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THÈME
Étude, conception et réalisation
d’une imprimante 3D
Réalisé par :
AISSAOUI Abdelwahab
Promoteur :
Mr. NAFA Fares
Je dédie ce travail à :
Ma mère
Qui ma soutenue tout au long de ma vie, tous les mots du monde ne sauraient
exprimer la profonde gratitude que je vous témoigne pour tous les efforts et les
sacrifices que vous n’avez jamais cessé de consentir pour mon instruction et
mon bien-être.
Mon père
Qui peut être fier et trouver ici le résultat de longues années de sacrifices et de
privations pour m'aider à avancer dans la vie. Merci pour les valeurs nobles,
l'éducation et le soutient permanent venu de toi.
I
Remerciement
Et enfin, je tiens à remercier toutes les personnes qui m'ont aidé dans la
réalisation de ce projet.
II
Résumé
Résumé
De nos jours, l’impression 3D représente une technique très importante pour les
processus de fabrication des objets solide tridimensionnelle. Ainsi, dans ce travail nous avons
mis en œuvre un prototype d’une imprimante 3D en utilisant la technique de dépôt de matière
fondue.
La conception de notre imprimante 3D est divisée en deux parties : mécanique et
électronique. Pour parvenir à la construction mécanique de notre modèle, nous avons construit
en premier lieu un système cinématique quadri axe : X, Y, Z et E l’axe de la tête d'extrusion.
Les mouvements de ces derniers, sont garantis par le balais de cinq moteurs pas à pas
bipolaires, avec ajout d’interrupteurs de fin de course pour s’assurer que l’imprimante ne
dépasse pas la frontière de la zone d'impression. Ensuite pour la partie électronique, nous
avons conçu et réalisé un système embarqué à base de la carte Arduino MEGA. Ce système
reçoit les commandes par ordinateur et il a le rôle de commander les cinq moteurs pas à pas,
et contrôler et commander la température de la tête d’impression et celle du plateau. Enfin,
pour permettre une communication Homme/Machine, nous avons développé une interface
graphique (GUI) qui assure l’envoie des commandes vers la carte électronique.
Pour conclure, et afin de mettre en valeur notre projet, nous avons réalisé l’impression
de plusieurs modèles 3D avec succès et en approuvant une bonne finition.
III
Table des matières
Dédicace ...................................................................................................................................... I
Remerciement ............................................................................................................................II
Introduction générale.............................................................................................................. XV
IV
Table des matières
V
Table des matières
VI
Table des matières
VII
Table des matières
Bibliographie ............................................................................................................................ 76
Annexe A ................................................................................................................................. 78
Annexe B .................................................................................................................................. 80
Annexe C .................................................................................................................................. 82
Annexe D ................................................................................................................................. 85
VIII
Liste des figures
IX
Liste des figures
X
Liste des figures
XI
Liste des tableaux
Tableau I-1 Tableau de comparaison entre les différentes Technologies d'Impression 3D ..... 17
Tableau I-2 Tableau de comparaison entre différentes imprimantes 3d personnels ................ 22
Tableau II-1 Ordre des différentes commandes pour moteur à reluctance variable ................ 28
Tableau II-2 Ordre des différentes commandes pour moteur unipolaire ................................. 31
Tableau II-3 Ordre des différentes commandes pour moteur bipolaire ................................... 32
Tableau IV-1 Les caractéristiques de l’Arduino Mega ............................................................ 52
Tableau V-1 Liste des différentes commandes accepter par notre imprimante ....................... 61
XII
Liste des acronymes
3D : Trois Dimensions.
X : L’axe X.
Y : L’axe Y.
Z : L’axe Z.
E : L’axe E.
GUI : Graphical User Interface.
STL : Standard Tessellation Language.
FDM : Fused Deposition Modeling.
3DP : Three Dimensional Printing.
MIT : Massachussets Institute of Technology.
RepRap : Replication Rapid prototyper.
CNC : Computer Numerical Control.
IMTS : International Manufacturing Technology Show.
DLP : Digital Light Processing.
SLA : Stereolithography.
CAO : Conception assistée par ordinateur.
UV : Ultraviolet.
2PP : Two-Photon Polymerization.
SLS : Selective Laser Sintering.
DMLS : Direct Metal Laser Sintering.
EBM : Electric Beam Melting.
EBDM : Electron Beam Direct Manufacturing.
NASA : National Aeronautics and Space Administration.
SDL : Selective Deposition Laminated.
PVC : polyvinyl chloride.
FDM : Fused Deposition Modeling.
ABS : Acrylonitrile butadiène styrène.
PLA : Polylactic Acid.
PC : Polycarbonates.
PPSF : Polyphénylsulfones.
LiPo : Lithium Polymer.
Wi-Fi : Wireless Fidelity.
USB : Universal Serial Bus.
SD : Secure Digital.
NEMA : National Electrical Manufacturers Association.
XIII
Liste des acronymes
XIV
Introduction générale
Introduction générale
XV
Chapitre I : Introduction à l’impression 3D
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
I.1 Introduction
Ce chapitre, présente une étude générale sur la technologie d’impression 3D, en
incluant une vue générale sur les différentes techniques et procédés utilisés dans cette
dernière, et citer leurs avantages et désavantages.
Ensuite, on va focaliser notre étude sur l’une de ces techniques, notamment (nommer
la technique) qui est actuellement la plus utilisée par une écrasante majorité d'imprimantes
3D disponibles sur le marché.
Enfin, et afin de choisir la technique à utiliser pour notre modèle, nous allons établir
une étude comparative des différents modèles et des différent fabriquant.
I.2 L’impression 3D
Jusqu'à peu, tous les objets étaient fabriqués selon trois grandes techniques: en
soustrayant peu à peu la matière jusqu'à former la pièce (sculpture, découpe, fraisage
forage…), en combinant plusieurs matériaux (tissage, collage…) ou en déformant le mastère
pour lui donner la forme souhaitée (moulage, pliage…). La fabrication d’un objet combinait
en général ces trois procédés, ce qui nécessitait le recours à de nombreux outils et l’emploi de
différents matériaux. [1]
De nos jours et avec l’impression 3D, cette fabrication est totalement différente
puisque la pièce est créée en un seul passage, couche après couche, au rythme moyen d’un à
deux centimètres de hauteur par heure. Cet objet peut même comporter des mécanismes
internes (comme un roulement à billes), des formes tissées et entrelacées, ou encore des creux
et des courbes. [2]
Or, s'il existe de nombreux procédés d'impression 3D, ils ont tous pour point commun
de réaliser un objet en un processus de couche après l'autre. Cette technique relève de la
fabrication dite «additive», car elle fonctionne par ajout de matière: l'objet prend forme au fur
et à mesure de la solidification des couches. [1]
Cependant, l'impression 3D est réalisée grâce à une imprimante 3D. Cette machine,
qui peut être de taille et d'aspect très divers, est toujours associée à plusieurs logiciels
informatiques, qui sont d'une grande importance dans le processus puisqu'ils permettent de
préparer le fichier 3D de l'objet à fabriquer, et aussi contrôler l'imprimante pendant toute la
durée de l'impression. Une imprimante 3D est donc une machine capable de fabriquer un
objet physique à partir d'un modèle 3D. [2]
1
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
2
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
voit le jour. C’est la première imprimante 3D capable de fabriquer des objets directement en
couleurs.
Pendant dix ans, de 1996 à 2006 environ, les constructeurs vont mettre au point
d’autres modèles, améliorer et développer de nouveaux procédés. Les imprimantes 3D sont de
plus en plus utilisées pour le prototypage rapide et la production de petites séries, mais tout en
restant cantonnées au domaine industriel.
L’idée de rendre cette technologie accessible aux particuliers fait peu à peu son
chemin chez certains acteurs. Plusieurs entreprises émergent de cette vision, principalement
en Europe. En 2007, les Néerlandais Peter Weijmarshausen, Robert Schouwenburg et
Marleen Vogelaar créent Shapeways, un service en ligne d’impression 3D ouvert aux
particuliers. En France, Éric Carreel, Clément Moreau et Jacques Lewiner fondent Sculpteo
en 2009 et développent des outils web qui simplifient l’ensemble du processus d’impression
3D pour l’utilisateur amateur.
En parallèle, d’autres acteurs s’investissent dans le domaine des imprimantes 3D
personnelles. Né dans le monde de la recherche et de l’open source, le projet RepRap mené
par Adrian Bowyer voit le jour en 2005 à l’université de Bath au Royaume-Uni. Il s’agit de la
première imprimante 3D autoréplicante - elle peut imprimer ses propres pièces -, qui s’appuie
sur une technologie très similaire au procédé FDM. Le premier modèle opérationnel, la
Darwin, est disponible en 2007. Il est entièrement open source, ce qui permet à beaucoup
d’utilisateurs passionnés de le reproduire et de l’améliorer.
Aujourd’hui, le marché de l’impression 3D est en pleine expansion et entre dans une
phase de transition historique. En avril 2012, les entreprises Stratasys et Objet ont fusionné,
devenant le pure player de l’impression 3D le plus coté au monde, à 1,4 milliard de dollars,
puis ont racheté en juin 2013 la société MakerBot, le principal constructeur d’imprimantes 3D
personnelles. Autre chiffre saisissant, le marché des imprimantes 3D personnelles est passé de
355 unités vendues en 2008 à 23 265 en 2011 et 35 508 en 2013 ! Les médias se sont aussi
emparés du phénomène et parlent régulièrement de cette technologie, désormais bien connue
du grand public. Les procédés d’impression s’améliorent, les matériaux disponibles se
multiplient et le prix des machines chute drastiquement. Pour 500 € environ, il est maintenant
possible de s’équiper d’une imprimante 3D personnelle relativement performante.
3
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
4
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
Figure I-2 une sculpture mobile articulée, imprimée en 3D d'une seule pièce [7]
Par exemple, il est possible d’imprimer en une seule fois un tissage. La sculpture
précédente a été ainsi entièrement créée par une imprimante 3D. Les anneaux n’ont pas été
assemblés a posteriori, mais fabriqués directement sous forme de maillage. [7]
5
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
Figure I-4 Modèle d’orthodontie imprimé en 3D par une imprimante dentaire [7]
6
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
Figure I-5 Moteur d'avion Rolls Royce comportant des pièces imprimées en 3D [7]
Strati est le nom de la première voiture imprimée sur une imprimante 3D, au centre de
convention McCormick Place, à Chicago, par procédé de fabrication additive. Elle a été
«construite» en 44 heures, et fut testée le 13 septembre 2014. Sa fabrication selon ce procédé
constitue une première mondiale. [8]
7
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
8
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
9
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
10
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
Chacun des matériaux a alors son système de stockage dédié. Parmi les huit têtes
d’impression généralement disponibles sur la machine, deux sont désignées pour chaque
matériau. Chaque tête d’impression est équipée de 96 embouts.
La force de la technologie PolyJet Matrix réside en grande partie dans le logiciel Objet
Studio qui rend possible le contrôle minutieux de l’ensemble du procédé, et notamment la
gestion des fichiers .stl combinant plusieurs matériaux.
Figure I-10 Prototype de voiture de course réalisé avec le procédé 2PPL, de l'ordre du dixième de millimètre [10]
Une voiture de course de 330 x 130 x 100 µm, composée de 100 couches avec une
moyenne de 200 lignes de polymères, a pu être ainsi imprimée en quatre minutes avec une
précision d’1µm par rapport au fichier CAO initial.
11
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
avantage de la poudre est d’offrir une grande diversité de matériaux pouvant être imprimés, le
métal étant l’une des grandes avancées du domaine. [9]
Figure I-11 Schéma explicatif du procédé d'impression 3D par frittage laser [9]
12
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
Les métaux utilisables en DMLS sont l’acier inoxydable, l’acier d’outillage maraging
(type d’acier à caractéristiques mécaniques élevées), le cobalt-chrome, l’Inconel 625,
l’Inconel 718 et le titane Ti6AIV4. Théoriquement, presque tous les métaux sont compatibles
avec ce procédé, à condition d’être convenablement préparés, c’est-à-dire rendus à l’état de
poudre homogène.
L’EBF3, aussi appelée EBDM (Electron Beam Direct Manufacturing), est une variante
de l’E-Beam. Elle permet d’imprimer en 3D dans des environnements zéro gravité. Le
procédé a été développé par une équipe d’ingénieurs de la NASA. Là encore, un faisceau
13
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
d’électrons passe dans un câble sur une plate-forme de positionnement enfermée dans un
caisson en aluminium. Conçue spécialement pour fabriquer des pièces en métal, l’EBF3
permet de travailler une grande variété de métaux (titane, aluminium, nickel, acier
inoxydable...). Il est aussi possible de réaliser des pièces mêlant différents alliages.
14
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
15
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
d’impression se déplace pour laisser apparaître la partie à solidifier. Il existe un autre type
d’impression 3D, consistant à déposer la matière au fur et à mesure. Il s’agit de la technique
du dépôt de filament fondu ou FDM (Fused Déposition Modeling).
Les matériaux utilisés par la FDM sont généralement des thermoplastiques de type
ABS ou PLA. Certaines imprimantes acceptent aussi les polycarbonates (PC), les
polycaprolactones, les polyphénylsulfones (PPSF), l’ULTEM 9085 (un type de plastique
connu pour sa résistance au feu et particulièrement adapté à l’aérospatiale) et des cires.
Pour les structures de support, on se sert d’un matériau soluble à l’eau, qui se dissout
rapidement grâce à un équipement dédié utilisant une solution d’hydroxyde de sodium.
16
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
17
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
suivi le lancement du premier modèle à stéréolithographie par 3D Systems en 1986. Mais ces
dernières années les imprimantes 3D personnelles sont devenues une tendance sur marché.
18
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
La Replicator Mini est la moins, elle s’adresse au grand public souhaitant imprimer de
petits objets sur une machine simple d’utilisation.
19
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
20
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
La Printrbot jr est une imprimante simple, de très petite taille (elle pèse moins de 3 kg)
et très abordable. Son plateau d’impression est de 10 x 10 x 10 cm. Elle est pliable et peut
tenir dans un sac à dos. Ce modèle a aussi la particularité d’accepter une batterie au lithium
(LiPo). Le nombre de pièces a été réduit au minimum et la grue a été très simplifiée. La
Printrbot jr ayant été conçue initialement pour le PLA, son plateau d’impression n’est pas
chauffant. La taille et le prix de cette imprimante en font un modèle particulièrement adapté
aux débutants, étudiants et utilisateurs ponctuels.
Le volume d’impression de cette imprimante est de 15,25 x 15,25 x 15,25 cm, pour
une épaisseur de couche de 75 µm. Le système permet une installation facile du filament
grâce à des cartouches conçues pour la Cube. Dix couleurs sont disponibles, et la Cube 3
accepte aussi bien l’ABS que le PLA. La machine offre de bonnes performances pour une
utilisation familiale, mais s’avère en revanche peu adaptée à un usage professionnel. Les
impressions sont fiables, et le design entièrement fermé de l’imprimante protège les
composants d’éventuels chocs extérieurs.
21
Chapitre I Introduction a l’impression 3D
I.8 Conclusion
Dans ce chapitre nous avons présenté la technologie d’impression 3D en citant les
différents techniques utilisées et ainsi que leurs historiques, et donner une vue générale sur
chaque une d’elles en précisant leur avantages et désavantages.
Ensuite on a cité les différents fabricants des imprimantes 3D personnels, et on a fait
une étude technique sur chaque une d’elle.
Cela va nous a aider dans le chapitre suivant pour faire une étude correcte selon les
normes qui satisfaite le marché
22
Chapitre II : Étude technique sur le projet
Chapitre II Étude technique sur le projet
II.1 Introduction
Dans le chapitre précèdent nous avons vu les différents techniques d’impression 3D,
avec leurs avantages et inconvénients ce qui nous à permis à définir la technique d’impression
3D que nous allons utiliser dans le cadre de ce projet.
Dans ce qui suit, on va élaborer une étude générale sur notre imprimante pour
permettre le choix du matériel à utiliser.
23
Chapitre II Étude technique sur le projet
II.2.2.1 L’axe X
L’axe X c’est une partie importante dans une imprimante 3D car c’est celui qui porte
la tête d’extrusion. Pour assurer un mouvement libre sans frottements et sans vibrations,
nous avons fixé la tête d’extrusion sur roulements linéaires qui se déplacent sur des tiges
lisses (Figure II-3).
24
Chapitre II Étude technique sur le projet
II.2.2.2 L’axe Y
L’axe Y est aussi important comme l’axe X parce qu’il porte le plateau d’impression
(c’est celui qui porte la pièce au cour d’impression). Pour effectuer un mouvement libre sans
frottement on a utilisé le même système que l’axe X : roulements linéaires déplaçant sur des
tiges lisses.
II.2.2.3 L’axe Z
L’axe Z permet de porter tout le système de la tête d’extrusion incluant l’axe X. Pour
effectuer un mouvement libre sans frottement on a utilisé le même système que les deux axes
X et Y : roulements linéaires déplaçant sur des tiges lisses.
Cependant, vu que le mouvement de l’axe Z est en vertical (montant/descendant), on
va utiliser un système d’une tige fileté afin de garantir déplacement sans qu’il tombe. Ce
principe est présenté dans la figure suivante.
25
Chapitre II Étude technique sur le projet
Ils existent trois types de moteurs pas à pas : les moteurs à aimant permanent, les
moteurs à reluctance variable ainsi que les moteurs hybrides. Nous verrons plus tard que les
moteurs à aimants permanents se subdivisent en deux catégories.
Malgré les différences existant entre les moteurs, le résultat recherché est l’avance
d’un seul pas, c’est-à-dire la rotation de leur axe suivant un angle déterminé à chaque
impulsion que l’une ou l’autre de leurs bobines recevra. Cet angle qui varie selon la
constitution interne du moteur, est en général compris entre 0.9° et 90°.
Les moteurs les plus couramment rencontrés présentent des pas de :
• 0.9° soit 400 pas par tour.
• 1.8° soit 200 pas par tour.
• 3.6° soit 100 pas par tour.
• 7.5° soit 46 pas par tour.
• 15° soit 24 pas par tour.
Il est envident que les moteurs pas à pas, de par leurs technologies, présentent une très
grande précision et une durée de vie quasi illimitée, l’usure mécanique étant pratiquement
inexistante (absence de frottement). La figure II-5 en représente l’aspect externe. Leur
domaine de prédilection sera donc ceux ou la précision est de rigueur : les constituants
mécaniques de l’informatique et la robotique.
Les moteurs pas à pas existent entre différentes tailles qui varient entre 1 cm et plus
d’une dizaine de centimètres. Tout dépendra des applications dans lesquelles ils seront
utilises. Le plus petit moteur, par exemple, sera destiné au déplacement des têtes de lectures
dans les disques durs ou un couple très faible est requis. Par contre le déplacement du bras
d’un robot ou un chariot (machine CNC) demandera un couple nettement plus important,
donc un moteur de diamètre élevé.
26
Chapitre II Étude technique sur le projet
-1
Signalons que le couple est exprimé en kilogramme par centimètre (kg.cm ), ce qui
définit le poids en kilogrammes que pourra soulever l’axe d’un moteur pourvu d’un bras de
longueur exprimée en centimètre.
La valeur de leur tension d’alimentation varie dans de grandes proportions, et elle peut
être comprise entre 3V et plusieurs dizaines de volts. De même, selon la résistance ohmique
de leurs bobinages, le courant consommé s’étendra dans une gamme allant de quelques
dizaines de milliampères à plusieurs ampères. En résumé, nous pourrons dire que plus le
courant sera enlevé, plus le couple sera important.
Les moteurs pas à pas peuvent être classés en fonction du phénomène physique qui est
à l’origine de leur mouvement. On distingue principalement, deux catégories de moteurs pas à
pas : les moteurs à reluctance variable et les moteurs polarisés.
Figure II-6 Structure d’un moteur à reluctance variable rotatif à double saillance [17]
La Figure II-6 présente un moteur pas à pas réluctant comportant huit plots au stator et
six dents au rotor ce qui donne un moteur a quatre phases.
Chaque couple de deux bobines statoriques diamétralement opposées et connectées en
série, constitue une des quatre phases de la machine considérée. L’alimentation d’une phase
crée un couple permettant le déplacement du rotor vers une position d’équilibre qu’il garde
27
Chapitre II Étude technique sur le projet
tant que l’alimentation est maintenue. Cet état d’équilibre correspond à une position alignée
entre les dents statoriques porteuses de la phase alimentée et les dents rotoriques. Chaque
nouvelle séquence d’alimentation établit un nouvel équilibre. Le moteur se déplace donc avec
un pas angulaire de 15°.
Le mode de commande peut dans ce cas, de la même façon que pour les autres
moteurs, être monophasé, biphasé ou demi-pas. Les séquences de commandes sont présentées
dans le Tableau II-1.
Tableau II-1 Ordre des différentes commandes pour moteur à reluctance variable
28
Chapitre II Étude technique sur le projet
La Figure II-8 représente le schéma simplifié d’un moteur à aimant. Le premier dessin
de la figure le représente dans sa position de repos, lorsque les bobinages ne sont traversés par
aucun courant. Chacun des pôles du rotor se place devant une paire des plots du stator.
Les quatre dessins du bas de la figure illustrent ce qui se passe lorsque les bobinages
sont alimentés à tour de rôle : d’abord A, puis B, puis C et enfin D. Le pôle nord du rotor sera
attiré par le pôle sud du stator, pole crée par la circulation d’un courant dans le bobinage.
Cet exemple permet de comprendre la progression pas par pas du moteur. Ici, il
effectuera quatre pas par tours.
29
Chapitre II Étude technique sur le projet
ce type moteur est la plus simple de tous les moteurs pas à pas puisqu’il suffira d’alimenter les
bobinages à tour de rôle pour faire tourner l’axe d’un pas. Le schéma de la Figure II-10
résume la séquence la plus simple.
Comme pour chaque type de moteur, le modèle unipolaire peut être commandé en
mode monophasé, biphasé ou demi-pas. Le Tableau II-2 donne l’ordre des différentes
commandes.
30
Chapitre II Étude technique sur le projet
Comme pour le modèle précèdent, ce moteur peut être alimenté sous trois séquences
différentes (Tableau II-3), représentées par ailleurs sur la Figure II-12.
31
Chapitre II Étude technique sur le projet
Dans le mode monophasé, le couple n’est pas très important puisqu’un seul
enroulement est alimenté pour effectuer un pas.
C’est dans le mode biphasé que le moteur développera la plus grande puissance
(couple élevé) car les deux phases seront alimentées en même temps.
Le mode demi-pas permet de doubler le nombre de pas qu’un moteur peut effectuer
par tour, mais cette précision supplémentaire engendre un couple irrégulier. En effet, dans ce
mode, la commande du moteur est un mélange de mode biphasé et monophasé. Dans ce cas, si
la charge est importante, des pas risquent de « sauter », ce qui n’est pas le but recherché.
32
Chapitre II Étude technique sur le projet
Ce type de moteur présente à la fois les avantages du moteur a aimant permanent qui
possède un couple enlevé et ceux du moteur a reluctance variable qui permet d’obtenir un
nombre importants de pas par tour. Toutefois l’inertie d’un tel rotor ainsi que les pertes fer
sont relativement importantes et pénalisent donc cette structure.
Les moteurs pas à pas hybrides réunissent, au moins en partie, les avantages des
moteurs pas à pas à reluctance variable et a aimants permanents, à savoir :
• Un grand nombre de pas par tour.
• Une fréquence propre mécanique importante.
• Un couple massique élevé.
• Un amortissement interne important.
• Une mémoire de position.
Dans sa configuration de base le moteur pas à pas hybride comporte un stator en fer
feuilleté à plots saillants et deux couronnes rotoriques dentées en matériau ferromagnétique,
33
Chapitre II Étude technique sur le projet
Figure II-15 Différents types te têtes de commande du capteur fin de course [19]
34
Chapitre II Étude technique sur le projet
II.4 Conclusion
Dans ce chapitre on a identifié le principe de fonctionnement de notre imprimante 3D,
et on a fait le choix des composants à utiliser pour assurer un bon fonctionnement.
Ensuite on a étudié les différents modèles des moteurs pas a pas, qui sont les
actuateurs de notre système. On a choisit ce type de moteurs a cause de leurs précision
augmenter.
Pour les capteurs on a étudié les capteurs fin de course, ils ont le rôle dans notre
système, empêcher les mouvements sur les axes de la zone de travaille.
Cette étude nous a permis à choisir les différents composants qu’on a besoin dans
notre projet.
35
Chapitre III : Conception de la partie mécanique
Chapitre III Conception de la partie mécanique
III.1 Introduction
A partir des technologies déjà mentionnées pour les différentes imprimantes, nous
allons voir dans ce chapitre la solution globale opter pour la conception de notre imprimante.
Ainsi, nous allons réaliser la conception générale des différentes parties mécaniques
pour permettre la transmission, la transformation des mouvements et pour les guidages.
III.2.1 Le châssis
Une conception du châssis relativement simple mais surtout très rigide. C’est pour cela
que nous avons choisit le profilé le bois. La conception cubique est la plus adapté à notre
situation.
III.2.2 L’axe X
L’axe X assure le mouvement de la buse d’extrusion sur le plan horizontal.
36
Chapitre III Conception de la partie mécanique
Figure III-3 Tête dentée fixé sur l’arbre d’un moteur pas à pas
37
Chapitre III Conception de la partie mécanique
III.2.2.3 Le guidage
L’axe X est l’axe contenant la tête d’extrusion, nous avons donc conçu un support
pour l’extruder qui recevra la courroie pour pouvoir se translater.
La pièce support est conçue pour accueillir des roulements linéaires. Elles suppriment
les frottements génères par la translation sur les tiges lisses.
III.2.3 L’axe Y
L’axe Y assure le mouvement du plateau d’impression sur le plan horizontal.
38
Chapitre III Conception de la partie mécanique
III.2.3.3 Le guidage
L’axe Y contenant le plateau d’impression. Ainsi, pour supprimer les frottements
génères par la translation sur les tiges on a utilisé des guides linéaires fixé au dessous le
plateau.
III.2.4 L’axe Z
L’axe Z assure le mouvement de la buse d’extrusion sur le plan vertical.
39
Chapitre III Conception de la partie mécanique
III.2.4.3 Le guidage
On a 2 pièces de guidage sur l’axe Z. Les deux viennent accueillir les tiges lisses de
l’axe X qui permet la translation de la tête d’extrusion.
40
Chapitre III Conception de la partie mécanique
Les deux sont taraudé pour créer la liaison vis/écrou. Un trou de passage de douille
billes est prévu pour supprimer les frottements entre la pièce 1 est la tige lisse.
Figure III-12 les roulements linéaires fixé sur les 2 pièces de l’axe Z
Pour déplacer le fil de filament la tête d’extrusion nous avons utilisé un système de
poulie son diamètre est 10mm.
Dans notre système on a utilisé une tête d’extrusion MK-08.
41
Chapitre III Conception de la partie mécanique
42
Chapitre III Conception de la partie mécanique
Avec :
𝑃 : Périmètre de la poulie.
𝑃𝑠 : Nombre des pas désiré.
𝐷 : Diamètre de la poulie.
Pour un choix de : 𝐷 = 10𝑚𝑚 𝑒𝑡 𝑃 = 31,4 𝑚𝑚, nous pouvons avoir :
𝐷𝑥 = 𝐷𝑦 = 0,157 ∗ 𝑃𝑠
III.3.2 L’axe Z
L’axe Z utilise le système vis-écrou.
43
Chapitre III Conception de la partie mécanique
Avec :
𝐴𝑝 ∶ L’angle du pas.
𝑃𝑠 : Nombre des pas désiré.
𝑃𝑣 ∶ Distance entre 2 dents d’un vis.
Pour un choix de : 𝐴𝑝 = 1,8° et 𝐴𝑝 = 1,8°
𝐷𝑧 = 𝑃𝑠 ∗ 0,0025 𝑚𝑚
Avec :
𝑃 : Périmètre de la poulie.
𝑃𝑠 : Nombre des pas désiré.
44
Chapitre III Conception de la partie mécanique
𝑉𝑓 = 𝑃𝑠 ∗ 𝑟𝑓 ! ∗ 0,49298 𝑚𝑚!
𝐷𝑓 = 𝑃𝑠 ∗ 3,005078125 𝑚𝑚
𝑉𝑓 = 𝑃𝑠 ∗ 1,50975125 𝑚𝑚!
𝐷𝑓 = 𝑃𝑠 ∗ 8,83125 𝑚𝑚
𝑉𝑓 = 𝑃𝑠 ∗ 4,43682 𝑚𝑚!
45
Chapitre III Conception de la partie mécanique
III.4 Conclusion
Dans ce chapitre nous avons présenté la conception mécanique des différents organes
qui composent notre imprimante 3D.
Pour cette fin, nous avons établis les relations entre le pas du moteur et la distance de
traction, selon les trois axes X, Y et Z, et la relation entre le pas de ce dernier et la longueur et
le volume du filament poussé pour la tête d’extrusion
Ces relations seront la base de la mise en œuvre de la partie programmation et
commande.
46
Chapitre IV : Conception de la partie commande
Chapitre IV Conception de la partie commande
IV.1 Introduction
Ce chapitre sera consacré à l’étude et la conception de la partie commande de notre
imprimante 3D.
Nous allons décrire toutes les parties qui compose notre système : la carte de
commande, les interfaces entrée/sortie, l’alimentation,…etc.
47
Chapitre IV Conception de la partie commande
La tension du secteur est d'abord filtrée, redressée puis lissée pour obtenir une tension
continue entre 325 et 400 V (suivant s'il y a un PFC actif ou non). On la découpe à l'aide d'un
ou plusieurs transistors selon la topologie électrique adoptée et l'on injecte les impulsions
dans l'enroulement primaire du transformateur. Le transfert énergétique s'effectue alors au
rythme du découpage vers les différents enroulements au secondaire pour avoir une tension
plus basse en sortie. En général, il n'y a que 2 enroulements différents au secondaire, un pour
le 12 V et un pour le 5 V. Le 3.3 V sera crée à partir du 5 V. La forme en créneau qui sort du
secondaire est alors redressée par des diodes, puis filtrée pour donner une tension continue la
plus propre possible
La figure VI-3, représente une alimentation d’ordinateur.
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Chapitre IV Conception de la partie commande
Une des choses importantes est le fait que la partie réseau en 220 V et la partie très
basse tension pour la machine sont isolées l'une de l'autre. Il y a des règles strictes
(IEC60950) en matière d'espacement sur le PCB, de distance entre les composants,
d'isolation, etc. On réalise la séparation, dite galvanique, grâce aux transformateurs et à des
liaisons optiques (optocoupleurs) pour piloter les transistors de découpage de l'autre côté.
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Chapitre IV Conception de la partie commande
Cette unité se compose de 4 entrées et 4 sorties. Les deux premiers entrées X4-1 et
X4-2 sont connectées a une tension 12V 10A de l’alimentation extérieur, pour protéger les
composants connecté a se réseau on a utilisé un fusible réparable MFR1000 connecté en série
avec la sortie 12V2.
Les deux autres entrées X4-3 et X4-4 sont connectées à une tension 12V 5A. pour
assurer la protection contre les courts circuits, on a connecté un fusible réparable MFR500 en
série avec la sortie 12V.
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Chapitre IV Conception de la partie commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
Figure IV-11 Montage des connecteurs des capteurs fin de course sur la carte
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Chapitre IV Conception de la partie commande
Les capteurs qu’on a utilisé deviennent conducteurs lorsqu’il y’a un contact, pour ça
on a relié les trois capteurs au vcc (5V) et on mesure la tension de sortie des trois capteurs
avec l’Arduino.
La figure suivante montre les connecteurs des deux capteurs utilisés sur la carte de
commande
Les deux capteurs sont connecté aux bornes TMP1-1, TMP1-2, TMP2-1 et TPM2-2.
On alimente les deux avec 5V et on reçoit les données sur l’arduino à laide de deux
pins analogiques (A13 et A14).
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Chapitre IV Conception de la partie commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
La figure suivante montre le placement des trois mosfet sur la carte de commande
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Chapitre IV Conception de la partie commande
La LED est connecté au pin 13 de l’arduino qui est déjà le pin de la led intégrée de
cette dernière et il montre l’état de l’arduino, alimenté ou non.
Le bouton remise a zéro est connecté a la pin reset de l’arduino pour la remise a zéro.
L’USB qui peut se charger de recevoir les commandes par l’ordinateur est celui de
l’Arduino.
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Chapitre IV Conception de la partie commande
On a fait la conception d’un circuit imprimé double faces, la figure suivante montre la
conception 3D du circuit qu’on a réalisé.
IV.4 Conclusion
Dans ce chapitre On a étudié les différents composants de la carte de commande.
Et on a fait une conception d’une carte électronique qu’on a transformer en circuit
imprimé qu’on a réalisé.
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Chapitre V : Programmation et développement de
logiciel
Chapitre V Programmation et développement de logiciel
V.1 Introduction
Ce chapitre sera consacré à la partie logiciel de notre système. Dans ce qui suit, nous
allons présenté les deux parties composantes du logiciel développé : le firmware (programme
implémenté dans le contrôleur de l’arduino) et le software (logiciel de commande sur
ordinateur).
Tableau V-1 Liste des différentes commandes accepter par notre imprimante
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
V.3 Le firmware
Le frimware est un micro-logiciel résidant sur la carte mère de l’imprimante 3D ; c’est
le microcontrôleur de l’Arduino MEGA.
Le firmware qu’on a développé a deux taches essentiels : recevoir les Codes G, les
envoyer à partir de l’ordinateur ou bien de les récupérer directement à partir de la carte SD.
Ensuite les décoder et les transformer en commandes pour les différents organes de notre
système.
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
V.4 Le software
Le software le logiciel qui se trouve sur l’ordinateur de commande
Le rôle du software est de commander notre imprimante en envoyant des commandes
au firmware de la carte de commande.
Pour le développement du software nous avons utilisé l’environnement de
programmation Processing.
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
Cette interface se compose donc d'une barre d'outils, d'une entrée de texte, là où nous
effectuerons le codage, une sortie de texte, pour afficher du texte, et faire apparaitre les
erreurs.
La bare d’outils est composée de 6 boutons :
• Run : qui permet de lancer le programme, de l'exécuter
• Stop : qui permet d'arrêter l'exécution du programme, de fermer la fenêtre du
programme
• New : qui permet de créer une nouvelle fenêtre vierge
• Open : qui permet d'ouvrir un programme existant, enregistré, ou bien les
exemples de créations Processing préenregistrées
• Save : qui permet de sauvegarder votre fichier
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
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Chapitre V Programmation et développement de logiciel
V.5 Conclusion
Dans ce chapitre on a présenté toute la partie logicielle de l’imprimante. Nous avons
vu que cette partie comprend deux parties : une servant à faire fonctionner la carte de
commande (le firmware) et une autre pour garantir une communication avec l’ordinateur pour
pouvoir envoyer des commande à la carte (le software).
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Chapitre VI : Réalisation et tests
Chapitre VI Réalisation et tests
VI.1 Introduction
Après avoir vu toutes les parties composantes de notre imprimante (mécanique et
logiciel), nous allons présenter dans ce qui suit la mise en œuvre et la réalisation des
différentes parties de notre imprimante 3D. De plus, nous allons effectuer une illustration
d’impression et des tests de fonctionnement pour conclure ce chapitre.
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Chapitre VI Réalisation et tests
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Chapitre VI Réalisation et tests
Après avoir fini la modélisation de notre fichier on l’enregistre sous format STL et
ainsi la première phase de modélisation est achevée.
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Chapitre VI Réalisation et tests
densité du remplissage des objets pleins, etc. Le résultat sera le un fichier codé (G-Code) qui
contient toutes ces informations : c’est ce fichier qui sera lu par l’imprimante.
Dans notre cas on utilise le logiciel de tranchage Slic3r.
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Chapitre VI Réalisation et tests
VI.6 Conclusion
Dans ce chapitre nous avons vu la mise en ouvre de l’imprimante 3D conçu. Après
avoir vu les différentes parties, et nous avons effectué quelques tests pour valider son
fonctionnement. Les tests effectués ont montré des résultats satisfaisants.
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Conclusion générale
Conclusion Générale
Conclusion générale
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Bibliographie
Bibliographie
Bibliographie
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Bibliographie
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[27] R. Longchamp, Commande numérique de systèmes dynamiques: cours d’automatique.
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77
Annexes
Annexe A Le moteur pas à pas NEMA 17
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Annexe A Le moteur pas à pas NEMA 17
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Annexe B Le circuit intégré A4988
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Annexe B Le circuit intégré A4988
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Annexe C Face composants du circuit imprimé
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Annexe C Face soudure du circuit imprimé
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Annexe C Face sérigraphie du circuit imprimé
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Annexe D Caractéristiques des filaments
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