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Eléments de correction
1. Thème
Rien n’indique dans le libellé du sujet que celui-ci se limite au cas français.
2. Indications de correction
Donner les caractéristiques des différents modèles de justice constitutionnelle sans les
développer.
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Problématique : Quels sont les instruments juridictionnels les plus efficaces et les plus
pertinents dont dispose le justiciable pour déclencher un contrôle de la loi.
Rappeler que si le justiciable est à l’origine d’un contrôle juridictionnel de la loi, il s’agit
le plus souvent d’un contrôle a posteriori.
A définir
Transition : la voie de l’exception a fait son apparition également dans les pays
européens
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A définir
Insister sur les caractères concentré et abstrait du contrôle et l’effet erga omnes des
décisions des juridictions constitutionnelles européennes
Définir la QPC
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Entrée en vigueur le 1er mars 2010, les conditions de mise en œuvre sont les suivantes :
Une condition de forme doit obligatoirement être observée : la QPC doit être soulevée
par écrit, dans un mémoire distinct. En aucun cas elle ne peut être soulevée d’office par
le juge.
2. Elle ne doit pas avoir déjà été déclarée conforme à la Constitution, ni dans les motifs,
ni dans le dispositif d’une décision du Conseil constitutionnel, sauf changement de
circonstances de fait ou de droit. 3. La question ne doit pas être dépourvue de caractère
sérieux.
Dè s lors que ces conditions cumulatives sont reunies , le juge saisi doit surseoir à statuer
et transmettre la question sans delai à sa juridiction supreme , jusqu’à la reponse soit de
cette dernière, soit le cas échéant du juge constitutionnel.
Le Conseil d’État et la Cour de cassation disposent d’un délai de trois mois pour
examiner la question posée en matière constitutionnelle . À l’issue de ce delai ils doivent
décider de transmettre ou non la QPC au Conseil constitutionnel.
2. La troisième est quelque peu différente devant les juridictions suprêmes en ce que la
question doit être nouvelle ou présenter un caractère sérieux.
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Document imprimé le 20/05/2018 à 14h01 par Papa Sarr (identifiant:182557 :: email:padiegane@gmail.com :: mdp:marie)
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CC, 15 janvier 1975, IVG : le juge constitutionnel se déclare incompétent pour contrôler
la conformité des lois aux conventions internationales. Il laisse ainsi le champ libre au
juge ordinaire si bien que :
Cass., 24 mai 1975, Société des cafés Jacques Vabre : la Cour de cassation s déclare quasi
immédiatement compétente, le CE le fait près de 15 ans plus tard au terme de CE, 20 oct.
1989, Nicolo
Contrôle diffus, concret, a posteriori, par voie d’exception, avec un effet inter partes
puisque le juge ordinaire n’a pas le pouvoir d’abroger une loi à l’image du juge
constitutionnel.
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