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protection

environnementale
Terme collectif désignant toutes les
mesures qui protègent la terre en tant
que zone de vie contre la surexploitation

La protection de l'environnement
(familièrement aussi l' écologie ) décrit
l'ensemble de toutes les mesures visant
à protéger l' environnement afin de
maintenir la santé humaine. [1] La
protection de l'environnement a plusieurs
fonctions et comprend différents
principes. Il prévient les atteintes à
l'environnement (prévention), le repousse
(répression) et restaure au maximum les
ressources naturelles (réparation). Ceux
qui les causent devraient assumer la
responsabilité de gérer l'environnement (
principe du pollueur-payeur ) et ne pas
l'utiliser à des fins unilatérales (principe
de coopération ). [2]La protection de
l'environnement comprend également
des exigences éthiques et esthétiques.
La protection de l'environnement se
concentre sur les sous-domaines
individuels de l'environnement (tels que le
sol , l' eau , l' air , le climat ) et les
interactions entre eux.
Protection de l'environnement: Timbre-poste de la
Deutsche Bundespost de 1981 de la série Pour la
protection de l'environnement

Tri des déchets (Berlin 2012)


Bidons pressés pour le recyclage de l'aluminium (
Norvège 2006)

Compte tenu de la croissance


démographique mondiale et de la
recherche du niveau de vie le plus élevé
possible en liaison avec la mise en
réseau mondiale croissante ainsi que les
progrès techniques et scientifiques , la
production économique mondiale est en
constante augmentation . Cela a conduit
à une influence anthropique croissante
sur l'ensemble de la biosphère , ce qui
rend la protection de l'environnement de
plus en plus importante. Par exemple, le
célèbre Conseil consultatif scientifique
du gouvernement fédéral allemand
donne «Global Environmental Changes»
dans son rapport de 1999la protection de
l'environnement "la plus haute priorité
pour des raisons stratégiques de survie"
et exhorte "à reconnaître les limites de
l'action". [3]

La protection de l'environnement est


ancrée dans l' article 20a de la loi
fondamentale de la République fédérale
d'Allemagne (GG) en tant qu'objectif
national. La Constitution fédérale suisse
appelle à «la protection de l'homme et de
son milieu naturel» à l'article 74e

Objectifs et philosophies
Panache d'échappement d'un ferry à grande vitesse

Épuration des gaz d'échappement comme


contribution à la protection de l'environnement dans
le transport maritime (exemple de protection
technique de l'environnement )

Le point de départ de la protection de


l'environnement est la préservation du
cadre de vie des personnes et de leur
santé. Cela inclut la protection de la
nature qui entoure les gens dans une
certaine mesure. Des moyens techniques
sont souvent utilisés pour cela. Les
problèmes à résoudre sont en partie
mondiaux, en partie régionaux ou locaux,
la protection de l'environnement
recherchant des solutions techniques
générales ou à grande échelle. Même si
les objets de protection et les objectifs
sont en principe les mêmes, des
différences entre la conservation de la
nature et la protection de l'environnement
sont parfois perceptibles.

Un exemple est le sujet des «matières


premières renouvelables» : les
défenseurs de l'environnement veulent
protéger les arbres afin qu'ils puissent
vieillir le plus possible, produire du bois
mort et devenir un habitat précieux
pour de nombreuses espèces. Les
écologistes considèrent également
l'arbre comme une matière première
renouvelable et préconisent l'utilisation
du bois comme source d'énergie, à
condition que cette utilisation soit
durable et respectueuse de
l'environnement.
Les conflits entre les défenseurs de la
nature et les écologistes sont courants
dans la construction d' éoliennes et de
petites centrales hydroélectriques . Les
écologistes ont tendance à s'opposer à
toute interférence avec la nature,
tandis que les écologistes ont
tendance à voir l'avantage de réduire
les émissions de dioxyde de carbone
grâce à des centrales électriques
vertes .
L'objectif commun d' éviter
d'endommager la biosphère d'un plus
grand nombre de défenseurs de
l'environnement locaux et les objectifs
formulés à l' échelle mondiale des
écologistes peuvent conduire à des
priorités différentes.

Malgré ces différentes perspectives, la


protection de l'environnement et la
conservation de la nature ne sont
généralement pas mutuellement
exclusives. Il existe un degré élevé
d'accord lors de l'analyse des
dommages environnementaux causés
par la pollution environnementale , tels
que les effets écologiques du trafic
aérien . Le développement de solutions
dans des associations de protection de
l'environnement et de la nature orientées
différemment pour une consommation
durable ou des économies d'énergie peut
alors à son tour avoir des priorités
différentes.

La protection de
l'environnement dans
l'opinion publique
Une étude internationale menée en 2009
dans 12 pays (Chine, Grande-Bretagne,
Irlande, Iran, Corée, Macédoine, Norvège,
Portugal, Suède, Serbie, Espagne et
République tchèque) a révélé que les
gens accordaient différents niveaux
d'importance à la protection de
l'environnement. La protection de
l'environnement était relativement peu
importante en Irlande, en Iran et en Corée
du Sud. Un lien étroit avec le bien-être
animal a été observé en Iran, en Corée du
Sud, en Norvège, en Suède et en
République tchèque . [4]
Bei einer repräsentativen
Bevölkerungsumfrage des deutschen
Umweltbundesamtes im Jahr 2012
nannten mehr als ein Drittel der
Deutschen spontan Umwelt- und
Klimaschutz als eines der wichtigsten
Probleme der Gegenwart.[5] Im Jahr 2018
war in einer vergleichbaren Umfrage des
Umweltbundesamtes für 64 Prozent der
Befragten Umwelt- und Klimaschutz ein
sehr wichtiges Problem. Nur 14 Prozent
der Befragten gaben an, dass die
Bundesregierung „genug“ oder „eher
genug“ für den Umwelt- und Klimaschutz
tue.[6]

Philatélique
Mit dem Erstausgabetag 3. September
2020 gab die Deutsche Post AG in der
Serie Umweltschutz ein
Sonderpostwertzeichen im Nennwert von
80 + 40 Eurocent heraus. Der Entwurf
stammt aus dem Designbüro All Things
Letters von Chris Campe in Hamburg.

Tâches et sous-domaines
Zu den wichtigsten Handlungsfeldern des
Umweltschutzes zählen Klima-, Wald-
und Gewässerschutz. Aktuell werden vor
allem die Probleme der globalen
Erwärmung und Luftverschmutzung
diskutiert.
Klimaschutz …

Ziel des Klimaschutzes ist,


anthropogenen Einflüssen, die zur
globalen Erwärmung führen können,
entgegenzuwirken und ihre Folgen
abzumildern. Hauptansätze des
Klimaschutzes sind gegenwärtig die
Verringerung des von Menschen
verursachten Ausstoßes von
Treibhausgasen und die Erhaltung und
Unterstützung der Funktionen von
Ozeanen und Wäldern in diesem
Zusammenhang: Diese nehmen als
Kohlenstoffsenken das mengenmäßig
bedeutsamste Treibhausgas
Kohlenstoffdioxid auf. Der Klimaschutz
ist daher stark mit den beiden
Teilbereichen Waldschutz und
Gewässerschutz verbunden.

Klimaveränderungen können regional


auftreten, z. B. durch umfangreiche
Waldrodungen und Versiegelung der
Landschaft durch Straßen und Gebäude.
Insofern ist Klimaschutz Aufgabe
einzelner Länder und Regionen.

Waldschutz …
Entwaldung im Amazonasgebiet

Der Waldschutz umfasst alle


Maßnahmen zum Schutz von Wäldern
und Baumbeständen vor Schäden
jeglicher Art. Dabei werden sowohl die
forstwirtschaftlichen wie die nicht-
materiellen Ansprüche (wie Erholung,
Klimawirkung oder
Landschaftsgestaltung) an den Wald als
schützenswert betrachtet. Aus
forstwirtschaftlicher Sicht steht der
Schutz des Waldes gegen schädliche
Tiere, Pilze und Pflanzen
(Forstschädlinge) oder Umwelteinflüsse
im Vordergrund. Außerdem ist der
Waldschutz ein entscheidender Faktor
gegen übermäßige Waldrodung, um die
Rate der jährlich abgeholzten
Primärwald-Flächen (Urwald) zu
verringern. Waldgebiete sollen als
Lebensraum vieler Tier- und
Pflanzenarten, aus klimatischen Gründen,
aber auch im Zusammenhang mit dem
Gewässerschutz möglichst erhalten
werden. In manchen Regionen sind
Wälder auch als Wasserschutzgebiet
oder Naturschutzgebiet ausgewiesen.

Gewässerschutz …

Als Gewässerschutz bezeichnet man die


Gesamtheit der Bestrebungen, die
Gewässer (Oberflächengewässer und
das Grundwasser) vor
Beeinträchtigungen zu schützen. Der
Gewässerschutz dient einerseits der
Reinhaltung des Wassers als Ressource
für Trink- oder Betriebswasser als
Teilaufgabe des Umweltschutzes,
andererseits dem Schutz aquatischer
(d. h. vom Wasser abhängiger)
Ökosysteme als Teilaufgabe des
Naturschutzes. Eine sehr weitgehende
Maßnahme zum Schutz von Gewässern
ist die Ausweisung von
Wasserschutzgebieten.

Schutz der menschlichen


Gesundheit

Zum Schutz der menschlichen
Gesundheit wird auch der Lebensraum
des Menschen betrachtet. Hier spielen
hauptsächlich Lärmschutz und
Luftreinhaltung, in neuerer Zeit Schutz vor
der Belästigung durch Gerüche eine Rolle.
In vielen Teilen der Welt ist der
Gewässerschutz für den Menschen
überlebenswichtig, um ausreichend
sauberes Trinkwasser zur Verfügung zu
haben. Für die Landwirtschaft und die
Sicherung der Ernährung kann – je nach
örtlichen Voraussetzungen – der
Bodenschutz einen hohen Stellenwert
einnehmen.

problèmes
environnementaux
Les problèmes environnementaux sont
des changements négatifs causés par l'
homme dans l'environnement. Ils nuisent
à l'existence ou au bien-être actuel ou
futur des personnes. Les actions
humaines affectent inévitablement
l'environnement. En plus des
améliorations souhaitées, elles ont
souvent des conséquences indésirables
et désavantageuses.

Types de problèmes …

Les problèmes environnementaux


peuvent être classés selon divers
critères, par ex. B.

zones environnementales affectées


(milieux environnementaux sol, eau, air;
écosystèmes)
spatial
local (pollution de l'air dans les
zones métropolitaines)
transfrontalier (pollution des
rivières transfrontalières)
international (guerres)
global (pollution de l'atmosphère,
trou d'ozone)

l'histoire
Die modernen westlichen
Umweltschutzbewegungen wurden
während der Industriellen Revolution
begründet. Doch schon vorher machten
sich unterschiedliche Kulturen Gedanken
über den Schutz ihrer Umwelt. Seit den
1960er Jahren wurde der
Umweltschutzgedanke zunehmend
vorangetrieben, allerdings noch unter den
Begriffen „Umwelthygiene“ und „Schutz
der Umwelt“.[7] Das Kompositum
Umweltschutz dagegen entstand
wahrscheinlich Ende 1969 als Entlehnung
zu engl. environmental protection.
Mitarbeiter des damaligen Innenministers
Hans-Dietrich Genscher sollen den
Begriff aus den USA übernommen
haben.[8] 1970 fand der Begriff Eingang in
die parlamentarische Debatte und in die
Presse.[7]

Die Freiburger Thesen, das


Parteiprogramm der FDP vom 27.
Oktober 1971, enthielten dann schon eine
dem Umweltschutz gewidmete politische
Position „Umweltschutz hat Vorrang vor
Gewinnstreben und persönlichem
Nutzen.“ Zudem formulierten die
Freiburger Thesen das Ziel, das Recht auf
eine „menschenwürdige Umwelt“ in
Artikel 2 des Grundgesetzes zu
verankern. Dies war die erste
programmatische Haltung zum
Umweltschutz in einer der wesentlichen
westdeutschen Parteien.
Vorgeschichte …

Altertum …

Mit der Bildung von


zusammenhängenden Siedlungen
entstanden Probleme durch Abfälle und
Abwässer. Schon im Altertum befasste
man sich mit dem Problem der
Abwasserbeseitigung.
Entwässerungskanäle lassen sich bereits
3000 v. Chr. im Euphrattal nachweisen. Im
Römischen Reich wurden meist offene
Gerinne genutzt, aufgrund des hohen
Bauaufwandes waren Abwasserrohre
selten.

Mittelalter …
Im frühen Mittelalter ging das Wissen um
eine geordnete Abwasserentsorgung
weitgehend verloren. Das trug zu
verheerenden Pest- und
Choleraepidemien bei. Demgegenüber
steht die berühmte Landgüterverordnung
Karls des Großen „Capitulare de villis vel
curtis imperii“, in der bereits staatliche
Verordnungen zum Waldschutz im Sinne
von Rodungsverboten enthalten waren.
Ebenso gab es bereits sogenannte
Bannwälder, die allerdings primär den
Wildbestand für die Jagd des Adels
erhalten sollten. Aus dem Spätmittelalter
und der frühen Neuzeit sind wenige
kleinere forstwirtschaftliche Projekte
bekannt, bei denen der Schutz der
Umwelt – allerdings in Verbindung mit
Nutzinteressen – im Fokus stand: So
etwa der Nürnberger Reichswald, der im
12. Jahrhundert durch künstliche
Aussaat von Nadelbäumen auf
abgeholzten und degradierten
ehemaligen Laubwaldflächen entstand.[9]

Zudem registrierte man zwischen dem


16. und 17. Jahrhundert die durch land-
und forstwirtschaftliche Eingriffe
bedingte Anfälligkeit tropischer
Ökosysteme. Erstmals gab es
planmäßige Bestrebungen zum
Umweltschutz.[10]
Ursprung der …

Umweltschutzbewegung

In Europa begann die großflächige


Umweltverschmutzung mit der
Industriellen Revolution. Große Fabriken
und die Verbrennung immer größer
werdender Mengen von Kohle und
anderer fossiler Brennstoffe führten zu
zunehmender Luftverschmutzung. Der
Müll der Fabriken und der Abfall der
Städte ließ die Müllberge wachsen. Die
Umweltschutzbewegung entwickelte sich
als Gegenreaktion auf die
Industrialisierung, Urbanisierung sowie
Luft- und Gewässerverschmutzung.
In den stark gewachsenen Städten
musste eine geordnete
Abwasserentsorgung errichtet werden.
Im Jahr 1739 war Wien als erste Stadt
Europas erstmals vollständig kanalisiert.
Erst ab 1842 wurde in London mit dem
Bau des Kanalisationssystems
begonnen. Die erste Kläranlage auf dem
europäischen Festland wurde 1882 in
Frankfurt am Main in Betrieb genommen.

Umweltschutz im 20. Jahrhundert …


Das historische Blue Marble, ein Foto von 1972, das
half, den Umweltschutz der breiteren Öffentlichkeit
näher zu bringen

Die frühe Naturschutz- und


Umweltbewegung in Mitteleuropa, der
bereits im 19. Jahrhundert einsetzende
Tourismus, verklärten die Natur.

In Deutschland waren das Bewegungen


wie Jugendbewegung,
sozialdemokratische Naturfreunde,
Wandervögel, Wandervereine oder die
rechtsgerichtete Völkische Bewegung.
Der Naturschutz wurde zwischen 1933
und 1945 ideologisch mit einem
rassistischen Landschafts- und Heimat-
Begriff sowie der Blut-und-Boden-
Ideologie verknüpft.

Das neuzeitliche Bewusstsein für den


Umweltschutz entwickelte sich in den
westlichen Ländern in den 1960er Jahren,
als man feststellte, dass sich industrielle
Tätigkeiten sehr nachteilig auf die
Umwelt auswirken können. Maßgeblich
zu diesem Wertewandel beigetragen
haben offensichtliche Missstände wie
das Fischsterben im Rhein, die
Versauerung der Meere, spektakuläre
Chemiekatastrophen wie in Seveso oder
Bhopal, sowie das zu jener Zeit
propagierte Waldsterben.

Montagsdemonstration 1989 in Berlin für den


Umweltschutz – gegen Müllimporte

1971 wurde die bekannte


Umweltschutzorganisation Greenpeace
von Friedensaktivisten in Vancouver,
Kanada gegründet. Die Organisation
entstand aus der Formation Don’t Make a
Wave Committee, die von amerikanischen
und kanadischen Atomkraftgegnern und
Pazifisten gegründet worden war. Ziel
dieses Komitees war es, eine Serie von
Atombombentests zu verhindern. Später
nahmen viele unabhängige Gruppen den
Namen Greenpeace an. Erst am
14. Oktober 1979 wurden sie alle zu einer
einzelnen Organisation Greenpeace
International zusammengefasst.

1972 entstand das Blue Marble Foto


durch die Besatzung von Apollo 17. Es
war das erste klare Bild, das die von der
Sonne beschienene Seite der Erde zeigt.
Für die Umweltschutzbewegung der
1970er Jahre war das Bild ein wichtiges
Symbol für die Zerbrechlichkeit und
Verletzlichkeit der Erde und ihre
Isoliertheit im All.

Zudem weitete sich die Idee des


Umweltschutzes auch auf die
Agrarwirtschaft aus. So versucht die
ökologische Landwirtschaft über den
Verzicht auf synthetische
Pflanzenschutzmittel schädliche
Einflüsse auf die Umwelt zu minimieren.
Die dort angewandten alternativen
Methoden zur Schädlingsbekämpfung,
wie der Einsatz von Nützlingen oder
thermischen Verfahren (zum Beispiel:
Dämpfen (Bodendesinfektion) zur
Bodenentseuchung) sollen negative
Auswirkungen auf Umwelt und
Gesundheit ausschließen. In Deutschland
arbeiten heute bereits mehr Menschen im
Umweltsektor als in der Autoindustrie.

Umweltschutz seit den 2000er


Jahren

Im 21. Jahrhundert baut der


Umweltschutz auf dem Engagement und
den Erkenntnissen vorausgegangener
Dekaden auf. In den 2010er Jahren
konzentrierte sich die Aufmerksamkeit
auf Themen zum Klimawandel. Die
Institutionalisierung zum Umweltschutz
und die Wandlungen im Bereich der
öffentlichen Meinung und der sozialen
Netzwerke haben zu sehr
unterschiedlichen Betrachtungen zum
Bereich des Klima- und Umweltschutzes
geführt. Als gesunder Menschenverstand
gilt allerdings, dass die Anstrengungen
zum Umweltschutz global verstärkt
werden müssen.[11][12]

Verstärkt in den Fokus des


Umweltschutzes gelangt seit einigen
Jahren die internationale Schifffahrt. Mit
Stand 2018 verursacht die Schifffahrt
weltweit etwa 400.000 vorzeitige
Todesfälle und ca. 14 Mio.
Asthmaerkrankungen von Kindern.[13] Das
betrifft insbesondere die Verwendung
umweltfreundlicher Treibstoffe statt des
stark schwefelhaltigen Schweröls
beziehungsweise den Einbau von
Luftfiltern, die Abkürzung langer
Transportwege und die Drosselung der
Fahrtgeschwindigkeit (Slow steaming) zur
Verringerung des CO2-Ausstoßes und
sonstiger Emissionen. Ein wichtiges
internationales Thema ist der stetig
ansteigende Containerverkehr der
maritimen Seidenstraße, welcher über
den Sueskanal aus Asien nach Europa
kommt. Derzeit nehmen die
Containerschiffe den Umweg über die
Straße von Gibraltar in die Nordhäfen um
dort gelöscht zu werden.
Umweltschonender und nachhaltiger
wäre das Entladen der Schiffe auf Züge
bereits in Mittelmeerhäfen, wie Triest,
Genua oder Venedig. Die Emissionen
(CO2, NOx, SO2 etc.) von Port Said nach
Warschau betragen beispielsweise über
die Meeres- und Eisenbahnroute via
Rotterdam 145 kg/TEU und via einem
Nordadriahafen 84 kg/TEU.[14][15][16][17][18]

Autorités
environnementales
→ Hauptartikel: Umweltpolitik

Unter Umweltbehörden versteht man die


für den Umweltschutz zuständigen
Behörden.

Deutschland …
Logo des Bundesumweltministeriums in
Deutschland (2014)

In Deutschland sind von staatlicher Seite


in erster Linie das Bundesministerium für
Umwelt, Naturschutz und nukleare
Sicherheit (BMUB) und das
Umweltbundesamt (UBA) für den
Umweltschutz zuständig. Auf Länder-
und Landkreisebene sind weitere
Behörden auf dem Gebiet des
Umweltschutzes tätig. Das
Bundesministerium und das
Umweltbundesamt veröffentlichen unter
anderem jährliche
Umweltzustandsberichte.

Österreich …

Logo des Bundesministeriums in Österreich (2020)

In Österreich sind das Bundesministerium


für Klimaschutz, Umwelt, Energie,
Mobilität, Innovation und Technologie (ab
2020: BMK) und das Umweltbundesamt
für den Umweltschutz zuständig.

Schweiz …
In der Schweiz liegt die Zuständigkeit
beim Bundesamt für Umwelt. Dieses ist
die Umweltfachstelle der Schweiz und
gehört zum Eidgenössischen
Departement für Umwelt, Verkehr, Energie
und Kommunikation (UVEK).

Bases légales
→ Hauptartikel: Umweltrecht

Umweltrecht bezeichnet die Gesamtheit


der Rechtsnormen, die den Schutz der
natürlichen Umwelt und die Erhaltung der
Funktionsfähigkeit der Ökosysteme
bezwecken. Weder in Deutschland noch
in Österreich gibt es ein einheitliches
Umweltschutzgesetz. Anders in der
Schweiz, die 1983 ein eigenständiges
Umweltschutzgesetz erlassen hat. Das
EU-Umweltrecht hat großen Einfluss auf
die Gesetzgebung der einzelnen
Mitgliedsstaaten. In der Charta der
Grundrechte der Europäischen Union
garantiert die EU ihren Bürgern:

„Ein hohes Umweltschutzniveau und die


Verbesserung der Umweltqualität
müssen in die Politik der Union
einbezogen und nach dem Grundsatz der
nachhaltigen Entwicklung sichergestellt
werden.“(Artikel 37)[19]

Siehe auch: Verbandsklagerecht

Umweltrecht in Deutschland …
Seit 27. Oktober 1994 verpflichtet das
deutsche Verfassungsrecht in Artikel 20a
des Grundgesetzes Deutschland dazu,
die natürlichen Lebensgrundlagen zu
schützen; am 26. Juli 2002 wurde
zusätzlich der Tierschutz eingefügt
(„Schutz der natürlichen
Lebensgrundlagen und der Tiere“):[20][21]

„Der Staat schützt auch in


Verantwortung für die
künftigen Generationen
die natürlichen
Lebensgrundlagen und die
Tiere im Rahmen der
verfassungsmäßigen
Ordnung durch die
Gesetzgebung und nach
Maßgabe von Gesetz und
Recht durch die
vollziehende Gewalt und
die Rechtsprechung.“

Es handelt sich um eine


„Staatszielbestimmung“, eine allgemeine
Verpflichtung des Gesetzgebers und der
Verwaltung. Ein konkretes
gesetzgeberisches oder
verwaltungsmäßiges Handeln ist jedoch
in Einzelfällen gerichtlich einklagbar.

Das deutsche Umweltrecht ist über


zahlreiche Gesetze verstreut.
Umweltwissenschaftler und
Umweltjuristen fordern seit vielen Jahren,
das Umweltrecht in einem
Umweltgesetzbuch (UGB) kodifiziert
zusammenzufassen und die
Einzelvorschriften besser aufeinander
abzustimmen. Die große schwarz-rote
Koalition (2005–2009, Kabinett Merkel I)
bzw. der damalige Umweltminister
Sigmar Gabriel versuchten es; das
Vorhaben scheiterte im Februar 2009 am
Widerstand der bayrischen CSU.

Umweltrecht in Österreich …

In Österreich gibt es noch kein


einheitliches Umweltrecht. Die rechtlichen
Grundlagen sind über zahlreiche
Gesetzesbücher verteilt.

Umweltrecht in der Schweiz …

Grundlage der
Umweltschutzgesetzgebung der Schweiz
ist der Artikel 74 der Bundesverfassung.
Absatz 1 dieses Artikels lautet: „Der Bund
erlässt Vorschriften über den Schutz des
Menschen und seiner natürlichen Umwelt
vor schädlichen oder lästigen
Einwirkungen.“

Gestützt darauf wurde das Bundesgesetz


vom 7. Oktober 1983 über den
Umweltschutz, das Umweltschutzgesetz
(USG) erlassen. Das USG nennt als sein
Ziel namentlich, „die natürlichen
Lebensgrundlagen, insbesondere die
biologische Vielfalt und die Fruchtbarkeit
des Bodens, dauerhaft [zu] erhalten“. Der
Gewässerschutz ist in einem separaten
Gesetz für das Wasserrecht der Schweiz
geregelt: Bundesgesetz über den Schutz
der Gewässer vom 24. Januar 1991
(Gewässerschutzgesetz, GSchG). Das
Energiegesetz (EnG), welches die
Energiewirtschaft auf nationaler Ebene
regelt, beinhaltet in seiner Anfang 2018 in
Kraft getretenen Fassung die
„Energiestrategie 2050“, welche
erneuerbare und einheimische
Energiequellen fördert.
Protection de
l'environnement
internationale et
supranationale
Im Bereich des Umweltschutzes wird der
nationalstaatliche Einfluss immer
geringer. Durch den steigenden Grad an
internationalen
Kommunikationsnetzwerken und
weltwirtschaftlicher Verflechtungen
entsteht eine kollektive Verantwortung für
die Umwelt. Die Staaten werden dazu
gezwungen gemeinsam nach
Problemlösungen zu suchen. Umwelt
kennt keine von Menschen gezogenen
Grenzen. Länderübergreifende
Umweltpolitik rückt folglich zunehmend
in das außenpolitische Blickfeld
zumindest der Staaten, denen durch die
Summe der globalen
Umweltverschmutzung auch höhere
Umweltbelastungen entstehen.
Internationale Foren und Organisationen
sind eine Antwort auf diesen Prozess.

Die erste internationale


Umweltschutzkonferenz fand 1972 in
Stockholm statt (Konferenz der Vereinten
Nationen über die Umwelt des
Menschen). Einer der wichtigsten
supranationalen Akteure ist die UN
(UNEP) – unter ihrem Dach kommt ein
Großteil der multilateralen
Umweltabkommen zustande. Eine
Übersicht über die Vielzahl mittlerweile
bestehender Umweltverträge bietet die
Liste internationaler Umweltabkommen,
wobei die Überschneidungen zum
Internationalen Naturschutz deutlich
werden.

Globale Grenzwerte …

→ Hauptartikel: Planetare Grenzen

2009 hat eine internationale


Forschergruppe unter Johan Rockström
vom Stockholm Resilience Centre in einer
viel beachteten Studie in Nature kritische
Grenzwerte für die wichtigsten
umweltrelevanten Parameter des
Planeten Erde untersucht und definiert,
die planetary boundaries (planetare
Grenzen).[22] Das Ziel dieser Festlegung
ist es, die hochkomplexen
Zusammenhänge der Ökosphäre auf
diese Weise anschaulich zu vereinfachen,
um Risiken schnell und übersichtlich
anhand einiger weniger
Schlüsselparameter sichtbar zu machen.
Nach dieser Studie muss die Menschheit
es schaffen, bei allen Parametern
langfristig jeweils unter 100 % zu bleiben,
um die Umwelt – und damit unsere
Lebensgrundlagen – nicht
unvorhersehbar zu gefährden.[23][24]
Werte, die derzeit über 100 % liegen

Verlust der biologischen Vielfalt = >


1000 %
Schwefelemissionen = 346 %
Kohlendioxidgehalt der Atmosphäre =
111 %

Werte, die nahe 100 % liegen

Ausdünnung der Ozonschicht = 98 %


Versauerung der Meere = 95 %

Werte deutlich unter 100 %

Phosphorverlust der Meere = 82 %


Von Besiedlung und Landwirtschaft
beeinflusste Landflächen = 78 %
Süßwasserressourcen = 65 %
Diese Studie steht in der Tradition
zahlreicher „Umweltmodellierungen und -
szenarien“, die seit der Mitte des
20. Jahrhunderts angefertigt wurden.

Probleme …

Vielen Schwellen- und


Entwicklungsländern fehlen oftmals die
nötigen Ressourcen für effektive
Umweltschutzmaßnahmen. Globale
Auflagen werden von diesen Ländern oft
nicht akzeptiert. Sie argumentieren, dass
die Industrienationen zum größten Teil für
globale Umweltschäden verantwortlich
sind. Bei lokalen Problemen, wie dem
Einsatz akkumulativer Pestizide, fehlen
oftmals bezahlbare Alternativen. So wird
beispielsweise Dichlor-Diphenyl-
Trichlorethan (DDT) in diesen Staaten
trotz erwiesener Umweltgefahren
weiterhin großflächig zur
Insektenbekämpfung eingesetzt.

Des militants écologistes


bien connus
→ Hauptartikel: Umweltbewegung
Yann Arthus-Bertrand, international
bekannter Foto-Journalist,[25] Gründer
der ökologischen Gesellschaft
GoodPlanet[26] und der Action carbone
zur Reduktion von Treibhausgasen
Julia Butterfly Hill, Waldschützerin der
US-Umweltorganisation Earth First!
Al Gore, ehem. Vizepräsident der USA
und Friedensnobelpreisträger 2007
Monika Griefahn, ehemalige
Organisatorin der Greenpeace-
Kampagne gegen die chemische
Verschmutzung der Nordsee, später
niedersächsische Umweltministerin
Bernhard Grzimek, von Haus aus
Tierarzt und Verhaltensforscher,
langjähriger Direktor des Frankfurter
Zoos, erfolgreicher und sehr populärer
Tierfilmer (Dokumentarfilm Serengeti
darf nicht sterben), Autor und
Herausgeber von Tierbüchern und einer
nach ihm benannten Enzyklopädie des
Tierreichs war von 1970 bis 1973
Beauftragter für den Naturschutz der
deutschen Bundesregierung: 1975
gründete er zusammen mit Horst Stern
und 19 anderen Umweltschützern den
Bund für Umwelt und Naturschutz
Deutschland (BUND)
David McTaggart, langjähriger
Geschäftsleiter von Greenpeace
international
Wangari Muta Maathai, Trägerin des
Friedensnobelpreises 2004 und
Begründerin des Aufforstungsprojekts
Green Belt Movement
Vandana Shiva, 1993 Trägerin des
Right Livelihood Award, für eine
gentechnikfreie, nachhaltige
Entwicklung insbesondere der
Landwirtschaft aus ökofeministischer
Perspektive
Greta Thunberg, Initiatorin der globalen
Klimaschutzbewegung Fridays for
Future
Frederic Vester, Ökologe,
Systemforscher und Umweltexperte,
Mitglied des Club of Rome, Träger
mehrerer Umweltmedaillen und -preise
Paul Watson, Gründer der Sea
Shepherd Conservation Society

Voir également
Naturschutzorganisation (Vereine,
Stiftungen)
Weltumwelttag (5. Juni)
PortalU (Umweltportal Deutschland
2006–2014)

Littérature
Takis Fotopoulos: The Ecological Crisis
as Part of the Multi-Dimensional Crisis
and Inclusive Democracy. In: The
International Journal of Inclusive
Democracy. Band 3, Nr. 3, 2007
(englisch; online auf
inclusivedemocracy.org).
Takis Fotopoulos: The
Multidimensional Crisis and Inclusive
Democracy. Athen 2005 (englisch;
online auf inclusivedemocracy.org).
Hans-Joachim Koch, Susan Krohn:
Umwelt in schlechter Verfassung? Der
Umweltschutz nach der
Föderalismusreform. In: Natur und
Recht. Band 28, Nr. 11, 2006, S. 673–
680 (ISSN 0172-1631 ).
Bruno Kürbiß: Responsible Care:
Arbeitssicherheit und Umweltschutz in
Chemieanlagen. Europa-Lehrmittel,
Haan-Gruiten 2008, ISBN 978-3-8085-
7165-1.
Torsten Mertz: Schnellkurs Ökologie.
Dumont, Köln 2006, ISBN 3-8321-7638-
1.
Dietrich Murswiek: Umweltschutz als
Staatszweck: die ökologischen
Legitimitätsgrundlagen des Staates.
Economica, Bonn 1995, ISBN 3-87081-
253-2.
Bernhard Verbeek: Die Anthropologie
der Umweltzerstörung. 1998, ISBN 978-
3-89678-099-7.

liens web
Commons: Umweltschutz –
Sammlung von Bildern, Videos und
Audiodateien
Wiktionary: Umweltschutz –
Bedeutungserklärungen, Wortherkunft,
Synonyme, Übersetzungen
Deutschland:

Bundesministerium für Umwelt,


Naturschutz, Bau und
Reaktorsicherheit
Umweltbundesamt
Umweltschutz auf dem
Informationsportal zur politischen
Bildung
Deutsche Bundesstiftung Umwelt ,
fördert innovative beispielhafte
Projekte zum Umweltschutz

Schweiz:

Informationen zur Umweltschutz-


Situation in der Schweiz (Memento
vom 10. März 2007 im Internet Archive)
Preuve individuelle
1. W. Nobel: Begriffe aus Ökologie und
Umweltschutz: Ein kleines
Kompendium (= Wirtschaft und
Umwelt. Band 31). Nürtingen 2011,
S. 143.
2. H. Hulpke, H. A. Koch, R. Nießner
(Hrsg.): Rompp-Lexikon Umwelt. 2.
Auflage. Stuttgart/New York 2000, S.
840.
3. Ivana Weber: Die Natur des
Naturschutzes: wie Naturkonzepte
und Geschlechtskodierungen das
Schützenswerte bestimmen. Oekom,
München 2007, ISBN 978-3-86581-
082-3, S. 189 und 196–199.
4. Meng, Jenia: Origins of attitudes
towards animals 2009. Ultravisum,
Brisbane, ISBN 978-0-9808425-1-7,
S. 349.
5. Umweltbundesamt (Deutschland):
Umweltbewusstsein in Deutschland
2012.
. Bundesministerium für Umwelt,
Naturschutz und nukleare Sicherheit
(BMU) gemeinsam mit dem
Umweltbundesamt:
Umweltbewusstsein in Deutschland
2018 – Ergebnisse einer
repräsentativen
Bevölkerungsumfrage. (PDF)
Abgerufen am 3. Juni 2019.
7. Annikki Liimatainen: Untersuchungen
zur Fachsprache der Ökologie und
des Umweltschutzes im Deutschen
und Finnischen:
Bezeichnungsvarianten unter einem
geschichtlichen, lexikografischen,
morphologischen und linguistisch-
pragmatischen Aspekt. Peter Lang,
2008, S. 61–62 (eingeschränkte
Vorschau in der Google-Buchsuche).
. Geo (Zeitschrift) 04/2008, S. 115
9. Beitrag: Die frühen Ursprünge der
Nachhaltigkeit. (Memento vom 8.
Dezember 2015 im Internet Archive)
In: forstwirtschaft-in-deutschland.de.
November 2015, abgerufen am 28.
April 2020.
10. Wolfgang Reinhard: Die
Unterwerfung der Welt: eine
Globalgeschichte der europäischen
Expansion 1415–2015. 1. Auflage.
Beck, München 2016, ISBN 978-3-
406-68718-1, S. 603.
11. Umweltbundesamt (Deutschland):
Umweltbewusstsein in Deutschland.
5. Dezember 2018, abgerufen am 28.
Juli 2019.
12. Karen Hamann, Anna Baumann,
Daniel Löschinger: Psychologie im
Umweltschutz: Handbuch zur
Förderung nachhaltigen Handelns.
Gesellschaft für Ökologische
Kommunikation. Oekom, München
2016, ISBN 978-3-86581-799-0,
S. ??.
13. Mikhail Sofiev et al.: Cleaner fuels for
ships provide public health benefits
with climate tradeoffs. In: Nature
Communications. Band 9, 2018,
doi:10.1038/s41467-017-02774-9 .
14. Vgl. Frank Hütten: Schifffahrt: EU-
Staaten wollen bei CO2-Messung
auch die Frachtmenge wissen. In:
DVZ vom 25. Oktober 2019.
15. Siehe auch Alexandra Endres:
Schifffahrt ist fürs Klima genau so
schlimm wie Kohle. In: Die Zeit vom
9. Dezember 2019.
1 . Harry de Wilt "Is One Belt, One Road
a China crisis for North Sea main
ports?" in World Cargo News vom 17.
Dezember 2019.
17. Dirk Asendorpf: Klar Schiff! In: Die
Zeit vom 16. Oktober 2014.
1 . Vgl. Giacomo Borruso: Il porto di
Trieste: Scenari economici e
prospettive. 9/2015, S. 26.
19. html-Version der Charta der
Grundrechte der Europäischen Union,
Artikel 37: Umweltschutz , abzurufen
über EUR-Lex (dem
Rechtsinformationssystem der EU)
20. Artikel 20a GG, Gesetze-im-Internet ,
abgerufen am 7. April 2013.
21. Artikel 20a Grundgesetz, Naturschutz
+ Tierschutz auf landesrecht-bw.de :
22. Johan Rockström u. a.: A safe
operating space for humanity. In:
Nature. Band 461, 2009, S. 472–475
(englisch; doi:10.1038/461472a).
23. archive.org: Artikel „Forscher
definieren Grenzen für die Erde, die
die Menschheit nicht überschreiten
sollte“, KlimAktiv.de, 24. September
2009 , abgerufen am 15. März 2020.
24. Stockholm Resilience Centre:
Planetary boundaries research.
(Memento vom 11. Januar 2016) 11.
Januar 2016, abgerufen am 28. Juli
2019.
25. siehe z. B. den Dokumentarfilm
Home
2 . GoodPlanet.org (Memento vom 9.
Juni 2009 im Internet Archive)
Gründer und Präsident Yann
ARTHUS-BERTRAND

Normdaten (Sachbegriff): GND:
4061644-7

Abgerufen von
„https://de.wikipedia.org/w/index.php?
title=Umweltschutz&oldid=210326062“
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