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M AROUAN ARIANE
DOCTEUR EN PHARMACIE
Entrainement Nutrition
Sommeil Synthèse
hormonale
Composition corporelle
Conseil :
1 fois par semaine en milieu de semaine (Pesée quotidienne déconseilléé)
Le matin à jeun après diurèse
Avec la même balance
La double pesée :
1 seul intérêt = quantifier la perte hydrique
Post-effort : compenser par 500ml d’eau pour chaque kg perdu
En sous-vêtements après diurèse
Adiposité et performance
La recherche d’un %MG excessivement bas n’est en rien un indicateur de performance !
L’attitude de certains athlètes, consistant à « s’assécher » au maximum ne présente donc
aucun intérêt dans un objectif de performance mais purement esthétique.
20 à 40 ans <7 7 à 18
Hommes
> 40 ans <9 9 à 18
Athlètes 3à5 5 à 13
20 à 40 ans < 20 20 à 33
Femmes
> 40 ans < 20 20 à 33
Athlètes 8 à 12 12 à 22
KHALID W., BIBI PhD., Health-Related Physical Fitness Testing and Interpretation, Américan Collège of Sport Medicine’s Certification Rewiew, 2ém édition, 2006, 55-64, 107-110.
STEWART AD.; HANNAN WJ.; Prediction of fat and fat-free mass in male athletes using dual X-ray absorptiometry as the reference method; Journal-of-sports-sciences. 2000; 18 (4) : 263-274.
Différences d’adiposité entre les différents sports
Différences d’adiposité
<
Homme Femme
Actif Sédentaire
Sujet jeune Sujet âgé
Régime Lipidique ou Glucidique Régime gras-sucré
Sports d’endurance et ultra-endurance Sports de puissance/force
Estimation de la MG
IMC
Indice de Masse Corporelle
Plis cutanés
4 plis (bicipital, tricipital, supra-iliaque, sous-scapulaire)
Avantage :
Utilisable en routine
Peu couteux
Rapide (±2min)
Inconvénients :
Risque erreur important dépendant de l’opérateur
Uniquement masse grasse sous-cutanée
Partie supérieure du corps seulement
Ne renseigne pas sur l’hydratation
Estimation de la MG
DEXA
Absorptiométrie biphotonique à rayons X
Avantages :
Séparation des 3 compartiments : MG, MO et MM
Bonne précision
Simple
Inconvénients :
Irradiations : doses de rayons X
2x/an max (pas en routine)
Couteux
Mise en œuvre
Ne renseigne pas sur l’hydratation
Estimation de la MG
Impédancemétrie
Estimation de la variation des fluides
Avantages :
Séparation des 3 compartiments : MG, MO et MM
Bonne précision
Inconvénients :
Algorithmes variables et non renseignés
Balance énergétique
Bilan énergétique
DÉPENSES
APPORTS
Métabolisme + Activité
Nutrition
physique
Bilan énergétique
Bilan énergétique
Apports = Dépenses Maintien du poids Situation d’équilibre
nul
Déficit de 500 à 1000kcal
Combiner une réduction calorique de
250 à 500 kcal à un déficit
Perte de poids
Bilan énergétique énergétique de 250 à 500 kcal par le
Apports < Dépenses 3-6 mois
négatif bais de l’exercice (aérobie intensité
5 à 10% PT
contrôlée)
Perte de poids progressive (0,5g-
1kg/semaine)
Définition :
Le métabolisme de base se définit par la quantité minimale d’énergie nécessaire pour assurer
l’essentiel des fonctions vitales de notre organisme (cerveau, muscles, foie, reins, cœurs,
graisses…)
MINIMUM VITAL
Le Métabolisme de base
MB : kcal
P : Poids en kg
T : Taille en cm
A : Age en années
N.B. : Le métabolisme de repos varie avec le poids (plus précisément à la masse maigre), l’âge, le sexe, l’alimentation, l’activité physique et la génétique.
DET24h = MB x NAP
Méthode factorielle
Multiplicateur d’activité
2 Position assise : repos, TV, lecture, écriture, travail de bureau, transport assis, repas 1,5
3 Position debout : toilette, déplacements à la maison, cuisine, travaux ménagers, achats 2,2
Méthode factorielle
Méthode factorielle de mesure de la DEJ
Heures NAP x Nb
Catégorie Activités NAP*
consacrées heures
…
6 Sport, activités prof très intenses (terrassement, travaux forestiers, ...) 5 …
TOTAL 24H …
Méthode factorielle
Méthode MET
Le Compendium des Activités Physiques
821 Activités
De 1 à 23 MET
Détail des activités de la journée hors AP MET Heures consacrées MET x Hr
Sommeil 1 MET 8h 8
Plan TOTAL
Type MET Heures consacrées
d’entrainement MET x Hr x Poids
Dimanche Repos 0h 0
DEA/semaine 2520
DEA/Jour 360
Calcul DET à partir des MET
= 2591 kcal
EXPRESSION DE L’INTENSITÉ
EXPRESSION DE LA FORCE
Système Système
anaérobie et avec
phosphagène oxygène
% d’aérobie
Part des substrats à l’effort en fonction de l’intensité et du régime d’entrainement
Les 3 filières énergétiques
Somatotype
Composition de la sueur :
99% eau
Sodium 1g/L
Potassium 0,15-0,19g/L
Bilan hydrique
Entrées : Sorties :
• 1,2L Boissons • 1,5L Urines par miction
• 1L Alimentation 60% • 0,6L Peau (transpiration,
• 0,3L Eau métabolique H2O perspiration)
(eau aérobie : chaine • 0,3L Poumons (perspiration)
respiratoire) • 0,1L Selles
Perte de volume :
Composition de la sueur :
Perte de poids = Poids avant – poids après
99% eau % déshydratation = (perte de poids / poids avant) X 100
Sodium 1g/L
Potassium 0,15-0,19g/L Test de transpiration :
Pertes sudorales = perte de poids + vol. ingéré – vol.
urinaire
Taux de sudation (ml/min) = pertes sudorales / durée
d’exercice
Effets d’une déshydratation progressive
% de perte de poids corporel
0
1 Soif
2 Soif importante, perte d’appétit, inconfort
3 Baisse du volume sanguin
4 Nausées, ralentissement du travail physique
5 Difficultés de concentration, apathie, picotements aux extrémités
6 Hausse de la T°C corporelle, du pouls et du rythme respiratoire
7 Trébuchement, mal de tête
8 Etourdissement, respiration laborieuse
9 Faiblesse, confusion mentale
Décès 10 Spasmes musculaires, discours indistinct
11 Défaillance rénale et cardiaque
La déshydratation
Capacités d’endurance et
anaérobies Temps de réaction
Force musculaire Nombre d’erreurs
Douleurs musculaires, risque Sensation de fatigue
accru de crampes, claquage…
Protocole d’hydratation
Aliment
Digestion
Enzymes salivaires, digestives, pancréatiques
Nutriments
Macronutriments Micronutriments
Grosses molécules Petites molécules
Apports significatifs Apports réduits
Responsables de l’énergie Non énergétiques
Macronutriment Energie/g
Glucides 4 kcal
Protéines 4 kcal
Lipides 9 kcal
*Le microbiote attaquent les fibres solubles dans le colon pour produire des
AGCC par fermentation anaérobie responsables du potentiel énergétique.
L’énergie métabolique
Entité qui s’explique mais qui ne se représente pas (ni forme, ni masse physique, ni caractéristiques
descriptibles). L’énergie existe sous différents formes élémentaires : électrique, nucléaire,
mécanique, thermique et rayonnante mais celle que nous utilisons est chimique.
Métabolisme : somme globale de l’énergie nécessaire pour alimenter les processus et activités
celullaires.
Alimentation
Catabolisme
Glucose Glycogène
Acides aminés,
Peptides Glycérol et Acides gras
Anabolisme Production
d’énergie
Synthèse Lipogenèse et
protéique ATP stockage
Contraction
Les pertes liées à l’exercice
Durée de
Boisson conseillée
l’effort
Les glucides
Les sucres
(sucrosité)
Glucose
Saccharose
Fructose Amidon (amylose +
Lactose Maltodextrine
Galactose amylopectine),
Maltose
Dextrose
Fibres alimentaires
Non
digestibles
Les fibres alimentaires
Fibres
Apports : 30g/jour
FS FI
Solubles Insolubles
Partiellement digérées Non digérées
Oligosaccharides
Enzymes intestinales
Intestin grêle
(dextrinase,
glucoamylase)
Lactose Maltose Saccharose
Enzymes intestinales
Intestin grêle
(lactase, maltase,
saccharase)
Nutriments Galactose Glucose Fructose
Absorption
Na+ Na+
K+ K+
GLUT5 GLUT2
Affinité pour le
Localisation Ose transporté
glucose
Glucose
Viscéral : Foie, pancréas (cellules beta), intestin (membrane
GLUT2 Faible Galactose
basale des entérocytes), rein
Fructose
Glucose
GLUT3 Neurones du cerveau, muscle fœtal Forte
Galactose
GLUT4 Muscles striés, tissu adipeux Forte Glucose
APPORTS Alimentation
EXOGENES
40% 60%
MILIEU SANGUIN GLUCOSE
Glycogénogénèse Glycolyse
Néoglucogénèse
Mise en réserve Utilisation cellulaire
Foie, Muscles Foie, Muscles
APPORTS A jeun ou à l’effort
ENDOGENES
MILIEU INTRACELLULAIRE
Foie +++
Rein +
Les édulcorants
EDULCORANT
Substance possédant un pouvoir sucrant
Non nécessairement un glucide
NATURELS DE SYNTHÈSE
Glucides
Lentilles, Pois
chiches, Petit Pomme de terre,
Avoine, Riz, Blé Fruits Frais
Pois, Haricots, Patate douce
Fèves
Fruits
déshydratés
Intolérance au lactose
Physiopathologie :
Persistance dans l’intestin de lactose non hydrolysé, osmotiquement actif, à l’origine d’une
diarrhée, de ballonnements et/ou de douleurs.
Etiologie :
1. Déficit congénital en lactase : rarissime (héréditaire, récessif), expression néonatale
2. Déficit secondaire en lactase : affections digestives
3. Déficit primaire en lactase : hypolactasie de l’adulte (70% de la population humaine)
Glycogène
125
Le glycogène
100 hépatique est converti Forte
en glucose
75
50
0
0 1 2 3 4
Durée d’exercice (en heures)
Capacité de stockage du glycogène
Glucides et performances
1,2g.kg-1.j-1
Glucides à IG élevé 30min
Récupération courte <8h entre ou
après la fin d’un effort associés
2 séances 0,8g.kg-1.j-1 + 20g-25g de
ou non à des protéines
protéines
Compétitions 1h à 4h avant : 1g à 4g.kg-1.j-1
<1h : Eau pure
1h à 2h : 30g.h-1
Entrainement/Compétitions 2h à 3h : 60g.h-1
Pendant l’effort
>3h : 90g.h-1
Stratégie de recharges glucidiques
P
L
↑ charge entraînement + P L + G Régime dissocié scandinave : génère de la
fatigue
3 jours 6 jours
10-12g/kg
G : 50% AET sans fibres
P P
↓ charge entraînement + L
G + L G Méthode Sherman
3 jours 3 jours
Métabolisme du
glycogène au repos et à
l’exercice
Sucres
Vitesse Vitesse
d’assimilation d’assimilation lente
rapide
Vitesse d’absorption des glucides
Moyen
1,2
Faible
0,8
30 min 2h
Prise aliment
glucidique
Echelle des index glycémiques
100 : Glucose
• Glucose, dextrose
• Céréales raffinées
IG Haut • Saccharose (Sucre blanc, sucre de canne), Sucreries, Sodas et boissons Post-effort
sucrées
>70 • Miel, Sirops
• Fruits déshydratés (dattes, raisins secs, bananes séchées…)
↑IG ↓IG
Notion complémentaire
Prend en compte la proportion en glucides
Résultante
IGAliment x Qglucides(g)
CGAliment
100
Charge glycémique globale
Quantité
Aliment Index Charge Glucides Index Charge
Aliment Aliment
pour 50g de Glycémique Glycémique pour 100g Glycémique Glycémique
glucides
Baguette Baguette 39,2
90g 70 blanche 56g 70
blanche Très élevé
56g.100-1
35 5,25
Pastèque
715g 75 Pastèque 7g 75
7g.100-1 Elevée Bas
Fraise 1,25
1000g 25 Fraise 5g 25
5g.100-1 Très bas
Les protéines
Les protéines
• Rôle principalement structural et fonctionnel : immunité, enzymes, muscles, hormones …
• 1g de protéines 4kcal
• Les protéines sont assimilées sous forme de peptides et d’acides aminés (molécules assimilables)
• ANC : 20 à 25% de la ration calorique (Aspect qualitatif : 50% animales/50% végétales et Timing)
Protéines
Les besoins en protéines doivent être assurés par un apport suffisant à la fois en azote et
en acides aminés essentiels, par l’ingestion de protéines d’origine animale et/ou végétale.
Acides aminés générique
Hydrolyse
Condensation
Molécule d’eau
Définition d’une protéine
Une protéine est une molécule comportant de Protéine Unités d’acides
l’azote et composée d’une séquence d’acides aminés
aminés reliés par des liaisons peptidiques. Dipeptide 2 AA
Par convention, une protéine comportant moins de Tripeptide 3 AA
10 acides aminés est appelée peptide.
Oligopeptide 4 à 10 AA
Polypeptide > 10AA
Le renouvellement protéique est aussi régulé afin de modifier la masse de chaque protéine selon la
demande physiologique, les échanges d’acides aminés entre les tissus et la circulation sanguine,
permettant de rediriger les acides aminés en conséquence.
Homéostasie glucidique
APPORTS Alimentation
EXOGENES
25%
MILIEU SANGUIN ACIDES AMINES
Elimination
TURNOVER
Cycle de l’urée
UTILISATION Transamination hépatique
CELLULAIRE Excrétion de l’urée
Foie +++
Synthèse protéique
MILIEU INTRACELLULAIRE Rein +
Transcription gène en ARNm
Traduction ribosomique
Acheminement des AA via ARNt
Si EEA manquant blocage de la construction
La masse protéique
Fonction Exemple
Structure Collagène, Kératine
Contractiles Actine, Myosine
Immunitaires Immunoglobulines, Anticorps
Sanguines Hémoglobline, Albumine
Enzymatiques Enzymes digestives, de transport …
Hormonales Insuline, Glucagon, GH, IGF-1
Digestion d’une protéine
Aliments Protéines
Estomac Pepsines
Peptides
Enzymes intestinales
Intestin grêle
(Trypsines
Chymotrypsines
Carboxypeptidases)
Apports Alimentaires
Gain protéique
Les cellules puisent dans leurs 80g/j
réserves en AAL pour les
besoins de protéinosynthèse. TURNOVER
Ces petites réserves se Synthèse
renouvellent plus ou moins Endosynthèse Aminoacidémie 300g/j
rapidement. Protéines
Synthèse de AAL
Le réapprovisionnement est 70g Protéolyse 10kg
novo
assuré par la l’alimentation 300g/j
(1/3) et la protéolyse (2/3).
Lorsque l’apport alimentaire
est insuffisant, la protéolyse 25%
augmente pour compenser 80g/j
(fonte musculaire en priorité : Oxydation
mécanisme de sauvegarde). Pertes protéiques
Le déséquilibre du bilan existant entre synthèses et dégradation protéiques constitue le déterminant majeur des variations de masse musculaire.
Configuration n°1 :
Bilan azoté négatif (Catabolisme Protéique < Anabolisme Protéique) + régime pauvre en calories
Configuration n°2 :
Bilan azoté positif (Anabolisme Protéique > Catabolisme Protéique) + régime riche en calories
Myostatine Insuline
Exercice et voie
d’activation de la
protéinosynthèse L-Leucine
REDD1
Entrainement en AMPK
endurance
280g/j
CATABOLISME
Acides Aminés Protéine
ANABOLISME
280g/j
1,7-1,8
(Bartels, 1992; Burd, 2009; Forbes, 1994; Koopman, 2009;
Hypertrophie + Apport énergétique (+400-500 Symons, 2007, IOC, 2015)
kcal/jour), pour gagner 0,5 kg/sem.)
(Hernandez, 1996; Nemet, 2005; Mettler, 2010; McCleave,
Perte de poids 1,4-1,8 2010; IOC, 2015)
2,5
Maximum pendant 6 mois (2/3 sources AFSSA 2007, EFSA.
alimentaires)
Le besoin net en acides aminés est principalement lié à la nécessité de remplacer les pertes en acides aminés
Contrôle nutritionnel du métabolisme protéique (intérêt d’un minutage)
20g
Pas de consensus
10g 30g 8-10g EAA ou 15-25g de Protéines (Littérature)
40g (Entrainement de l’ensemble du corps)
Plafonnement à partir de 40g
0g 40g
Type de protéines
Composition de la boisson :
1. Protéines de qualité à assimilation rapide (WPC, WPI, lait)
2. Glucides à index glycémique élevé
3. Eau
Combinaison protéines + glucides > Nutriments isolés
Délai de prise :
Immédiatement dès l’arrêt de l’effort (délai 3h)
Une prise précoce augmente la vitesse de synthèse du glycogène et l’anabolisme
Facteur clé pour performances futures
Ratios : 80g
60g 15g-25g
GLUCIDES
40g
PROTEINES
20g
0g
La quantité de protéines par prise
3 FREINS IMPORTANTS
Jeune prolongé
Cycle jour/nuit : pic GH à 2h, libération testostérone à
7-9h Apport massif de glucides à IG élevés (hypoglycémie
réactionnelle)
Âge
Testostérone
HYPOPHYSE Hyperinsulinémie
CORTISOL
LH
Stress/Entrainement
TESTICULES intensif
Synthèse de Testostérone à partir de Cholestérol
Testostéronémie SHGB
Circulation sanguine libre Transporteur sanguin
Zinc
Hormone de croissance
Somatotropine, Cerveau
Csg : 2 à 4ng/ml
Pic : 2h
½ vie : 20 min
HYPOTHALAMUS
• Hypoglycémie
GHIH GHRH • Sommeil Profond
Somatostatine Somatolibérin • Entrainement en résistance
e • Stress
HYPOPHYSE
GH
CORTISOL
Cellule
IGF-1R
Croissance er régénération cellulaires (os,
muscles, nerfs, reins…)
Différenciation des cellules satellites.
+ Synthèse protéique
- Protéolyse
+ Pénétration glucose (Effet hypoglycémiant)
Cortisol
Glucocorticoïde stéroïdien
Synthèse à partir de cholestérol
Pic : 6h à 7h
Hautement catabolisante
Hypothalamus
Stress
Infection, fièvre, douleur, fatigue,
peur, variation de température,
CRH entrainement intensif,
Corticolibérine hypoglycémie…
Hypophyse
ACTH
Corticotrophine
Glandes Corticosurrénales
Synthèse de Cortisol à partir de Cholestérol
Actions catabolisantes :
+ protéolyse
+ lipolyse
+ néoglucogenèse hépatique (effet
hyperglycémiant)
- testostérone
SOUS ALIMENTATION PROTÉIQUE SURALIMENTATION PROTÉIQUE
Viandes rouges : bœuf, mouton Céréales : blé, orge, avoine, riz, Spiruline, Chlorella
maïs…
Poissons
Légumineuses : lentilles, petit
Volailles : dinde, poulet pois, pois chiches, haricots,
soja,
Œufs
Graines et Noix : Amandes,
Produits laitiers et dérivés : lait,
noix, pistache, cacahuètes,
yaourts, fromages, WPC, WPI
sésame, lin…
L’inégalité des protéines
Critère Précisions
Rôles et fonctions :
Lubrification articulaire
cortisol…)
Groupe méthyle
Groupe carboxylique
2 nomenclatures : ω ou Δ
Assimilation plus rapide
Isomérie
Les acides gras saturés augmentent la fluidité des membranes
Il existe 2 types de tissu adipeux
Aliments Lipides
Bouche Lipase linguale
Gouttelettes
lipidiques
DG + AG
Nutriments G + MG +AG
Métabolisme des acides gras
À JEUN/REPOS OU À L’EFFORT
POST-PRANDIAL
(INTENSITÉ FAIBLE)
Lipogénèse (stockage des acides gras sous Lipolyse (TGDGMG + Glycérol)
forme de triglycérides dans le tissu adipeux
blanc) Bêta-oxydation en aérobie (formation d’acétyl-
CoA, cycle de Krebs, Chaine respiratoire)
Ré-estérification et glycéronéogénèse
Apports lipidiques
Oméga 6 (acide
5 à 10% : 17g/jr pour les Hommes et 12g./jr pour les femmes
linoléique)
Apport lipidique autour de la période d’entrainement
+ -
PANCREAS
Cellules α Cellules β
Intervention métabolique des
hormones pancréatiques à +
l’effort ↑ Glucagon ↓ Insuline TG
Le système nerveux
sympathique ralentit la
+
production d’insuline tandis que Adrénaline ↑ AMPc ↑ GP
la baisse de la glycémie active la
sécrétion de glucagon.
Glycogénolyse
Ces variations hormonales
inhibent la glycogène synthase MUSCLE IL-6 AGNE
GS et activent la glycogène
phosphorylase.
+ + +
La chute de l’insuline active la
triglycéride lipase. Le glucose et TISSU ADIPEUX
↑ AMPc Glycogénolyse ↓ GS
les acides gras non estérifiés
convergent vers le muscle en FOIE
contraction.
Glucose
Stockage des acides gras sous forme de triglycérides
GLUT4
Stockage des acides gras sous forme de triglycérides
30%
10%
60%
Le cholestérol
Fonctions :
• Imperméabilité des Membranes cellulaires
• Synthèse de neurotransmetteurs
• Véhicule de nombreuses vitamines
• Précurseur : Vit D, H. Stéroïdiennes, Acides biliaires…
Répartition des apports
- 55 % sous forme mono-insaturée (0,60 gr/kg poids de
corps)
55
15
1,25(OH)2 D corégulateur
VDRE
Certaines vitamines sont retrouvées dans un nombre limité d’aliments (B12 et
produits animaliers ; C et fruits/légumes…)
D’autres vitamines sont davantage ubiquitaires (B6, B9…)
Matières grasses E, A, K
C (exclusive), B, K, caroténoïdes
Fruits et légumes
+ 1 cru/2j
Céréales, Légumineuses B
Activité physique et vitamines
Vitamines Implication
Vitamines « énergétiques »
Production énergétique
(vit. B1, B2, B3, B5, B6, B8)
Vitamines antioxydantes
Pouvoir antioxydant
(vit. C, E, caroténoïdes)
Réparation musculaire
Vitamines B9 et B12
Renouvellement cellulaire
Vitamines C et A
Défense immunitaire
Santé osseuse
Vitamines D et K
Fonction musculaire
Besoins en vitamine B du sportif
B1 B2 B6 E B1 B2 B6 E
Apport
Vitamines ANC (H/F)
complémentaire
Vitamine B1 (mg/j) 1,3 / 1,1 1,0
22
Minéraux Majeurs Oligo-éléments
Calcium, Magnésium, Potassium, Phosphore, Fer, Zinc, Cuivre, Iode, Chrome, Sélénium,
Souffre, Sodium, Chlore Fluor
Micronutriments
De manière générale, les vitamines liposolubles sont apportées par les lipides alimentaires :
Huiles
Poissons gras
Jaunes d’œufs
Foie
Vitamines ADEK
Toxicité
HYPERVITAMINOSE