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Bakwanga and Pierre Davister
Bakwanga and Pierre Davister
Mobutu
Versus
Lumumba
© Victor E. Rosez
MOBUTU avec Pierre Davister comme adviseur :
Sous (65) on peut lire que la CIA a choisi le bon moment avec
Mobutu. Il faut cependant mentionner aussi que la CIA avait
libérée pas mal des fonds dont un des bénéficiaires était
Mobutu.
Mais à part Mobutu il y avait aussi Kasavubu, les officiers
Ghanéens et encore d’autres. On peut résumer le tout en
trois points cruciaux :
*C’est ainsi qu’on peut voir un changement d’attitude chez
Mobutu (surtout avec Les conseils de Pierre Davister qui
organisera quelques années plus tard le hijacking et le
kidnapping de Moïse Tshombe et prendra soin de toutes les
villas et autres investissement de Mobutu en Europe).
Mobutu créa donc le groupe Binza, le prélude à un régime
totalitaire soutenu par les EU, la France et le Belgique.
*C’est ainsi que la protection par les Ghanéens de Lumumba,
ordonnée par Dag Hammarskjöld, fut abandonnée sur ordre
de leurs officier supérieurs et le secrétaire général de l’ONU
n’avait rien fait pour remédier les effets de cette corruption
incontestable. La machine qui devait démoniser Patrice
Lumumba tournait à plein régime. L’accusation principale
était le massacre de Bakwanga. Ce massacre choqua le
monde entier et ce n’est qu’au début du vingtième siècle que
la population du Kasai pouvait constater qu’ils avaient
gaspillé leur haine pendant un demi-siècle à un bouc
émissaire.
*C’est ainsi qu’on voit Kasavubu tourner la casaque et
abandonner ses idées d’autonomie pour le Bas-Congo. Il
donne même l’ordre de faire arrêter par Nendeka une
douzaine de membres du MNC siégeant dans le parlement.
Nendeka à son tour ajoutait encore treize autres noms du
MNC à cette liste. Les 25 supporteurs de Lumumba furent
tous exécutés d’une façon terrible.
A la découverte d’une page de l’histoire politique du Congo Kinshasa :
Hakuna Matata 1961 heeft zich vanaf 1967 ingezet om seminaries te geven inzake de
Universele Verklaring van de Rechten van de Mens uit 1948 (UVRM) en het latere Europese
Verdrag van de Rechten van de Mens later aangevuld met de Burgerlijke en Politieke Rechten
(EVRM+BuPo), in een eerste stadium werd Hakuna Matata 1961 opgericht in 1962 als
experimentele faculteit “Post Koloniaal Recht” aan de Université de l’État d’Élisabethville door
een groep studenten die in 1963 verboden werd door het opkomende Mobutu regime. Vanaf
1963 werd er in Brussel steun verleend aan de politieke bannelingen van Katanga en Zuid-
Kasai ( Albert Kalondji, Jean Tshombe e.a.).
Vanaf 1974 tot 2000 werd er een samenwerkingsverband met Vluchtelingenwerk Nederland
gerealiseerd inzake de toestroom van Surinaamse immigranten en de stroom van vluchtelingen
uit Zaïre en later de RD Congo en nog meerdere Afrikaanse landen.
Interview :
1)
Bonjour Zacharie,
Comment va?
Veux-tu bien mettre sur le site que l'Udps-Canada vient de créer, la confirmation
que j'apporte dans mon petit texte ci-après à l'intention du Dr Kamanyi, en appui
à la mise au point du Dr Mpuila sur le massacre de Bakwanga?
Cela parce que je ne suis pas connecté au site "groupes Kasaï Yahoo" animé par
Kasonga Zadain à Bruxelles.
Au fait le Dr Mpuila démontre (référence à l'appui) que c'est Mobutu qui
avait commandé l'opération de ces massacres, à l'insu de Lumumba.
Bonjour Dr Kamanyi,
Notre souci à tous c'est justement de connaître la vérité sur des faits historiques
marquants de notre pays.
Je confirme la mise au point faite par le Dr Mpuila par rapport au massacre de
Bakwanga.
En effet, plus d'un document que nous avions lu au sein de la
commission des assassinats politiques de la CNS l'attestent.
Je rappelle que j'étais le rapporteur général de cette commission, avant de me
faire remplacer par le Dr Kabamba Mbwebwe, à la suite de ma nomination
comme membre du gouvernement Tshisekedi.
Il importe de retenir par ailleurs qu'à l'issue des dits massacres, Mobutu s'en
félicitait devant Pierre Davister en ces termes :
Davister will respond to Mobutu by asking him for never repeat this openly because this
could erase the fault and responsibilities of Lumumba in this tragedy, the international
community was determined that Lumumba must bear these responsibilities (to accelerate
the course of his physical elimination). (Pierre Davister est resté pendant plusieurs décades
le conseiller et ami clos de Mobutu)
2)
Ces massacres sont notamment à la base d’une hostilité séculaire tacite, latente ou parfois
ouverte entre les Baluba et les Batetela.
Est-ce que cette conviction est fondée sur les faits historiques réels et irréfutables ou
sommes- nous, nous tous, victimes et otages d’une manipulation et d’une falsification
historique ?
A notre niveau des cadres du pays, amis de la vérité et ses vecteurs ainsi que phares,
encadreurs et mobilisateurs de nos populations, nous ne devons pas nous contenter des
conjectures, des rumeurs, des vérités approximatives ni accepter de cheminer dans la
cohorte des victimes et otages de la manipulation et de l’intoxication falsificatrice,
mensongère et meurtrière, d’où qu’elle vienne et qui entretient et véhicule à tort des haines,
des divisions et des conflits latents ou ouverts dans la population favorables aux intérêts
des ennemis internes et externes de notre Peuple et de notre Patrie.
Nous avons le devoir d’interroger l’histoire, de faire la relecture des faits, de recouper les
faits, de restaurer la vérité historique et d’aider nos populations à découvrir et à connaître
la vérité, à adopter des comportements conséquents et à tisser des relations fondées sur
cette vérité objective.
Voici ce qui est écrit dans le livre de MM. Jacques Brassinne et Jean Kestergat, intitulé Qui a
tué Patrice Lumumba ? (Editions Duculot, 1991), p. 55 :
En réalité la principale responsabilité du massacre repose probablement
sur Mobutu, qui était chef d’état-major. Certes, il n’a sûrement pas
ordonné les massacres, mais c’est lui qui a organisé l’opération, se
vantant d’ailleurs de l’avoir fait seul, en dehors de tout conseiller militaire.
M. Pierre Davister, confident privilégié du colonel Mobutu, a confié à
l’époque à l’un des auteurs de ce livre, Jean Kestergat, que Mobutu avait
dit avoir organisé tout seul l’opération. A quoi Davister répondit : Joseph,
ne te vante jamais de cela. Le Conseil fut entendu.
Mais la seule responsabilité est celle d’une troupe indisciplinée qui va d’ailleurs se mutiner
à nouveau après la reprise de Bakwanga. On l’a vu déjà.
M. Jules Chomé l’affirme dans son livre intitulé « L’ascension de Mobutu », p. 57-58 (Editions
complexe, 1974) :
C’est le colonel Mobutu qui ordonnera le cessez-le-feu. Son biographe, Francis Monheim
(Mobutu seul, p.. 115) le reconnaît expressément en ce qui concerne les opérations au Sud-
Kasaï : « Sans consulter personne, il donne l’ordre à ses troupes de revenir à Léopoldville.
Le Commandant en Chef, Lundula, ignorait tout. Se trouvant à Luluabourg, il voit donc
revenir ses hommes… Il se rend aussitôt dans la capitale et va voir Lumumba. Celui-ci, tout
entier à sa conférence des Etats Africains, ignore tout de la décision de Mobutu. Il convoque
son chef d’état-major :
Non seulement c’est Mobutu qui était le Vrai Maître de la situation politique, militaire et
sécuritaire du Congo depuis 1960, mais il devenait aussi le Maître absolu, officiel et public
de son avenir :
Davister, quelques semaines après le coup d’Etat, l’a affirmé : « L’avenir du Congo devenait
mobutiste » (Spécial, 3 février 1966).
Bref : Il existe trop de faits et trop de textes selon lesquels c’est Mobutu qui, depuis 1960
jusqu’en 1997 (le 16 mai 1997 : la défaite militaire de l’armée de Mobutu et la fuite de
Mobutu vers le Maroc via le Togo) était le Vrai Maître de la situation au Congo (politique,
militaire, économique, sécuritaire…). C’est lui qui ordonnait les opérations militaires, qui les
organisait, qui ordonnait le cessez-le-feu… sans se référer ni au Président de la République,
ni Premier Ministre, ni au Ministre de la Défense, ni au Commandant en Chef de l’Armée :
Faits :
- Coup d’Etat militaire du 14 septembre 1960 contre les institutions étatiques issus de la Loi
Fondamentale et neutralisation des gouvernants démocratiquement issus aux élections de
1960 ;
- Réquisition des Etudiants Congolais de partout pour former le Gouvernement des Etats
Généraux ;
- Appel des Mercenaires pour tenter de réduire la révolte armée et populaire armée
conduite par MM. Pierre Mulele et Gaston Soumialot pour tenter de restaurer la légitimité
issue des élections de Mai 1960 ;
3)
De ontvoering van Moïse Tshombe in juni 1967 is een van de onopgeloste politieke
misdaden van de twintigste eeuw. Niemand lijkt nog geïnteresseerd in de
Congolese leider. Behalve de documentairemaker Bert Govaerts, die een nieuwe
poging ondernam om de zaak uit te spitten.
In 2003 zond Histories al een documentaire uit over de Congolese politicus Moïse
Tshombe, die president werd van het ”onafhankelijke” Katanga, een staat die
niemand wilde erkennen. Het programma eindigde toen met het einde van de
Katangese secessie, in januari 1963, en het begin van Tshombe's eerste
ballingschap.
De nieuwe documentaire begint bij zijn wonderbaarlijke comeback in de
Congolese politiek in 1964. Omdat er complete chaos dreigde, werd Tshombe
teruggehaald. Zijn populariteit steeg zienderogen en hij won in 1965 zonder veel
moeite de eerste “democratische” parlementsverkiezingen. Dat was niet naar de
zin van president Kasavubu, die Tshombe met een juridische smoes opzijschoof.
Kort daarna greep generaal Joseph Mobutu de macht.
Vanuit Spanje organiseerde Tshombe het militaire verzet tegen Mobutu, maar de
operatie mislukte en Mobutu liet hem ter dood veroordelen. Op 27 juni 1967
maakte Tshombe met de Franse “zakenman” Francis Bodenan een uitstapje naar
Ibiza. Op de terugweg kaapte Bodenan zijn eigen vlieguig en dwong de piloten om
koers te zetten naar Algerije. In Algiers werden alle inzittenden gearresteerd. Na
twee jaar huisarrest bezweek Tshombe er aan een hartaanval.
De dader van de ontvoering is bekend, Francis Bodenan, maar men weet niet wie
zijn opdrachtgevers waren. Govaerts dook in het Tshombe-dossier van de
Belgische Staatsveiligheid en sprak met Larry Devlin, lange tijd chef van het CIA-
station in Congo, die alle betrokkenheid ontkent. Hij reisde naar Algerije, maar
de autoriteiten weigerden er elke medewerking en hij kreeg geen inreisvisum om
de getuigen te ondervragen. ,,De huidige president Bouteflika was destijds als
minister van Buitenlandse Zaken dan ook nauw bij de zaak betrokken'', zegt
Govaerts.
Het vliegtuigje vond hij wel terug. De Hawker-Siddeley HS-125 staat al vele jaren
aan de ketting te rotten op het vliegveld van Lagos. ,,Leuk voor de reconstructie
van de kidnapping'', stelt Govaerts, die de volledige waarheid niet boven water
heeft gekregen.
In zijn zoektocht dook wel meermaals de figuur van wijlen Pierre Davister op, een
oud-journalist van het Franstalige weekblad Pourquoi Pas en uitgever van het
weekblad Spécial. Hij was een vertrouweling van Tshombe, maar na de
machtsgreep van Mobutu veranderde hij het geweer van schouder.
,,Hij had er alle belang bij dat Mobutu aan de macht bleef, zodat hij in Congo zijn
media-imperium verder kon uitbouwen'', stelt Govaerts. Het is ook Pierre
Davister die een belangrijke som geld overhandigde voor zijn bewezen diensten en
beiden werden te Tunis gefeliciteerd door Mobutu.
Verder en later onderzoek bracht aan het licht dat Pierre Davister, Bodenan voor
deze opdracht heeft betaald en dat beiden gefeliciteerd werden door Mobutu te
Tunis- en dat er dus belangrijke sommen geld werden betaald afkomstig van
Mobutu-.
(reeds gemeld)
et autres:
http://archive.indymedia.be/news/2002/11/38741.html
Part I :
Et puis dans tous les endroits où j'ai passé une partie de ma vie,
Luputa, Kalenda, Mwene-ditu,Tshimbulu, Luluabourg, Tshibungi,
Demba, Bena Leka, bena Kadibwe. Mweka, Domiongo, Port-
Francqui il y a eu des moments chauds et des meurtres aussi. Le
massacre à Bakwanga avait été ordonné par Joseph Mobutu et non
par Lumumba comme erronément prétendu. Voici une des histoires
qu'on raconte sur place:
INDEPENDANCE DU CONGO : LES CONFLITS AU KASAI.
Een vergeten artikel van Dirk Vlasblom die onder andere ook
de nadruk legt op het feit dat het Mobutu was die de
slachtpartij van Bakwanga op zijn geweten heeft. Het artikel
werd samengesteld op de dag dat Mobutu hals over kop naar
Marokko vluchtte terwijl het land werd aangevallen door
Laurent Desiré Kabila, een oude bekende van 1964/65. Mobutu
zelf werd ook getroffen door een laatste fatale prostaatkanker
aanval…
Toen de kleine Jef acht jaar oud was, stierf zijn vader. Getrouw aan
de Ngbandi-traditie vestigde moeder zich bij de clan van haar man
in Gbadolite, een dorpje in het noorden van de Evenaarsprovincie.
Daar bracht de jonge Mobutu zijn resterende kinderjaren door. Net
als president Houphouët-Boigny van Ivoorkust, die van zijn
geboortedorp Yamoussoukro een tweede hoofdstad maakte,
verhief Mobutu, eenmaal president, het bosgehucht Gbadolite tot
tweede residentie, compleet met een internationaal vliegveld voor
gasten uit het buitenland. Volgens de legende zou de kleine Mobutu
in Gbadolite een luipaard hebben gedood met een lans. Later zou
hij dit katachtige roofdier als zijn persoonlijke totem gaan
beschouwen, gesymboliseerd door zijn onafscheidelijke muts van
luipaardvel.
We schrijven 1959. Brussel was toen nog een bruisende stad, zong
Jacques Brel. Jef Mobutu, een 29-jarige journalist uit de Belgische
Kongo, kan ervan meepraten. Op voorspraak van het koloniale
persbureau Inforcongo loopt hij stage in België. Vijf weken voor
zijn vertrek, op 4 januari, is in Leopoldstad een volksopstand
uitgebroken. Een bijeenkomst van de Abako, de politieke partij der
Bakongo onder leiding van Joseph Kasavubu, werd op het laatste
moment verboden. Duizenden Kongolezen plunderden winkels en
staken kerken in brand. De Force Publique, het koloniale leger dat
onder bevel stond van Belgische officieren, sloeg keihard terug. Er
vielen doden - officieel 49, waarschijnlijk tweehonderd.