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UNIVERSITE ALASSANE OUATTARA 

K ( x)

UFR SCIENCES ECONOMIQUES  2x 2
 1  
8 xK ( x) 
  2 x 2  1  2 x 2  1 
 8x
K ( x)
 e 4 x  K ( x)  (2 x 2  1)e 4 x
 2 x  1
2 3 2 2

LICENCE 2  
ANNEE UNIVERSITAIRE 2020-2021


 5 x x2  4 x
x

ELEMENTS DE REPONSE DU TD EQUATIONS DIFFERENTIELLES ET D’où K ( x )  (2t  1)e dt      e après des


2 4t

INTEGRALES  16 4 2 
intégrations par parties.
THEME N°1  5 x x2  e4 x
Ainsi, yP ( x)     
16 4 2   2 x 2  1
2
EXERCICE 1

Solution générale
A/ Résolution de l’équation différentielle linéaire d’ordre 1 non- y ( x)  yH ( x)  yP ( x)
homogène ( E ) (2 x  1) y( x)  8 xy ( x)  e
2 4x

K  5 x x2  e4 x
y ( x)  2    où K  R .
 2 x2  1 16 4 2   2 x2  1
2

Solution homogène yH ( x)

Elle vérifie l’équation (2 x  1) y( x)  8 xy( x)  0 . C’est une équation


2

à variables séparables. La résolution de cette équation donne la B/ Résolution de l’équation différentielle d’ordre 1 du type Bernoulli
( E ) xy( x)  2 y ( x)  y ( x)
3
K
solution homogène yH ( x)  où K  R .
 2x  1 2 y( x)
2
2
1 1
On pose z ( x)  31  2  z( x)  3 .
y ( x) y ( x) y ( x)
Solution particulière y P ( x )
( E )  xz( x)  4 z( x)  2 . Ceci est une équation différentielle
Méthode de variation de constante de Lagrange linéaire en z ( x) que l’on sait résoudre.
K ( x) K ( x) 8 xK ( x) Solution homogène z H ( x )
On pose yP ( x)   y p ( x )   .
 2x  1  2x  1 2x  1
2 2 2 2 2 3

Elle vérifie l’équation xz ( x )  4 z ( x )  0 . C’est une équation à


L’équation ( E ) donne alors variables séparables. La résolution de cette équation donne la
K
solution homogène zH ( x)  où K  R .
x4
Solution particulière z P ( x ) 2) Résolution

Méthode de variation de constante de Lagrange 1


On pose y ( x)   x  et on cherche alors l’équation
2

K ( x) K ( x) 4 K ( x) h( x )
On pose z P ( x)  4
 z p ( x )   . différentielle vérifiée par h( x) .
x x4 x5
L’équation ( E ) donne alors h( x)
On a y ( x)  2 x  .
h 2 ( x)
 K ( x) 4 K ( x)  K ( x)
x 4    4 4  2  K ( x)  2 x
3

 x x 5
 x Après insertion de cette forme de y ( x) dans l’équation ( E ) , on
obtient l’équation différentielle linéaire suivante vérifiée par h( x)


x
x4
D’où K ( x)  2t 3dt   ( E1 ) x3 h( x)  x 2 h( x)  1
2
Solution homogène
1
Ainsi, zP ( x)   x3 h( x)  x 2 h( x)  0
2
K 1 Méthode de séparation de variable
Solution générale z ( x)  z H ( x)  z P ( x)  
x4 2 dh dx dh dx
h

x
 h   x  ln h   ln x  C
1
Solution de Bernoulli y ( x)  où K  R .
K 1 K
  hH ( x)  avec K   eC .
x4 2 x
Solution particulière
C/ Résolution de l’équation différentielle d’ordre 1 du type Riccati
Méthode de variation de constante de Lagrange

( E ) x y( x)  y ( x)  x y ( x)  2 x  0 avec y (1)  0 K ( x) K ( x) K ( x )


 h p ( x ) 
3 2 2 4
On pose hP ( x)   2
x x x
1) Vérifions si yP ( x)   x est une solution particulière de ( E ) .
2

L’équation ( E1 ) donne
On a y P ( x )   x  y P   2 x .
2

Ainsi, ( E ) donne x (2 x)  x ( x )  ( x )  2 x  0


3 2 2 2 2 4
 K ( x) K ( x)  K ( x) 1 1 yH ( x)  Ae2 x  Be3 x où A et B  R .
3
x   2   x2 1  K ( x)  2  K ( x)  
 x x  x x x
1
Ainsi, hP ( x )   2 et Solution particulière y p ( x) associée au second membre 3 x  1
2

x
K 1 Kx  1 On pose yP ( x)   0  1 x   2 x et on replace dans l’équation avec
2

h( x )   2 
x2 second membre 3 x  1 . La méthode des coefficients indéterminés
2
x x
13 1 1
permet d’obtenir 0  , 1  et  2  .
Solution de l’équation de Riccati 36 6 2
x2 13 1 1
y ( x)   x 
2
Ainsi, yP ( x )   x  x2
Kx  1 36 6 2
Solution générale y ( x)
Solution de Cauchy (avec condition initiale) yC ( x )
On a y ( x)  yH ( x)  y p ( x)
1
y (1)  0   1  0  K 2 13 1 1
Finalement, y ( x)  Ae  Be3 x   x  x2
2 x
K 1
36 6 2
x2
Finalement, yC ( x)   x 
2

2x  1 Solution de Cauchy

1
EXERCICE 2 On a y ( x)  2 Ae 2 x  3Be3 x  x
6
13 1
A/ Résolution de l’équation différentielle linéaire d’ordre 2 à Ainsi, y (0)  A  B   0 ; y (0)  2 A  3B   1
36 6
coefficients constants non-homogène
 13
( E ) y( x)  y( x)  6 y( x)  3x 2  1 avec y(0)  0, y(0)  1  A  B 
36 1 14
Solution homogène yH ( x) D’où   A et B 
2 A  3B  5 20 45
On pose y ( x)  e
rx
et on obtient l’équation caractéristique suivante  6
Finalement,
r 2  r  6  0 . La résolution de cette équation caractéristique nous 1 2 x 14 3 x 13 1 1
donne la solution homogène yc ( x )  e  e   x  x2
20 45 36 6 2
On pose h( x)  z( x) . Ceci donne une équation différentielle d’ordre
B/ Résolution de l’équation différentielle linéaire d’ordre 2 à 1 en h( x) : ( x  1)h( x)  xh( x)  0 .
coefficients constants non-homogène Par la méthode de séparation de variables, on obtient
(E) y( x)  2 y( x)  y ( x)  (3 x 2  2)e x h( x)  K ( x  1)e x avec K  R .
Ainsi, z( x)  K ( x  1)e .
x

Solution homogène yH ( x) En procédant par une intégration par parties, on obtient la


primitive z ( x)  K ( x  2)e  C .
x
On pose y ( x)  e et on obtient l’équation caractéristique suivante
rx

Finalement,
r 2  2r  1  0 . La résolution de cette équation caractéristique nous
donne la solution homogène y ( x)  e x z ( x)   K ( x  2)e x  C  e x  Ce x  K ( x  2)e 2 x
yH ( x)  ( A  Bx)e x où A et B  R . avec C et K  R

Solution particulière y p ( x) associée au second membre (3x  2)e


2 x

THEME N°2
On pose y p ( x)  e z p ( x) . L’équation différentielle vérifiée par
x

EXERCICE 1
z p ( x ) est zp ( x)  3x2  2 . Ce qui donne
x4 x4 On donne
z p ( x)   0  1 x  x  . On peut choisir z p ( x )   x  .
2 2

4 4
4
x x  1 1 1  5 1 2
Ainsi, y p ( x)  (  x  )e
2

4 A1   1 1 1  , A2   5 9 10 
x4 x  1 1 1  3 3 2 
Finalement, y ( x)  yH ( x)  y p ( x)  ( A  Bx  x  )e
2
   
4
1/ La matrice A1 est-elle diagonalisable ?
EXERCICE 3
Valeurs propres de A1

Résolution de l’équation différentielle linéaire d’ordre 2 homogène à 1   1 1

coefficients variables sur I   1,  


PA1 ( )  det( A1   I )  1 1   1  (1   )(2   ) 2
1  
( x  1) y( x)  (3x  2) y( x)  (2 x  1) y( x)  0
1 1
(E)
On pose y( x)  e z ( x) . On obtient l’équation différentielle suivante
x PA1 ( )  0  (1   )(2   ) 2  0
vérifiée par z ( x) . ( E1 ) ( x  1) z( x)  xz( x)  0 .
Les valeurs propres sont donc 1 1 2
 
1  1 racine simple ( k1  1 ) et 2  2 racine double ( k2  2 ) On a A2  4 I   5 5 10   rg ( A2  4 I )  1
 3 3 6 
Calcul de d1  dim( E1 ) et d 2  dim( E2 )  

Ainsi, d  dim( E )  3  1  2  k  3 .
On sait que 1  d1  k1  1 . D’où d1  k1 .
Par conséquent, la matrice A2 n’est pas diagonalisable.
Aussi, d 2  dim( E2 )  ordre( A1 )  rg ( A1  I )

2/ Réduction de la matrice A1
 1 1 1
  Vecteurs propres V1 associés à la valeur propre 1 .
On a A1  I  1 1 1  rg ( A1  I )  1
 1 1 1
 
On a
Ainsi, d 2  dim( E2 )  3  1  2  k2  2 .
 2 1 1   x  0 2 x  y  z  0
 y =  0   x  2y  z  0  x  y  z
Par conséquent, la matrice A1 est diagonalisable.  A1  I  V = 0   1 2 1      
 1 1 2   z   0  x  y  2z  0
      
La matrice A2 est-elle diagonalisable ?
Ainsi ( x, y, z)  E1  ( x, y, z)  ( x, x, x)  x(1,1,1) . On peut donc
Valeurs propres de A2
 1
5 1 2  
choisir V1  1 comme vecteur propre associé à 1  1
 
PA2 ( )  det( A2   I )  5 9 10  (  4)3  1
 
3 3 2  
Vecteurs propres V2 associés à 2
PA2 ( )  0  (4   )  03

On a
Les valeurs propres sont donc   4 racine triple ( k  3 )
 1 1 1  x   0 
Calcul de d  dim( E )  A1  2 I  V = 0  1 1 1  y  =  0   x  y  z  0
 1 1 1  z   0 
d  dim( E )  ordre( A2 )  rg ( A2  4 I )      
 z  x  y
Ainsi, x, y, z)  E2  ( x, y,  x  y)  x(1,0, 1)  y(0,1, 1) . Réduction de la matrice A2

1 0 Les valeurs propres de la matrice A2 étant toutes réelles, A2 admet
   
On peut donc choisir V2  0 et V3  1 comme vecteurs une forme de Jordan J A2 .
   
 1   1
    Détermination du nombre de chiffres 1 sur la sur-diagonale de J A2
propres associé à  2. 1
N    ki  di   (k1  d1 )  (3  2)  1.
1 1 0  i 1
 
Ainsi P  1 0 1  est la matrice de passage de la base
1 1 1 4 0 0
   
Ainsi, J A  0 4 1 est une réduite de Jordan de A2 .
canonique à la base formée de vecteurs propres.
 
0 0 4
2

 
1
Calcul de P (Méthode de Gauss ou des déterminants)
Détermination d’une matrice de passage P telle que P A2 P  J A2 .
1

1 1 1
1
1 
On trouve P  2 1 1

3 Soit B  V1 , V2 , V3  la base par rapport à laquelle la matrice A2

 1 2 1
Finalement, associée à l’endomorphisme f prend la forme J A2 .
 1 1 1  1 1 1 1 1 0 
P 1 A1 P   2 1 1  1 1 1  1 0 1 
1 On doit avoir
3   
  
 1 2 1 1 1 1 1 1 1   f (V1 )  4V1 (1)

1 0 0   f (V2 )  4V2 (2)
 f (V )  V  4V (3)
=  0 2 0   D  3 2 3

 0 0 2 
  Les équations (1) et (2) indiquent que les vecteurs V1 et V2 sont
des vecteurs propres associés à la valeur propre 4 .

Vecteurs propres V1 et V2 associés à   4.


On a 1
 
Du système compatible (3) ainsi obtenu, on peut choisir V3  0 .
 1 1 2   x  0  
 A2  4 I  V = 0   5 5 10   y  =  0   x  y  2z  0  y  x  2z 0
 3 3 6   z   0 
 
     
 1 1 1
P   1 5 0 
Ainsi
Ainsi est la matrice de passage de la base
( x, y, z)  E  ( x, y, z)  ( x, x  2z, z)  x(1, 1,0)  z(0, 2,1) .  0 3 0 
 
1
  canonique à la base B  V1 , V2 , V3  .
On peut donc choisir V1  1 . Choix de V2 pour la compatibilité
 
0
  Calcul de P
1
(Méthode de Gauss ou des déterminants)
 a   x
     0 3 5 
de l’équation (3). Soit V2   a  2b et V3  y , 1  0 0 1 
    On trouve P 1 
 b  z
    3  

3 3 6 
l’équation (3) donne
Finalement,
 1 1 2   x  a  0 3 5   5 1 2   1 1 1 
 A2  4 I  V3 = V2   5 5 10   y  =  a  2b  P 1 A2 P   0 0 1   5 9 10   1 5 0 
1
 3 3 6   z   b  3
     
(3) 3 3 6   3 3 2   0 3 0 
 x  y  2z  a
 4 0 0
 5 x  5 y  10  a  2b  b  3a
 3 x  3 y  6 z  b =  0 4 1   J A2
 0 0
 4 
1
 
On peut choisir V2  5 .
 
 3 
 
EXERCICE 2 Détermination du nombre de chiffres 1 sur la sur-diagonale de J A3

1
N    ki  di   (k1  d1 )  (3  2)  1.
 3 3 1 i 1

On donne A3  2 2 1

 
 2 3 2 1 0 0
   
Ainsi, J A  0 1 1 est une réduite de Jordan de A3 .
 
0 0 1
3

1/ La matrice A3 est-elle diagonalisable ?  


Valeurs propres de A3
Détermination d’une matrice de passage P telle que P A3 P  J A3 .
1

PA3 ( )  0  (1   )  03

Soit B  V1 , V2 , V3  la base par rapport à laquelle la matrice A3


Les valeurs propres sont donc
  1 racine triple ( k  3 ) associée à l’endomorphisme f prend la forme J A4 .
Calcul de d  dim( E )
On doit avoir
d  dim( E )  ordre( A3 )  rg ( A3  I )
 f (V1 )  V1 (1)

 2 3 1  f (V2 )  V2 (2)
   f (V )  V  V (3)
On a A3  I   2 3 1  rg ( A3  I )  1  3 2 3

 2 3 1
 
Les équations (1) et (2) indiquent que les vecteurs V1 et V2 sont
Ainsi, d  dim( E )  3  1  2  k  3 . des vecteurs propres associés à la valeur propre 1 .

Par conséquent, la matrice A3 n’est pas diagonalisable.


Vecteurs propres V1 et V2 associés à 1 .

2/ Réduction de la matrice A3 (Forme de Jordan) On a


Les valeurs propres de la matrice A3 étant toutes réelles, A3 admet  2 3 1   x   0
une forme de Jordan J A3 .  A3  I  V = 0   2 3 1  y  =  0   2 x  3 y  z  0  z  2 x  3 y
 2 3 1   z   0
     
Ainsi 0
( x, y, z)  E  ( x, y, z)  ( x, y, 2x  3 y)  x(1,0, 2)  y(0,1, 3) .  
Du système compatible (3) ainsi obtenu, on peut choisir V3  0 .
 
1
1  
 
On peut donc choisir V1  0 . Choix de V2 pour la compatibilité
   1 1 0
 2   
Ainsi, P  0 1 0 est la matrice de passage de la base
   
 2 1 1 
 a   x  
  et V   y  , l’équation (3)
de l’équation (3). Soit V2 
 b  3   canonique à la base B  V1 , V2 , V3  .
 2a  3b  z
    1
Calcul de P (Méthode de Gauss ou des déterminants)
donne
1 1 0
 2 3 1   x  a  1  
On trouve P  0 1 0
    
 A4  I  V3 = V2   2 3 1  y  =  b  
2 3 1

 2 3 1   z   2a  3b   
     
(3)
 2x  3y  z  a Finalement,

  2 x  3 y  z  b  a  b
2 x  3 y  z  2a  3b
 1 1 0  3 3 1  1 1 0 
1 P 1 A3 P   0 1 0    2 2 1  0 1 0 
 
  2 3 1   2 1 1 
On peut choisir V2  1 .   2 3 2  
 
1 1 0 0
 
=  0 1 1   J A3
0 0 1 

A  , n  N THEME N°3
n
3/ Calcul de 3

EXERCICE 1
On a J A3  P A3 P  A3  PJ A P 1
1
3

A   P JA 
n n
1
D’où 3 3
P Résolution de l’équation matricielle X (t )  A2 X (t ) où

J 
n
Calcul de A3
, n  N 5 1 2  x(t )  1
1 0 0 0 0 0
  
A2   5 9 10  , X (t )   y (t )  et X (0)   0 

  
On écrit J A  D  N où D  0 1 0 et N  0 0 1
  3 3 2   z (t )   3
         
0 0 1 0 0 0
4

    1/ Réduction de la matrice A2 (Déjà faite voir Thème 2 exercice 1)


On observe que :
2/ Résolution
1) N  0  N k  0 , k  2
2

2) DN  ND
La formule du Binôme de Newton permet d’écrire On pose X (t )  PY (t )
1 0 0
 u (t )   1 1 1
  0 1 n 
n
(J A )  (D  N )   C N D
n n k k n k
 D  nND
n n 1
   
n
avec Y (t )  v(t ) et P  1 5 0
0 0 1    
3
k 1
   w(t )   0 3 0 
   
Finalement,
La nouvelle fonction Y (t ) vérifie
l’équation Y (t )  ( P A2 P)Y (t )  J A2 Y (t )
1
 1 1 0  1 0 0  1 1 0 
 A3   P  J A  P 1   0 1 0   
n

 0 1 n  0 1 0 
n
 u (0)   0 3 5  1   5 
 2 1 1  0 0 1  2 3 1    1  0    1 
3

avec Y (0)  v(0)  P X (0)  


1
      0 0 1
 w(0)  3     
 3   7 
 2n  1 3n n     3 3 6    

  2n 1  3n  n 
 2n c’est-à-dire le système différentiel
 3n n  1

On peut aisément vérifier avec la forme trouvée que


A   I 3 et A   A3 . !!!
0 1
3 3
 u(t )  4u (t ) On pose vP (t )  K (t )e dans l’équation ( E1 ) . Ce qui donne
4t


v(t )  4v(t )  w(t )
 w(t )  4w(t ) K '(t )  7  K (t )  7t . Ainsi, vP (t )  7te4t

Solution générale v(t )
avec u (0)  5, v(0)  1, w(0)  7

Détermination de u (t ) v(t )  vH (t )  v p (t )  ( K  7t )e4t

u(t )  Ke4t . Puisque u (0)  5 alors K  5 . v(0)  1  K  1

Finalement, u (t )  5e Finalement, v(t )  (1  7t )e


4t 4t

Solution du système différentiel (S)


Détermination de w(t )
On a
w(t )  Ke4t . Puisque w(0)  7 alors K  7 .
 1 1 1   5e   (1  7t )e4t 
4t

Finalement, w(t )  7e    
X (t )  PY (t )   1 5 0   (1  7t )e4t    35te4t 
4t

Détermination de v(t )
 0 3 0   7e 4 t   (3  21t )e4t 
    
L’équation vérifiée par v(t ) est donnée à ce point par

v(t )  4v(t )  7e4t ( E1 ) EXERCICE 2

Solution homogène vH (t )
Résolution du système différentiel linéaire non-homogène

vH (t )  Ke4t  x(t )   x(t )  y (t )  z (t )



 y '(t )  x(t )  y (t )  z (t )  e
2t
(S)
Solution particulière vP (t )
 z(t )  x(t )  y (t )  z (t )

Méthode de variation de constantes de Lagrange
1/ Ecriture matricielle du système (S)   1 2t
 u (t )  u (t )  e (1)
3
 x(t )   1 1 1  0 
     2t   1 2t
Posons X (t )  y (t ) , A1  1 1 1 et b(t )  e .
       v(t )  2v(t )  e (2)
 3
 z (t )   1 1 1 0
       2 2t
 w(t )  2 w(t )  3 e (3)

Le système (S) s’écrit X (t )  A1 X (t )  b(t )
avec u (0), v(0), w(0) données.
2/ Réduction de la matrice A1 (déjà faite au thème 2 exercice 1) Détermination de u (t )
3/ Résolution
Solution homogène uH (t )
On pose X (t )  PY (t )

 u (t )  1 1 0  uH (t )  K1et
  
avec Y (t )  v(t ) et P  1 0 1 

  1 1 1 Solution particulière u P (t )
 w(t )   
 
Méthode de variation de constantes de Lagrange
La nouvelle fonction Y (t ) vérifie l’équation
On pose uP (t )  K1 (t )e dans l’équation (1) . Ce qui donne
t

Y (t )  ( P 1 A1 P)Y (t )  P 1b(t )  D Y (t )  P 1b(t )


1 1 1
K1 '(t )  et  K1 (t )  et . Ainsi, uP (t )  e 2t
 1 1 1  0   e2t  3 3 3
1 1 
avec P b(t ) 
1
 2 1 1
 e2 t    e2 t  Solution générale u (t )
3   3  2e 2t 
 1 2 1 0   
1
u (t )  uH (t )  u p (t )  K1et  e 2 t
c’est-à-dire le système différentiel 3

1 2t
Finalement, u (t )  K1e  avec K1  R
t
e
3
Détermination de v(t ) On pose wP (t )  K3 (t )e
2 t
dans l’équation (2) . Ce qui donne

Solution homogène vH (t ) 2 1 1
K 3 '(t )  e 4 t  K 3 (t )  e 4 t . Ainsi, wP (t )  e 2 t
3 6 6
vH (t )  K 2 e2t
Solution générale w(t )
Solution particulière vP (t )
1
Méthode de variation de constantes de Lagrange w(t )  wH (t )  wp (t )  K 3e 2 t  e 2 t
6
On pose vP (t )  K 2 (t )e
2 t
dans l’équation (2) . Ce qui donne 1
Finalement, w(t )  K 3e  e 2t avec K2  R
2 t

6
1 1 1
K 2 '(t )   e 4 t  K 2 (t )   e 4 t . Ainsi, vP (t )   e2t Solution du système différentiel (S)
3 12 12

Solution générale v(t ) On a

 1 2t 
 K1e  3 e 
t
1
v(t )  vH (t )  v p (t )  K 2 e 2t  e2t 1 1 0   
12    2 t
X (t )  PY (t )  1 0 1  K 2e  e
1 2t 
 12 
1 2t 1 1 1  
Finalement, v(t )  K 2e  K2  R
2 t
e avec  
12  K3e2t  1 e 2t 
 6 
Détermination de w(t )
 1 
Solution homogène wH (t )  K1et  K 2e 2t  e 2t 
4
 
wH (t )  K3e2t X (t )   2 t
K1e  K 3e  e
t 1 2t 
 2 
 
Solution particulière wP (t )  K1et  K 2e 2t  K 3e 2t  1 e 2t 
 4 
Méthode de variation de constantes de Lagrange
NB Prière corriger et me signaler toute erreur !!!

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