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Les enfants sont très peu impliqués dans la chaîne de transmission de l’infection, en
particulier avant dix ans.
Les enfants ne doivent donc pas faire l’objet de mesures d’ordre politique,
non basées sur les faits scientifiques et qui auront des effets délétères et
potentiellement irréversibles sur eux.
1
II. Testing de masse sur des enfants et adolescents (ainsi que sur des adultes, par
ailleurs) non symptomatiques :
Avoir un test PCR positif ne signifie pas forcément une infection en cours, car les tests
PCR ne sont pas des instruments de diagnostic fiables ou pertinents.
Les tests PCR calibrés ne doivent être utilisés que pour le diagnostic clinique des
personnes malades ou symptomatiques en hôpital ou sur avis d’un médecin.
Pour pouvoir effectuer un test sur mon enfant mineur, vous devez recevoir, au
préalable, notre autorisation parentale conjointe, même en cas de séparation.
2
III. La vaccination de masse des enfants et adolescents :
La vaccination pour des maladies bénignes chez l’enfant n’est habituellement pas
recommandée, sauf situation tout à fait particulière et individuelle, telle qu’une
déficience immunitaire ou un facteur de comorbidité et se fait toujours sur avis
médical.
Le risque de forme grave de Covid-19 chez les enfants est très proche de zéro et ne
peut justifier une vaccination indifférenciée.
Pour pouvoir vacciner mon enfant mineur, vous devez recevoir, au préalable, notre
autorisation parentale conjointe, même en cas de séparation, même si notre enfant est
âgé de plus de 16 ans.
3
IV. Effets du port du masque chez l’enfant
Lorsqu’on porte un masque, une fraction du CO2 expiré est réinhalé à chaque cycle
respiratoire. L’élévation de la capnie peut entraîner une série de conséquences telles
que:
Les enfants, même adolescents, sont encore loin d’avoir atteint une pleine stabilité
dans leur développement, et leurs réactions cliniques ne sont en rien comparables à
celles d’adultes dont le développement est achevé.
Les masquer ainsi la moitié du visage des journées entières avec la crainte d’une
réprimande systématique s’ils devaient le retirer est susceptible d’exposer nos enfants
à de graves conséquences cliniques aussi bien immédiates qu’à long terme sur les
plans somatiques et psychiques: céphalées, complications ORL, affections
dermatologiques, troubles de l’attention et de la communication, pathologies
psychiques, telle qu’angoisses, agressivité, terreurs nocturnes, TOC, énurésie,
bégaiement ainsi que des troubles de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.
J’insiste également sur la perte massive d’informations non verbales engendrée par le
port d’un masque. La partie inférieure du visage est un élément crucial du corps par
lequel l’enfant témoigne de tout ce que son langage et sa pensée encore immatures ne
peuvent communiquer verbalement: angoisses, questionnements, incompréhensions,
affectivité.
Certains enfants ayant déjà des fragilités telles que des difficultés de langage, une
hypersensibilité, des troubles relationnels ou encore une personnalité introvertie
peuvent alors se retrouver dans une véritable impasse de communication et aggraver
leurs difficultés de façon durable et significative.
Les obliger collectivement à porter un masque n’a pas de base légale, comme vous
pouvez le lire dans l’avis juridique commandé par Notre Bon Droit au cabinet Evrard,
en annexe.
4
Vous trouverez en annexe une liste d’informations scientifiques sur les points soulevés dans
cette lettre. Je vous demande urgemment d’en prendre connaissance dans l’intérêt de tous.
Je vous prie Madame la Ministre de recevoir l’assurance de ma plus haute considération.
Cordialement,
5
ANNEXE
1
https://academic.oup.com/cid/article/71/15/825/5819060
2
https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.21.2000903#html_fulltext
3
https://www.thelancet.com/journals/lanchi/article/PIIS2352-4642(20)30251-0/fulltext
4
https://www.gov.uk/government/publications/sars-cov-2-infection-and-transmission-in-educational-settings
5
https://theconversation.com/coronavirus-what-researchers-know-about-the-risk-of-reopening-schools-and-
how-best-to-limit-it-145509
6
https://www.thetimes.co.uk/article/no-known-case-of-teacher-catching-coronavirus-from-pupils-says-
scientist-3zk5g2x6z
6
II. TESTING DE MASSE DE PERSONNES ASYMPTOMATIQUES
Le test est justifié par la propagation apparente du SRAS-Cov-2 chez les personnes dites
"asymptomatiques" (en bonne santé).
Le gouvernement a déclaré qu'il estime qu’une personne propage le virus sans présenter
aucun symptôme7.
Il n'a pas fourni de preuves scientifiques pour étayer cette affirmation.
Les preuves et les déclarations ci-dessous remettent en question la théorie de la propagation
asymptomatique.
Le Dr Clare Craig FRCPath et Jonathan Engler ont publié un article le 19 décembre 20208
dans lequel ils affirment que :
« L'existence d'une transmission du SRAS-CoV-2 par des individus asymptomatiques
est devenue une vérité admise, mais les preuves de ce phénomène, autres que
l'interprétation erronée de résultats de tests faussement positifs, sont faibles.
L'examen des données sous-jacentes des méta-analyses les plus fréquemment citées
révèle que les conclusions reposent sur un nombre étonnamment faible de cas (six au
total dans le monde) et, de plus, on ne peut exclure la possibilité qu'il s'agisse de
contacts fortuits avec des résultats faussement positifs. La transmission
présymptomatique est rare et représente un risque négligeable pour la population.».
7
Une vaste méta-analyse11 de 54 études portant sur 77 758 participants et portant sur la
transmission par contact étroit au sein des ménages, publiée le 14 décembre 2020, a révélé
que "l'absence de transmission substantielle des cas asymptomatiques observés est notable"
L'étude conclut que les cas asymptomatiques ont un rôle limité dans la transmission au sein
des ménages.
De nombreuses études scientifiques ont mis en doute l'efficacité et la fiabilité des tests de
PCR pour détecter les personnes infectées ou contagieuses par le CoV-212 et ce, à juste titre.
Voici quelques-unes des principales préoccupations : les tests PCR ne sont pas valides car
personne ne connaît le taux officiel de faux positifs.
Pour avoir un sens, il est essentiel de connaître le taux de faux positifs de tout test de
diagnostic. L'absence de valeur connue du taux officiel de faux positifs pour le test PCR, tel
qu'il est configuré, l'invalide complètement. Même en supposant un taux de faux positifs
d'environ 1%, il y a un nombre moyen important de cas de faux positifs.
Le taux de faux positifs doit également être considéré par rapport à la prévalence de la
maladie dans l'ensemble de la population, pour déterminer le rapport entre les faux positifs et
les vrais positifs.
Voici un exemple chiffré :
Tests par jour : 20 000
Spécificité : 98%
Sensibilité : 80%
Prévalence : 0.1%
Que disent les statistiques et les probabilités ?
Quantité de malades de l’échantillon = 0.1% x 20 000 = 20 malades
Il y a donc 19980 personnes testées non malades statistiquement sur l’échantillon.
Le rapport entre les résultats des tests PCR faussement positifs et les résultats des tests
PCR réellement positifs est inacceptable.
L'OMS recommande que les diagnostics basés sur les tests PCR tiennent également compte
des signes et symptômes cliniques pour être fiables.
11
https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2774102
12
https://www.youtube.com/watch?v=ZEqm0ldWf-8&feature=youtu.be
8
Les scientifiques et, plus récemment, l'Organisation mondiale de la santé elle-même ont
depuis longtemps exprimé des inquiétudes quant à l'efficacité et à l'interprétation des résultats
positifs des tests PCR, en particulier lorsqu'ils utilisent des seuils de cycle élevés (utilisés dans
les laboratoires belges) qui détectent de minuscules fragments de virus qui peuvent persister
en petites quantités pendant des semaines après qu'un patient se soit complètement remis
d'une infection.
Le 7 décembre 2020, l'OMS a publié un avis d'information13 dans lequel elle indique avoir
"reçu des commentaires d'utilisateurs sur le risque élevé de faux résultats de SARS-CoV2 lors
de l'analyse d'échantillons à l'aide de réactifs RT-PCR sur des systèmes ouverts".
En conséquence, l'OMS a recommandé que "les prestataires de soins de santé soient
encouragés à prendre en considération les résultats des analyses ainsi que les signes et
symptômes cliniques, le statut confirmé de tout contact, etc. »
Le point important à noter ici est la référence aux "signes et symptômes cliniques".
Ces "signes et symptômes" sont clairement absents lorsqu'il y a des tests de masse sur des
personnes qui n'ont AUCUN symptôme.
L'avis de l'OMS met en garde contre le danger d'utiliser des seuils de cycle élevés pour
produire un résultat positif. En général, les charges virales élevées (provenant d'une personne
infectieuse) sont détectées à des seuils de cycle bas.
En conclusion, le test PCR ne peuvent être utilisés pour dépister en masse des populations ou
n’importe quelle personne saine et asymptomatique afin de déterminer qui est infecté ou
infectieux.
Les résultats faussement positifs seront utilisés pour justifier l'isolement inutile de centaines
de personnes, adultes comme enfants.
13
https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users
9
III. VACCINATION DE MASSE DES ENFANTS ET ADOLESCENTS
En Belgique, seule la vaccination contre la poliomyélite est obligatoire et doit être réalisée dès
la petite enfance.
Plusieurs vaccinations contre d’autres maladies touchant directement les enfants sont toutefois
exigées pour qu’un enfant puisse fréquenter un milieu d’accueil agréé par l’O.N.E. (crèche,
accueillants et accueillantes, pré-gardiennat, maison d’enfants,…). Tous ces vaccins sont
connus et éprouvés de longue date.
Dans tous ces cas, une comparaison entre les risques de la maladie et ceux de la vaccination
est toujours effectuée et peut donner lieu à des “dispenses” de vaccination le cas échéant.
La vaccination pour des maladies bénignes chez l’enfant n’est habituellement pas
recommandée, sauf situation tout à fait particulière et individuelle, telle qu’une déficience
immunitaire ou un facteur de comorbidité.
Le risque de forme grave de Covid-19 chez les enfants est très proche de zéro et ne peut
justifier une vaccination indifférenciée.
En outre, la diminution de transmission grâce au vaccin existe chez les adultes mais est mal
quantifiée.
Chez les enfants, il n’y a pas d’éléments probants permettant d’affirmer cet effet. S’il existe, il
n’est pas assez significatif pour jouer un rôle dans la propagation de l’épidémie.
Par ailleurs, contrairement à une idée reçue, les enfants ne jouent pas un rôle plus important
que les adultes dans la propagation de l’épidémie.
Au vu de tous ces éléments, la vaccination doit être envisagée dans l’intérêt premier de
l’enfant, et non dans un intérêt collectif non réellement objectivable, ni dans l’intérêt de ses
proches directs et surtout pas au détriment de ses intérêts personnels.
Ceci relève tant de l’éthique médicale que du droit, dès lors que l’article 22bis de la
Constitution impose que “Dans toute décision qui le concerne, l’intérêt de l’enfant est pris en
considération de manière primordiale”.
En ce qui concerne les adolescents, toute forme de pression émotionnelle exercée sur eux
(protection des parents et grands-parents, facilitation des vacances de la famille, accès à
certaines activités, stigmatisation) peut être appréhendée comme de la manipulation en
vue, notamment, d’obtenir un consentement non libre (et non éclairé) à la vaccination.
10
L’on ne peut, enfin, invoquer une “majorité médicale” pour justifier que les adolescents
reçoivent directement leur invitation à se faire vacciner. En effet, seul un médecin
connaissant le mineur peut apprécier si, le cas échéant, il est en mesure d’apprécier lui-même
ce qu’implique la vaccination.
Il faut noter que les essais cliniques de phase III n’ont pas pu, faute de temps, être menés à
termes, raison pour laquelle l’autorisation de mise sur le marché n’est que conditionnelle.
Si l’on ne prend pour exemple que le vaccin Pfizer/BioNTech COMIRNATY, l’essai clinique
de phase II/III sur lequel la commission européenne s’est basée pour évaluer la demande
d’autorisation de mise sur le marché conditionnelle ne devrait prendre fin, selon la base de
données américaine des essais cliniques, qu’aux environs du 2 mai 2023.
On peut donc conclure que les vaccins contre la COVID-19 sont toujours en phase
expérimentale.
Il convient donc d’appliquer la loi relative aux expérimentations sur la personne humaine, en
particulier ses dispositions relatives au consentement du mineur.
Cette loi impose que les représentants du mineur, en l’espèce ses parents, donnent leur
consentement éclairé quant à la participation de leur enfant à la vaccination, le mineur
devant être associé au processus de décision dans la mesure de sa maturité et de son
stade de développement.
14
https://covidrationnel.be/2021/06/26/considerations-sur-la-vaccination-anti-covid-des-enfants-et-des-
adolescents/
11
IV. UTILITE DU PORT DU MASQUE POUR CONTENIR LA TRANSMISSION DU
VIRUS
Entre mars et avril 2020, le gouvernement a affirmé publiquement et à plusieurs reprises que
le port du masque était « totalement inutile ».
Cependant, le port du masque est devenu progressivement obligatoire, dans l'ensemble des lieux
publics clos d'abord, puis dans les lieux ouverts, puis enfin, dans les écoles, pour les enfants
dès 12 ans en dépit des connaissances scientifiques actuelles, ainsi que des messages d’alertes
répétées de patriciens et professionnels de la sante à travers l’Union.
Il n’existe pas de consensus sur l’utilité du port du masque pour endiguer la propagation
d’une épidémie virale.
Le 3 avril 202015, une équipe de chercheurs a publié dans Nature une étude qui a évalué
l’impact du port du masque sur la propagation du coronavirus, tant par des personnes
symptomatiques qu’asymptomatiques.
Cette étude a démontré l’effet bénéfique quand le masque est posté par une personne
symptomatique, réduisant la charge virale expirée par la rétention des gouttelettes.
Cette étude ne montre pas de différence concluante dans la charge virale retrouvée par
voie aérosol. Si la charge virale expirée est bien diminuée pour les porteurs
symptomatiques, il n’y a pas de différence notable pour les porteurs asymptomatiques.
Par ailleurs, ils notent que dans les deux cas la charge virale retrouvée est largement
inférieure à celle expulsée par les porteurs symptomatiques sans le port du masque, et
posent l’hypothèse que cette charge pourrait être dans les deux cas insuffisante pour
induire une infection chez la majorité des personnes.
Ils concluent que – si la transmission peut se faire par voie aérosol – le port du masque
n’a probablement aucun effet.
15
https://www.nature.com/articles/s41591-020-0843-2?fbclid=IwAR3Sa6gRWNcJlmxm0BNtsIJGSA_li0olQlrTuaXeLo-pc-
tTrn2i8NX6yYM
12
L’étude randomisée en double aveugle publiée par le gouvernement danois dans le journal
Annal of Internal Medicine16 confirme : elle a démontré sans équivoque que le port des
masques n’a aucune incidence positive sur l’évolution du nombre de cas positifs à la COVID-
19
EFFICACITE ET EFFETS DU PORT MASQUE POUR LES ENFANTS
Avec un masque, une fraction du CO2 expiré est réinhalé à chaque cycle respiratoire.
L’élévation de la capnie peut entraîner une série de conséquences telles que :
- l'hypoxémie, soit la diminution du taux d’oxygène, indispensable pour la
concentration et la mémorisation,
- l'acidose respiratoire, qui entraîne des céphalées, de la confusion, de l'anxiété, une
somnolence (idéal pour une journée de cours)
- l'alcalose métabolique, qui entraîne irritabilité, crampes et spasmes musculaires
- la vasodilatation cérébrale, à l’origine de migraines récurrentes
- la rétention hydrosaline, à l’origine d’hypertension et de dégâts cardiovasculaires
Il ne s’agit pas de risques hypothétiques : une étude publiée en 2012 a évalué l’effet du port
prolongé du masque chirurgical sur la santé de 53 chirurgiens turcs17.
Il s’agissait de personnes en bonne santé préalable.
Ils ont constaté une augmentation de la fréquence cardiaque et une diminution de saturation
pulsée en oxygène (SpO2 reflet de la saturation artérielle) dès après la première heure de
port du masque, en comparant aux valeurs prises sans masque. Une faible variation en
saturation en oxygène (SpO2-SaO2) peut refléter une large variation de la pression partielle
du sang en oxygène (PaO2).
Les chercheurs concluent que leurs résultats montrent l’impact clinique potentiel du port
prolongé du masque sur la respiration.
Plusieurs spécialistes en neuropsychologie alertent sur le fait que le port du masque entrave de
manière inquiétante l'apprentissage et le développement cognitif et cérébral de l'enfant.
En effet, dans son livre « Une éducation masquée ? Les avantages et les inconvénients du port
du masque dans les écoles pendant l’actuelle pandémie de Corona »18, Spitzer décrit ceci, en
résumé :
« Couvrir la moitié inférieure du visage réduit la capacité à communiquer, à interpréter et à
imiter les expressions de ceux avec qui nous interagissons. Les émotions positives deviennent
moins reconnaissables, et les émotions négatives sont amplifiées. Le mimétisme émotionnel,
la contagion et l’émotivité en général sont réduits et (par conséquent) les liens entre les
enseignants et les apprenants, la cohésion du groupe et l’apprentissage – dont les émotions
sont un moteur majeur »
16
https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-6817
17
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf
18
Tendances en neurosciences et en éducation. 2020;20:100138. doi:10.1016/j.tine.2020.100138 —-
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7417296
13
L’université de Witten/Herdecke a mis en place un registre en ligne où les parents, les
médecins, les pédagogues et d’autres personnes peuvent inscrire leurs observations. Le
20.10.2020, 363 médecins ont été invités à y inscrire leurs observations et à informer les
parents et les enseignants de l’existence de ce registre.
Résultats : Au 26.10.2020, le registre avait été utilisé par 20 353 personnes. Dans cette
publication, nous présentons les résultats des parents, qui ont saisi des données sur un total de
25 930 enfants. La durée moyenne de port du masque était de 270 minutes par jour. Les
déficiences causées par le port du masque ont été signalées par 68% des parents. Il s’agissait
notamment d’irritabilité (60%), de maux de tête (53%), de difficultés de concentration (50%),
de moins de bonheur (49%), de réticence à aller à l’école/au jardin d’enfants (44%), de
malaise (42%), de difficultés d’apprentissage (38%) et de somnolence ou de fatigue (37%).19
19
2021–Schwarz : Silke Schwarz, Ekkehart Jenetzky, Hanno Krafft, Tobias Maurer, David Martin. « Les enfants
de Corona étudient le « Co-Ki » : Premiers résultats d’un registre allemand sur la couverture de la bouche et du
nez (masque) chez les enfants ». 18 décembre 2020. DOI : 10.21203/rs.3.rs-124394/v1 –
https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v1 —- v2 (5 janvier 2021) :
https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v2
14