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ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE DE LA
NOTION DU PALIER MAGNETIQUE
ET MISE EN PRATIQUE PAR
LEVITATION D’UN CRAYON
Promotion 2019
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
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Promotion 2019
TENY FISAORANA
Voalohany indrindra dia manolotra fisaorana an’Andriamanitra Ray Tsitoha izay
nanome fahasalamana sy herin-tsaina ka nahafahana nanatontosa ity firaiketam-pahalalana
ity.
Manarak’izany dia tolorana fisaorana ihany koa ireo nanampy sy nandray anjara tamin’ny
sehatra rehetre nandritra ny fanamboarana ity boky ity.
Ireo mpampianatra rehetra koa dia tsy latsa-danja fa tolorana fisaorana ihany koa izay
miezaka hatrany manatontosa ny asa aman-andraikitra rehetra ho entina manatsara ny sehatra
rehetra ety amin’ny sekoly
Farany, dia isaorana sy ankasitrahana ireo fianakaviana sy namana nanome tohana ara-bola,
ara-tsaina sy ara-pitaovana ka nahafahana namita antsakany sy andavany ity asa fikarohana
ity.
Contents
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE
RAPPEL
1.1 Definition:....................................................................................................................7
5 Circuits magnétiques........................................................................................................25
8.2.1 Electroaimants....................................................................................................36
8.3 Calcul.........................................................................................................................38
9 Réalisation du projet........................................................................................................50
9.1 But.............................................................................................................................50
Il y a trois décennies, plusieurs recherches ont été fait sur la technologie de lévitation
magnétique. La plupart des utilisations de cette technologie se trouvent dans les domaines
industriels comme l’application dans le palier magnétiques, des trains a lévitation. Ils sont
notamment utilisés dans les équipements rotatifs à grande vitesse tels que les turbines, les
machines-outils, les pompes à vide ou les compresseurs. Une utilisation importante est celle
des dispositifs de stockage d’énergie a volant d’inertie, dans des applications allant des
satellites aux équipements biomédicaux. En d’autres termes tous révolution technologique de
sustention magnétique se base sur le mécanisme de lévitation magnétique quoi qu’il en soit
appliqué dans les machines tournant ou dans le mouvement linéaire. Parmi les atouts de cette
technologie, il permet réduire les frottements entres les pièces due au contact mécanique, la
lubrification, les forces de friction et ainsi contribue à la protection de l’environnement qui
est une tendance du 21 -ème siècle.
Grace à cette importance de cette méthode nous amène à faire une étude bibliographique de
la lévitation magnétique appliquée dans le domaine tournant qui est appelée « Palier
magnétique ». Les paliers magnétiques (AMB) ont été conçus pour pallier les insuffisances
des paliers lisses ou des roulements à billes classiques. Quant à la domaine pratique, on
illustre un phénomène de lévitation par aimant et électroaimant d’un crayon à faible vitesse
pour initier dans cette technologie. Le présent travail, intitulé « Etude bibliographique de la
notion du palier magnétique actif et mise en pratique par lévitation d’un crayon » a alors
comme objet principal d’étudier les notions théoriques du palier magnétique actif afin de tirer
une fonction qu’on peut améliorer le projet à long terme et aussi de mettre un système simple
pour prototypage d’une lévitation à faible vitesse.
Pour aborder alors dans ce thème, Il est nécessaire de distinguer les étapes à suivre dans cette
étude. Elle se divise alors en quatre parties :
Les scientifiques anciens ont découvert l’effet magnétique des minéraux de magnétite
naturels dès 600-400ans avant Jésus-Christ (JC).
Au 12e siècle, la boussole est utilisée par de nombreux marins chinois (ancien
boussole chinois)
Hans Christian Oersted découvre en 1820, assez accidentellement, que le flux de
courant électrique influence l’aiguille d’une boussole. Le lien entre l’électricité et le
magnétisme a été découvert.
Hans Christian Ørsted, 1777-1851
En 1842, Samuel Earnshaw publie son célèbre article « On the nature of the
Molecular forces which regulate the Constitution of the Luminiferous Ether” (le
théorème d’Earnshaw) sur l’équilibre des forces dans les champs statiques. Werner
Braunbek interprète le théorème 1939 dans le sens de la lévitation magnétique
purement permanente d’un objet n’est possible qu’en utilisant des matériaux
diamagnétiques.
Jesse Beams utilise des paliers magnétiques actifs pour le développement de
centrifugeuses à uranium dans le cadre du projet Manhattan dans les années 1940. Le
brevet « Suspension of Rotatable Bodies » est déposé.
Avec l’augmentation de la puissance de calcul et le développement d’unités de
traitement relativement petites, la recherche internationale sur les paliers magnétiques
commence à se développer à la fin des années 70 et 80 du XXe siècle.
À peu près à la même époque, les premiers paliers magnétiques industriels sont
utilisés dans les turbomachines et les pompes vide à grande vitesse.
En 1988, le premier symposium international sur les roulements magnétiques (ISMB)
se tient à Zurich, en Suisse. Depuis lors, le symposium attire tous les deux ans des
participants scientifiques et industriels.
Aujourd’hui, les roulements magnétiques ont trouvé leur place dans de nombreuses
applications où les ils repoussent les limites, voire permettent des approches
totalement nouvelles des problèmes de roulements.
Les suspensions magnétiques sont utilisées dans des domaines très différents. Elles peuvent
supporter des pièces d’à peine quelques grammes telles que des disques de compteur
électrique jusqu’à des machines de plusieurs tonnes telles que certains compresseurs. Les
parties sustentées peuvent être immobiles (télescopes) ou soumises à des vitesses élevées
(centrifugeuses, turbines, etc.). Les principales applications sont maintenant précisées.
Le spatial
Une partie des recherches effectuées dans le domaine des paliers magnétiques a été menée
par des entreprises telles que l’Aérospatiale en France ou la Nasa aux Etats-Unis. La
principale application des suspensions magnétiques dans le spatial concerne la mise en œuvre
des volants d’inertie permettant de stabiliser un satellite ou bien d’emmagasiner de l’énergie.
Les paliers magnétiques sont aussi utilisés dans certains dispositifs de prise de vue.
L’usinage
Les suspensions magnétiques permettent d’équiper des broches d’usinage et de faire tourner
des outils de coupes (rectification et fraisage) à des vitesses de rotation difficilement
accessibles avec des broches à roulement s plus conventionnelles. De telles broches tournent
à des vitesses allant de 15 000 à 150 000 tr/min pour des puissances respectives de 50kW à
quelques centaines de Watts. EN dehors de leurs performances dans le domaine des vitesses
élevées, les paliers magnétiques apportent une grande précision en rotation lors de l’usinage.
Les turbocompresseurs
Ce sont souvent des machines de grande puissance : il existe des gammes de 2 MW à 20 000
tr/min jusqu’à 25 MW à 7 000 tr/min (source S2M). Ils sont utilisés dans l’industrie du gaz,
en production, transport et stockage ainsi qu’en pétrochimie. Les paliers magnétiques actifs
apportent une solution aux problèmes de vibration, d’alignement, de joint et de maintenance.
Les turboexpanders
Ce sont des machines rapides permettant la détente des gaz. Ils sont utilisés dans des
opérations de traitement, de refroidissement, de purification, de séparation ou de liquéfaction.
Ces machines sont généralement puissantes et rapides : de 10 000 à 50 000 tr/min et quelques
centaines de KW ou plusieurs MW (source S2M).
Elles permettent d’obtenir un vide très poussé grâce à une turbine tournant à grande vitesse.
Le vide obtenu peut atteindre 10–10 mbar. Les paliers magnétiques sont employés dans les
pompes turbomoléculaires car ils permettent d’atteindre des vitesses élevées (100 000 tr/min)
sans polluer l’atmosphère environnante avec un lubrifiant. La suspension peut être active ou
partiellement passive : les deux solutions existent industriellement.
Les centrifugeuses
Elles permettent, grâce à leur vitesse de rotation extrêmement élevée, de séparer des
substances de densités différentes. Elles rendent possible l’enrichissement de l’uranium à un
taux que peu d’autres méthodes peuvent atteindre. Là encore, l’intérêt du palier magnétique
vient du fait qu’il permet d’atteindre des vitesses importantes tout en étant compatible avec le
milieu environnant. Ce sont essentiellement des paliers passifs qui sont utilisés pour cette
application.
Ils permettent de stocker de l’énergie sous forme cinétique. Ils sont constitués d’un rotor à
grande inertie, d’un moteur et de paliers permettant la rotation à grande vitesse de l’ensemble.
Le moteur permet d’accélérer ou de ralentir le rotor et donc de stocker ou restituer l’énergie.
Les paliers doivent permettre la rotation de l’ensemble avec le moins de pertes possible et
sans usure prématurée. Des sociétés américaines proposent des systèmes de stockage de ce
type. Ce procédé est propre (pas de pollution chimique), à une grande durée de vie (pas
d’usure) n’est pas sensible à la température, et permet dans certains cas d’offrir un coût
inférieur à celui des batteries.
Figure 6.Stockage d’énergie par volant d'inertie
∫ Hdl=I
Figure 7.Champ magnétique crée par un courant circulant dans un fil
I
H ( r )=
2 πr
Quant ’au phénomène du circuit électrique : une force électromotrice déplace des électrons
qui circulent dans le milieu.
La force produite est reliée au courant qui circule et au nombre de tours dans la bobine :
F=N . I
I : le courant
B=μH
La perméabilité du vide est µ0 = 4π.10-7H/m. La perméabilité de l’air est presque la même que
celle du vide.
Le flux magnétique circulant dans une surface S est défini comme : ∅=∫ B . dS
s
μo ( I ⃗
dl × u⃗ )
d⃗
B= .
4π r2
Avec
Les caractéristiques de d ⃗
B sont :
dl e tu⃗ .
La direction : perpendiculaire au plan formé par et ⃗
Le sens tel que le système de trois vecteurs (dl, u,dB) forme un trièdre direct ou
encore défini par le Bonhomme d’Ampère ou la règle de la main droite ;
Le point d’application qui est le point M.
^
Module : si (⃗
dl , ⃗u) =α
μ o I dlsinα
dB= .
4π r2
Par contre, dans le cas d’une spire ou une bobine traversée par un courant, le sens de
l’induction magnétique engendré par le courant est indiqué par le pouce en enroulant les
doigts dans le sens du courant.
N . dz
Une tranche de solénoïde de longueur dz contient spires.
L
N . dz
Elle correspond à un courant égal a .i
L
Figure 11.solénoïde
dF=i ⃗
dl× ⃗
B
Une portion de conducteur parcourue par un courant électrique et placée dans un champ
magnétique est soumise à une force électromagnétique appelée force de Laplace.
M ou⃗
La caractéristique magnétique d’un matériau se classifie par la mesure ⃗ B.
M Vecteur aimantation est une variable de configuration de la matière au même titre que la
⃗
polarisation électrique ou la déformation élastique. Elle dépend surtout du champ et de
l’induction magnétiques, mais aussi de paramètres extérieurs comme la température, la
pression, l’histoire du matériau, la direction d’application du champ.
B=μ0 (⃗
On a donc l’induction magnétique totale s’écrit donc : ⃗ H +⃗
M)
χ ӘM
m= <0 ,
ӘH
,
χ m 10−5
χ m : Susceptibilité magnétique
Une orientation spontanée des moments magnétiques sous l’action d’un champ
extérieur
Une aimantation spontanée non nulle.
C
χ m = > 0 χ m 10−4
T
Exemple: Fer, Nickel, Cobalt…
4.1.4 Matériaux ferrimagnétiques et antiferromagnétiques :
Pour certains cristaux ioniques, dont la maille contient au moins deux espèces chimiques
différentes, chaque ion possède un moment permanent différent et n’interagit pas de la même
manière avec ceux de son espèce et avec les autres.
Ce sont des corps ferromagnétiques mais domaines d’aimantation modérée parce que les
différents dipôles prennent des orientations opposées et se neutralisent partiellement. C’est
comme s’il existait deux sous réseaux d’aimantation opposée : Ferrimagnétisme
5 Circuits magnétiques
5.1 Analyse linéaire d’un circuit magnétique
Un circuit magnétique est semblable à un circuit électrique. C’est un parcours fermé qui est
réalisé avec un matériau magnétique de haute perméabilité. Cependant, on faire quelques
hypothèses :
Une force magnétomotrice F= N.I force un flux ∅ à circuler dans le circuit magnétique.
B=μ H
F
∅=
R
On appelle R la reluctance du circuit magnétique. La réluctance est une quantité qui
caractérise la « résistance » du circuit magnétique au passage du flux.
On a alors
l
R=
µS
ns nc
∑ H i li=∑ ¿ I i (1)
i=1 i=1
ns Bi l i nc
∑ μ i =∑ ¿ I i (3)¿
i=1 i=1
¿
Et comme dans le système présenté dans le système ci-dessus (figure 12), il y a deux
2 Bg g
entrefers On a : =¿ → B g=μ g ∋ ¿ (4)¿
μg 2g
La force électromagnétique (f) est égale à la dérivée énergétique (E) en raison de l'entrefer
qui peut être exprimé comme suit :
dE 1
f= =B g H g A g= B 2g A g (6)
dg μg
1
f= ¿¿
μg
Selon ce qui précède, Les forces exercées par ces deux électro-aimants sur le rotor peuvent
écrite comme suit :
1 i 21 i 22
2
( )
f r=f 1 −f 2 = μ g N A g 2 − 2 (8)
4 g 1 g2
g1=G−x
g2=G+ x
On utilise alors le théorème de Taylor pour linéariser la force fr= (I, g) autour d’un point de
fonctionnement (Io, go). Afin de représenter le système sous fonction de transfert.
7.2.1 Théorème de Taylor
Notations : Soit I un intervalle de R, xo un point intérieur à I et f : I R une fonction. On fixe
un entier naturel n.
On dit qu’une fonction est de classe Cn sur I si elle est n fois dérivable sur I, et si sa dérivée n-
ième est continue sur I.
Supposons que f soit de classe Cn sur I. Alors, pour tout h ∈ R tel que xo + h appartient à I on
peut écrire :
' ( x 0) h2 2 hn n hn
f ( x 0 +h )=f ( x0 ) + h f + f ( x 0 ) +…+ f ( x 0 ) + ε ( h )
2! n! n!
n
hk ( k )
¿ ∑ f ( x0 ) + hn ε ( h )
k=0 k !
i 1=i p +i c
i 2=i p−i c
1
f r=f 1 −f 2 = μ g N 2 A g ¿
4
f r=F o +k i i c + k x x
Avec
F o=(I 0 , x 0)
∂f r
k i= ( | )
∂ ic
x =0
k x= ( ∂∂fx |i =0)
r
c
4 μgi p N2 Ag 4 μ g i 2p N 2 A g
f r=F o + i c + x (10)
G2 G3
∑ F=m ẍ
Alors on a:
F o+ k i i c +k x x −F g=m ẍ
Ce qui donne,
k i i c + k x x=m ẍ (11)
k i I ( P ) +k x X (P)=m P 2 X ( P)(12)
X (P ) ki
= (13)
I (P) m P 2−k x
Avec,
R : résistance de la bobine
L : Inductance de la bobine
I ( P) 1
= (16)
U ( P) R+ LP
X (P ) X ( P) I ( P)
= × (17)
U ( P) I (P) U ( P)
Alors on a,
X (P ) 1 ki
= ×
U ( P) R+ LP m P2−k x
X (P ) 1 ki
= ×
U ( P) R+ LP m P2−k x
Par conséquent,
X (P ) ki
= (18)
U ( P) 3 R 2 kx kx
P + P − P− R
L m Lm
Pour avoir des résultats plus performants, il est nécessaire d’utiliser des correcteurs en
boucles fermés de ces fonctions de transfert du système. Il est tout à fait possible d’utiliser un
PID qui permet d’obtenir une erreur statique nulle, ou même de stabiliser le palier par un
correcteur lui-même instable.
Figure 15 Schéma d’un palier magnétique actif
TROISIEME PARTIE
EXPERIMENTATION
ET
INTERPRETATION
Chapitre 3. Calcul et dimensionnement pratique du prototype de
palier à lévitation magnétique.
INTRODUCTION
8.2.1 Electroaimants
Les électroaimants sont constitués par une tige en fer pour faire canaliser le flux
magnétique au sens approprié à la lévitation de la partie tournante. Il y a une bobine de fil
de cuivre qui s’enroule sur la tige de fer séparée par des isolants pour éviter le contact
direct entre les bobines et la tige de fer.
Tige en fer :
La bobine est constituée des fils de cuivre du type AWG (American Wire Gauge) 16
de diamètre de 1.29mm, de section 1,31mm2. Le fil de cuivre a pour résistance totale
de 8,4 Ohms. Cette bobine a pour nombre de tour de 650 Tours.
Figure 21.Electroaimants
Alimentation :
Pilote de blocage :
Ce matériel a pour rôle de bloquer les mouvements axiaux du rotor. On utilise un matériel
lisse pour diminuer la force de friction.
8.3 Calcul
Poids du rotor
P=m. g
P=0,17N
Courant de la bobine
U =R . I
U
I=
R
I=1.42A
F= 923 A.t
Les deux bobines sont parcourues par des courants similaires, de nombres de tours identiques
aussi. Alors les forces magnétomotrices des deux bobines sont égaux
Expression de la force entre les aimants du partie non tournante et la partie tournante
L’énergie potentielle d’interaction entre deux dipôles de moment dipolaires P1 et P2
est donnée par :
P 1. P 2 3 ( P 1. X ) ( P 2. X )
U= 3
− 5
|x| |x|
Pour commencer, nous avons besoin de l'expression de la force entre deux dipôles
magnétiques. Considérons deux dipôles magnétiques de moments dipolaires p1 et p2,
le vecteur de déplacement entre leurs centres étant r dans la direction p2 vers p1. La
force F exercée par p2 sur p2 sur p1 est donnée par [5] :
3 ( P 1. r ) 2 3 ( P 2. r ) 3 ( P 1 P2 ) 15 ( P 1. r ) ( P 2. r )
F= 5
p+ 5
+ 5
r− r (1)
r r r r7
Puisque l’aimant subisse la force d’interaction entre les deux aimants de la partie base
donc la force est multipliée par 2.
Alors on a la force totale :
3 ( P1. r ) 2 3 ( P 2. r ) 3 ( P 1 P 2 ) 15 ( P 1.r ) ( P 2.r )
Ft =2[ 5
p+ 5
+ 5
r− r ](1)
r r r r7
Pour que l’on puisse une position stable et horizontale donc il faut les forces
entres l’interactions des aimants du base et l’aimants de la partie tournante sont égaux aux
forces d’interaction entre les électroaimants et les aimants de la partie tournante.
Pour l’utilisation, on doit tout d’abord, décrire le problème (la forme géométrique, propriétés
ou caractéristiques des matériaux, sources,)
Quickfield est une application Windows native, conçue spécifiquement pour cette plateforme.
Le logiciel exploite pleinement les avantages d’un environnement opérationnel moderne. Il
est très compact, mais puissant, et peut être utilisé pour de nombreuse application de
conception. Les utilisateurs ont la liberté de pouvoir développer leurs propres programmes
personnalisés à l’aide des objets et fonctions Quickfield.
Figure 24.Interface du logiciel Quickfield
Fonctionnement du partie 1
On dispose alors les deux aimants de la base du partie 1 de façon qu’il se repousse c’est-à
-dire placée dans le même sens de polarité.
Ensuite pour qu’il y ait le phénomène de lévitation entre ces deux aimants du partie 1 avec
l’aimant de la partie tournante, on met aussi l’aimant de la partie tournante de façon opposée
à celle des deux aimants de la base. En d’autres termes, Ils se posent de même sens de
polarite à celle de l’autres pour avoir un phénomène de répulsion.
F 2 des
L’aimant de la partie tournante alors se repousse vers le haut due au force magnétique ⃗
deux aimants de la base, mais la polarité sud de la partie de la base a tendance d’attirer
l’aimant de la partie tournante. Ce phénomène alors entraine un déplacement latéral du
F 3.
crayon due à la force d’attraction ⃗
Pour arriver à la lévitation, il est utile de bloquer ce déplacement latéral en bloquant la pointe
du crayon par un plan lisse. On utilise un objet lisse pour diminuer le plus petit possible la
N du plan sur la pointe du crayon. En d’autres termes, le pilote de blocage est utilisé
réaction ⃗
pour bloquer le déplacement axial et les interactions entre les aimants assurent la lévitation de
la partie tournante.
Fonctionnement du partie 2
Une bobine parcourue par un courant i crée un flux magnétique de direction suivant la règle
de la main droite.
Figure 32.Flux du champ magnétique dans un solenoide
Pour que la levitation se fait entre les electroaimants et et l’aimant, il faut alimenter les
electroaimants dans le sens du courant necessaire pour avoir de la meme polarite en haut des
electroaimants comme les schema suivante:
En posant l’aimant du partie tournante on arrive alors avec cette schema suivante :
Figure 36.Simulation vue de face l'interaction cu champ magnetiique de l'aimant et des electroaimants(1)
Figure 37.Simulation vue de face l'interaction cu champ magnetiique de l'aimant et des electroaimants(2)
Pour avoir une bonne compréhension de cette système alors on va faire la mise en evidence
par experimentation directe
TROISI
EME
PARTIE
Chapitre 3. ETUDES EXPERIMENTALES
L’études expérimentale est une partie plus importante de ce projet. Dans cette partie, on va
faire la mise en application du système afin de vérifier le résultat et aussi de tirer des
interprétations nécessaires pour mieux améliorer le système dans la vraie application. On
étudie les paramètres qui mis en jeux dans le positionnement et à la stabilité du système.
9 Réalisation du projet
9.1 But
Le but dans ce projet est de mettre en évidence un système qui permet de montrer une
lévitation magnétique. On utilise alors ce mécanisme de lévitation pour l’éviter un crayon à
aimant et que l’on peut tourner à faible régime. On peut dire alors que système n’est pas un
système fiable dans le domaine d’application industriel mais pour faire un mini-projet
d’initiation dans la technologie de lévitation appliquée dans un système tournant ou palier
magnétique. En améliorant cette technique, on peut avoir un système de lévitation qui peut
fonctionner en haute régime applicable dans tous les domaines.
D’après l’études expérimentales aussi, les aimant du rotor se place de 3mm au-dessus des
électroaimants et de 7mm au-dessus des aimants du partie non tournante.
Soit
N
B=μ0 . .i
L
Alors on a,
B=0.106 T
Le force centrifuge de rotation aussi est l’un des paramètres nécessaires a la stabilité de ce
prototype donc pour avoir une rotation un peu stable, on doit avoir une faible vitesse de
rotation.
En ce qui concerne, Cette prototype n’est pas applicable dans le domaine industriel dans les
machines tournant due à l’instabilité a forte vitesse.
Une lévitation magnétique est une technologie qui sert de déplacer ou de de mettre un objet
en position stable ni contact physique direct. Il existe plusieurs applications qu’on peut
appliquer cette technologie. Le présent travail a pour but alors de se consacrer sur
l’application du mécanisme de lévitation magnétique appliquée dans des objets tournants
appelés « Paliers magnétiques ».
On a effectué une étude bibliographique sur l’importance, l’application et la notion théorique
du « palier magnétique », les généralités de l’électromagnétisme et les types des matériaux
sur leurs propriétés magnétiques.
En raison du manque de matériel, on n’arrive pas faire une étude pratique pour réaliser un
palier magnétique avec technique d’asservissement qui est le palier magnétique actif. Ce
dernier nécessite des matériels de précision pour obtenir la position stable. On illustre alors
un système tournant a faible vitesse, un projet simple dont le but est d’avoir l’initiation à
l’application du système à lévitation magnétique. Dans cette partie, on a effectué le
dimensionnement des paramètres géométriques des pièces qu’on doit utiliser.
L ’étude par calcul des différentes forces est indispensable pour avoir une connaissance sur la
stabilité du système. On utilise aussi le logiciel quick Field pour simuler le flux du champ
magnétique qui est le responsable de la lévitation
Durant les essais, on procède a la mise en marche du prototype et on recueilli les mesures de
l’intensité du courant de la bobine. Le résultat nous donne alors des paramètres qui indique la
stabilité du système qui est en fonction du courant et la vitesse de rotation de la partie
tournante.
Vue de ce résultat, on peut dire que l’appareil n’est pas fiable dans le domaine d’application
industrielles, c’est pourquoi nous avons donnés des idées pour la perspective et pour
l’amélioration du projet afin de le mettre en application dans le domaine industrielles
Pour conclure, Il est nécessaire de pousser une étude approfondie sur la technologie de
lévitation magnétique appliques dans les machines tournants, vue qu’il participe à la
protection de l’environnement et aussi une technique fiable pour pérenniser les machines
tournantes,