Introduction
IV.- Annexes
annexe 1 : Présentation du secteur bancaire
annexe 2 : Modèle de confirmation directe des banques
V.- Exercices
L’activité de banque consiste à collecter des fonds qui, mobilisés sous des
formes variables (par l’octroi d’un prêt par exemple), permettent le
financement de l’activité économique.
Le Comité sur les règles et pratiques de contrôle des opérations bancaires dit
Comité de BALE a été crée en 1974 par les gouverneurs des Banques centrales
des pays du groupe des 10 à la suite d’une crise bancaire due à la faillite d’un
important établissement de crédit allemand, la banque HERSTATT. De ce fait,
les travaux du comité de Bale sont principalement orientés vers la prévention
des crises bancaires avec :
La surveillance de l’activité bancaire internationale
La fixation de normes prudentielles.
Dans un premier temps, les travaux du Comité de Bale ont abouti à la mise en
place en juillet 1988 du ratio international de solvabilité, dit ratio Cooke. Le
ratio COOKE est constitutif d’un ratio minimal de fonds propres par rapport à
l’ensemble des crédits accordés.
Par la suite, d’autres questions ont été examinées par le Comité comme les
risques de marché, la compensation des instruments hors bilan, le contrôle
interne ou la qualité de l’information financière.
Les normes retenues par le Comité de BALE s’appliquent à toutes les banques
ayant une activité internationale, quel que soit leur pays d’origine.
1.3.- Objectifs de la réglementation bancaire
1.4.1.- Liquidité
1.4.1.2.- Solvabilité
Les fonds propres d’un établissement de crédit retenus pour le calcul des
ratios prudentiels sont la somme :
Des fonds propres de base (1)
Des fonds propres complémentaires (2)
Dont on déduit les participations et créances subordonnées sur
établissements de crédit ou financier ainsi que les garanties accordées
dans le cadre d’opérations de titrisation
En respectant deux contraintes
o (2) supérieur ou égal à (1)
o (A)=fonds provenant de l’émission de titres ou d’emprunts
subordonnés inférieur ou égal 50% de (1)
Le dispositif suivant est mis en œuvre pour enrayer les grands risques
notamment le risque de contrepartie :
Les risques, éventuellement diminués des provisions qui leur sont
affectées et pondérées selon les garanties dont ils semblent assortis et
la qualité du bénéficiaire, sur un client ou un groupe de clients liés entre
eux par des relations de contrôle ou financières ne doivent pas excéder
25% des fonds propres de l’établissement prêteur
Un grand risque est un risque sur un client ou un groupe de clients liés qui
excède 10% des fonds propres de l’établissement prêteur
La somme des grands risques ne peut excéder 8 fois le montant des
fonds propres de l’établissement prêteur. En effet, le rapport entre
« fonds propres réglementaires » et l’ « ensemble des engagements de
crédit » ne doit pas être inférieur à 8%.
1.4.1.3.- Accords de BALE 2 et le ratio Mc DONOUGH
a- La norme de liquidité :
La liquidité des banques provient de la transformation d’échéances issues de
l’intermédiation financière, et dont le terme des emplois est inférieur à celui
des ressources.
La norme fixée par les organes de tutelle déduit la liquidité du rapport entre
les actifs disponibles et réalisables ou mobilisables à court terme et d’autre
part, le passif exigible ou les engagements susceptibles d’être exécutés à court
terme. Ce rapport doit être supérieur à 75%, suivant la lettre d’information
er
PCB n° 2000-01 du 1 janvier de la BCEAO.
b- La norme de solvabilité :
À l’image du ratio Cooke, qui oblige les banques à maintenir un taux de 8% de
fonds propres pour un crédit quelconque, qui fut d’ailleurs renforcé par le ratio
McDonough en y intégrant les risques de marché et les risques opérationnels,
les banques de l’UEMOA sont également tenues de respecter la norme de
solvabilité.
Cette norme trouve sa justification dans l’idée selon laquelle les pertes
encourues par la manifestation des différents risques doivent pouvoir être
supportées par des fonds propres en quantité suffisante (comité de Bâle,
er
2001 : 7). Et d’après la lettre d’information PCB N 2000-01 du 1 janvier 2000
de la BCEAO, la norme de solvabilité définie dans la zone UEMOA, indique que
le rapport fonds propres sur risques doit atteindre au moins 8%.
Donc, en ce moment, on peut dire que le système bancaire de l’UEMOA est sain,
dans la mesure où les banques y évoluant sont liquides, solvables et rentables.
ne donne, quant à lui, pas de définition du contrôle interne, mais précise que,
Le contrôle interne est un système qui fonctionne en continu à tous les niveaux
Le contrôle interne a traversé trois phases que l’on peut retracer ainsi :
Se sont renforcés ainsi : des audits spécialisés dans les métier s, distincts de
prenant en charge aussi bien les risques de crédit que les risques de marché,
En effet le contrôle interne bancaire est caractérisé par les éléments ci-
dessus :
taches.
transactions.
II- Architecture et organisation du contrôle interne
Les principes
La mise en place des contrôles et audits externes à l’entité ne doit pas créer
Les contrôles doivent couvrir toutes les activités de la banque : rien n’est plus
contraire les points de gouvernement, où chacun compte sur l’autre pour faire
les contrôles et où, in fine, le risque est grand que personne ne les fasse.
facture, sont autant d’exemples où l’on évite des risques d’erreur, des
anomalies ou des fraudes par une simple organisation adaptée. Ceci renvoie
Contrôles quotidiens réalisés par des opérationnels qui initient une opération
(un guichetier dans une agence, un trader dans une salle de marché, …) doivent
terrain.
Leur rôle est de vérifier que les procédures sont bien suivies, de déceler des
erreurs et des anomalies. Entrent aussi dans cette catégorie les contrôles
préventifs, tels que ceux effectués par les fonctions spécialisées sur les
procédures nouvelles.
permanents.
Les équipes d’audit d’un métier, d’un territoire, d’une filiale, sont rattachées le
plus souvent au patron de l’entité où elles travaillent. Elles passent en revue les
différents processus de l’entreprise dans le cadre de « missions » spéciales .
Un rapport est produit et contient des recommandations dans le cadre de ces
missions.
lui donne mandat pour effectuer toutes les investigations nécessaires à ses
missions.
risques encourus.
organisationnelle globale.
des risques.
A ce titre, il fixe des niveaux acceptables pour chaque risque, dits limites
contrôle interne.
d’audit. Il lui revient également d’élaborer un rapport annuel sur les conditions
interne ;
contrôle interne.
On entend par comité d’audit, un comité qui peut être crée par l’organe
Cette création n’est pas obligatoire, même si elle est formellement encouragée
Sa mission ne doit pas se limiter à l’analyse des comptes, mais doit s’étendre à
des réglementations
A ce titre, elle édicte des textes sous forme de circulaire qu'elle soumet aux
contrôle interne des établissements de crédit, elle exige que tous les
établissements de crédit disposent d’un système efficace de contrôle interne,
interne.
l’adéquation des outils de contrôle interne par rapport aux risques engendrés
par les activités des établissements de crédit. Elle doit donc juger si les
établissements de crédit ont les moyens d’assurer leurs risques. Ceci relève
A titre d’exemple, une banque finance des prêts d’une durée moyenne
restant à courir de 10 ans à des taux de 8 à 10%, par des emprunts de
même durée sur le marché à des taux variables. Supposons que les taux
variables en « n » soient de 7%, la banque dégagera alors une marge.
En revanche, si les actifs et passifs restent inchangés et que les taux
passent de à 9%, 10% ou plus, la banque verra sa marge s’éroder et même
dégagera des pertes sur cette activité.
Au cas où elle figerait sa marge en empruntant à taux fixe, par exemple
7,5% mais sur une durée de 7 ans seulement, elle aurait à refinancer ses
actifs aux nouveaux taux en vigueur en N+7 et elle serait vulnérable aux
hausses de taux.
La réalité bancaire est bien évidemment beaucoup plus complexe, compte
tenu de la diversité des activités ainsi que de l’utilisation d’instruments
financiers à terme et/ou optionnels. Cette dernière permet parfois de
réduire le risque de taux, pour autant que l’on puisse le mesurer
précisément : elle peut l’accroître lorsque la banque décide d’avoir des
positions spéculatives.
Ils sont particulièrement sensibles dans les banques où les opérations sont
très nombreuses et variées et les architectures informatiques complexes.
Par exemple, si un contrat de prêt est saisi avec un taux (ou ne date)
erroné, le calcul des intérêts courus non échus correspondants sera
inexact.
Par exemple, une banque spécialisée dans le crédit aux particuliers financé
par des dépôts est soumise à un risque de défaut important, mais
dispersé ; elle est peu sensible aux variations de taux, à condition que ses
dépôts soient stables, de durée moyenne suffisante et faiblement
rémunérés.
Par ailleurs, elle n’a que peu d’opérations en devises, ce qui limite le risque
de change.
Enfin, elle traite des volumes très importants, généralement sur des
chaînes informatiques lourdes et dispose d’un réseau, ce qui laisse
présager des risques opérationnels.
Cette analyse est complétée par la compréhension de la stratégie de la
banque : politique commerciale agressive pour prendre des parts de
marchés, volonté d’anticiper des variations de taux et cours en spéculant,
ou prudence, couverture des positions.
Enfin, au cours de cette étape est réalisée une revue analytique des
résultats intérimaires disponibles afin de cerner les évolutions, la
contribution au résultat des différentes activités, les problèmes
éventuels.
Elle est basée sur une approche « jugement », bien que des outils
informatiques soient utilisés. Elle donne une appréciation sur la situation
de l’entreprise sur un horizon de un ou de deux ans.
La cotation Banque de France est composée de trois éléments qui sont :
La cote d’activité
La cote de crédit
Et la cote de paiement.
La cotation BCEAO
3.1.1.2.1.- Définition
La perte encourue en cas de défaut ou LGD (Loss Given Default) est égale
au montant de la créance moins les recouvrements estimés après la
défaillance.
En général, les facteurs utilisés pour évaluer la perte en cas de défaut
sont les suivants :
Les caractéristiques de l’emprunteur : note, pays, taille, secteur
d’activités
Les caractéristiques du crédit : caractère subordonnée ou non,
valeur des garanties, valeur de réalisation des garanties, etc…
Les facteurs exogènes comme le cycle économique.
3.1.1.5.1.- Définition
3.1.1.5.2.- Objectif
3.1.1.5.3.- Démarche
Elle est caractérisée par une méthode rigoureuse et sur mesure. En effet,
on conduit une cartographie des risques en plusieurs étapes :
préparation :
o définir le périmètre,
o choisir une équipe
o valider les outils d’analyse
réalisation :
o conduire les entretiens
o analyser
o animer un atelier d’évaluation
exploitation :
o restituer
o consolider
o et mettre à jour.
Le dispositif de contrôle est pris ici dans son sens le plus large.
Il comprend :
- l’organisation
- le processus de maîtrise et de suivi des risques
- l’appréciation du service d’audit interne ou « inspection »
3.2.1.- Organisation
Il s’agit de se poser la question de savoir si la séparation des fonctions est
adéquate entre les services décisionnaires et opérationnels (les front-
offices) et les services chargés du traitement et du contrôle (les back-
offices).
suivantes :
suspens
Procédures de restriction d’accès aux moyens de paiement
comptes pour lesquels aucune zone de risque particulière n’a été détectée.
systèmes comptables.
des utilisateurs.
suivants :
contrepartie interbancaire
de prendre en considération les travaux effectués dans les entités par les
procédures de contrôle internes pourra être envisagée dés lors que des
année
Les principaux systèmes et fichiers, ainsi que les modalités de mise à jour
de ces derniers et, enfin, les points de controles-clé.
Puis, ces derniers font l’objet de sondages détaillés.
A titre d’exemple, les cycles suivants sont généralement examinés :
- dépôts
- trésorerie-marchés
- et crédits.
3.3.1.1.- Définition
3.3.2.1.- Définition
Travaux finaux
Programme de travail
3.3.3.1.- Définition
Selon la loi 84-46 du 24 janvier 1984, dite « loi bancaire », constitue une
opération de crédit tout acte par lequel une personne agissant à titre
onéreux met ou promet de mettre des fonds à disposition d’une autre
personne ou prend, dans l’intérêt de celle-ci, un engagement par signature
tel qu’un aval, un cautionnement ou une garantie ».
3.3.3.3.4.1.- Objectifs
L’existence des comptes est assurée par une circularisation sur base de
sondages d’une étendue relativement limitée puisque les clients sont
destinataires de relevés, d’une périodicité au moins mensuelle.
Des visites d’agence sont aussi réalisées pour vérifier les sécurités, la
tenue des comptes, revoir les réclamations, etc…
Enfin pour conclure sur ce thème, l’audit bancaire nécessite donc un cadre
rigoureux et logique permettant une approche à la fois efficace et
exhaustive : l’auditeur, plus encore que les autres secteurs d’activités, doit
exercer son jugement et développer ses capacités d’analyse des
transactions financières et des systèmes d‘information.
e
Dès le XII siècle, le développement du commerce permet l’apparition de
nouvelles techniques bancaires : l’intensification des échanges entre les
marchands, principalement italiens, et l’Orient, l’existence de circuits
commerciaux reliant l’Europe du Nord — notamment les villes
hanséatiques — avec les Flandres, l’Angleterre, la Toscane et la
Lombardie, l’importance prise par les foires, entre autres celles qui se
tiennent en Champagne et à Lyon, précipitent, pour des raisons de
commodité et de sûreté, une profonde mutation des opérations de banque.
Pour éviter de transporter des sommes en numéraire, on a recours à la
dématérialisation en introduisant les premiers instruments négociables.
Ainsi, on utilise la lettre de paiement, puis la lettre de change, plus souple,
puisqu’elle se transmet entre créanciers par simple endos, et fonctionne
comme un instrument de crédit : le changeur, qui ne réalisait jusqu’alors
que des opérations de caisse, devient un véritable banquier.
e
La modernisation de l’économie se poursuit à partir du XVII siècle,
principalement à partir des centres très actifs que sont devenus Londres
et Amsterdam, qui font figure de places financières mondiales.
e e
À partir de la fin du XVIII siècle, mais surtout au XIX siècle — durant
lequel se produit la révolution industrielle —, l’essor des banques est
favorisé par trois facteurs : le développement de la monnaie fiduciaire
(c’est-à-dire les billets), puis de la monnaie scripturale (en compte), ainsi
que le développement du financement des entreprises industrielles et
commerciales par le biais d’émission de titres, ancêtres des valeurs
mobilières.
e
Au XX siècle, ce mouvement ne se dément pas, notamment dans le
contexte de la crise économique de 1929. En effet, cette dernière impose
l’idée que la profession doit faire l’objet d’un contrôle, car les
fluctuations de l’activité bancaire sont susceptibles d’avoir un
retentissement sur l’ensemble de l’activité économique. Aux États-Unis,
par exemple, l’une des premières mesures prises par le président
Roosevelt dans le cadre du New Deal sera d’instaurer un cloisonnement
strict entre banques d’affaires et banques de dépôts, par le Banking Act
de 1933. En France, le gouvernement du général de Gaulle introduit après
la Libération, en 1945, une classification des banques et un encadrement
de leur activité en créant un Conseil national du crédit. Parallèlement
s’opère la
nationalisation d’un certain nombre d’établissements de crédit, dont la
Banque de France.
e
Dans la seconde moitié du XX siècle, les principales modifications ayant
affecté le secteur bancaire ont consisté en une considérable expansion de
sa clientèle : la possession d’un compte bancaire s’est à peu près
généralisée à l’ensemble de la population dans la plupart des pays
industrialisés. Dans le même temps, la tendance à la concentration des
groupes bancaires s’est affirmée, ceux-ci s’impliquant de plus en plus dans
des activités financières, de sorte que l’on assiste à la constitution de
pôles réunissant banques et compagnies d’assurances, qui rentabilisent
leurs actifs en menant des politiques de participation actives dans le
domaine industriel et dans l’immobilier.
Deux types de dépôts peuvent être effectués auprès des banques : des
dépôts à vue, et des dépôts à terme. Dans le premier cas, le retrait ne
nécessite pas de préavis (c’est le cas des comptes chèques, des comptes
sur livret tels le livret A ou les plans d’épargne populaire, des comptes
spéciaux tel le Codevi, et des comptes courants des entreprises
commerciales. Par contre, les dépôts à terme ne peuvent faire l’objet d’un
retrait qu’à échéance fixe (un retrait anticipé reste néanmoins possible,
tout en entraînant la perte de certains avantages liés au dépôt à terme, en
particulier une réduction du taux d’intérêt).
Dès lors que la banque satisfait à ces conditions, elle est en mesure de
créer de la monnaie : elle le fait non seulement lorsque, en contrepartie
d’un dépôt, elle permet à son client de régler ses dépenses par chèque ou
par carte de crédit, mais également lorsqu’elle octroie des avances à un
client débiteur. En effet, par sa seule volonté, son client pourra utiliser
des moyens de paiement auxquels ne correspond aucun dépôt, ce qui
revient à créer de la monnaie. En revanche, lorsque le client remboursera
la banque, il y aura destruction de monnaie.
Les banques de dépôt avaient pour seul objet de recueillir les fonds
collectés auprès du public. Leurs activités consistaient à accorder des
prêts aux entreprises et aux ménages pour financer des opérations
d’acquisition de biens ou d’investissement. Les prêts faisaient l’objet d’une
distinction selon leur maturité (concours accordé à court, moyen ou long
terme), ou selon leur objet : financement des exportations ou des
investissements, crédit de campagne pour les entreprises, facilité de
caisse ou crédit à la consommation pour les ménages.
Les banques d’affaires avaient, quant à elles, pour mission de gérer des
prises de participation dans des entreprises existantes ou en formation, à
l’exclusion de tout problème relatif à la distribution de crédits et de
collecte de ressources monétaires.
Date
NOM DE LA BANQUE
Adresse
Messieurs,
1. Solde de tous les comptes ouverts chez vous, comprenant les intérêts
qui pourraient être échus mais non inclus dans le relevé à la date du
31 décembre 2005, avec mention, le cas échéant de la nature des
restrictions dont ils pourraient faire l’objet.
6. Montant par échéance des effets escomptés par vous et non échus à
la date du 31 décembre 2005.
- confiés en garde,
- donnés en garantie.
9. Liste des garanties qui vous ont été fournies, par nous-mêmes en
couverture de nos obligations ou d’obligations d’un tiers à votre égard.
10. Liste des garanties que vous avez données à des tiers en couverture
de nos obligations vis-à-vis de ces tiers.
11. Liste des garanties qui vous ont été fournies par des tiers en
couverture de nos obligations à votre égard.
La Direction
Exercice 1 :
Quels sont les principaux cycles relatifs au système de contrôle interne à
mettre en œuvre dans une banque ?
Exercice 2 :
Quelles sont les dispositions à prendre pour améliorer le portefeuille de crédit
d’une banque ?
Exercice 3 :
Quelles sont les dispositions à prendre pour fiabiliser les opérations de caisse et
se prémunir des risques dans la caisse d’une banque ?
Exercice 4 :
Vous êtes désigné Chef de mission par votre cabinet pour auditer la performance
de la UNITED BANK, quelle démarche adopteriez vous pour réaliser votre
mission ?
Quels sont les principaux outils à mettre en œuvre ?
Exercice 5 :
Quels sont les obstacles et risques au développement de la banque en ligne ?
Exercice 6 :
TRUST BANK LTD est une banque commerciale sénégalaise qui a lancé de
nouveaux services financiers composés de crédit automobile et de crédit
équipement domestique.
Elle finance traditionnellement également les commodities.
Exercice 7 :
En votre qualité de Risk Manager d’une nouvelle banque qui vient de s’installer au
Sénégal, on vous demande de proposer le profil de risque pour le financement
des activités suivantes :
Industrie
Immobilier
Transport
Elevage
Mamadou BADIANE/Séminaire portant sur « audit bancaire »/SUPDECO DECEMBRE 09 70
Agriculture
Indiquer les principaux risques inhérents à chaque activité
Exercice 8 :
La WESTAFRICAN BANK présente la situation financière suivante à la fin du
premier semestre 2009 :
ANNEXE 2
2007 2008 2009 (au
30/06)
Nombre de crédits octroyés 20.250 22.900 15.750
Retards de plus de 45 jours 3.700 4.950 2.825
Retards de plus de 60 jours 4.220 4.708 3.415
Retards de plus de 90 jours 5.075 5.314 4.209
Retards de plus de 100 jours 5.305 5.900 4.875
1° Les normes prudentielles sont elles respectées par la banque ? Justifier votre
réponse
2° Le 2 juillet 2009, le comité de crédit reçoit une demande globale de
financement de 1.200.000.000 fcfa, devrait on pouvoir accorder la demande en
considérant la satisfaction des conditions de garantie et viabilité des projets ?
3° Calculer le taux de défaut moyen de la période