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Chapitre 5

Travail et Energie

Introduction
Le travail d’une force mesure sa contribution à un déplacement. La somme des travaux
que subit un objet fais varier son énergie cinétique, ce qui permet, dans certains contextes, de
considérer l’énergie comme la capacité à faire un travail. Le travail de chaque force correspond
à une quantité d’énergie qui change de forme. Cela nous conduira au principe de conservation
de l’énergie mécanique, puis au principe de conservation de cette énergie.

I - Travail effectué par une force :


Le travail mesure l’efficacité d’une force à déplacer un mobile (Figure 1).
− →
→ −
dW = F .dr

Si la particule se déplace de A vers B


(Figure ci-contre)
WB B
− →
→ −
Z Z
dW = F .dr
WA A

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B

− − →
→ −
Z
⇒ W(F ) = F .dr
A

− →

avec dr(dx, dy, dz) et F (Fx , Fy , Fz )

−→
→ − − →
→ − − →
→ − − →
→ −
⇒ F dr = | F ||dr|cos( F , dr) = | F ||dr|cosα
Remarque :


− →

- Si F est perpendiculaire à dr alors le travail est nul.

- Le travail est une grandeur algébrique :

Si W > 0 ⇒ le travail est dit moteur

Si W < 0 ⇒ le travail est dit résistant

- En général le travail dépend du che-


min suivie entre A et B ⇒ W1 6= W2
(Figure ci-contre).

. Notion de Puissance :
La puissance est une grandeur qui mesure le taux de travail ; elle est définie comme étant le
travail par unité de temps.
− →
→ −
dW F .dr → − −
P = = = F .→v
dt dt

II - Energie Cinétique


L’énergie cinétique d’une particule M de masse m et de vecteur vitesse V est le scalaire Ec
défini par :
1
Ec = mV 2 (1)
2
Théorème :
Le travail W de toutes les forces extérieures appliquées à un point matériel M, entre la position

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initiale A et la position finale B, est égale à la variation de son énergie cinétique entre A et B.

⇒ W = ∆Ec = EcB − EcA

- L’énergie cinétique est toujours positif.


− →
− P2
- La quantité de mouvement P = m V ⇒ P 2 = m2 V 2 ⇒ Ec = 2m
.


− →

- Si F est perpendiculaire à dr ⇒ W = 0 ⇒ ∆Ec = 0 ⇒ Ec = constante

III - Energie potentielle


L’énergie potentielle d’un système est l’énergie emmagazinée dans le système en vertu des
forces que les composantes du système exercent les uns sur les autres. On a deux formes d’éner-
gies :

. Energie potentielle élastique :


un ressort idéal dont la constante de raideur est k et dont l’étirement est x, on écris alors :

1
Ep = kx2
2
L’énergie potentiel Ep est toujours positif.

. Energie potentielle gravitationnelle :


- au voisinage de la terre :

Ep = mgh
- celle des astres :

Gm1 m2
Ep = −
r
Le travail s’écrit en fonction de la variation de l’énergie potentielle, tel que :

W = −∆Ep = Epi − Epf

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avec Epi est l’énergie potentielle initiale et Epf est l’énergie potentielle finale.

. Force conservative


Si une force F est conservative, alors elle dérive d’une énergie potentielle Cette force peut
s’écrire :


− −−→ →
− ∂Ep →
− ∂Ep →
− ∂Ep →

F = −gradEp = − ∇Ep = − i − j − k
∂x ∂y ∂z

− V→
− →

Pour une force conservative : ∇ F = 0

IV - Energie mécanique totale

1 - Définition
On appel énergie mécanique (ou énergie totale) Em d’une particule M , la somme de ses
énergies cinétique Ec et potentielle Ep , telque :

Em = Ec + Ep

2 - Système conservatif
Une particule M constitue un système conservatif si les seules forces, appliquées à cette
particule, qui travaillent au cours du mouvement, dérivent d’un potentiel.

W = −∆Ep et W = ∆Ec

−∆Ep = ∆Ec ⇒ ∆Ep + ∆Ec = 0

⇒ ∆(Ep + Ec ) = 0

Par conséquent :
∆Em = 0 ⇒ Em = cte

L’énergie mécanique Em , d’un système conservatif, reste constante au cours du mouvement et


conserve sa valeur initiale.

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3 - Stabilité d’un équilibre

Soit un point matériel M soumis à des forces conservatives dont la résultante s’écrit :


− −−→
F = −gradEp


Les composantes de F sont :

−∂Ep −∂Ep −∂Ep


Fx = ∂x
, Fy = ∂y
, Fz = ∂z
.


− →

Si le point M est à l’équilibre, F = 0 et par conséquent :

−∂Ep −∂Ep −∂Ep


⇒ = = =0
∂x ∂y ∂z

L’énergie potentielle est soit minimale ou maximale. On dit alors que l’équilibre est stable quand
le point M est soumis à une force de rappel qui le ramène à sa position d’équilibre. Dans le cas
contraire, l’équilibre est dit instable.

En conclusion :
∂ 2 Ep
- un point est stable ⇒ ∂x2
>0

∂ 2 Ep
- un point est instable ⇒ ∂x2
<0

Application 1 :

Une particule qui se déplace le long de l’axe (x0 Ox), on trace l’énergie potentielle en fonction
de x.

or

− −−→
F = −gradEp


− →
− −∂Ep
⇒ F = Fx i et Fx =
∂x

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dEp
- Dans l’intervalle [x1 , x2 ], dx
<0 → une pente négative


− →

⇒ − dE
dx
p
>0 ⇒ F est dans le sens de i

dEp
- Dans l’intervalle [x1 , x2 ], dx
>0 → une pente positive


− →

⇒ − dE
dx
p
<0 ⇒ F est dans le sens contraire de i .

Application 2 : Satellites


Mouvement d’un projectil lancé vers le ciel à partir du sol. Soit une vitesse initiale V0 , son
énergie potentielle gravitationnelle est
GmT m
EP g = −
r
1 GmT m
ET = Ec + EP g = mv 2 −
2 r


D’une part le système est soumis uniquement à Fg qui est centrale, donc c’est une force
conservative ⇒ ET = cte

D’autres part, à la surface de la terre


1 GmT m
⇒ ET (RT ) = Ec (RT ) + Ep (RT ) = mv02 −
2 RT
1
⇒ Ec (r) = mv 2 = ET (r) − Ep (r) = ET (RT ) − Ep (r)
2
1 1 1
⇒ Ec (r) = mv02 + GmT m( − )
2 r RT
Pour r = RT : 
E (R ) = E = 1 mv 2
c T c0 2 0
Ep (RT ) = Ep0 = − T m
Gm
RT

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Pour r = rmax : 
E (r ) = 0
c max
Ep (rmax ) = 1 mv 2 − GmT m
2 0 RT

Or on sait que l’énergie potentielle et cinétique à l’infinie sont nulles.


1 2 GmT m
⇒ ET (RT ) = ET (∞) ⇒ mv − =0
2 0 RT
r
2 2GmT m 2GmT m
⇒ v0 = ⇒ v0 =
RT RT
On appelle vitesse de libération v0 , est celle qu’il faut donner au projectile pour qu’il puisse
s’échapper à l’attraction terrestre. Cette vitesse initiale lui permettrait d’aller vers l’infini où
son énergie cinétique serait nulle.

Application 3 : Etats liés d’un système mécaniquement isolé :


Lorsqu’un système est mécaniquement isolé son énergie mécanique se conserve.
En écrivant que l’énergie cinétique est une grandeur nécessairement positive, nous obtenons une
condition restreignant les états énergétiques possibles du système ; cette condition de restriction
définit ce que l’on appelle les états liés du système. Ces états sont définis par :

Ec > 0 ⇒ Em − Ep > 0

Pour une masse accrochée à une ressort, les états liés du système sont définis par :
r r
1 2 2E 2E
Epe = kx > 0 ⇒ − <x<
2 k k
Les valeurs de x en dehors de cet intervalle sont inaccessibles au système qui est dit enfermé
dans un puits de potentiel à cause de la forme prise par la fonction énergie potentielle. Le
système ne peut évoluer qu’entre les valeurs de x comprises entre −xm et xm . Le système est
pris dans un puits de potentiel comme l’indique la Figure.

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Application 4 : Force centrale


On étudie le mouvement d’une particule dans un champs de force centrale. Pour cela soit
un objet de masse (m), se déplaçant dans un champs gravitationnel d’un astre de masse (M ).
L’objet est soumis uniquement à une force gravitationnel.
L’énergie totale de la particule (m) s’écrit :

1 GM m
Em = Ec + Ep = mv 2 −
2 r


Comme Fg est conservative ⇒ on a conservation de l’énergie totale.
En coordonnée polaire :

−v = vr →

ur + vθ →

uθ = ṙ→

ur + rθ̇→


en module : v 2 = vr2 + vθ2
1 1
⇒ Ec = mv 2 = m(ṙ2 + (rθ̇)2 ).
2 2
Or le module du moment cinétique par rapport au centre de l’astre est donné par :


| L | = |m→

r ∧→

v | = |m→

r ∧ (→

vr+→

v θ )|

− L2
⇒ | L | = mrvθ = mr2 θ̇ = cte ⇒ r2 θ̇2 =
m2 r 2

1 1 L2
⇒Ec = mṙ2 +
2 2 mr2
On remplace l’expression de Ec dans l’expression de ET
1 1 L2 GM m
⇒ ET = Ec + EP = mṙ2 + 2

2 2 mr r
On déduit alors une énergie potentielle, dite énergie potentielle effective.
1 L2 GM m
tel que : EPef f = 2

2 mr r

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⇒ ET = Ec + EPef f
- L’étude du mouvement revient à faire l’étude de

Ec = ET − EPef f ≥ 0

Le tracer de EPef f en fonction de r est donné par la figure suivante :

dEPef f
. EPef f admet un minimum si dr
=0

L2 GM m
⇒ r0 = ⇒ EPef f min = −
GM m2 2r0
. D’autres part,
L2 GM m r0
EPef f = 0 ⇒ 2
− =0 ⇒ r1 =
2mr1 r1 2
d2 EPef f
. Le point d’inflexion : dr2
=0

3L2 3
⇒ − GM m = 0 ⇒ r2 = r0
2mr2 2
En conclusion : Le mouvement d’un objet est dicté par la valeur de son énergie ET :

- Dans le cas (a), ET < 0, l’énergie cinétique radiale est nulle et donc r est constant (r = r0 ).
L’orbite est donc circulaire dans ce cas.

- Dans le cas (b), ET < 0, alors il existe deux points r1 et r2 , pour lesquels l’énergie cinétique
radiale 21 mṙ2 est nulle. Le mouvement radial de l’objet sera une oscillation limitée par ces deux
points, correspondant respectivement à l’aphélie et au périhélie de l’ellipse et appelés pour cette
raison points de rebroussement.

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La vitesse radiale ṙ de l’objet sera maximale à r0 , car c’est là que l’énergie cinétique radiale

1
2
mṙ2 = ET − EPef f est la plus grande.

- Dans le cas (c), ET > 0, il n’y a qu’un seul point de rebroussement, correspondant à la
distance minimale d’approche de l’objet et celui-ci peut s’éloigner à l’infinie.

Remarque :

- Dans le cas, ET < EPef f min < 0 ⇒ ceci est impossible car Ec est toujours positive

⇒ ET > EPef f min .

V - Forces non conservatives et énergie mécanique

Si une particule se déplace sous l’effet de forces conservatives



∆ET = 0 ⇒ ∆Ec = −∆Ep = W ( F )

Si en plus, la particule est soumise à des forces non conservatives :

X →
− X →

∆ET = ∆Ec + ∆Ep ⇒ ∆ET = ∆Ep + W ( F conservative ) + W ( F non conservative )
| {z }
0

X →

⇒ ∆ET = W ( F non conservative ) ⇒ ET 6= cte

- Remarque :
Les forces non conservatives sont : les forces de contacts, les forces magnétiques et les forces de
frottement visqueuses.

Exemple : Soit un bloc de masse m se déplace sur un plan horizontal rugueux (Figure ).
Le coefficient de frottement est µd . Calculer l’énergie totale du système.

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− →
− →

W ( F ext ) = W ( P ) + W ( C )


− −
→ →
− →

Or P ⊥ dx ⇒ W(P ) = 0 .


− →
− →
− →
− − −
→ → − −
→ →
Z Z
⇒ W ( F ext ) = W ( C ) = W ( C x ) + W ( C y ) = C x .dx + C y .dx
| {z }
0

− −
→ − −
R→ →
Or C y ⊥ dx et C y .dx = −Cy .dx


− − −
→ → − −
→ →
Z Z
⇒ W ( F ext ) = C x .dx + C y .dx
| {z }
0
B


Z
⇒ W ( F ext ) = − Cx .dx = −Cx AB.
A


⇒ ∆ET = W ( F ext ) = ∆Ec = −Cx AB.

VI - Chocs entre particules


1 - Définition :
Dans un référentiel galiléen, on considère deux particules matérielles indépendantes de masse
m1 et m2 . Les particules prises séparément sont mécaniquement isolés ou pseudo isolés et sont
donc animées d’un mouvement rectilignes et uniformes (principe d’inertie). On note alors → −
v 1 et

−v 2 leurs vecteurs vitesses respectives. Si les deux particules viennent à se rencontrer, on dit qu’il
y a choc. Après le choc (durée très courte) les particules sont de nouveau mécaniquement isolées
ou pseudo isolés et retrouvent donc un mouvement rectiligne uniforme mais avec de nouvelles
vitesses →−
v 1 et →

0 0
v 2 (voir Figure ). On appelle donc choc ou collision entre deux particules, toute
interaction qui entraı̂ne une variation brusque et finie des vecteurs vitesses des deux particules
pendant un temps très court.

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2 - Conservation de la quantité de mouvement :


Le système (m1 , m2 ) étant pseudo isolé, on a d’après le principe d’inertie conservation du
vecteur quantité de mouvement totale du système :

d→
−p →
− →

= 0 ⇒ p avant = →

p après
dt



p1+→

p2=→

p1+→
0 −
p2
0
⇒ m1 →

v 1 + m2 →
− v 1 + m2 →
v 2 = m1 →
− 0 −
v2
0

⇒ la quantité de mouvement se conserve (c’est à dire la même avant et après le choc).

3 - Choc élastique : conservation de l’énergie cinétique


Par définition, la collision entre deux particules m1 et m2 est dite parfaitement élastique si
l’énergie cinétique du système des deux particules avant le choc est égale à l’énergie cinétique
totale de ce système après le choc, tel que :

1 1 1 0 0
Ec (avant) = Ec (après) ⇒ m1 v12 + m2 v22 = m1 v12 + m2 v22
2 2 2

⇒ Pour un choc élastique, on a la conservation de la quantité de mouvement et de l’éner-


gie cinétique.

Exemple :


Un proton se déplaçant à la vitesse →

v 1 = 5 i (km/s) subit une collision élastique avec un
autre proton initialement au repos. Sachant que θ = 370 et ϕ = 530 , trouver v1 et v2 .

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Réponse : On sait que pour un choc élastique on a :



→−
p avant = →−
p après
Ec (avant) = Ec (après)

→−
p1=→ −p1+→
0 −
p2
0


 1 m1 v 2 = 1 m1 v 0 2 + m2 v 0 2
2 1 2 1 2
−→ −→
En faisant la projection de la quantité de mouvement sur les axes (Ox, Oy) et sachant que
m1 = m2 car il s’agit de la masse du proton, on obtient :

−→

0 0
Ox : v1 = v1 cos37 + v2 cos57

−→ 0 0
Oy : o = v sin37 − v sin57
1 2

On a donc 2 équations à deux inconnues, on obtient :


0
0 v sin37 0 v1 cos37 0 0
v2 = 1 et v1 = ⇒ v1 = 2.91m/s et v2 = 3.22m/s
cos57 sin57sin37 + cos57cos37

4 - Choc inélastique : l’énergie cinétique ne se conserve pas


Dans le cas d’un choc inélastique, il y a conservation de la quantité de mouvement mais il
n’y a pas conservation de l’énergie cinétique.
Au cours du choc il y a perte d’énergie par échauffement. L’énergie cinétique diminue. On a
donc :
Ec (après)
=  avec 0 ≤  ≤ 1
Ec (avant)
- Dans le cas où  = 1, le choc est dit choc élastique.
- Dans le cas où  = 0, le choc est dit choc mou.

Le choc mou est un choc inélastique pour lequel les deux particules restent liées après le choc.

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Exemple :
La figure ci-dessous donne l’orientation de chacune des vitesses avant et après une collision
se produisant entre deux masses, m1 = 3kg et m2 = 2kg. a - Si le module de la vitesse de la
masse m1 est de 5m/s avant la collision, que celui de m2 est de 1, 5m/s, quelle est la vitesse de
chacune des masses après cette collision.
b - De quel type de collision s’agit-il

Réponse : a-


p avant = →

p après


p1+→ −p2=→ −p1+→
0 −p2
0

−→ −→
En faisant la projection sur les axes (Ox, Oy) :

− →

0 0
Ox : m1 v1 cos20 − m2 v2 cos45 = m1 v1 cos20 + m2 v2 cos30

− → 0 0
Oy : −m1 v1 sin20 + m2 v2 sin45 = m1 v sin20 − m2 v sin30
1 2

0 0
Or v1 = 5m/s et v2 = 1.5m/s, on a deux équations à 2 inconnues v1 et v2

−→
 
0 0 v 0 = 1.93m/s
Ox : 11.97 = 3v1 cos20 + 2v2 cos30 1
⇒ ⇒
−→ 0 0
Oy : −3 = 3v1 sin20 − 2v2 sin30 v 0 = 4.99m/s
2

b - la collision est inélastique car :


s
1 0 0
Ec (après) m (v cos20)2 + 12 m1 (v2 cos45)2
2 1 1
= 1 = 0.3
Ec (avant) m (v sin20)2 + 21 m1 (v2 sin45)2
2 1 1

La collision est inélastique avec 0.3 de l’énergie cinétique initiale est perdue.

N.Sebaa 14 2020-2021

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