Niveau/ L2
Module / TTU
Assuré par Dr Kerboubi Leila
Année universitaire/ 2020/2021
Unité Méthodologique
Mode d’évaluation : continu
Objectifs du module
Initier l’étudiant à la recherche scientifique et sa méthodologie
Introduction :
Chapitre2
BEAUD Michel, L’Art de la thèse : Comment préparer et rédiger un mémoire de master une
thèse de doctorat ou tout autre travail universitaire à l’ère du Net, La découverte, 2006.
COMPAGNON Antoine, La seconde main ou le travail de la citation, Seuil, coll. « points», 1979,
414p.
HEDID S., Savoir préparer une recherche universitaire. Éditions Numédia Livres, 2015.
LEBRUN. M., Théories et méthodes pédagogiques pour enseigner et apprendre / quelle place
pour les TIC dans l'éduction ?, Édition Boeck, 2015.
I- Introduction au module :
1
I- Exposé, mémoire, thèse : Quelles différences ?
La recherche universitaire est une recherche scientifique, elle s’exprime selon Paul
N’da par « les travaux de recherche universitaire, académique exigés des étudiants
pour la certification de leur niveau de formation élevé en matière de connaissances et
au niveau de toute la culture scientifique avec la rigueur de ses méthodes de
raisonnement, d’investigation, d’analyse1.
1
Paul N’da, Recherche et méthodologie en sciences sociales et humaines. Réussir sa thèse, son mémoire de
master ou professionnel et son article, Paris, L’Harmattan, 2015, p. 27.
2
Ibidem.
2
Il convient de rappeler que le terme « méthodologie » vient de l’étymon latin
« methodus » et du grec « methodos » qui veut dire « voie ». Le dictionnaire Le Robert
propose, entre autres, les définitions suivantes :
Marche, ensemble de démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité
(dans les sciences). […] Démarche de l’esprit propre à une science, à une discipline.
[…] Ensembles de moyens raisonnés suivis pour arriver à un but3.
3
Le Petit Robert de la langue française, édition 2009.
3
chercheur doit donc faire preuve d’honnêteté intellectuelle par le respect des
droits d’auteurs.
La pensée du chercheur est différente de la pensée commune, elle passe par
l’observation et l’hypothèse soumises à l’épreuve et à la vérification par
l’expérience ou l’enquête sur le terrain.
Le chercheur doit se montrer prêt à changer ses idées lorsqu’ elles vont à
l’encontre de la réalité et des vérités établies. Ne surtout pas confondre la réalité
et la réalité telle qu’on voudrait qu’elle soit. Aussi, le regard du chercheur ne
doit être altéré par aucun écran comme la culture, les préjugés, l’idéologie ou
les croyances.
Le chercheur a pour mission de traquer la vérité, d’aboutir à des découvertes et
d’établir un savoir. Il tend à la découverte de lois et de principes d’explication.
Son savoir peut amener aussi à changer des comportements ou à installer des
attitudes.
La recherche ne se fait pas dans la solitude et le retrait, c’est un processus
continu et complémentaire. Le chercheur travaille avec les autres et non contre
eux, il ne s’agit surtout pas de se démarquer des autres, la seule cause qu’il doit
défendre est la découverte de la vérité.
4
(consulté le 10/12/2020)
5
Cours 2
6
Quelle est l’importance du choix du thème pour la recherche et pour son
aboutissement?
On imagine qu’un étudiant qui n’a pas de sujet et qui n’a pas la moindre idée de ce
qu’il doit traiter comme thème, va passer un certain temps à se demander quel sujet
prendre ou à passer d’un thème à l’autre, un temps précieux qu’il pourrait consacrer à
avancer dans sa recherche.
Avoir un sujet rassure, la matière première est là, n’est-ce pas pour cette raison que
chacun de nous est très discret sur son choix surtout lors du lancement du projet de
recherche ? On détient la clé, on ne veut pas la perdre ou que quelqu’un d’autre nous
la prenne. N’est-ce pas aussi ce thème en tête, toujours présent à l’esprit qui va donner
lieu à des questionnements ; on ne travaille pas le thème, c’est lui qui « nous
travaille », « il nous prend la tête » et de jour en jour, des pistes de travail surgissent.
Le thème de recherche est donc déterminant pour la recherche une vraie quête, « la
quête du graal ».
7
Comment choisir ? Quels sont les critères ?
1- La motivation :
Un critère important mais il n’est pas le seul. Un travail de recherche est un
travail de longue haleine, un travail exigent et astreignant qui va prendre des
années de la vie de l’étudiant. Il pèse sur sa vie personnelle et familiale,
s’engager dans une telle expérience, c’est sacrifier sa vie sociale. Le sujet à
travailler pendant de langues années, vous collera à la peau, pour pouvoir
surmonter, il doit vous motiver, une motivation qui va aller parfois jusqu’à la
passion. Faute de quoi, vos heures de travail deviendront une horrible torture.
Travailler sur une thématique qui vous motive et vous intéresse, vous permettra
en effet de travailler plus vite et mieux.
2- Le domaine de recherche :
Il ne faut jamais s’aventurer dans un domaine de recherche tout à fait nouveau
pour vous. Le sujet choisi doit s’inscrire dans le domaine de recherche de votre
directeur de recherche et ses préoccupations, ce qui offre de multiples avantages
en termes d’encadrement surtout pour ce qui est du suivi scientifique.
3-L’état de la recherche :
Cela constitue un passage obligatoire pour tout chercheur. Vous êtes tenu de prendre
connaissance de l’évolution de la recherche dans le domaine que vous avez choisi.
C’est ce qui va d’ailleurs vous permettre d’éviter les thèmes rebattus ou d’être en
mesure de trouver un positionnement loin de ce qui a déjà été fait. Vous allez aussi
savoir si le thème n’est pas difficile à traiter de par l’absence de documentation, ou
peut être la matière qui est inaccessible (être en Algérie et vouloir travailler sur un
thème assez particulier : l’épistolaire d’auteurs français. Il faut rappeler qu’en plus de
cette connaissance, vous êtes appelés à user de vos compétences de synthèse et de
compilation afin de présenter un état des lieux de la recherche sur le problème abordé
en un ou deux chapitres au début du mémoire.
4-L’originalité :
Par l’originalité du sujet, on entend un sujet qui n’a pas ou peu été traité, un terrain
vierge à défricher. Ceci comporte tout de même un risque en ce qui concerne le
manque de documentation pour l’apprenant chercheur que vous êtes mais cela reste un
défi à relever. Il faut préciser qu’avec un thème déjà traité, il y a toujours possibilité de
trouver une nouvelle manière d’aborder la question, un champ nouveau, une approche
différente.
8
5- La perspective de recherche
En quoi cette recherche va-t-elle vous servir pour vos projets à venir ? Le travail de
recherche, c’est une œuvre qui permet à l’étudiant de s’affirmer en tant que chercheur,
de prouver ses capacités et son aptitude à mener une recherche. La réflexion amorcée
dans l’avant-projet de fin d’étude en licence ou en master est à poursuivre dans les
recherches ultérieures.
Enfin, le sujet doit-être formulé d’une manière simple et claire, évitez les titres longs,
les titres à tiroirs, les titres évoquant plusieurs niveaux d’une question car il y aura
toujours un niveau qu’on vous reprochera d’avoir mal traité.
Une fois arrêté votre sujet, il faut vérifier qu’il n’a pas été pris récemment et penser à
le réserver. Vous devez répertorier votre recherche sur les sites spécialisés en
commençant par celui l’université là où vous êtes inscrit.
9
10
La bibliographie et les Annexes
La bibliographie de référence
Les annexes
◦ On insère dans une annexe, de l'information qui aide à comprendre la recherche: des
croquis, tableaux, schémas, statistiques, figures ou questionnaires.
◦ Les annexes sont placées par ordre de mention dans le texte.
◦ On les place après la dernière page de texte et avant la bibliographie.
Exemple :
Voici une autre manière de présenter sa bibliographie de référence.
BIBLIOGRAPHIE
BACHELARD Gaston (1992), Le nouvel esprit scientifique, PUF "Quadrige" n° 47,
(première édition 1934).
La citation consiste à mentionner le texte exact avec les termes précis rédigés par
l'auteur cité. La paraphrase est la reproduction de la pensée d'un auteur, reformulée
avec d'autres mots.
Chaque citation ou paraphrase doit impérativement être accompagnée de sa
source sous forme de note de bas de page ou de note dans le texte.
Utilisez les citations avec modération ! - Elles doivent étayer votre propre réflexion.
Pour ne pas vous rendre coupable de plagiat, respectez les règles suivantes :
• Mentionner très précisément la source de la citation ou de la paraphrase.
• Toujours mettre la citation entre guillemets.
• Reproduire le texte exact avec les termes précis rédigés par l'auteur cité.
• Conserver la ponctuation, les majuscules et même les fautes d'orthographe du texte
original.
• Toute altération à l'intérieur d'une citation doit être mentionnée clairement, soit en note,
soit après la citation (par exemple : «mots mis en évidence par nous», «traduit par
nos soins », etc.)
• Pour écourter une citation en sautant des passages, les remplacer par […] .
• Pour mettre en valeur des citations étendues, utiliser un style de police différent
(italique) ou une mise en page particulière (retrait).
Ce numéro est reporté en bas de page où sont mentionnés l'auteur, le titre et la page de
référence de la citation.
Exemple :
Séville et plus particulièrement ses bistrots a toujours inspiré les poètes. «Les jambons
pendaient parmi les bouteilles de La Guita, les vieilles affiches de la semaine sainte et
de la Feria d‟avril, les photos de toreros minces et graves morts depuis des années,
tandis que l‟encre de leurs dédicaces jaunissait sous le verre des petits cadres». [1]
en bas de page :
[1] Pérez-Reverte, Arturo. La peau du tambour. Paris : Seuil, 1997, p.289
en fin de travail :
PEREZ-REVERTE, Arturo. La peau du tambour. Traduit de l‟espagnol par Jean-Pierre
Quijano. Paris: Ed. du Seuil, 1997. 453 p. (Points; 518)
1
Certains préconisent l’utilisation d’abréviations françaises. Par exemple, tout « op. cit. », tout « loc. cit. » et tout « ibid. »
pourront être remplacés par le prénom et le nom de l’auteur (jamais remplacés par « id. »), suivis du titre (au complet ou
en abrégé), puis de la mention « ouvr. cité, p. x » ou, dans le cas d’un article, de la mention « art. cité, p. x ».
D’autres éléments latins ou français se retrouvent dans les références et/ou les notices bibliographiques. Le
tableau qui suit présente les principaux de ces éléments. Plusieurs seront employés dans les pages qui suivent.
cf. « confere », peut être remplacé par « voir » (voir l’exemple 42).
dir. directeur (celui qui dirige un ouvrage collectif) (voir l’exemple 40).
éd. éditeur (au sens de celui qui prépare une édition); édition (publications successives d’un même
document (par exemple, 4e éd. d’un texte) ou version d’un texte établie par un personne donnée (par
exemple, Les Fleurs du mal, éd. de Paul Dupont)), éditions (nom de société : les éd. de Minuit) (voir
l’exemple 23).
et al. « et alii », peut être remplacé par « et autres » ou « et collaborateurs » ou « et coll. ». Lorsqu’il y a plus
de trois personnes impliquées dans une même fonction éditoriale (auteurs, directeurs, etc.), s’emploie
après le nom de la première personne en remplacement du nom des autres personnes (voir l’exemple
34).
in dans, peut être remplacé par « dans » (voir l’exemple 40).
in-4o in-quarto (format de document écrit).
in-6 (et in-six, in-douze, in-seize, in-vingt-quatre, in-trente-deux, etc. (formats de document écrit : pliure). La
plus) mention du format n'est essentielle que pour les livres anciens (en gros, avant 1850).
in-8o in-octavo (format de document écrit).
in-fo in-folio (format de document écrit) (voir l’exemple 43).
ms manuscrit (voir l’exemple 44).
n.p. non paginé.
p. page.
p.n.ch. page non chiffrée.
s.a. sans auteur.
s.d. sans date (voir l’exemple 49).
s.é. sans éditeur.
s.l. sans lieu.
2
s.l.n.d. sans lieu ni date (voir l’exemple 44).
s.n. sans nom.
t. tome (partie d’un volume) (voir l’exemple 27).
trad. traduction (voir l’exemple 37).
vol. volume (un volume comporte un ou plusieurs tomes) (voir l’exemple 26).
Le tableau ci-dessous indique les principaux cas de figure du système avec abréviations latines. Dans la
deuxième colonne, on trouve le cas de figure et, sur la ligne en dessous, apparaît la règle d’écriture ou une autre
précision. Dans la dernière colonne se trouvent des exemples.
2020, p. 17.
4 Steeve Dumais, Les Amoureux transis…, op. cit.,
p. 46.
07 Référence ultérieure non consécutive d’un article après une citation 1 Steeve Dumais, « L’Enfant intérieur », L’Actualité,
d’un autre document du même auteur. vol. 20, no 4, avril, 2017, p. 17.
Prénom Nom de l’auteur, « Titre au long ou abrégé », loc. cit., p. 2 Steeve Dumais, Les Amoureux transis qui nous
x. supplient, Québec, L’instant même, 2015, p. 42.
3 Pierre Beaulieu, Les Amis, Montréal, Boréal,
2020, p. 17.
4 Steeve Dumais, « L’Enfant intérieur », loc. cit., p.
23.
08 Références multiples d’un document (par ex., un poème) qui est J’analyserai Les Amis1. Ce texte dit que « les amis
l’objet d’analyse principal du document citateur (l’analyse de ce sont irremplaçables » (p. 33).
poème).
On peut suspendre le système de référence habituel, en 1 Pierre Beaulieu, Les Amis, Montréal, Boréal,
indiquant, dans la note de la première référence au document, 2020. Dorénavant on donnera le numéro de page
que dorénavant on donnera simplement le numéro de page de la de la citation de ce livre entre parenthèses dans
citation entre parenthèses dans le corps du texte. le corps du texte.
1
Règles spécifiques d’écriture des références
Voici les règles d’écriture des références en note de bas de page. Avec les ajustements nécessaires (majuscules
au nom propre, etc.), ces éléments indiquent également comment rédiger les notices bibliographiques.
CAS DE FIGURE
23 Annotation qui n’est pas de l’auteur du document mais de celui qui a
préparé l’édition (« édition » ou « éd. »). 1 Note de Jean Aubé, dans Alfred Jarry, Ubu soit,
Prénom Nom de l’auteur de l’annotation, dans Prénom Nom de éd. préparée et annotée par J. Aubé, Paris,
l’auteur du document, etc. Gallimard, 2005, p. 25.
24 Article de revue.
Prénom Nom de l’auteur, « Titre de l’article », Nom de la revue, 1 Paul Sigouin, « La Neige », Thèmes québécois,
Nom du numéro thématique (s’il y en a un), Éditeur (s’il y en a un), Tangence, vol. 25, no 4, hiver, 2000, p. 9.
vol. x, no y, période temporelle, année, p. x ou p. x-y.
25 Citation de seconde main, ou double citation.
Prénom Nom de l’auteur cité, cité dans Nom prénom de l’auteur, 1 Aristote, cité dans Ben Bérubé, Les Vieux
Titre, etc. Croulants, Paris, Gallimard, 1989, p. 2.
26 Référence globale d’un document en tomes (t.) et volumes (vol.) (un
tome correspondant à un ou plus d’un volume). 1 Professeur Tournesol, Mes Voyages, 4. vol., 15
tomes, Paris, Gallimard, 2002-2010.
27 Référence à un volume d’un document en tomes (t.) et volumes (vol.)
(un volume correspondant à un ou plus d’un tome). 1 Professeur Tournesol, Premiers Voyages, t. 1,
vol. 1 de Mes voyages, Paris, Gallimard, 2005.
28 Document du paratexte — c’est-à-dire dossier, préface, présentation,
etc. — dont l’auteur n’est pas l’auteur de du document. 1 Umberto Eco, « Préface », dans L. Hébert, Les
Prénom Nom de l’auteur du document, dans Prénom Nom de Signes, Paris, Gallimard, 2017, p. 7.
l’auteur du document, etc.
29 Coédition.
On sépare les villes et les éditeurs par une barre oblique. 1 Kevin Tremblay, Les Petit Pois, Paris/Québec,
Gallimard/Suie Blanche, 2004, p. 14.
30 Collection.
Éditeur, coll. « Nom de la collection », année, etc. 1 Plaute Dupont, Les Comiques, Paris, Gallimard,
coll. « Nouveaux auteurs », 2006, p. 60.
31 Date de la publication originale.
Année de l’édition utilisée [année de l’édition originale] 1 Théophraste Beaulieu, Rire, Paris, Gallimard,
1980 [1925].
32 Mention du pays, de l’état ou de la province lorsque la ville d’édition
est peu connue ou homonymique. 1 Joe Bloe, Ma Vie, Rimouski (Québec), La
Ville (Province, ou État, ou Pays), année, etc. Luciole, 2004.
33 Document avec deux ou trois auteurs ou directeurs.
On donne les prénoms et noms de tous les auteurs ou directeurs. 1 Marcel Blin, S. Dion et P. Guay, L’Amour, Paris,
Gallimard, 2007.
34 Document avec plus de trois auteurs ou directeurs.
On donne le prénom et le nom du premier auteur ou directeur et 1 Aristide Aaron et al., L’Espoir est-il permis ?,
on le fait suivre de « et al. » ou de « et autres ». Paris, Gallimard, 1980, p. 23.
35 Document avec sous-titre introduit par « ou » ou « suivi de ».
Le sous-titre respecte les règles d’utilisation des majuscules dans 1 Tod Tremblay, Légume fatal ou La Petite Mort,
un titre. Paris, Gallimard, 1952.
36 Document avec sous-titre non introduit par « ou » ou « suivi de ».
1
On sépare le titre du sous-titre par un point. Claude La Charité, Rabelais. Une Rhétorique
gigagargantuesque, Paris, Gallimard, 2001.
37 Document traduit (on utilise « traduction » ou « trad. »).
1 Edgar Allen Poe, L’Étrangeté, trad. de
Micronésime Tremblay, Paris, Gallimard, 2008.
2
38 Document collectif (avec directeur).
Prénom Nom du directeur (dir.), etc. 1 Louis Hébert (dir.), Florilège en hommage à
François Rastier, Paris, Gallimard, 2025.
39 Document préparé, annoté, etc., par une personne qui n’est pas
l’auteur du document. Si on cite une anthologie, on mettra « éd. » 1 Roland Barthes, Discours, édition préparée par
(éditeur, au sens de celui qui a préparé le texte) après le nom de celui Jean Savant, Paris, Gallimard, 2013.
qui a préparé le texte. 2 Simon Moine (éd.), Anthologie de poésie
1 1
Baudelaire, Les Fleurs du mal, Bob Binette, « Présentation »,
Paris, Gallimard, 2010, p. 8. dans Baudelaire, Les Fleurs du
mal, Paris, Gallimard, 2010, p. 8.
66 Absence de référence dès la première Je vais analyser « L’Albatros » de Je vais analyser « L’Albatros » de
mention d’un document. Baudelaire. Baudelaire1.