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MENTION SOCIOLOGIE
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION GENERALE
D’ASSAINISSEMENTCAS DE LA
INTRODUCTION GENERALE
Du milieu du 19ème siècle, la révolution industrielle a bouleversé notre manière de
vivre et de nous déplacé. Elle a été aussi les principales causes de la dégradation de
l’environnement. Or, elle est l’un des grands problèmes dans le monde entier depuis à ce
moment, leurs consommations cessent d’augmenter.Désormais, une pollution massive envahi
l’environnement (Air, sol, Eau), ainsi, la terre est au bord de l’asphyxie et notre propre santé
est menacée.
De plus, nombreux pays ont eu des problèmes environnementaux. Face à leurs
problèmes, les infections liées à l’eau et l’assainissement ont une forte prévalence, causant la
maladie ou même la mort pour de nombreuses personnes en particulier les enfants et les
familles vulnérables.
Actuellement, d’ici, l’objectif 6 de l’ODD (objectif du développement durable), on
parle de l’eau propre, l’hygiène et l’assainissement. L’Etat Malgache aussi fait des efforts
pour accueillir les projets relatifs, pour pouvoir diminuer les taux de mortalités et les maladies
causant à tous les bouleversements de l’environnement.
CHOIX DU TERRAIN ET DU THEME :
Dans le domaine de la socio organisateur,nous avons choisi ce thème car durant
d’observation de ce terrain. On a constaté que la commune rurale Ankaraobato,
rencontreencore les problèmes d’hygiène et l’assainissement (PHA).
QESTION DE DEPART :
La question de départ est le fil rouge de la recherche. Alors, pour mieux appréhender
ce phénomène, a priori, la question est posée : Comment améliorer les dysfonctionnements
des dispositifs en matière d’hygiène et l’assainissement dans la commune rurale
d’Ankaraobato?
LES ETAPES DE LA RECHERCHE
Nos recherches ont pour but objet de connaitre les problèmes et les facteurs bloquant la
promotion de l’hygiène et l’assainissement. C’est-à-dire, les fixations des objectifs sont très
importantes dans la recherche. Donc, en tenant compte de certaines spécificités de la
commune, les résultats attendus par la recherche sont les suivants :
Afin d’identifier les obstacles et apporter les solutions appropriées.
Connaissance aux risques sanitaires et environnementaux.
2
La phase de la recherche est inséparable dans les étapes de la recherche. En effet, pour
veiller au cheminement logique de celle-ci,nous avons adoptés les démarches suivantes :
Choix du terrain
Pré-enquête
Documentation
Formulation de la question de départ.
Elaboration du plan de recherche.
Elaboration des questionnaires.
Enquête proprement dites effectuées des personnes cibles et auprès de certaines
responsables au niveau de la région, district, la commune, CSBII et les fokontany.
Recueilles des informations et des données concernant le phénomène auprès de
certaines institutions à savoir : ministère de la santé, Office Nationale de
l’Environnement, région, commune et les fokontany, etc.
Formulation de la problématique et des hypothèses de la recherche.
Analyse des données.
Pour mieux traiter ce cas et afin de veiller à la rationalité de la recherche,nous nous
sommes basés sur les méthodes et techniques qui seront mieux explicitées dans la partie
méthodologique du présent mémoire.
ANNONCE DU PLAN
Avant tout cela,pour y appréhender nos thèmes, ce mémoire est subdivisé en trois
grandes parties. La première partie sera consacrée à la présentation contexte et pédagogique
de l’hygiène et l’assainissement. Elle comporte deux chapitres dont le premier sera relative
aux présentations à l’échelle mondiale, notamment présentation du terrain d’étude, le
deuxième sera la balise de l’approche méthodologique de l’hygiène et assainissement.
La deuxième partie portant les causes et les conséquences des dysfonctionnements et des
dispositifs d’hygiène et l’assainissement, nous procéderons aux aspects des problèmes des
dispositifs d’hygiène et l’assainissement, au troisième chapitre ; les ampleurs du phénomène
dans la commune en quatrième chapitre ; et dans le cinquième chapitre les impacts des
dysfonctionnements du dispositif d’HA
La troisième partie, relative à l’approche prospective et la résolution des dysfonctionnements
d’hygiène et l’assainissement ; s’intéressera aux pistes de réflexions sur le
dysfonctionnement d’HA en cinquième chapitre ; l’acquisition professionnelle des travailleurs
sociaux en sixième chapitre.
PARTIE I : PRESENTATION DU CONTEXTE ET
PEDAGOGIQUE D’HYGIENE ET D’ASSAINISSEMENT
3
II-1-1 : Démographie
Madagascar est compté environ 24 millions d’habitants. La grande plus majorité de la
population est jeune, réside en milieu rural et dans des conditions souvent difficiles. Il est
aussila quatrième île du monde par sa superficie 587 295 km².
ans avant le sommet de la terre sur le développement durable à Rio en 1992. Madagascar a
participé pleinement à la conférence mondiale sur le développement en 1992, en 2002 et a
pris des engagements en réaffirmant tous les principes énoncés dans la déclaration de Rio
sur l’environnement et développement »5
La charte de l’environnement Malgache se doit de traduire ces principes en précisant
les droits et les devoirs de chaque niveau en matière de l’environnement plus précisément en
matière d’hygiène et assainissement.
Des taux d’accès parmi les plus faibles du monde : En 2008, le taux national d’accès à
l’eau potable atteint 41% et le taux de desserte en assainissement de base 51%. Ces faibles
taux d’accès s’ajoutent à une croissance démographique importante (environ 3% par ans) 6,
laquelle augmente encore les besoins en desserte. Alors, les taux d’accès à l’eau et
l’assainissement à M/scar sont également très faibles par rapport aux taux d’accès mondiaux.
Par conséquence, il y a un impact majeur pour le développement de Madagascar, les déficits
en matière de gestion de l’eau et de l’assainissement ont un impact majeur sur la santé, sur
l’éducation, sur l’économie ainsi que sur l’environnement.
Du point de vue sanitaire, les maladies diarrhéiques, liées à un mauvais système
d’assainissement et d’hygiène ou au non potabilité de l’eau, occupent la deuxième cause de
morbidité. Ainsi, 14000 enfants de moins de 5 ans, soit un enfant sur 5, meurent chaque année
faute d’un bon accès à l’eau et à l’assainissement. Or, l’accès à des infrastructures d’eau
potable et d’assainissement permettrait une diminution de 32% de ces risques, et la pratiques
du lavage des mains avec du savon une diminution de 44%.
Par contre, l’accès à l’eau et assainissement demeure l’un des défis majeurs ou le
développement du pays. (En 2008, 8,5 millions de personnes n’ont pas accès aux
infrastructures d’assainissement de base en milieu rural contre 3,2 en milieu urbain. L’EPM
2005 chiffre le taux d’utilisation des latrines à 51,5%. Ce taux est à nuancer car la qualité des
équipements est variable (seules 17% des toilettes sont hygiéniques) tout comme les normes
utilisées pour qualifier l’accès (60% des ménages partagent leurs toilettes avec d’autres
ménages).
On observe des disparités au niveau régional, les taux d’utilisation les plus élevés
concernant les hautes terres. Trois régions sont fortement affectées par la défécation à l’air
libre : Atsimo-Atsinanana, Androy et Sofia. Les barrières culturelles ou l’insuffisancedes
5
Tiré dans le Journal Officiel de la République de Madagascar (JORM), le 20 janvier 2015
par le président de l’assemblée nationale Jean Max RAKOTOMAMONJY
« Http : //www.cite.mg/raneau;www.pseau.org/madagsacr »
6
7
7
Tiré dans cet ouvrage, « agir pour l’eau et l’assainissement à Madagascar. », P.8,(En 2004 à
2009).
8
La présente loi sera publiée au journal officiel de la république de Madagascar », (les 20
janviers 2015), par le président de l’assemblée nationale Jean Max RAKOTOMAMONJY
8
Qu’auparavant, il n’y avait que Tanjombato comme chef-lieu de Canton. Ankaraobato n’est
qu’un des quartiers de Tanjombato mais aussi un cimetière où les « étrangers » (vahiny =
mpiavy) faisaient l’enterrement. D’où le nom « Ampasana vahiny » qui est plus tard changé
en Ankaraobato à cause de la dispersion des pierres.
Aujourd’hui, ce nom est encore resté pour tout le village malgré que ce cimetière ait été
supprimé pour étendre le village.
Ankaraobato était jadis couvert de forêts ; mais à cause de la croissance
démographique, l’implantation de nombreuses habitations a remplacé l’espace vert qui,
actuellement, a tendance à vraiment disparaître. Suite à une croissance démographique dans le
village, le gouvernement s’est décidé, de donner une autonomie à Ankaraobato d’être un chef-
lieu de Firaisana.Mais, avant 1972, la commune d’Ankaraobato était dépendante de celle de
Tanjombato. En 1973, elle a obtenu son indépendance, mais il y a encore quelques tâches que
les personnels de la commune d’Ankaraobatoeffectuent avec la commune de Tanjombato.La
commune a été déclarée en 1976, et ce n’est que le 26 Avril 1978 que son indépendance fut
prononcée.
Grâce à sa situation, Ankaraobato exerce un attrait permanent de la population urbaine
(mouvement pendulaire) ² qui essaie de chercher le calme mais aussi un accès facile de
fréquenter le centre-ville. D’où le caractère très hétérogène de sa population : on y rencontre
actuellement des gens de toutes les ethnies de Madagascar.
III-2-2 Localisation
La commune rurale d’Ankaraobato est située dans la région Analamanga, dans le
district d’Atsimondrano. Elle est classée dont la Commune rurale de 2e catégorie. Elle s’étend
sur une superficie de 4 km²dont la superficie urbanisée est 3 km2.
10
Tableau 2 : Répartition par âge et par sexe de la population dans chaque Fokontany
Ankadilalampots 435 600 1760 2281 6119 6271 834 1027 9148 10179
y
Antanetisoa 183 260 281 303 785 913 76 103 1325 1579
Antsahasoa 335 488 373 383 797 872 45 48 1550 1791
Ifarihy 185 317 1530 1480 1409 1640 227 218 3451 3655
Total 2099 2554 5280 5825 12654 13583 1520 1780 21693 23742
Source : Monographie de la commune rurale d’Ankaraobato en 2019
La population dans la commune rurale d’Ankaraobato en 2019comptée de 21 693
hommes et 33 742 femmes, donc, le nombre total de la population qui vivent 45 435
habitants. C’est à dire une forte densité de 10 808 habitants /km². On constate quela
croissance démographique est augmentée plus rapide par à l’autre commune rurale. En effet,
les fokontany d’Ankadilalampotsy, ifarihy, ankadinandrina, ambodivoanjo, parmi les
fokontany plus peuplés, occupant ainsi 77,78% de la population soit 35 342 habitants. Par
contre, ambohimbahiny est le moins peuplés par rapport à l’autre fokontany.
III-3 :Typologie de l’habitat
Les infrastructures et les maisons sont de type traditionnel sans équipement sanitaire
adéquate. Sauf, on remarque également l’existence des villas individuelles de haut standing
qui se dispersent dans le village d’Ankaraobato ayant des équipements sanitaire adéquate.
III-4-:Economie
C’est par le degré d’importance sur l’économie nous accordons à ces trois éléments,
entre l’agriculture, l’élevage et l’artisanat, que nous pouvons ainsi qualifier une commune
rurale ou urbain.
III-4-1 : Agriculture
Le secteur primaire (Agriculture et élevage) n’occupe que 9 % de la population active
Le secteur secondaire (Industrie et artisanat) occupe 11 %
Le secteur tertiaire (commerce et service) occupe 20 %
Les principales cultures produites par la Commune rurale d’Ankaraobato sont le riz, les
légumes et les cultures vivrières. Tous les pourcentages tirent par la conception personnelle
2019 à partir des données dans la monographie de la commune.
Comme dans toutes les plaines d’Antananarivo (dont fait partie Ankaraobato), les
rizières sont de petite taille. Les faibles maîtrises de l’eau et la pratique de la culture non
intensive ne permettent pas d’avoir un bon rendement du riz. L’agriculture perd incessamment
son importance au profit des petits commerces et de l’industrie.
14
III-4-2 : Elevage
L’élevage de bovidés, de porcs, de volailles (poulets de chaires) et d’ovins et caprins
vient s’ajouter aux sources de revenus de la population. Les informations suivantes
récapitulent globalement les situations actuelles des nombres des élevages dans la commune
comme ceux-ci : Bovidés 207 soit 5%, Porcs 142 soit 3%, Ovins et Caprins 27 soit 1%, et les
volailles 3800 soit 91%. Source, enquêtes personnelle en 2019.
Bref, on constate que la population s’oriente davantage vers la diversification de l’élevage.
III-4-3 : Artisanat
De nombreux talents existent en matière d’artisanat et les activités sont diverses. Les
renseignements des filières de l’artisanaty afférents sont les suivants : Vannerie 15, Porterie
64, Broderie 24, et les autres. On a constaté que chaque Fokontany dans la commune est
trouvé le : « Mpanao Fatana Mitsisy » donc,on estime qu’à la plupart des habitants qu’ils ont
pratiqués. Source des données sont Nos propres enquêtes.
Il n’y a que les quatre filières de l’artisanat ci-dessus que nous avons le nombre d’estimation
des talentueux. Cependant, il existe de la maroquinerie, briqueterie et menuiserie de bois et
métallique pratiqués par les habitants de la Commune rurale d’Ankaraobato.
III-5 :Commerce
En l’absence d’un marché local, les gens sont obligés de créer des épiceries pour
vendre leurs produits. Par ailleurs, il existe un marché du Fokontany d’Antsahasoa qui
ravitaille la population en produits de première nécessité.
En outre,la répartition par des activités dans la commune. On a récapitulé la situation
commerciale dans la Commune. Ci-après la nature des commerces et les nombres :Epicerie de
quartier 87,Epicerie avec boissons alcooliques (Bar) 56,Quincaillerie 6,Marchands de bois
5,Boucherie 8, Marchands de charbon 32, etc.
Ceux donnéessont tirés par la conception personnelle en 2019 dans la Commune
d’Ankaraobato.
III-7 : Education
Un peu plus de sa majorité de la population d’âge scolaire (6-17 ans) vont à l’école.
Tableau 4: les informations sur l’enseignement se trouvant dans la Commune
Nombre - 7 7 11 1
6 - 3
d’établissements
Nombre - 85 1690 1804 244
845 - 238
d’élèves
Nombre - 8 39 114 9
13 - 10
d’enseignants
Nombre de - 7 25 47 2
24 - 8
classe
Taux de réussite - - 55 % 72 % -
52 % - 39 %
Source : La Zone Administrative et Pédagogique Ankaraobato
III-8 : SANTE :
La Commune rurale d’Ankaraobato a encore dotée d’un centre de santé de base
niveau II en 2007 et de dentisterie en 2019. Et, il existe deux cabinets médicaux privés qui
vont se charger le soin de la population dans la Commune. L’information sur la santé s’est
résumée comme suit :
conséquent, les gens utilisent des puits pour combler ce manque. Au total, il existe 145 puits
qui se dispersent dans les villages.
III-10-A : La religion
Selon notre source, seule la religion Adventiste dispose quatre édifices localisés dans
les quatre Fokontany suivants : Antsahasoa, Ambohibahiny, Ankadilalampotsy et Ifarihy. Les
religions FJKM, Catholique, Rhema, Jesosy Mamonjy, Pentekotista mitambatra et le Kristy
Herin’ny Finoana ne disposent qu’un seul temple chacun dans La Commune. Dans la
Commune, par contre, on ne trouve pas ni luthérien, ni Anglican.
L’organe délibérant, appelé également Conseil Communal, est constitué d’un bureau élu par
les Conseillers. Le conseil est dirigé par un Président, un vice-président et des rapporteurs et
est composé des différentes commissions. Le nombre du Conseil Communal dans la
Commune rurale d’Ankaraobato est arrêté à 14 Conseillers conformément aux dispositions
légales sur le nombre de la population. Quant à l’organe exécutif, c’est le Maire qui est à sa
tête. Il est le Chef de l’Administration Communale. Il désigne les membres du bureau exécutif
chargés de l’assister parmi les responsables des services publics créés et financés par la
Commune ou des services mis à sa disposition par l’Etat.L’effectif de personnel du Bureau
Exécutif de la Commune s’élève à douze (12), le Maire non inclus.Cette direction technique
supervise les différents domaines d’interventions de la Commune tels que l’urbanisme, la
voirie, l’affaire domaniale et le patrimoine.Ces différents domaines sont à leur tour,
spécialisés dans des différentes activités et missions.
Nous voilà renseignés quelque peu sur la commune rurale d’Ankaraobato. Nous verrons par la
suite, notamment dans la deuxième et troisième partie du présent mémoire, les influences que
les concepts abordés dans ce chapitre exercent sur les dysfonctionnements organisationnels
d’hygiène et assainissement. Pour mieux comprendre ce dernier. Le chapitre suivant serait
indispensable.Nous passerons sur les dignités dans les chapitres.
Organigramme CONSEILLERS
TECHNIQUE
Secrétaire particulier
- Agent de recouvrement
Source : PCD de la Commune Rurale d’Ankaraobato, 2019 - Contrôle marché
- relation COM/DAA
- Recensement Fisc
11
Tel l’adage expliquant l’utilité de ce chapitre.
12
Marion Vorms, Philosophie. Université Panthéon-Sorbonne-Paris I, 2000. Français.
21
Dans un dernier temps, nous nous attarderons quelque peu sur les méthodes et
techniques utilisées tout au long de la recherche.
I-1-2 : Assainissement
L’assainissement comprend la collecte.Le traitement et l’évacuation des eaux usées
grâce à des canalisations et à des installations sanitaires (lavabos, douche, bac à ordure,
13
TEARFUND « Assainissement et hygiène dans les pays en voie de développement », édition
ODI 2007 ; UNICEF
14
Tiré dans L’encyclopédie DICTISSIMO
22
15
TEARFUND « Assainissement et hygiène dans les pays en voie de développement », édition
ODI 2007 ; UNICEF « Un manuel sur l’hygiène et l’assainissement scolaire en milieu
scolaire», Septembre 1998 ; Professeur Pierre Aubry, Docteur Bernard-Alex « Infections
respiratoire aigües », Décembre 2016,
23
I-1-3-4 : Urbanisme
On parle d’urbanisme, il est aussi nécessaire de comprendre quelque contexte
indispensable dans la compréhension dans la réflexion de la relation ville compagne. Puisque,
ce concept ce coïncide dans l’hypothèse. Alors, il est important à bien
définir: « concentration croissante des populations (autre fois) dans les villes et dans les
agglomérations urbaines (aujourd’hui)»18Aussi, on parle d’urbanisation, au sens sociologique
pour designer l’accroissement d’un nombre de la population qui bénéficient des avantages
traditionnellement associés à la ville et au forme d’urbanité qu’elle développée : avec les
activités humaines, la communication moderne ou bien la pression démographique, etc. cet
aujourd’hui presque à la moitié de la population des pays industriels avancés qui est touché
par l’urbanisation. En effet, Cet aujourd’hui la quasi-totalité des populations qu’ils habitent
dans les zones urbanisés dans le pays en voie de développement ayant également des mêmes
problèmes du dysfonctionnement d’hygiène et assainissement à cause de la concentration du
peuple et l’augmentation des besoins dans les milieux urbains.
II-2 : Problématisation
Nous pouvons en déduire de cette théorie que les données quantitatives recueillies
peuvent être explicitées de manière qualitative. Ainsi dans nos recherches sur le
dysfonctionnement organisationnel de l’hygiène et assainissement, les informations collectées
sont réunies sous forme de données quantitatives, mais qui pourront être analysées
qualitativement.
19
Tiré dans cet ouvrage: Théories, modes d’emploi : une perspective cognitive sur l’activité théorique dans les sciences
empirique, dans les derniers paragraphes de la page 2.
27
Ces derniers vont servir à conceptualiser notre thème en question en apportant des
éléments de connaissance quant au traitement des concepts, ainsi que des propos, qui seront
abordés par la suite.
20
L’idéal de rationalité instrumentale est au fondement des organisations
Modernes. (Max Weber)
21
WIKIPEDIA (juin ,2014), « La sociologie de développement », sur le site Wikipédia, consulté le 23
juin 2018, https://fr.m.wikipedia.org//wiki/Sociologie_du_déveoppemnt
28
au domaine du social.
Rappelons que notre enquête fera son exercice dans trois fokontany ayant chacun des
caractéristiques différentes dont : l’Ankadilalampotsy, Ambodivoanjo et Antsahasoa. Nos
sujets ne seraient point tous les dysfonctionnements. Bien que ces derniers soient les plus
concernés par le phénomène, nous auront également à enquêter des chefs de ménage et les
familles ainsi que les individus. Ce choix revêt dès lors la pensée holistique d’où l’intérêt que
nous portons sur celle-ci.
22
GOFFMAM et GAFINKEL, Individualisme Méthodologique, édition électronique du 20 Mars 2011
30
23
Loubet, JJ, Initiation des sciences sociales, 2000, Harmattan
31
Il importe de préciser qu’à ce sujet nous tenterons d’expliquer en premier lieu les techniques
et en second lieu de présenter les résultats réalisés.
Lorsque nous parlons d’échantillonnage, deux concepts clés sont à retenir : la population mère
et l’échantillon.
La population mère peut être perçue comme une constitution de la population sur laquelle
porte l’étude et au sein de laquelle est prélevé l’échantillon. Il sied de marquer que la
population de notre étude est constituée de toutes les catégories de personnes résidant dans les
trois (3) Fokontany évoqués antérieurement. Pour ce qui est de la population cible, il s’agit
des personnes avec qui nous avons jugé utile d’être susceptible d’être affectées par le
phénomène et d’exercer une influence quant à sa manifestation : entre autres populations, les
parents et les foyers.
assainissement.
Nous avons choisi aussi le Fokontany d’Antsahasoa, ce choix a été porté en vue d’une
représentation des plusieurs dysfonctionnements d’infrastructures et cultures des
habitants qu’ils étaient existé au sein de la Fokontany.
A-Echantillonnage au jugé
C’est une méthode d’échantillonnage non probabiliste pour laquelle on sélectionne les
individus qui feront partie de l’échantillon en se basant sur un certain jugement qu’on a au
sujet de la composition de la population et en tenant de s’y conformer.
La population visée par notre recherche se subdivise en trois catégories à citer : les riches, les
moyens, les pauvres. Il nous sera donc difficile de trouver les proportions totales exactes
(quasi-totalité) de ces derniers dans la commune. C’est pourquoi il est utile d’avoir recours à
cette méthode dans lamesure où nous devons nous même créer nos échantillons, et fixer ainsi
les proportions sur lesquelles repose chacune des catégories avec une certaine rationalité. Ci-
après, la démarche de sélection se présente comme suit :
Subdiviser la population en différentes catégories de la classe sociale.
Fixer les proportions qu’occupe chacune des catégories des classes sociales.
Décider de la taille de l’échantillon.
Tenter de respecter les proportions des différents sous-groupes dans l’échantillon.
A retenir du nombre de personne dans chaque catégorie en multipliant les proportions
respectives par la taille d’échantillon.
Choisir arbitrairement les personnes dans chacune des catégories d’un niveau de vie.
Donc, nous fixerons de cette logique, nous avons enquêté 40 personnes, dont 3 ayant des
niveaux de vie aisée (riche), 5 niveau de vie moyenne (moyen), 32 niveau de vie faible
(pauvre). Pourtant, cette technique connaît des limites, comme quoi, souvent, les croyances de
la personne qui sélectionne l’échantillon sont teintées d’un biais, ce qui peut mener à un
échantillonnage moins représentatif de la population que l’échantillonnage à l’aveuglette. Ce
dernier est une méthode par laquelle on sélectionne les individus qui feront partie de
l’échantillon de façon tout à fait arbitraire.
La méthode d’échantillonnage au jugé ne peut suffire pour mener à bien la spécificité des
échantillons, c’est pourquoi il convient de l’associer avec la méthode d’échantillonnage par
quotas.
individus qui feront partie de l’échantillon en s’assurant que celui-ci soit représentatif de
différentes strates de la population. Une strate est un sous-groupe de la population qui possède
une caractéristique commune. Les individus de l’échantillon ne sont pas choisis au hasard.
Même au d’autre échantillonnage, les procédures à suivre sont les suivants :
Tenir compte du nombre total de la population et celui dans chacune des strates.
Décider de la taille de l’échantillon.
Respecter les proportions des différentes strates dans l’échantillon pour savoir quels
seront nos quotas pour chacune des catégories des classes sociales.
Décider du nombre de personnes dans chaque catégorie en multipliant les proportions
respectives par la taille de l’échantillon.
Choisir arbitrairement les personnes dans chacune des catégories.
Les trois (3) Fokontany évoqués précédemment constituent en ce qui est pour notre
recherche les strates. Quant à la taille de l’échantillon, nous servirons de celles qui ont été
constituées par l’intermédiaire de l’échantillonnage au jugé. En fin de compte, nous aurons
besoin d’un tel procédé afin de constituer les échantillons résultant de l’échantillonnage au
jugé dans les trois Fokontany dont : Ankadilalampotsy, Ambodivoanjo, Antsahasoa.
Nous pouvons également considérer les différentes classes sociales visées par notre
recherche comme étant des strates et opter ainsi à l’échantillonnage par quotas dont les
procédures sont évoquées selon ce qui précède.
C- Echantillon
Mis à part les 40 personnes enquêtées, considérées comme étant la population cible,
nous avons également mené notre enquête auprès de certains responsables et les institutions
diverses sont la composition est comme suit : Maire, deux présidents Fkt et responsable RF2.
Après avoir appliqué les méthodes d’échantillonnages évoqués précédemment, nous
sommesarrivés à la constitution des échantillons suivant :
Echantillons Riches Moyennes Pauvres Total
Maintenant, nous allons voir les opinions des habitants dans les 3 FKT sur la
40
Moyenn 1 2 4 7 17.5%
e
Pauvre 2 6 22 30 75%
Total 3 9 28 40 100%
Source : Enquête personnel en 2019 dans les 3 FKT à étudier
Moyenne 6 1 0 7 17.5
Pauvre 1 7 22 30 75%
Total 10 8 22 40 100%
Source : conception personnelle en 2019 dans la commune rurale d’Ankaraobato
Nous avons constaté que les 3 individus ayant des niveaux riches utilisent des
méthodes de pratiques d’hygiènesindividuelles régulières soit 7.5%. Pour les individus ayant
des niveaux de vie moyenne 6 pratiqués la méthode régulière et 1 moyenne donc soit 17.5%.
Ainsi, la plus grande majorité des classes pauvres ont utilisées la des méthodes des pratiques
rares au nombre de 22 individus, 7 sont utilisés des méthodes moyennes et le un reste sont
pratiqués des méthodes régulière.
Après, l’analyse que nous avons faite. Les difficultés financières et la paresse sont les
problèmes qui n’empêchent d’atteindre la promotion d’hygiène individuelle dans la commune
rurale d’Ankaraobato. Ainsi, la mauvaise habitude
En effet,les problèmes d’hygiène individuellesontà risquer à la santé. Mais, l’ampleur
des risques sanitaires sont alarmant dans la commune.
Tableau 12: Les réponses des types d’utilisations des déchets liquides
43
Sous-section : I-3 L’inondation
Il faut à savoir cette définition pour pouvoir élargir notre étude, telle que : «Une
inondation est un envahissement ou une submersion par les eaux (de pluies, de mer, de
fleuve, de nappe,…) d’un territoire bien défini i (installations humaines, surfaces
cultivables,…). Elle se produit lorsque de l’eau en excès ne peut être évacuée par les voies
naturelles (lit mineur ou voie d’eau) ou artificielles prévues à cet effet (réseaux
45
d’assainissement,…). Le ruissellement des eaux obéit à des principes que nous connaissons
tous, il est guidé par la géomorphologie du milieu, c’est à dire la gravité, le relief et la nature
des sols. Si ces principes sont perturbés, il y a forcément risque. »
Par rapport à cela, nous avons constaté les problèmes d’inondation dans la commune
rurale d’Ankaraobato ; Et, surtout dans le Fokontany Ambodivoanjo l’un des
échantillonnages. Il y a des problèmes d’inondation à cause de remballage de la société STAR
depuis 2018, puisque, les canaux d’évacuation d’eau d’Ambaniandrefana sont-ils bouchésà
cause de remballage non maitrisée, dit donc, c’est le dysfonctionnement entre le plan
d’urbanisme ou l’aménagement de la structure urbaine de la commune.
I-3-1 : Brutales (crue-éclair)
En effet, l’inondation dans ce fokontany se classifiée « Brutales (crue-éclair)»: après
une précipitation un ou deux jours de fortes pluies sur sol sec, certaines inondations peuvent
violemment endommager la route d’Ambaniandrefana, les villages dans les quartiers, ainsi
que de nombreuses infrastructures comme des bacs à ordures installés. Elles peuvent être
torrentiels; elles s’accompagnent alors souvent de coulées de boue ou de glissements de
terrain ; donc, les habitants vivent et passent dans cet endroit qu’ils ont confronté de difficulté
aux assainissements.
Alors, il est important de mener quelques photos d’illustration prendre pendant la
descente sur terraindans le fokontany Ambodivoanjo.
46
Ce présent tableau montre l’état et la distance des infrastructures, qu’ils existent dans les 36
FKT à étudier. En prenant le FKT d’Ankadilalampotsy ; il existe qu’une seule infrastructure a
été fondée dans ce FKT. D’Ambodivoanjo, Toutes les infrastructures sont éloignées les
ménages. D’Antsahasoa. Il existe plusieurs infrastructures, mais ils sont tous mauvais et très
loin aux ménages.
48
I-1 : Les obstacles liés aux structurelles et culturelles dans les 3 Fokontany
Nous n’avons malheureusement pas eu des données relatives au nombre exact ou
49
approximatif des infrastructures et des individus qui fait les mauvaises pratiques. En
revanche, comme nous venons d’évoquer précédemment, nous avons demandé à nos enquêtés
le nombre des individus qu’ils connaissent dans leur entourage.
étudier.Tel est le cas par exemple dufokontany Ambodivoanjo, à croire que c’est
probablement dans celui-ci que nous rencontrons plus des individus. D’après notre enquête,
celui-ci semble présenter un aspect plus ou moins défavorisé en matière d’hygiène et
l’assainissement.
A: Synthèse
D’après nos recherches nous allons synthétiser les résultats sur les méthodes de
conservations des ordures et d’eaux usées auprès des 3 FKT.
D’une part, les méthodes de conservations des ordures des habitants dans le Fokontany
d’Ankadilalampotsy, d’Ambodivoanjo et d’Antsahasoa. Concernant sur les résultats
d’enquêtes, les habitants utilisent desdifférents systèmes pour conserver leurs ordures. Par
exemple, les ménages qui possèdent des bacs à ordures pour conserver leurs déchets soit
13.69%,et les ménages qui ne possèdent des bacs à ordures, mais, ils utilisent des autres
moyens (sachet plastiques, bidon, cuvette, etc.) pour garder la salubrité soit à peu près
20.54%, ainsi, les autres ménages ayant des bacs à ordures communs soit 8.21% ; et enfin, les
ménages qui éparpillent leurs déchets ayant des résultats plus élevés faces aux autres 32.87%.
D’autre part, les méthodes d’évacuations des eaux usées des habitants dans le
Fokontany d’Ankadilalampotsy, d’Ambodivoanjo et d’Antsahasoa. Concernant sur les
résultats d’enquêtes, les habitants utilisent aussi des différents systèmes pour évacuer les
déchets liquides. A titre des exemples, les ménages qui possèdent les évacuations des eaux
usées 8.21%, et les ménages qui ne possèdent des évacuations des eaux usées 11%, mais, ils
utilisent des autres moyens pour conserver les eaux usées (bidon, cuvette, etc.) et aussi bien
utilisent à d’autres services pour garder la salubrité des milieux soit à peu près 11%, ainsi, les
autres ménages ayant des évacuations communs soit 5.47%; et enfin, les ménages qui
éparpillent leurs déchets liquides ayant des résultats plus élevés faces aux autres 32.87%.
Grâce à ceux-là, nous avons appris l’existence de nombreux individus qui ont des
mauvaises pratiques dans la commune, soit 33 En additionnant ce chiffre à celui des
personnes enquêtées directement, qui sont aux nombres de 40, bien sûr, ces chiffres ne sont
que des estimations et des approximations, car il est possible qu’un certain de ces individus
formant ces chiffres qu’agissent des mêmes personnes connues par deux ou plusieurs
enquêtés.
Tout compte fait, ces 73 individus représentent 0.27% de la population dans les 3
51
fokontany à étudier, qui en guise de rappel est au nombre de 26903 habitants. Il faut savoir
que la commune est composée de 7 Fokontany ; or nous n’avons pu mener nos enquêtes
qu’auprès du Fokontany Ankadilalampotsy, Ambodivioanjo et Antsahasoa et cela à un
nombre très réduit quant à celles auprès des ménages. Voyons par nous-mêmes, et compte
tenu de tous ces faits, ce que peut être l’ampleur du phénomène dans la commune.
B : Encadré1 verbe intime
Les évacuations des déchets ménagères
« Izahay dia efazatramanaryfako na
ranomalotoamin’izaytoeranaazohanarianaizanysatriaizahay dia
tsymampiasafitoeram-pako na fivarinan-dranomaloto ». [Claire-46 ans-Ménagère]
« problèmes financiers 37.5 pour cent » et « l’insuffisances des infrastructures 25 pour cent »
comme les autres motifs des individus, qui représente la paresse 22.5 pour cent, ainsi, les
diversités culturelles occupent 10 pourcent, et enfin les taux plus faible les problèmes
personnels occupent 5 pour cent des résultats. À croire qu’un nombre restreint de ces
personnes sont issus de familles défavorisées.
personnes enquêtées ont des revenus faible et 1 ayant des revenus moyen soit à peu près à
50%. Les 37,5% comptés aux nombres de 12 personnes lessivages ont des revenus faible, les
petits commerces occupent 12.5% des enquêtés soit 2 ayant des revenus moyen et 3 ayant des
faibles.
Aussi, le niveau d’instruction des parents s’avère nécessaire à aborder compte tenu de
sa vertu dans le processus d’intégration sociale. Pour une meilleure aperçue celui-ci, le
tableau suivant représente le niveau d’instruction des enquêtés.
Tableau 17: Niveau d’instruction des enquêtées
Résultats
Niveau Nbr
Personnes en enquêtés %
d’instruction
Masculin Féminin Age
Analphabète 1 [30 ans] 1 2.5
Illettré 1 2 ] 20-55 ans] 3 7.5
Primaire 4 6 ] 20-55 ans] 10 25
Secondaire 9 13 ] 20-55 ans] 22 55
Supérieur 4 0 ] 20-55 ans] 4 10
TOTAL 18 22 40 100
Source : Enquête personnel en 2019 dans les 3 FKT
D’après ce tableau, sur les 40 enquêtés, 1 estanalphabète ; 3 sont illettrées ;10 ont fait
l’école primaire ; 22 ont un peu avancé à l’école secondaire et 4ont fait d’étude universitaire
de tous sexe masculin. Nous pouvons en déduire de ces résultats que la majorité de ces
parents sont peu instruits, ce qui explique pourquoi ils ont des emplois du moins précaires.
Section III : Les causes d’ordre familial et personnel
Sous ce rapport, nous allons aborder les causes qui sont susceptibles d’être en
corrélation avec la notion de famille et celles auxquelles nous pouvons qualifier de
personnelles.
savoir les manières dont les habitants et les individus, l’engagement dont ils font preuveface
au suivi de ceux-ci, etc. Notre enquête auprès des certains ménages à affirmer aussi que les
véritables causes des obstacles de la promotion du développement local sont enracinées dans
la socialisation et la structuration de la personnalité des individus.
Sa promotion pourrait même dépendre de certains facteurs lors du développement
cognitif à savoir: les différents apprentissages, le développement du langage et le climat
intellectuel général du milieu familial. En ce qui touche notre enquête, les problèmes d’ordre
familial figurent effectivement parmi les causes du phénomène des obstacles sur la promotion
d’hygiène et l’assainissement.
habitants. C’est à dire une forte densité de 10 808 habitants /km². On constate que la
croissance démographique est augmentée plus rapide par à l’autre commune rurale. En effet,
les fokontany d’Ankadilalampotsy, ifarihy, ankadinandrina, ambodivoanjo, parmi les
fokontany plus peuplés, avec des taux de croissance plus rapide en 2018 soit 12.87%.Ainsi
occupant 77,78% de la population soit 35 342 habitants. Par contre, ambohimbahiny est le
moins peuplés par rapport à l’autre fokontany.
Voici, quelque donnée relative dans le PCD 2018 de la commune Ankaraobato :
Nombre d’habitants : 45175, Densité:10808 hab. /km2, Taille des ménages : 05, Taux de
naissance : 16,11 % (2018), Taux de mortalité : 03, 24 % (2018), Taux de croissance :
12,87 % (2018)
Tableau 18: Evolution des nombres des populations en 2019
Pendant notre recherche, nous avons observé que la disproportion des infrastructures en
matière d’HA est mal repartie. Parce que, les infrastructures dans les Fokontany qui se
trouvent loin de la commune en plus sans entretiens sont moins considérables que ceux qui se
trouvent près de la commune. Ceux-ci sont le cas des 3 FKT d’Ankadilalampotsy,
d’Ambodivoanjo et d’Antsahasoa qui ne possède pas qu’une seule infrastructure chaque FKT
occupe de nombreux habitants, notamment il est mal repartie. En effet, on a observé
également que beaucoup des habitants qui s’associent les infrastructures. Ceux-ci sont en
raison de nombre des infrastructures qui ne satisfait pas aux populations. Ainsi, la qualité et
la propreté qui ne répond pas aux besoins des chacun.
Hypothèse1 :« les disproportions des infrastructures engendreraient du dysfonctionnement et
des dispositifs en matière d’hygiène et l’assainissement. »
Cela suppose qu’actuellement, les habitants dans la commune rurale d’Ankaraobato sont
concentrés surtout dans le Fokontany Ank/potsy. Ce qui signifie que même la concentration
du peuple est l’un des facteurs du dysfonctionnement d’hygiène et assainissement au sein de
la commune d’Ankaraobato. Leurs pratiques d’hygiène et l’assainissement aussi sont
disproportion à cause des pressions démographiqueou le surpeuplement des villages.
En outre, dans cette hypothèse, il est énoncé qu’en passant par le biais des habitants (dont les
membres de la famille et les individus participant des infrastructures, évacuations d’eau usée,
latrine, bac à ordure, etc.), il est possible de toucher toute la population et d’assurer un
changement pérenne dans les pratiques des villageois.Toutes ces suppositions indiquent que
notre première hypothèse a été plus ou moins vérifiée.Car en aperçoivent bien 42% des
habitants qui vivent dans ce FKT, alors, il est surpeuplé par rapport aux autres FKT.
Hypothèse2: « Les mauvaises pratiques en matière d’hygiène et l’assainissement étaient un
obstacle pour le développement »
Nous savons aussi que leur manière d’utiliser l’hygiène et l’assainissement dans les 3 FKT à
étudier, on a des mauvaises pratiques.C’est-à-dire que 52.5% des individus enquêtés qui
jettent leurs déchets partout. De ce fait, ils entrainent l’insalubrité d’un milieu de la puiser
chez eux pour la contamination des maladies est elle aussi une cause directe à l’invasion de
probables de la peste et la diarrhée.Elles sont régulièrement atteintes de maladie
principalement diarrhéique du fait de mauvaises pratiques d’hygiène et l’assainissement. Et
engendré le dysfonctionnent en matière d’hygiène et l’assainissement. Ce veut dire, notre
59
hypothèse a été vérifiée aussi, car cette hypothèse est une signe d’avant-coureur sur le
dysfonctionnement.
Pendant notre recherche en matière d’HA auprès du FKT, on a évoqué précédemment dans le
chapitre 4, nous avons vu qu’un seul bac à ordure pour 4.235 habitants dans le fokontany
Ambodivoanjo, 3.341 habitants dans le fokontany Antsahasoa et n’a aucun de bac à ordure
dans le fokontany Ankadilalampotsy. En effet, 32.87% des ménages éparpillent les déchets
partout. Ainsi, 75% des personnes enquêtés sont insatisfaisantes sur la qualité des
infrastructures, ils ont des réponses « mauvaises » face à des problèmes d’hygiène collective.
Cette hypothèse implique la quasi-totalité des populations ont des disproportions des
infrastructures et les revenus. Elles sont engendré le dysfonctionnent en matière d’hygiène et
l’assainissement, voir le tableau N°9 dans le chapitre 3 du présent mémoire. Notre deuxième
hypothèse a été vérifiée, puisque, de nombreuse populations qui ne possèdent pas ni des bacs
à ordure, ni des évacuations d’eaux usées.
Les résultats attendus dans nos recherches sont que toutes personnes dans les trois
FKT aient accès à la promotion d’hygiène et l’assainissement et connaitre les risques du
dysfonctionnement et du dispositif d’HA ; avec une proportion adaptée aux besoins de
chacun. Ainsi, les services d’assainissement et d’hygiène bien organisé et aménagé la
structure, afin de diminuer le taux de la maladie due à l’insalubrité et la pollution, et plus
précisément, afin de réduire les difficultés socio-économique dans la commune.
PARTIE III : APPROCHE PROSPECTIVE DE LA RESOLUTION
DU DYSFONCTIONNEMENT D’HYGIENE ET
D’ASSAINISSEMENT
60
En outre, les mauvaises pratiques des habitants sont aussi l’un des grands problèmes
majeurs en matière d’HA dans ce FKT. Parce que, la quasi-totalité des habitants enquêtés ont
des façons mauvaises pour jeter leurs déchets soit liquide soit solide par tous.On a observé
que la majorité des habitants n’utilisent pas des poubelles et des puisards, ce qui explique
l’insalubrité dans les secteurs, car les populations éparpillent leurs ordures ménagères partout.
Ainsi, on a remarqué aussi les populations qu’ils n’ontpas des cohésions et des solidarités. On
peut dire qu’ilsn’ont aucun esprit d’équipe, car tout ceci peut être évité si chacun a la volonté
de s’unir de gérer leurs déchets. Nous déduisons que la cause de l’insalubrité dans le FKT
d’Ambodivoanjo est l’inexistence des gestions des déchets, en plus il n’existe pas des esprits
pour transformer leurs ordures.
est l’un des facteurs des obstacles sur la promotion d’HA dans le FKT d’Antsahasoa.
Au niveau des infrastructures dans le FKT d’Antsahasoa. Il existe de nombreuses
infrastructures au sein du FKT comme ceux-ci : un bac à ordure collectif, 2 blocs sanitaires
(WC, douche, etc.), CSBII… Malgré, qu’on a observé que les infrastructures sont non
proportions aux nombres des habitants et en plus insatisfaisante sur la qualité. Parce qu’ils n’y
ont pas des entretiens au niveau de celles-ci, donc, les habitants n’utilisent pas de celles-ci,
alors, ils vont être de trouver d’autres solutions, car c’est de ce fait que les population
évacuent leurs déchets dans les rues et les alentours de leurs maisons et dans la couloire, etc.
problèmes en matière d’HA dans la commune rurale d’Ankaraobato; Est la réduction des
déchets éparpillés et assurer les fonctionnements des évacuations d’eau.Pour atteindre notre
objectif, il est fixé nos objectifs spécifiques avec des stratégies et tactiques y afférents comme
ceux-ci : première objectif spécifique, est assuré les ménages à leurs responsabilités. Et, la
stratégie adaptée à celle-ci, c’est la conscientisation des chefs de ménages. Puisque, le
manque de la conscientisation est l’un des problèmes fondamentaux sur la mauvaise habitude
et la facilitation des services. Il y a une tactique pour résoudre ce problème, c’est la
responsabilisation des ménages sur l’éducation de leurs familles. Parce que, si on conscientisé
les familles, elles ont conscient à leurs responsabilités.
Deuxième objectif spécifique, Est l’amélioration et augmentation des nombres des services
voiries. Dans quelle stratégie applique-t-elle ? Nous nous utiliserons leur propre
environnement, sur la gestion des cotisations RF2 et l’Améliorations des qualités du travail.
Ainsi, nous n’appliquons qu’un seul tactique sur l’exploitation de leur ressource latente
comme la participation citoyenne. De plus,ils doivent se baser sur des approches
participativespendant la réalisation de notre projet.
En fin, le dernier objectif est très important et non négligeable ; est la transformation des
déchets ménagers. Il y a aussi une stratégie appropriée à celui-là. C’est le recyclage des
ordures faciles à recycler comme des produits biologique sont de transformer en engrais
biologique et les produits chimiques sont de réutiliser par exemple : bouteille plastique,
sachets, cartons, etc.
On peut dire que les recyclages constitueraient-ils aux activités parallèles.
Nous pouvons remarquer que les professionnels adoptent une vision unilatérale. Cette
vision s’inscrit en quelque sorte dans l’idée d’une dynamique du « dedans » puis qu’étrangère
à la dynamique du dedans des habitants. Il n’est alors pas étonnant que ces derniers résistent
à l’ordre social.
70
CONCLUSION GENERALE
Au terme de la conclusion générale, nous avons effectuées des recherches
concernant sur le dysfonctionnement d’hygiène et l’Assainissementdans la commune rurale
d’Ankaraobato. Alors que, nous ont du moins permis de fournir des éléments explicatifs
quant au phénomène. Nos enquêtes ont fait son exercice dans les 3 Fokotontany ayant des
différents particuliers dont : Ankadilalampotsy,Ambodivoanjo, Antsahasoa. Elle a
généralement été réalisée auprès d’un certain nombre individus, afin de procurer plus
d’informations quant aux causes et conséquences de celui-ci.Ayant effectué notre stage
auprès de la commune, nous avons pu acquérir des connaissances en matière de la collectivité
territoriale décentralisée. L’étude du dysfonctionnement d’hygiène et l’assainissement nous
ont permis d’établir des liens entre certains concepts d’urbanisme et ruralité. Ainsi, nous
avons pu constater que ces derniers pourraient être à l’origine des obstacles du développement
social et le développement socio-économique, d’une localité, d’une région, d’un pays. Ce
qui valorise en ce sens et amplement les actions sociales.
Alors, il est important un bref de rappel sur le plan évoquer précédemment sont les
suivant : Dans le première lieu, du présent mémoire, après avoir fait un bref rappel de
l’objet de notre étude et planifié notre démarche de recherche, nous avons construit
notre instrument d’enquête et procédé à l’échantillonnage de notre population à étudier.Dans
la seconde lieu, nous nous présenterons et analyserons les résultats obtenus à partir des
données recueillies sur les démarches sur terrain pour analyser la problématique et les
hypothèses. On a se penchant sur les typologies de l’hygiène et l’assainissement ; les causes et
conséquences du dysfonctionnement organisationnel d’hygiène et l’assainissement. Cela,
nous pouvons constater que la plupart des individus enquêtés ayant des niveaux de vie faible
venant de « familles défavorisées et dysfonctionnelles ». Dans la troisième partie du
présent mémoire, nous avons entamé la rubrique « pistes de réflexion sur le
dysfonctionnement organisationnel d’hygiène et l’assainissement » dans laquelle nous avons
pu traiter divers propos en liaison avec celui-là en fonction des constats lors de l’enquête et
du contexte actuel.
Donc, notre stage a permis d’être au courant les manifestations du DHA en milieu
rural et leurs problèmes. Puisque, l’existence de celui-ci freine le développement, parce que,
les habitants ont intérêt à se regrouper pour arriver à survivre. L’objectif principal de
cette étude : «Est de comprendre les obstacles d’hygiène et assainissement afin de proposer
les pistes de solution pour y remédier.» Alors, certains problèmes perçus dans l’adaptation
des individus au développement actuel.
71
Des suggestions ont été avancées afin d’améliorer cette capacité et ces moyens non
seulement pour les problèmes, mais aussi pour renforcer les points forts déjà perçus, tout cela,
pour pouvoir accéder à l’intégration sociale des individus du milieu rural.
Ankaraobato est une collectivité territoriale décentralisée à vocation rurale avec un
pourcentage très élevé de la population active, mais à nos jours ce n’est plus le cas; alors que
le monde rural fait face à des difficultés, la promotion du monde rural commence par la
prise de conscience sur l’importance de la solidarité et la cohésion dans une envergure
nationale. En fait, l’individualisme personnifié par les habitants d’une certaine frange fait
éclater la solidarité sociale. En effet, pendant notre descente sur terrain, nous avons constaté
bien que les infrastructures en matière d’HA existant dans les 3 FKT, ils ont rencontré encore
des problèmes à cause de celui-ci. En outre, aux accès d’assainissement dû aux insuffisances
des infrastructures, ainsi, l’inexistence des bacs à ordures d’Ambodivoanjo et
d’Ankadilalampotsy en plus qui provoque l’insalubrité de l’environnement. De ce fait, nous
allons en outre effectuer des investigations, dans la commune, CSBII, RF2, ainsi, les
ménages. Nous avons vu que le phénomène en question est perçu comme étant un
dysfonctionnement qui touchent dans les domaines de la santé et socio culturel.
Grâce à notre stageet aux enquêtes que nous avons menées au sein de la
commune rurale d’Ankaraobato, nous avons pu mettre en valeurnos acquis dans la
Formation Professionnalisante en Travail Social et Développement quinous a permis de
mettre en pratique les connaissances techniques et théoriques acquises dans presque tous les
cours dispensés durant les trois années d’études au sein de la FPTSD, telle qu’ entre autres : le
leadership, Management de projet, la relation d’aide psycho-social, la psychologie, sociologie,
anthropologie, le technique d’animation sportive, les techniques d’expression et de la
communication, la démographique, la statistique, l’informatique, etc. Aussi, nous avons
pu vivre et pratiquer nos missions en tant que travail social.
72
BIBLIOGRAPHIE
REFERENCE DES OUVRAGES GENERAUX
1. VANTOMME. (P) et Daniel. (C), « sociologie de la santé », Paris, 2004
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2000
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Social », Paris, HMH, 1968
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16. Pierre-Noël (G),« l’homme inutile du bon usage de l’économie » http :
//blogs.mediaspart.fr.Janvier 2016, consulte le 19 juillet 2018
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publication : le 3 septembre 2016, consulte le19 juillet 2019
Presse et Revus :
19. Eau potable à Madagascar. Midi Madagasikara. Date de publication : le 3
Septembre 2016
20. Premières estimations relatives à l’eau, l’assainissement et l’hygiène au regard des
objectifs de développement durable. Publier par l’OMS et l’UNICEF le 12 juillet 2017 par
Astrid Barbé, Claires Schneider- date de publication : 23.03.2017 à 12heure 35minute.
21. Water, Environment and Sanitation Technical Guidelines Series A Manual on
Communication for water supply and Environmental Sanitation Programmed.
22. Organisation Mondiale de la Santé (OMS), elle est considérée le lien entre l’eau,
assainissement, l’hygiène et la santé. Faits et chiffres, Mise à jour de novembre 2004
23. Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels adopte et
ouvert à la signature, à la ratification et l’adhésion par l’ensemble générale dans sa résolution
2200 A (XXI) du 16 décembre 1966-Entrée en vigueur : le 3 janvier 1976, conformément aux
dispositions de l’article 27 Selon la banque mondiale 2012
24. Politique générale de l’Etat (PGE), énoncé du programme de mise en œuvre de la
PGE, Mai 2014. La politique nationale de l’environnement pour le développement durable
(N°718-15/MEEF/SG/DGE). Décret N°2015-298 fixant politique nationale de
l’environnement pour le développement durable. Lettre de politique de développement rural,
24 septembre 2004.
74
QUESTIONNAIRES
ADRESSE AUX POPULATIONS CIBLES :
N°1 : Quel âge avez- vous ?
Firy taona ianao ?
N°2 : Avez-vous marié? Oui, Non
Manambady ve ianao ? Eny, Tsia
N°3 : Quel est le plus haut niveau d’étude que vous aviez atteinte ?Prim, Sec, Univ,
Autres
Kilasy fahafiry ianao no nijanona mianatra?
N°4 : Vous travaillez en ce moment ? Oui, Non
Miasa ve ianao amin’izao? Eny, Tsia
N°5 : Si Oui, Si Non veuillez préciser ?
N°6 : Vos revenus journaliers arrivent-ils à subvenir convenablement à vos besoins
quotidiens ?
Ampy amin’ny fiainanareo andavanandro ve ny karama azonao ?
N°7 : Quel est votre revenu par jour, par semaine et mensuel ?
Eo amin’ny hoatrinona eo ny raisinao isan’andro, na isan-kerin’andro, isam-bolana ?
N°8 : Votre travail est-il décent ? Oui, Non
Mahavelona ho anareo ve ny asanao? Eny, Tsia
N°9:Avez-vous déjà reçu des informations à propos de l’hygiène et assainissement?
OUI ; NON
Hianao ve efa mba naheno an’izany hay fidiovana izany? ENY; TSIA
N°10: Auprès de qui? Radio, TV, Agent Communautaire
Tamin’iza no nahenonao izany ?
N°11: Pouvez-vous utiliser des puisards et bac à ordure dans vos quartiers ? Oui, Non
Hianareo ve mampiasa tatandrano na fiandronana rano maloto na fitoeram-pako eto ?Eny,
Tsia
N°12: Ou jetez-vous les déchets liquides et solides ? Bac à ordure, Canal, la cours,
autres
Aiza no manary fako na rano maloto ianareo?Fitoeram-pako, tatatra, tokon-tany, hafa
N°13: Quels types de conservations des déchets vous utilisez dans votre foyer?
Inona ireo fitoeram-pako na rano maloto ampiasainareo ao antrano?
N°14: Pour quelles raisons faut-il utiliser des poubelles et les évacuations d’eaux usées ?
Hoanao inona no mety ho antony manokana ampiasainao fitoeram-pako na fivarinan-drano
B
maloto izany?
N°15:Je vais utiliser des bacs à ordures et des évacuations d’eaux usées parce que mes
voisins,utilisent? Oui, Non
Mampiasa izany ve ianao satria mampiasa ireo manodidinao? Eny, Tsia
N°16: Est-ce que les gens de votre famille parlent d’hygiène et l’assainissement et de son
importance à vos sante ? Oui, Non
Misy olona ve ao aminareo mba miresaka ny maha zava dehibe ny hay fidiovana amin’ny
fahasalamana
N°17: Je vais utiliser, parce que je veux garder mes familles en bonne santé ? Oui, Non
Mampiasa izany mba hitsinjovanao ny fahasalamanao sy ny fianakavihanao ? Oui, Non
N°18: Selon vous quelles sont les raisons qui poussent les populations d’éparpiller les
déchets ? Mauvaise habitude, Paresse, Tradition, Insuffisance des infrastructures,
autres.
Koa raha ho anao manokana inona no mety manosika ny olona hanamparitaka maloto?
N°19: Si vous faites face à des blocages liés sur la promotion d’HA local, pouvez-vous
approcher et discuter avec les autorités locales ? Oui, Non
Raha hitanao ve izany tsy fahatomombanana eo hay fidiovana izany dia mety hanatona
an’ireo mpitondra eto an toerana ve ianao ?
N°20: Si Oui pourquoi ? Si non pourquoi ?
Raha eny fanahoana ? Tsia fanahoana ?
N°21 : Quelles sont les raisons qui poussent les habitants du village à ne pas parler leurs
familles et leurs entourages ?
Inona no mety ho antony manosika ireo mponina eto antoerana tsy hiteny amin’ny
fianakavina na ny manodidina amin’ny?
N°22: Selon vous les membres de votre communauté sont-ils motivés à la promotion
d’HA ?
Raha hoanao manokana mavitrika amini’izany hay-fidiovana izany ve ny mponina eto ?
N°23: Si Oui pourquoi ? S i Non pourquoi ?
N°24: Pour quelles raisons ?
Inona avy izany raha ny hevitrao manokana ?
N°25: D’après vous le HA est important ?
C
ANNEXE II
E
PHOTOS D’ILLUSTRATIONS
EXTRAITS DES IMAGES DANS LA COMMUNE ANKARAOBATO
Photo
s des WC et
Douche
Publique du 23.11.2019
F