d’évoluer de manière cohérente et organisée.
Des conclusions de chapitre doivent également être faites et ces conclusions
doivent annoncer le chapitre suivant.
Dans certains cas, il sera question de reprendre les termes des auteurs. En effet,
lorsqu’on cite un auteur, l’on n’ajoute rien de personnel. Mais il est possible,
dans la mesure où la citation d’un auteur est trop longue, l’on pourrait mettre des
parenthèses puis deux points entre celles-ci. L’on fait une citation lorsque ce que
l’on est en train de dire est particulier ou original. Lorsqu’on cite, l’on doit éviter
donc éviter de le faire à tort et à travers. Une citation n’a de sens que par rapport
à la place qu’elle occupe ou à la dynamique qu’elle implique dans le mouvement
de notre pensée. (Ayant développé une idée propre, l’on pourrait supposer que
cela est un peu prétentieux de notre part, alors il est important de citer un auteur
qui est allé dans le même sens que l’idée que l’on veut mettre en exergue).
En effet, il est anormal de citer un grand auteur pour annoncer une idée
banale. Il faut aussi éviter les citations trop longues.
Si le rédacteur pense que l’auteur qu’il cite, a donné des informations très
pertinentes, et qu’une simple synthèse ne peut être faite. Cette note devra être
écrite, mais la prochaine fois qu’elle reviendra sur une autre page, il faudra ici,
utiliser une abréviation approprié (op.cite ; idem ; ibidem).
Lorsque l’on doit citer un auteur, il est important d’avoir lu l’ouvrage en
question. Il est déconseillé de citer un ouvrage dont on ne maitrise pas le
contenu. Il existe par exemple des citations à l’intérieur des ouvrages que nous
lisons, mais ces citations ne doivent pas être utilisées dans le cadre de notre
travail de recherche car il serait impossible de donner de crédit, ni de justifier ce
qui se dit dans cette citation. Il est possible dans ce cas de figure de citer plutôt
l’auteur de l’ouvrage et mentionner la page où apparait la citation en question.
Dans le cadre des travaux de recherche, les citations sont mentionnées entre
guillemets. Les mots ou phrases qui se trouvent dans une autre langue, quant à
elles sont écrite en italique.
Au niveau de l’introduction :
Il est important au début de situer le sujet.
Il existe 04 éléments essentiels dans l’introduction :
- L’objectif que l’on veut atteindre (la problématique permet de répondre à
cela ; c’est le fait d’aborder une question sur un problème).
- Les idées principales (celles que l’on veut développer). Celles-ci doivent
être incluses dans l’introduction. Les idées secondaires ne doivent pas être
mentionnées dans cette partie.
- Le guide de lecture (c’est le plan qui sert de guide)
- Les concepts bien définis
L’emplacement de l’introduction
Les abréviations doivent se terminer par un point (Faire attention de mentionner
que dans le document, il y’a des abréviations, acronymes, sigles, alors qu’il n’y
en a pas.
La longueur de l’introduction ; elle n’est pas fixe. Tout est fonction du volume
de l’ouvrage.
Au niveau du développement :
Cette partie suppose que l’on a déjà eu à réaliser un certain nombre de tâches.
Cela suppose que l’on s’est déjà fixé un objectif précis. L’on ne peut rédiger si
l’on ne dispose pas préalablement d’un plan de rédaction (celui-ci permet de
nous guider tout au long de la rédaction). Tous les dossiers doivent déjà avoir
été regroupés à ce niveau.
Au niveau de la conclusion :
Pour être compris, il faut répéter les idées plusieurs fois ; Les idées mentionnées
préalablement dans les autres parties doivent donc être répétées dans cette partie.
Lorsque l’introduction annonce (ce que l’on veut dire et faire), la conclusion
quant à elle permet de rappeler le message et déboucher sur des propositions.
L’hypothèse émise au départ est donc vérifiée dans cette partie. A la fin, il est
important de faire le bilan ou le point. Pour bien faire le bilan, il faut tenir
compte de la rigueur d’analyse (celle-ci permet d’illustrer que les aspects du
problème ont été bien abordés dans le travail) et l’esprit de synthèse (qui
permet de discerner et accéder à l’essentiel en distinguant les idées principales,
des idées secondaires). Une fois que cela a été fait, l’on suggère qu’il y’ait à la
fin une ouverture du débat ou perspective.
LE ROLE DE L’ECRITURE
Après avoir étudié, réfléchi, collecté les données, il convient de partager avec les
autres. En écrivant, nous apprenons à maîtriser notre expérience, notre réflexion,
et à rendre notre pensée apte à affronter celle des autres. Il est donc
impératif/important de nous soucier du degré de communicabilité de notre texte.
Ce qui compte dans la rédaction à autrui, c’est moins ce que nous disons, que ce
qui est considéré comme important par le lecteur. Pour cela, il convient de
veiller à :
- La facilité de lecture (l’aisance avec laquelle un lecteur parcourt un texte)
- L’intérêt humain (il est centré sur la chaleur qui se dégage de la
communication, sur la richesse de la pensée de l’auteur, sur la profondeur
de son raisonnement, et surtout sur la possibilité de toucher la sensibilité
du lecteur). Pour cela, il convient de se mettre face à la personne à qui on
écrit ; parler dans son langage ; parler avec des images ; parler seulement
de ce que vous connaissez ; éviter les fautes d’orthographe et
d’étourderie ; éviter les fautes d’usage et du genre (il s’agit des fautes
communes dont on a suivi chez d’autres, mais qui ne sont pas
acceptables) ; éviter les fautes d’accord et d’incompréhension (il s’agit
des fautes que l’on fait lors de notre rédaction en pensant qu’il s’agit des
locutions acceptables, mais que les autres ne comprennent pourtant pas) ;
faire des nuances de mots ; faire attention aux paronymes (ils offrent une
même prononciation mais n’ont pas le même sens : exple… évènement et
avènement) ; utiliser des mots-liens ou connecteur logique ; faire des
euphémismes (c’est une figure de rhétorique qui sert à l’adoucissement
d’un mot jugé dur) ; mettre des ponctuations (elle mettent plus de clarté
dans un document en destinant par des signes : des rapports existants entre
les parties constitutives d’un texte en général, et de chaque phrase en
particulier.
Le Paragraphe : Dans un paragraphe, l’on développe une seule idée en essayant
de suive la démarche suivante. Primo, il faut présenter l’idée générale du
paragraphe en une formule claire et brève. Secundo, il faut expliquer les raisons
de ce choix en présentant sa propre opinion, mais surtout des faits car affirmer
sans prouver, c’est perdre sa crédibilité. Tercio, il faut nuancer pour ne pas faire
d’affirmations péremptoires. Il faut aussi illustrer à l’aide d’exemples prises
dans une expérience propre. Et enfin, il faut faire une synthèse en faisant le point
en fin de paragraphe.
La Partie : Elle a pour fonction d’attirer l’attention du lecteur sur les idées fortes
et les grandes structures de la démarche (Il peut s’agir d’un travail en 2 partie,
où la 1ère peut être consacrée à l’idée générale et la 2e, à une synthèse). Chaque
partie est constituée de chapitre. Le passage d’un chapitre à un autre se fait à
l’aide d’une transition. La transition sert de liaison tout au long d’un écrit pour
que le passage d’une partie à l’autre, d’un chapitre à l’autre, se fasse avec
cohérence. Les transitions doivent être courtes.
Il y’aura 2 exercices :
- Remettre une fiche de lecture d’un ouvrage de votre choix
- Répondre à des questions
Date : 23/06/2021
LA PROBLEMATIQUE (Dr. Tasse)
Elle doit poser un vrai problème. Comment l’UA s’engage dans la résolution des
conflits de pouvoir en Afrique ?
Date : 24/06/2021
Le contenu de la bibliographie
La bibliographie est le socle sur lequel repose le travail scientifique. C’est à
partir d’elle que le chercheur développe sa démarche. Elle comprend :
- Les ouvrages généraux
- Les ouvrages spécifiques ou spécialisés
- Les articles
- Les documents officiels
- Les documents sonores
- Les mémoires et thèses
- Les rapports
N.B : les ouvrages sont classés par ordre alphabétique des noms d’auteurs,
lesquels sont écrits en lettre majuscule.
Au niveau des articles, l’ordre de référencement est le suivant :
nom_prénom_ « titre »_nom de la revue (si l’on veut)_année_page (préciser la
page de début et de fin exploité)
1- Le support
Dans cette partie, on a les éléments suivants : les orateurs (une soutenance
orale interdit toute forme de lecture) et les auditeurs.
L’on peut utiliser des supports efficaces (physiques à l’exemple des fiches,
mais l’on ne doit pas avoir les yeux rivés tout le temps sur ces fiches)
Pour le cas des auditeurs, il est important de remettre aux membres du jury,
un document qui contient plusieurs fautes (des erata). Chacun des membres du
jury doit trouver le document à sa place. Il est possible de faire des présentations
à l’aide des powerpoints et d’un vidéo projecteur. Pour susciter l’empathie du
public, il faut :
- Se renseigner sur les membres du jury (savoir quels sont leurs centres
d’intérêt)
- S’assurer que l’écoute soit conforme pour le jury
- S’assurer que le protocole soit effectif pour les membres du jury (Il s’agit
de la disposition des chaises des différents membres dont le souteneur lui-
même. Si parmi le jury il y’a une femme, l’on doit la mettre à la droite du
souteneur. Le rapporteur sera celui qui est le directeur de mémoire).
L’examinateur pourrait avoir l’air un peu agressif vis-à-vis de l’étudiant qui
soutient, mais il faudrait être posée et tranquille. Il est nécessaire des répétitions
de soutenance afin d’être préparé à toute éventualité.
FIN