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– B = C 1n + 2C 3n + · · · + 2p C 2p+1
n + · · ·.
Indications ou résultats
– Troisième méthode :
n
k C kn =
P P
A= Card X (somme étant étendue à toutes les parties X de E.).
k=0 X⊂E
P
Mais on peut aussi écrire A = Card X.
X⊂E
1 1
– Première méthode : Utiliser C kn = C k+1 .
k+1 n + 1 n+1
n
– Deuxième méthode : Intégrer (1 + x)n = C kn xk .
P
k=0
– Première méthode :
n n!
k C kn . Or k C kn = = nC k−1
P
On a A = n−1 .
k=1 (k − 1)!(n − k)!
n n−1
C k−1 C kn−1 = n2n−1 .
P P
On en déduit A = n n−1 = n
k=1 k=0
– Deuxième méthode :
n
Pour tout réel x, on sait que (1 + x)n = C kn xk .
P
k=0
n
Si on dérive cette égalité par rapport à x, on trouve : ∀x ∈ IR, n(1 + x)n−1 = k C kn xk−1 .
P
k=1
n
k C kn = n2n−1 .
P
En particulier avec x = 1, on obtient :
k=1
– Troisième méthode :
C kn est le nombre de parties à k éléments de E = {1, . . . , n}.
n
k C kn =
P P
Donc A = Card X (somme étant étendue à toutes les parties X de E.)
k=0 X⊂E
– Première méthode :
1 1
Comme pour A, on note que (n + 1)C kn = (k + 1)C k+1
n+1 donc C kn = C k+1 .
k+1 n + 1 n+1
n 1 1 P n 1 n+1 1
C kn = C k+1
P k
(2n+1 − 1)
P
Ainsi : B = n+1 = C =
k=0 k + 1 n + 1 k=0 n + 1 k=1 n+1 n+1
– Deuxième méthode :
n
On intègre l’égalité (1 + x)n = C kn xk entre 0 et x.
P
k=0
1 n 1
((1 + x)n+1 − 1) = C kn xk+1 .
P
On trouve
n+1 k=0 k+1
n 1 1
C kn = (2n+1 − 1).
P
On donne à x la valeur 1 et on obtient :
k=0 k + 1 n + 1
Deuxième méthode :
n
On dérive deux fois f (x) = (1 + x)n = C kn xk .
P
k=0
n
0 n−1
k C kn xk−1
P
f (x) = n(1 + x) =
k=1
n
f 00 (x) = n(n − 1)(1 + x)n−2 = k(k − 1)C kn xk−2
P
k=2
En particulier, avec x = 1 :
n n
f 0 (1) = n2n−1 = k C kn et f 00 (1) = n(n − 1)2n−2 = k(k − 1)C kn .
P P
k=1 k=2
On démarre la deuxième somme à k = 1. On ajoute les deux sommes et on trouve :
n
k 2 C kn = f 0 (1) + f 00 (1) = n2n−1 + n(n − 1)2n−2 = n(n + 1)2n−2 .
P
C=
k=1
– Première méthode
On procède par récurrence sur p, à n fixé.
On constate que la propriété est vraie si p = n (c’est le pas initial.)
Supposons qu’elle le soit pour un certain entier p ≥ n. Alors, au rang p + 1, on a :
p+1
P n p
C nk + C np+1
P
Ck =
k=n k=n
n+1
=C p+1 + C np+1 (hypothèse de récurrence)
n+1
=C p+2 (triangle de Pascal)
Ce qui prouve la propriété au rang p + 1 et donc achève la récurrence.
– Deuxième méthode
On utilise là encore la propriété qui est à la base du triangle de Pascal.
Pour tout entier k > n, on a : C nk = C n+1
k+1 − C k
n+1
. On en déduit :
p p p
C nk = C nn + C nk = 1 + C n+1 n+1
P P P
k+1 − C k
k=n k=n+1 k=n+1
p p p+1 p
n+1 n+1 n+1
C n+1
P P P P
=1+ C k+1 − C k =1+ C k − k
k=n+1 k=n+1 k=n+2 k=n+1
n+1 n+1 n+1
=1+C p+1 −C n+1 =C p+1
– Troisième méthode
Soit A l’ensemble des parties de {1, 2, . . . , p + 1} qui ont n + 1 éléments.
On sait que le cardinal de l’ensemble A est C n+1
p+1 .