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D'APPLICATIONS
ENJEUX & MÉTHODES
POWER SYSTEM :
UN MARCHÉ PORTEUR POUR
DE NOUVELLES APPLICATIONS
En 2008, l’AS/400 devenu au fil du temps, l’iSeries et aujourd’hui le
Power System, a fêté ses 20 ans d’existence. Et il continue à satisfaire
pleinement ses utilisateurs, au point qu’aujourd’hui des sociétés de
services développent de nouveaux programmes ou le modernisent.
>> Par Bernard Neumeister
iTPro.fr 3
PUBLI REDACTIONNEL
En 2004, le groupe Sonepar demande à chacune de ses fi- - Nous avons constaté une augmentation plus rapide de notre
liales de mettre en place un système de e-commerce en com- chiffre d’affaire pour les clients qui utilisent l’e-shop : de
plément du circuit de distribution traditionnel, afin de mettre à l’ordre de 30 % en plus par an, supérieure à la croissance de
disposition des clients : notre chiffre d’affaire global.
- un accès en ligne aux 600 000 références articles - Le chiffre d’affaire sur l’e-shop atteint aujourd’hui 200 000 e
- un accès aux conditions de prix standard par mois.
- le suivi de leur portefeuilles de commande - Notre e-shop a contribué à fidéliser nos clients qui trouvent
- le suivi de livraison plus simple et efficace de travailler avec nous qu’avec d’autres
grossistes.
Monsieur Saison, en tant que directeur informatique de SNE,
quelle a été votre démarche de recherche de solution ? Et surtout, strategi SOA nous a permis de rendre beaucoup plus
réactive notre informatique grâce à une orientation sous forme
« Sur le plan informatique, SNE dispose d’une application mé- « d’objets réutilisables » de nos composants métier RPG.
tier développée en interne par une équipe de développeurs
RPG qui donne entière satisfaction. Nous souhaitions idéale- Qu’entendez-vous par rendre beaucoup plus
ment une solution maitrisable par nos équipes internes avec réactive votre Informatique ?
leurs propres compétences en programmation, une solution Prenons un exemple : l’écocontribution, cette taxe qui s’ap-
basée sur les règles métier que nous avions écrites en RPG et plique à tous les appareils électriques et d’électroménager, est
que ne voulions pas réécrire. Nous voulions aussi absolument destinée à financer le recyclage des produits électriques usa-
éviter une réplication de nos bases de données sur un serveur gers. Nous avons du implémenter cette taxe dans nos pro-
externe non synchronisé avec les données réelles de notre sys- grammes RPG, et grâce à Strategi, ces modifications ont immé-
tème. diatement été prises en compte dans notre e-shop.
4
FICHE SOLUTIONS
STRATEGI SOA :
CREEZ UN SITE WEB EXTRANET SUR SYSTEM I
OU UNE APPLICATION ACCESSIBLE EN MOBILITE
AVEC VOS COMPETENCES EN DEVELOPPEMENT RPG-COBOL !
vec strategi SOA, vous créez un espace client RPG ou cobol. Vous exploitez vos applications de
Vous exploitez
Domaines d’utilisation: vos applications
de gestion sur
Création de sites web extranet pour vos
clients et fournisseurs AS/400 sans avoir
Création d’applications de mobilité besoin de les
pour vos commerciaux, techniciens ter-
rain, livreurs, etc…
réécrire dans de
Communication avec des tiers sous for- nouveaux
me de webservices langages tels que
Des interfaces nouvelles pour vos Java,.net ou Php.
utilisateurs:
www.businesslink.fr 5
RPG, le retour ?
Après l’avoir plus ou moins abandonné aux débuts des an- d’Eclipse. Il peut être lié à des objets Java, des APIs i5/OS, il
nées 2000 au profit de Java, IBM fait un retour en force avec peut aussi être utilisé pour écrire des programmes CGI
son langage RPG version ILE, puisque la société l’a officielle- (Common Gateway Interface : Interface de Passerelle
ment soutenu lors d’un tout récent séminaire sur le Power Commune), qui sont exécutés par un serveur Web. Ceci per-
System. RPG IV ou ILE (Integrated Language Environment) est met d’envoyer au navigateur de l’internaute, un code HTML
le langage de programmation pilier de toutes les plateformes créé automatiquement par le serveur, basé par exemple sur
Power System, depuis son origine. Conçu au départ comme une autre application, telle qu'un système de gestion de base
un outil de requête, IBM l’a progressivement amélioré pour en de données, d'où le nom de passerelle. Et malgré tous ces
faire un véritable langage de programmation. La création d’un changements, il demeure d’un grand intérêt en termes de
programme peut être réalisée à partir d’un simple éditeur ou compatibilité ascendante, puisqu’un programme RPG écrit il y
il peut être exécuté à partir d’un PC en utilisant des généra- a plus de 20 ou 30 ans, fonctionne toujours aujourd’hui sans
teurs d’applications ou encore WebSphere Development quasiment aucune modification.
Studio de chez IBM, une implémentation personnalisée
l’éditeur. Sans oublier que certains progiciels sont telle- devenue un outil incontournable pour transformer des
ment paramétrables qu’ils en deviennent plus complexes développements en applications professionnelles distri-
qu’un développement particulier. Il est donc impératif buables auprès des clients. En effet, un développement
que s’effectue un transfert de technologie entre l’éditeur est une création qui doit être normalisée, cadrée. De plus,
et le client. les nouvelles technologies comme l’environnement
Internet, le PHP, les PDA, le haut débit, la géolocalisation,
Au niveau de l’organisation chez un éditeur, la structure les Web Services… progressent et envahissent les entre-
comporte généralement des directeurs de division pour prises. Il faut donc adapter les Power System pour qu’ils
chaque progiciel, rapportant tous à la direction « Pro- les supportent. Et comme le souligne Alexandre
duits ». Ils sont chargés de faire vivre et évoluer les créa- Meiffredy, Directeur Général France d’Advanced Business
tions en rapportant les desiderata du marché et des Link : « les sociétés qui n’auront pas intégré ces nouvelles
clients. Par exemple, l’ajout d’une gestion des stocks, d’un technologies dans leurs programmes, mettent en péril
Extranet, de Web Services… Ce qui sera ef-
fectué dans les nouvelles versions au tra-
vers d’une méthodologie respectant une
certaine normalisation grâce à des envi-
ronnements de développement « standar-
>> UN GÉNÉRATEUR D’APPLICATIONS EST UNE
TECHNOLOGIE RELATIVEMENT RÉCENTE
disés » que l’on trouve au sein de sociétés
comme Lansa, Advanced Business Link ou
même chez IBM. Ces environnements per-
mettent aussi bien aux créateurs expéri-
mentés qu’aux nouvelles recrues d’atteindre un ROI l’avenir même de leur Power System dans leur entre-
rapide en réduisant par 5, voire 10, les temps de dévelop- prise ». En effet, si les directions informatiques sont
pement. conservatrices et n’ont pas toute conscience de cet état de
fait, leurs directions générales prendront la décision finale
Les générateurs d’applications si elles voient leur concurrent, les dépasser grâce à une
Un générateur d’applications est une technologie relati- nouvelle architecture informatique. Pourtant, le Power
vement récente. Son principe est de décrire dans des fe- System n’est plus un environnement fermé.
nêtres, sa base de données, les interfaces, les liens entre Il existe plusieurs générateurs d’applications sur le mar-
les informations…, pour qu’ensuite, il ne lui reste plus ché, depuis la solution Rational chez IBM, en passant par
qu’à « écrire le code » pour l’environnement de destina- la série Strategi chez Advanced Business Link, ou toute
tion. Cette application se présente sous forme d'un en- une gamme chez Lansa.
semble de formulaires HTML assemblés dans une page Par exemple, « Lansa for iSeries » intègre et modernise fa-
HTML à base de cadres (ou frames). Cette méthode est cilement les applications existantes, et permet aussi de
RÉINGÉNIERIE AUTOMATISÉE
ET MODERNISATION
Avant d'aborder des transformations architecturales de ses applications
RPG, on est souvent obligé de mener un travail de réingénierie de fond,
sous peine de ne pas pouvoir réutiliser le code existant. DSII propose une
démarche à base d'outils parfaitement adaptée à ce contexte.
ans un monde où l'informatique est devenue de tout réécrire – mais dans ce cas, gare aux consé-
www.dsii.fr 7
concevoir et de créer rapidement de nouvelles applica- Strategi SOA d’Advanced Business Link, fait évoluer les
tions. Le principe pour le créateur est de n’apprendre programmes natifs RPG ou Cobol en Services web dans le
qu’un seul langage, celui de Lansa, en l’occurrence, sans but de développer des applications web ou de mobilité
se soucier de la plateforme sur laquelle, son programme sur System i, tout en valorisant les compétences exis-
va fonctionner. Une fois ce dernier terminé dans le L4G de tantes des équipes de développement. Les applications
Lansa, il peut être généré pour le monde Power System en résultantes supportent tout type d'interface utilisateur :
RPG, ou le monde Windows ou l’environnement Web en HTML, FLASH, WML, etc. sur tout type d'accès web (brow-
HTML… Un code source unique, plusieurs plateformes ser, PDA, etc.).
d’exploitation. De son côté, Visual Lansa est aussi un en-
vironnement complet de développement graphique sous Strategi webSERVICES permet aux entreprises de créer
Windows pour les environnements Windows, AS/400, des interfaces qui respectent les standards de l'industrie à
Unix, Linux et le Sans Fil. L’idée est de créer et de déployer partir des programmes existants développés en RPG ou
des applications Windows et Web avec un accès natif aux en COBOL, rendant possible la collaboration de dévelop-
bases de données DB2 sous Power System. (voir Encadré peurs maîtrisant des langages de programmation diffé-
ci-dessous). rents. Il facilite l'intégration de services Web créés en.Net,
www.lansa.com 9
XLM, Java, ou mis à disposition par Google ou Amazon, aux mêmes informations. Pour cela il faut regrouper les in-
dans des applications développées par des développeurs formations utilisées par l'entreprise. En terme technique,
RPG/COBOL. cela se traduit par la centralisation des données au sein
d'une base de données. L'évolution des systèmes d'infor-
Chez IBM, Rational Build Forge Entreprise Edition auto- mation s'est donc basée sur une meilleure subdivision
matise et accélère la conception et les processus de mise entre les tâches à réaliser pour permettre l'exploitation de
à jour des produits créés par un développement itératif et ces données par les utilisateurs finaux. Ceci permet de
une diffusion facilitée. Au travers d’un framework, il aide structurer plus efficacement les informations ce qui en-
les équipes à standardiser et automatiser les tâches répé- traîne à la fois une meilleure organisation de l'entreprise
et une meilleure efficacité technique. Cette sub-
division a été facilitée par l'avènement des tech-
nologies orientées objets qui s'appliquent aussi
bien au modèle client-serveur qu'au modèle
Internet. Ces technologies assurent une sépara-
tion entre les différents composants du sys-
tème. Il devient alors possible de réaliser de
nouvelles architectures facilitant la mise à dis-
position des informations sous différentes
formes tout en diminuant les temps de déve-
loppement. Ces technologies permettent égale-
ment de faire collaborer une grande diversité
de systèmes. On parle alors d'architecture dis-
tribuée. Il est ainsi possible de présenter des
données en provenance d'un mainframe mé-
titives, réduire les cycles de développement et fournir un langées à des données en provenance d'un SGBDR, le
résultat de haute qualité. tout étant affiché dans un navigateur sur la même page
A noter chez IBM, la présence dans toute la gamme HTML.
Rational, d’un langage de 4è génération, l’EGL (Entreprise
Generation Language). Sa grande particularité est de pou- Tout système d'information nécessite la réalisation de
voir générer indifféremment du code en Cobol, Java ou trois groupes de fonctions: le stockage des données, la lo-
JavaScript pour de multiples environnements, donc le gique applicative et la présentation. Ces trois parties sont
Power System. indépendantes les unes des autres: on peut ainsi vouloir
Enfin, IBM a annoncé le 28 avril dernier, que la base de modifier la présentation sans modifier la logique applica-
données DB2 intégrée à l’OS/400 pouvait désormais être tive. La conception de chaque partie doit également être
utilisée comme Datastore d’une base
MySQL. Rappelons qu’une DataStore est
une base qui intègre des données en pro-
venance de sources multiples. Avantage : >> L'OBJECTIF PREMIER D'UN SYSTÈME D'INFORMATION
les informations sont stockées dans un QUEL QU'IL SOIT, EST DE PERMETTRE À PLUSIEURS
seul et unique endroit, la base DB2, qui UTILISATEURS D'ACCÉDER AUX MÊMES INFORMATIONS
peut être vue et manipulée par des appli-
cations classiques écrites en RPG, qui
existent depuis des années. Ces mêmes
données peuvent être utilisées et exploi-
tées en tant que base MySQL par des applications de type indépendante, toutefois la conception de la couche la
PHP. Par ce biais, les applications anciennes et modernes plus basse est utilisée dans la couche d'au-dessus. Ainsi la
deviennent ouvertes aux technologies Web de type PHP. conception de la logique applicative se base sur le modèle
de données, alors que la conception de la présentation
Faut-il une programmation en trois-tiers ? dépend de la logique applicative.
L'objectif premier d'un système d'information quel qu'il « Le principe de la programmation en trois-tiers », pré-
soit, est de permettre à plusieurs utilisateurs d'accéder cise Alexandre Meiffredy, Directeur Général France
iTPro.fr 11
DDDÉVELOPPEMENT
ÉVELOPPEMENTDDD'A
ÉVELOPPEMENT 'A PPLICATIONSEEENJEUX
'APPLICATIONS
PPLICATIONS NJEUX&
NJEUX &&M
M
MÉTHODES
ÉTHODES
ÉTHODES
Remède : Pratiquez un développement itératif dans lequel vous tra- Remède : Utilisez votre processus itératif pour délivrer des versions in-
vaillez pendant une semaine ou deux (ou un intervalle plus court ou plus crémentielles de l’application. A chaque étape, laissez aux utilisateurs
long) pour produire une nouvelle version avec des fonctions et/ou des beaucoup de temps pour travailler « avec un système réel » et pour vous
raffinements supplémentaires. Invitez les utilisateurs à essayer chaque informer en retour. Après chaque itération, ajustez vos délivrables, le
nouvelle version et à réagir immédiatement. Ajustez en conséquence vos planning et le processus de développement.
plans pour la nouvelle itération.
Technique 7. Partez du principe que les objections techniques soule-
Technique 2. Imposez votre concept global sur la manière dont l’ap- vées par les utilisateurs s’expliquent par le seul fait qu’ils ne sont pas as-
plication devrait fonctionner. Ne recherchez les exigences et les sugges- sez intelligents ou aussi bien formés que vous, « l’expert » logiciel. Des
tions que dans ce cadre. N’envisagez pas une seconde que vous avez questions naïves sur la structure de l’application ou sur des détails sur
peut-être mal compris la manière dont les utilisateurs conçoivent leur son mode d’utilisation sont dues à la faible compréhension des utilisa-
travail et le contexte dans lequel il se déroule – votre expérience de beau- teurs des systèmes aussi sophistiqués que le vôtre.
coup d’autres projets fait que votre concept est de toute manière le
meilleur. Remède: N’ignorez aucun des points qu’un utilisateur soulève. Même si
vous avez raison, l’utilisateur doit comprendre pourquoi. Voir Remède 4.
Remède : Ne perdez jamais de vue le « panorama général » et soyez
prêts à repenser votre approche au fur et à mesure que les utilisateurs Technique 8. Passez de longs moments en compagnie de vos copains
murissent dans un processus itératif. En recevant des réactions précoces informaticiens désolés que vous deviez supporter des directeurs de dé-
et fréquentes, il est probable que vous n’aurez pas à pratiquer de gros partement « idiots » et des utilisateurs « geignards ». Après vous être dé-
ajustements en matière d’architecture ou de technologie. Mais, si cela carcassé à essayer de créer pour ces ingrats le meilleur système qui soit,
s’avère nécessaire, au moins vous le saurez assez tôt. vous avez grand besoin de réconfort et de sympathie.
Technique 3. N’impliquez surtout pas les utilisateurs dans le travail de Remède : Quittez votre bureau et passez du temps « sur le terrain »
conception et de développement quotidien. Ils vous ralentiraient. Espérez avec des utilisateurs finaux, et pas simplement lors des réunions offi-
qu’ils attendront que vous les contactiez, puis fourniront des réponses cielles. Si possible, demandez à des membres de l’équipe d’effectuer
immédiates aux questions très précises que vous leur présenterez dans quelques-uns des jobs des utilisateurs pour mieux comprendre pourquoi
n’importe quel contexte. ces derniers ont besoin de cette application.
Remède : Ayez au moins un utilisateur connaissant bien le sujet dans Technique 9. Si les utilisateurs rechignent quand vous vous préparez
l’équipe de développement et travaillez avec lui sur une base hebdoma- à déployer l’application, expliquez qu’une date butoir menace, que vous
daire ou quotidienne. Développez un groupe de « consultants pairs » - des avez déjà dépassé le budget, et donc tout changement au système de
utilisateurs finaux qui sont bien au courant du projet et susceptibles production prévu causerait de graves perturbations dans l’organisation.
d’élargir le canal de communication entre l’équipe de développement et Glissez sur le fait que la livraison d’un système défectueux causera en-
le reste de l’entreprise. core plus de perturbation, ou que la vraie « perturbation » qui vous pré-
occupe est les conséquences d’un délai non tenu ou… garder votre
Technique 4. Ne prenez pas la peine d’éduquer ceux qui « s’appro- emploi.
prient » l’application avant de leur demander leur opinion ou leur appro-
bation. Partez du principe que les utilisateurs comprendront Remède : Une approche itérative et incrémentielle vous donnera une
immédiatement votre modèle applicatif global et tous les éléments tech- compréhension réaliste de la manière dont le projet avance et indiquera
niques intelligents que vous y avez intégrés. Comme votre modèle frôle quels ajustements du programme ou de la livraison seront nécessaires.
la perfection, peu importe si les utilisateurs ne comprennent pas com- Evitez les surprises. Si le système est très défectueux, avalez la pilule et
plètement ce que vous leur proposez d’accepter. Comptez sur leur foi en replanifiez sa date de livraison.
l’expert que vous êtes.
Technique 10. Ne tenez aucun compte de ce qui se passe autour de
Remède : Commencez dès le début et ne vous arrêtez jamais à vous. Vous savez déjà comment mener un projet – vous le faites depuis
construire les connaissance de base des utilisateurs à propos de tout ce des années. Donc il n’y a rien de vraiment important à apprendre d’un
qui touche à l’architecture et aux fonctionnalités. Quelques-uns des uti- projet de plus finissant en désastre.
lisateurs au moins doivent savoir « parler la langue » pour fournir à
l’équipe des renseignements informés et constructifs. Remède : Apprenez de vos erreurs… et de vos réussites. Tenez des ré-
unions « post-mortem » ou de débriefing formelles après chaque itéra-
Technique 5. Ne vous souciez pas de l’exactitude ou de la clarté des tion et après l’aboutissement de chaque projet. Tenez un document
détails dans la documentation ou les présentations données aux utilisa- « Leçons apprises » informel que vous transmettrez en héritage à la pro-
teurs. Vous savez que vous pourrez corriger les erreurs et les incohé- chaine génération de développeurs logiciels.
Ce cahier spécial est une édition : IT-Media, 21 avenue Saint Fiacre, Journaliste : Imprimé en France par :
78100 - Saint Germain en Laye - France Bernard Neumeister IDSL SA – 87400 Saint Léonard de Noblat
Tél. 01 39 04 25 00 Fax 01 39 04 25 05
SARL de presse au capital de 10 000 euros Directrice de la rédaction :
SIRET 441 810 199 00022 - www.iTPro.fr Sabine Terrey