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D7 La Légende…

RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 1

C’était aux funérailles de notre grand-père qu’on s’est rencontré. J’avais 20 ans et elle 17.

Elle était la fille de la dernière petite sœur de mon père. Rita était super belle avec un teint

noir bronzé, une forme guitare et des seins très arrondis. Pendant les funérailles, vu le

monde qu’il y avait, les parents ont décidé de mettre tous les petits enfants du défunt dans

une villa qui comptait plus de 7 chambres. On devrait dormir à 5 dans une chambre. Rita et

moi sommes retrouvés dans la même pièce et 3 autres cousins. Elles étaient 2 filles et nous

trois garçons pour seulement deux lits. J’étais le plus âgé de tous ceux qui partageaient la

chambre. J’ai décidé de dormir sur une natte à terre et laissé les autres dormir sur les deux

lits. Rita refusa, elle m’a demandé de venir les rejoindre sur leur lit. C’était difficile pour

moi de dormir avec des filles. J’ai tout d’abord refusé mais à force d’insister j’ai fini par

accepter. La nuit a été longue parce que je n’ai pas pu fermer l’œil :

- Tu ne vas pas dormir aujourd’hui, me dit Rita

- Et pourquoi ?

- Parce que je suis là pour bavarder dans tes oreilles

- Ok je t’écoute.

- Je sais que tu connais déjà mon nom, je suis la fille de ta tante

- Quelle tante ?

- Marcelline, je suis son unique fille, nous sommes dans la ville de Soubré.
- Ah ok

Pendant que nous échangions, les autres cousins se mirent à dormir. On était en décembre,

la période de l’harmattan. A une certaine heure il faisait tellement froid, Rita est rentrée

sous mon drap et s’est blottie contre moi. La chaleur de ses seins était tellement intense que

je n'ai pas pu tenir dans mon caleçon. Je me levai pour aller faire pipi le temps de mieux

positionner mon PDG. A mon retour, je ne voulais plus me coucher près d’elle pour éviter

d’être tenté mais une fois de plus elle insista :

- Si les parents viennent nous trouver dans cette position ils vont nous punir Rita

- Mais on ne fait rien, je sais que tu es mon cousin et rien ne va se passer.

- Ok mais habille toi pour dormir s'il te plait

- Je suis habillée

- Non tes seins sont dehors et moi ça me gène un peu

- Ok je vais porter un tee-shirt

Elle mit un tee-shirt sans soutien, Malgré le tee-shirt, les seins de Rita me frottaient et mon

PDG ne cessait de se signaler. J’ai réussi à le maîtriser et nous nous somme endormis.

Le lendemain sous la bâche où il a eu lieu les funérailles, Rita était collée à moi. Les oncles,

les tantes, les autres cousins se posaient la question de savoir si nous nous connaissions

avant.

- On ne se connaissait pas mais je pense qu’on se connait maintenant et c'est génial,

Répondit Rita.

Rita était le genre de fille qui parle beaucoup. Avec elle on ne peut jamais s’ennuyer. Elle

me plaisait bien comme cousine. Elle m’a pris par le bras pour me présenter à sa maman.
- Maman tu connais Richard ?

- C’est plutôt moi qui devrais te demander si tu le connais, et puis arrête de le prendre ainsi,

c’est ton cousin, tu le serre comme s’il était ton gars, répondit la maman de Rita en souriant.

- Non maman, Richard est adorable, la seule nuit ou je l’ai connu, je n’ai plus envie de le

laisser

Elle me regarde et me fait un petit bisou sur la joue. c'était chic.

- Hé Rita je dis bien qu’il est ton cousin, il faut faire très attention à tes sentiments, répondit

sa maman

- Non maman rien ne peut se passer entre Rita et moi, répondis-je à la maman de Rita.

- Ok mon fils je sais, Rita est tellement embêtante qu’elle me fait beaucoup parler.

Après cette conversation nous sommes allés manger, Rita a insisté qu’on nous serve elle et

moi à part. On a bien mangé et moi j’ai eu sommeil après. Je suis allé me coucher pendant

qu’elle lavait les assiettes. Après elle m’a rejoint dans la chambre.

- Tu es sur que tu veux dormir

- Rita s’il te plait, je suis un peu fatigué pardon.

- Non tu ne dormiras pas, tu sais qu’après les funérailles on ne se rêvera plus, donc laisse

moi me rassasier de toi

- Han comment ?

Elle s’est mise à rire.

- C’est bizarre mais depuis que je t’ai vu, je ne veux plus te laisser

- Rita nous sommes cousin et tu le sais très bien


- Oui je le sais mais je n’ai rien dit de mauvais. Je vais demander à ma maman pour qu’elle

me permettre de venir passer les vacances prochaines à Abidjan chez ton papa.

- Humm Rita pardon

- Oui je veux rester avec toi tout le temps.

- J’ai compris pour l’instant laisse moi me reposer, je dois assister à l’enterrement à 16h.

- C’est compris repose toi je retourne sous la bâche.

Auteur Richards guié


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 2

Les funérailles se sont bien déroulées. Chacun doit retourner d’où il est venu. Il était très

difficile pour Rita de se séparer de Richard. Elle dit à sa maman :

- Je dois aller terminer l’année à Abidjan maman

- Comment çà ?

- Oui maman

- A cause de Richard ?

- Oui maman, il va me manquer

- Pour seulement deux jours que vous avez faits ensemble là ?

- Oui maman.

Elle se met à pleurer dans les bras de sa maman.

- Richard n’est pas mort, de toutes les façons quand tu auras ton bac c’est chez son papa

que tu resteras. Arrête de pleurer.

Je ne pouvais pas retenir mes larmes, je coure vers elle la serrant très fortement dans mes

bras et je lui dis :

- On se reverra très prochainement. Tu as mon numéro je t’appellerai tous les jours, sèche

tes larmes.

Devant toute la famille elle ne s’est pas retenue, elle a voulu m’embrasser, je l’ai esquivée.

J’ai pris mon sac et je suis monté dans le car. De la fenêtre du car je voyais Rita pleurer à

chaude larme. Je voulais descendre mais le car a démarré. Avant d’arriver à destination, j’ai
reçu 17 appels, elle ne voulait pas me lâcher une seule seconde jusqu’à ce que mon

téléphone ne s’éteigne.

L’attitude de Rita m’a tellement surpris que j’en ai parlé à mes frères à mon retour du

village. Ils voulaient tous connaitre Rita.

Chaque fois qu’on communique au téléphone Rita et moi, ils s’en pressaient d’écouter la

conversation. La maman de Rita sous la pression de sa fille a appelé mon père lui

demandant la permission pour que Rita vienne passer les vacances chez nous à Abidjan. Il

accepta sans pauser de condition. Rita est heureuse de retrouver son cousin adoré. Mais elle

doit aussi se concentrer parce qu’elle a un examen de fin d’année à passer : le BAC :

- C’est vrai tu es toute heureuse de venir me rejoindre ici à Abidjan mais n’oubli pas que tu

as ton examen à préparer, il faut que tu te concentres

- Tu sais pourquoi j’aime ton affaire Richard ?

- Non parle moi.

- Tu es un grand conseiller. Merci vraiment, je vais faire tout mon possible pour me

concentrer. Il faut que j’aie ce BAC pour que définitivement je sois prêt de toi.

- Je compte sur toi cousine

- Ok mais ça me gène quand tu m’appelle cousine

- Tu veux que je t’appelle comment alors.

- Appelle-moi chérie

- Non je ne peux pas t’appeler chérie

- Ok ! Appelle-moi Cousine Chérie

- Hummm ! ok c’est compris Rita


Rita comptait les jours, mes frères aussi, moi j’étais plus tôt confus. Qu’est ce qui va se

passer si elle arrive ? Pourquoi mes petits frères sont tous excités de voir Rita ? Plus les

jours passent, plus la pression gagne du terrain.

Après avoir fini de passer son examen, Rita n’a pas attendu les résultats. Le lendemain de la

composition elle débarque à Abidjan :

- Je suis à la gare Richard viens me chercher.

- Quoi ? On était en communication toute la nuit d’hier pourquoi tu ne m’as pas prévenu ?

- J’ai voulu te faire la surprise

- Mon Papa est informé ?

- Oui. Je lui ai dit de ne pas t’informer

- Ok je suis à l’Université, dès que je fini je viens te chercher. C’est quelle gare ?

- On est à la gare d’UTB.

- Ok

J’appelle mon petit frère Herman qui vient me rejoindre à la FAC avec la voiture qui sert à

faire les courses à la maison. Nous partîmes à la rencontre de Rita. On arrive à la gare, Rita

n’est pas là. Je tente de la joindre, je me rend compte que mon téléphone est totalement

déchargé. Je n’ai pas son numéro en mémoire. Les choses deviennent compliquées.

Comment faire ? Herman et moi continuâmes de la chercher un peu partout à la gare :

- Appelle sa maman, me dit Hermann tout énervé

- Si je n’ai pas pu retenir le numéro de Rita c’est pour sa maman que je vais avoir ? On va

plutôt appeler Papa pour qu’il nous le communique.


Pendant qu’on était en train de chercher la solution pour joindre Rita, j’entends

Richaaaaaaaard. Je regarde derrière moi c’est elle. Rita court et saute dans mes bras :

- Tu étais où ?

- Dans les toilettes. Lui c’est qui ?

- Hermann mon frère cadet.

- Vous vous ressemblé mais il est plus claire que toi. Enchantée Herman, tu es mignon

comme ton grand frère

- Merci Rita. Tu es aussi super belle

- Merci.

- Où sont tes bagages ? lui dis-je

- L’autre côté.

Je récupère les bagages de ma cousine préférée, direction à la maison. Dans la voiture

Herman tente d’arracher quelques mots à Rita :

- Richard n’a vraiment pas menti, tu es sublime cousine

- Merci cousin. Toi aussi tu es très élégant.

- Merci. Je suis heureux d’être ton cousin. Franchement tu es très belle

- C’est bon maintenant Herman, trop de compliments, m’exclamai-je

- Ahi laisse moi complimenter ma jolie cousine

Rita nous regarde et se met à sourire. Un sourire lumineux bref.

Après un quart d’heure de route Herman gare devant la cour à la Riviera.


- Nous sommes arrivés ? Demanda Rita.

- Oui, répondit Herman.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 3

Papa présente Rita à la famille :

- Elle s’appelle Bosson Rita c’est la fille de ma petite sœur Martine qui vit à Soubré. Elle est

là pour les vacances, c’est votre cousine prenez soins d’elle. Rita ici c’est ta maison, tu es

chez toi, si tu as besoin de quelque chose n’hésite pas à demander. Tes cousins pourront

t’accompagner visiter la ville.

- Je suis là pour le faire Rita, s’exclama Herman.

- Ah voilà un volontaire, tu seras très bien aimée ici, tu connais déjà Richard, les autres tu

apprendras à les connaitre au fil du temps. Ils sont sympathiques.

- Ok Papa merci pour l’accueil, merci à tous mes autres cousins et cousine merci je suis très

heureuse de passer mes vacances ici.

Rita a été logée dans une chambre voisine à la mienne. La maison est construite de sorte à

ce que les chambres de dehors aient une même douche. Le trajet a été tellement long

qu’après s’être échangée et avoir mangé, Rita s’est endormie. Elle se réveilla vers 3h du

matin. Elle se rend compte qu’elle n’a pas pris sa douche avant de s’endormir. La serviette

attachée au niveau de sa poitrine, elle frappe à ma porte pendant que je dormais.

- Ko ko ko

Personne ne répond, elle insiste.

- Ko ko ko

- C’est qui ?

- Ouvre c’est ta cousine


J’ouvre ma porte Rita est devant

- Je veux me doucher

- Mais rentre dans la douche juste à ta droite

- Oui mais pardon il faut me surveiller j’ai peur

Le début de mon calvaire commença. Je suis obligé d’interrompre mon doux sommeil pour

surveiller ma jolie cousine.

- Il faut rentrer pourquoi tu restes dehors. Me dit – elle

- Non, je ne peux pas te regarder te laver je préfère rester devant la porte.

- Ok ! Ce n’est pas mauvais de regarder sa cousine se laver hein

Je n’ai pas répondu. Je somnolais, j’étais pressé qu’elle finisse pour que je j’aille terminer

mon sommeil. Dans l’attente je me suis rendormi débout devant la porte de la douche

adossé au mur. Un coup je sens une présence devant moi j’ouvre mes yeux, Rita est arrêtée

toute nue m’admirant. Très vite j’ai détourné mon regard lui demandant de rentrer dormir :

- Je n’ai pas sommeil Richard

- Mais moi j’ai sommeil et je dois sortir très tôt demain

- Oui mais je vais rester dans ta chambre regarder un film sur ton ordinateur s’il te plait

Richard.

- Ok mais pas aujourd’hui. Vas dormir une prochaine fois tu le ferras.

Je suis quitté devant elle et j’ai fermé ma porte à clé.

- Richard s’il te plait, ouvre moi la porte, je vais me coucher juste à côté de toi.

Je ne voulais pas ouvrir mais après j’ai eu pitié d’elle et je l’ai laissé entrer.
- Va t’habiller d’abord et tu reviens te coucher

- Merci c’est compris.

Rita est rentrée dans sa chambre portée un gros tee-shirt qui arrive à ses genoux sans porter

de caleçon en bas. Je ne savais pas. Elle est venue se coucher juste à côté de moi. Très

fatiguée me suis vite rendormi.

Vers 5h 30 matin, comme d’habitude, mon PDG a commencé à se déformer. Je me réveille

et je regarde juste à ma gauche, Rita est dans une position jambes écartées, elle s’est

endormie et le drap n’est plus sur elle, son tee-shirt qu’elle a porté aussi s’est replié sur sa

poitrine. Tous ses jolis poils lisses comme pour les chinoises sont dehors en train de me

biper. Nom d'un chien ! Je fis un signe de croix au Nom du Père du Fils et du Saint Esprit

Amen. Je respire un coup. De la manière vous la voyez sur la photo, c’est comme cela son

teint est clean en réalité, sans bouton, pas de cicatrices ni vergeture, une créature angélique

et en plus elle sent superbement bon. Cette sublime cousine va me créer des ennuis si je n’y

prend pas garde. Je rentre dans la douche pisser un coup et je ressors. Tout doucement je la

soulevai pour la déposer sur son lit. Quand je sortais de sa chambre j’entendis dans mon

dos une voix suave et sensuelle qui me dit :

- Merci chou, tu es un ange.

Rita ne dormait pas elle a fait exprès de s’exposer dans mon lit. Je fais un mouvement du

cou pour la regarder, elle me fait un clin d’œil. Je remue ma tête et je fermai sa porte tout

doucement pour ne pas que les autres entendent le bruit.

Le matin je suis allé au cours sans dire mots à personne. Vu le comportement de Rita la nuit

dernière une idée me vient en tête. Celle d’échanger de chambre avec Herman. Est-ce une

bonne idée ? Je crois que non. Herman est très bandit et il n’arrive pas à se maîtriser, il

risque de couiller (faire l’amour) ma jolie cousine, que dis-je notre jolie cousine. Elle n’est

pas venue à cause de lui mais plus tôt à cause demoi. Si quelqu’un doit la couiller c’est bel

et bien moi et en plus c’est malsain que deux cousins couchent ensemble, c’est de l’inceste
et c’est défendu. Il va falloir trouver une nouvelle stratégie. Et si je l’a mettais en contact

avec mon ami Roger ? Non Roger parle un peu trop il risque de ternir l’image de ma

précieuse cousine. Je vais la brancher à Florent, lui au moins il sait garder secret. Alors

j’appelle mon ami Florent :

- Alloh Mon type c’est comment ?

- Je suis calé et toi ?

- Je suis là oh mon cher, j’ai un way pour toi hein

- Ah bon ! Quel way ?

- J’ai ma cousine qui est venue de Soubré là elle est propre je veux te brancher

Florent est enjaillé, tellement il aime femme il courut venir me trouver où j’étais. Il a

commencé à sourire comme un chat qui a vu sardine.

- Montre-moi sa photo je vais voir

Je sors la photo de la petite

- Pouatate ! Quelle créature magnifique ! On dirait un ange venu du ciel. Richard ne parle

plus demain je te donne 100 000 F cfa. Tu es un frère. Tchia c’est mon genre de go ça.

On dirait elle dort dans lait. Je vais la laper propre… Tellement Florent exagérait il a

commencé à m’énerver. Je suis devenu jaloux. Je lui ai arraché la photo.

- Ahi il y a quoi ?

- Non rien on en reparle demain


EPISODE 4

J’ai pris mes affaires et je suis quitté devant Florent. Après les cours je me suis rendu à la

maison où Rita m’attendais impatiemment :

- Salut Richard

- Comment tu vas Rita

- Je vais bien, mais tu as fermé ton téléphone toute la journée ?

- Oui, quand je suis au cours je ferme toujours mon téléphone

- Ah ok.

Je suis rentré dans ma chambre ensuite, dans la douche pour prendre mon bain, il faisait

tellement chaud que je n’ai pas fermé la porte à clé, j’ai ouvert le robinet. Le bruit de l’eau

m’empêcha d’entendre les pas de Rita. Elle est rentrée sans que je ne m’en rende compte.

Elle boucle la porte et me regarde me laver. Je fini de fermer le robinet, j’ouvre mes yeux,

ma cousine est assise dans le coin de la douche, m’admirant. J’ai vite pris ma serviette pour

cacher mes attributs de garçon, elle pousse un petit rire moqueur :

- Hahahahah tu caches quoi ? J’ai déjà tout vu.

- Rita s’il te plait sort

- Pardon laisse-moi te regarder un peu

- Ce n’est pas normal que tu me vois nue, tu es ma cousine

- Mais toi tu m’as vue nue hier nuit ce n’est pas mauvais.

Pendant qu’on causait quelqu’un frappe à la porte. C’est Herman :


- Richard quelqu’un demande après toi

- Ok dis-lui de m’attendre j’arrive.

Certainement il n’a pas entendu la voix de Rita. J’ai attendu un bon moment pour faire

sortir Rita. Ensuite j’ai fini de me doucher je me suis rendu dans ma chambre pour

m’habiller. Il est 19h20. Je sors à la terrasse. Devinez qui je vois : Florent :

- Dans quel coup tu viens chez moi cette heure pourtant tu habites Yopougon

Florent me regarde et sourit, le même sourire de chat.

- Juste une visite amicale, me répondit Florent toujours avec le même sourire.

- C’est gentil. Mais je ne suis pas sûr. Je sais que c’est à cause de ma cousine que tu es ici.

J’appelle Rita, elle arrive je la présente à Florent, tellement heureux qu’il n’a même pas pu

placer un seul mot :

- Enchanté Florent, lui dit Rita

- Moi, aussi, répondit Florent en bégayant

- Je vous laisse je vais regarder la télé. Richard si vous finissez de causer fais moi signe

- Ok c’est compris Rita, lui dis-je.

Florent me regarde, remue sa tête et me dit :

- Djo j’ai perdu mes mots, tu n’as pas menti hein, elle est canon

- Toi-même tu as vu mais ce n’est plus possible. Je ne veux plus te brancher, elle est vierge

et sa maman surveille sa virginité de prêt. Je ne veux pas qu’elle m’accuse après.

- Ah frère tu ne vas pas me dire ça, les 100 000 F dont je t’avais parlé le matin sont avec moi.
Florent sort l’argent et me remet. Je vois 20 nouveaux billets de 5000 bien dressé dans une

enveloppe blanche. Une partie de mon cœur me dit de prendre l’argent l’autre me dit de

laisser. J’ai écouté la première partie de mon cœur. J’ai empoché les 100 000 f :

- J’ai compris je vais voir ce que je peux faire

- Non frère il faut tout faire parce que cette déesse, je la veux.

- Ok j’ai compris

Après notre deal, je l’ai accompagné tout doucement devant le portail, il est rentré chez lui.

J’appelle Rita et je lui dis :

- Mon ami dit qu’il t’apprécie énormément, il veut ton numéro.

- Hum, lui aussi. Facilement comme ça…

- Son papa est très riche, si tu acceptes de causer avec lui, il va te gâter de cadeau.

- Donc tu penses que c’est l’argent qui m’intéresse ?

- Non, c’est pas ça mais…

- Mais quoi ? Dis à ton ami qu’il ne m’intéresse pas.

- Moi-même je sais qu’il ne peut jamais t’intéresser mais moi son argent m’intéresse. Il faut

jouer le jeu on va bouffer son argent. C’est tout ce que je te demande

Je sors 30 000 sur les cent mille que Florent m’a donné :

- Il m’a dit de te donner ça. Juste pour une simple prise de contact.

Rita regarde le blé sourit et récupère l’argent.

- Comme tu me le demandes je vais essayer.


J’appelle mon ami Florent je lui dis que la petite accepte de lui donner son numéro. Il était

tout heureux. Il a voulu l’appeler séance tenante, je lui ai dit non, qu’il attende le lendemain

vers 10h.

Après le diner je prends mes affaires pour réviser. Je me mets au balcon. Rita me suit :

- S’il te plait cousine accorde moi une heure et demi je serai à toi, le temps de me concentrer

- Compris cousin.

Je fini de bosser vers 22h 30, très fatigué, je rentre me coucher. Rita n’est pas au salon alors

je jette un coup d’œil dans sa chambre. Elle n’y est pas non plus. Je dépose mes affaires et je

lui envoie un message sur son téléphone :

- Désolé on se verra demain je suis un peu fatigué

Elle me répondit :

- Non ne ferme pas ta porte j’arrive, on dormira ensemble ce soir.

Les minutes qui ont suivi, Rita se pointa dans ma chambre, cette fois en robe de nuit très

moulante.

- Tu étais où ? Lui demandai-je

- J’étais dans la chambre d’Herman, on regardait un film

- Dans cette ténue ?

- Non c’est tout de suite que je me suis changée

- Ah ok. Mais si tu veux dormir avec moi aujourd‘hui il va falloir changer de tenue.

Pendant que je suis en train de lui parler elle saute et monte sur mon do et s’assit :

- Tu ne veux pas un petit massage réparateur ?


Elle me saisit par les épaules et malaxe mon cou avec une certaine sensualité.
EPISODE 5

Je me suis laissé faire parce que ça me détendait vraiment.

- Rita n’oublie pas que je suis ton cousin, tu vas un peu loin là.

- Tu es sur que tu n’aimes pas ?

- J’aime mais ce n’est pas bien ce que tu fais

- Laisse toi faire Richou.

Pendant que ma jolie gentille sublime cousine me massait les épaules, Herman fait

irruption dans ma chambre sans frapper :

- Qu’est ce que tu fais comme ça Rita ?

- Rien je suis en train de le masser Richard. c’est tout.

- Humm c’est que tu vas me masser aussi hein

Rita pour dissuader Herman, elle lui promet son massage le lendemain. Herman refusa :

- Je veux aujourd’hui, tu finis de le masser tu passes dans ma chambre me masser aussi

sinon je vais dire

- Tu vas dire quoi, lui dépondis-je

- Je vais dire que vous faites des bêtises toi et Rita.

- Tu nous a vus faire quoi ? D’ailleurs sors de ma chambre.

Je me levai et je poussai Herman hors de ma chambre. Une bagarre s’ensuit. Rita part

alerter Papa :
- Qu’est ce qu’il y a encore ici, s’écria Papa

- C’est Herman, répondis-je

- Herman tu fais quoi dans la chambre de Richard

Il me regarde, il ne peut pas parler.

- Tu fais quoi à cette heure dans la chambre de Richard

Toujours bouche bée. Il s’ait dit que s’il raconte des bêtises et que Rita se fâche contre lui il

risque de ne plus rien avoir. Donc il ne dit rien.

- Retourne dans ta chambre et je ne veux plus entendre de bruit

Tout honteux il sortit de ma chambre, Papa et Rita aussi. A minuit mon téléphone vibre.

C’est un message de Rita.

- Je peux venir terminer ce que j’ai commencé

- Non merci. Une prochaine fois

- Ok Bonne nuit alors

- Bonne nuit cousine

Le lendemain je n’avais pas cours toute la journée, alors je décide de faire visiter la ville à

Rita. Herman se propose d’y aller aussi :

- Non je préfère aller seul, lui dis-je

- Laisse le aller Richard, c’est mieux la balade à 3, me dit Rita

- Ok comme tu veux.
On quitte la maison à 10h. Direction à SOCOCE, l’un des plus grand super marcher de la

ville d’Abidjan. Rita adore le cinéma. On a profité pour regarder un fil à Magestic. A peine

le film fini, mon ami Florent l’appel. Rita est géniale :

- Allo Floflo.. répondit Rita

Mon ami Florent est aux anges. Je suis sur que là où il était, il souriait comme d’habitude.

Tellement il a été surpris par la réaction de ma cousine Rita, il a raccroché son téléphone

immédiatement. Il rappelle encore :

- Excuse moi Rita c’est le réseau, dit Florent

- Oui je sais, tu es où joli garçon

- Je suis au Deux Plateaux présentement et toi ?

- Nous sommes à SOCOCE tu peux venir nous rejoindre ?

Rita n’a pas fini de parler, Florent s’est pointé devant nous.

- Salut Richard tu vas bien

- Oui frère et chez toi ?

- Je vais bien par la grâce de Dieu. Ma cousine voulait te voir

- Ah ok après ici vous allez où ?

- On part à Port Bouet en bordure de mer.

- Ok donc on y va

On a pris la direction de la route de port Bouet. Florent Rita devant, Herman et moi

derrière. Mon petit Frère Herman me demande :

- Ton ami Florent veut quoi ?


- Il veut quoi comment ?

- Mais pourquoi tu le laisses seul avec Rita ?

- Hééééé Petit laisse tomber allons seulement

- Je ne suis pas du tout d’accord.

- J’ai compris arrivé à la maison on va en parler.

Herman est jaloux. De l’autre côté dans la voiture de Florent, Rita tente de lui arracher

quelques mots, mais Florent semble très timide :

- Ta voiture est confortable Florent

Florent sourire seulement sans dire mot

- Dis-moi merci au moins.

- Humm merci Rita, j’ai honte oh c’est à cause de ça je ne parle pas trop.

- Alors là je vais arrêter de parler

- Non tu peux me poser des questions.

- Ah ok. Dis moi tu as une copine ?

- Jamais je n’aime pas les vilaines femmes

- Ahi. Comment ça ?

- Toutes les autres filles sont vilaines, c’est toi seule tu es jolie

Rita a éclaté de rire :

- Tu te moques de moi ? Demande Florent

- Non non pas du tout.


- Ok

- Dis moi Florent tu m’aimes ?

- Oui kê trop même, tu es trop jolie tu vas être ma femme si tu acceptes.

- J’ai compris je vais réfléchir

Mon ami Florent malgré la climatisation de sa voiture s’est mis à transpirer. Il est heureux

de son exploit.
EPISODE 6

Florent demande à Rita :

- On part à la plage est ce que tu as un maillot de bain dans ton sac à main ?

- Hum non, je n’avais pas prévu

- Tu veux que je t’en achète ?

- Je vais demander à Richard d’abord avant de me prononcer.

Florent gare. Hermann et moi arrivâmes à leur niveau :

- Pourquoi vous avez garé ? Demandai-je à Florent

- On n’a pas prévu de maillot, répondit Florent

- Oui mais personne ne nagera

- Si moi je veux toucher l’eau de mer, s’exclama Rita

- Ok mais tu n’as pas de maillot, luit dis-je

- Florent va en acheter.

- Ok

On prend la voix de la gare de Bassam à Treichville. J’ai senti que mon petit frère d’un

moment à l’autre peut mettre mal à l’aise mon ami Florent. Pendant qu’ils faisaient les

achats dans un magasin à la gare de Bassam, je me suis retiré pour appeler Edwige, la

copine d’Herman.

- Allo Edo
- Salut Richard, tu vas bien ?

- Oui ma belle, tu fais quoi en ce moment ?

- Je ne fais rien

- Ok ça tombe bien, peux-tu nous trouver sur la route de Bassam chez modeste ?

- Tu es avec qui ?

- Je suis avec ton chéri mais je ne l’ai pas informé, je veux lui faire la surprise

- Ok sans faute. Je m’apprête et je vous rejoins.

Herman est tellement amoureux d’Edo qu’en sa présence il ne peut même pas dire un seul

mot.

Après les achats à Treichville, on reprit la route dans la même disposition. Florent et Rita

devant, mon frère et moi derrière :

- Si je comprends bien tu dragues Rita pour ton ami ?

- Non, c’est lui-même qui la drague, où est le problème Herman ?

- Il n’y a pas de problème mais je ne l’aime pas, ton ami Florent.

- Ce n’est pas grave, si Rita l’aime c’est l’essentiel.

Herman veut mettre mes plans à l’eau. Il n’est pas informé du deal entre Rita et moi. Si

Florent est convaincu de l’amour de Rita, je serai l’homme le plus heureux. Après plusieurs

minutes de routes, nous déposâmes nos bagages chez Modeste, sur la route de Bassam.

- Wahou c’est beau ici, s’écria ma cousine

Elle coure, part en bordure de mer, Herman la suit :

- Ne va pas plus loin cousine


- Ok c’est compris Herman, mais c’est génial, j’adore les vagues, j’ai envie de nager

- Ne te presse pas on nagera ensemble tout de suite le temps de se déshabiller…

Florent lui cherche à mettre sa voiture en position départ. Dès qu’il fini de garer il

m’appelle. On s’accorde sur le nombre de temps à passer à la plage et tout. On passe la

commande de la nourriture et de la boisson.

Le temps que tout soit prêt, chacun s’est mis dans son maillot. Rita a mis un maillot

provocateur. Son cousin Herman ne pouvait pas la regarder deux minutes. Il est dressé

comme un cheval :

- Mon ami tu bandes en voyant ta propre cousine ? Demanda Florent.

- Et alors, ou est ton problème ? occupe-toi de tes oignons.

- Herman, détend toi Florent voulait te taquiner. Lui dis-je.

- Je n’aime pas sa blague

- Qui t’a dit c’est une blague, tu es bandé. Oui ou non

Rita c’est mise à rigoler. Elle vient le raisonner, plus elle approche, plus le PDG Hermann

augmente en volume :

- Ne te fâché pas Hermann, même les deux si tu fouille bien ils sont tous bandés.

L’atmosphère entre Florent et Herman était tendu. J’ai demandé à Rita d’aller un peu plus

loin avec mon ami Florent pour échanger. Rita refusa.

- On va rester ici c’est mieux, je ne vais pas m’éloigner de toi Richard. Me dit Rita

- Ok

On s’est mis à nager. Herman était très en colère qu’il refusait de nager avec nous. Florent

lui, était très heureux. Il se jouait les grands nageurs avec des plongeons à la con pour
impressionner ma jolie cousine. Il a pris un peu d’alcool pour faire passer sa honte. Moi je

les regardais tranquillement. Je disais dans mon cœur :

- Fini de bien t’amuser tu vas me remettre le blé je vais rentrer avec ma cousine, c’est tout ce

qui m’intéresse.

Quelque minute après, arriva Edo. La copine de mon petit frère. Il est tout étonné :

- Comment tu as su qu’on était ici, demanda Herman.

- Je te suivais

- Ah bon hein

- Oui

Les plans d’Herman viennent de tomber à l’eau. Florent peut être tranquille dans son coin

avec Rita. Après 25 minutes de nage il remonte sous l’appâtâmes. Il découvre Eudo, la

copine d’Herman.

- Quelle créature

Il prend sa main et lui fait une baise main. Herman sauta sur lui et le saisi pas le poignée.

- Ne t’amuse plus à faire ça à ma copine sinon tu sauras qui je suis

- Ahi Herman qu’est ce qui te prend pour que tu agisses de la sorte, lui demanda Edo.

Je les ai tous calmé et l’ambiance est redevenue belle.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 7

Il prend sa main et lui fait une baise main. Herman sauta sur lui et le saisi pas le poigné.

- Ne t’amuse plus à faire ça à ma copine sinon tu sauras qui je suis

- Ahi Herman qu’est ce qui te prend pour que tu agisses de la sorte, lui demanda Edo.

Je les ai tous calmé et l’ambiance est redevenue belle. La nourriture était servie et nous nous

sommes bien régalés. Rita était juste à côté de Florent, Herman avec sa copine et moi seul

mais très serein. On a bien bu. C’était génial. Après la bouf Florent a réglé toute la facture et

en plus, il m’a offert 70 mille cfa, et 150 mille à Rita. A la copine de Herman, il donne 50

mille et 50 mille à Herman. Au début, Herman ne voulait pas prendre l’argent à cause de

son orgueil. Sa copine lui dit :

- Si tu refuses moi je prends.

Finalement il a pris l’argent tout honteux. Cette journée là, Florent a dépensé près de 500

mille francs. Il a fini par impressionner la petite Edo. Pour ne pas que Herman le sache, elle

a entendu qu’il s’éloigne d’elle avant de me demander le numéro de Florent :

- Tu vas faire quoi avec son numéro, lui dis-je

- Je vais l’appeler pour lui dire merci, il est vraiment gentil.

- Ok, j’ai compris mais après je t’envoie par texto

- Merci Richard.

- C’est gratuit ma belle

Edo est une petite fille qui adore l’argent. Si je lui donne le numéro de Florent, je risque de

rater mon coup parc ce que Florent pourrait abandonner le projet Rita pour se focaliser sur
la petite Edo vu sa forme de rêve avec ses grosses fesses remplies de graisse, sa petite

bouche et ses jolis yeux de biche.

A quelques minutes de la maison le numéro de Rita sonne. C’est son proviseur :

- Allo Monsieur le Proviseur

- Oui Rita, tu vas bien ?

- Oui et chez vous ?

- Je vais bien merci, mais tu sais que les résultats du Bac sont sortis ?

- Non. Mais c’est le lundi que les résultats devraient sortir normalement.

- Oui, mais nous les avons déjà et c’est le lundi que nous allons afficher

- Ah ok mais Monsieur c’est comment ?

- Tu as eu ton BAC ma petite

- Quoi !

- 270 point je te dis mon joli bébé

- C’est vrai ?

- J’ai ta collante en main en ce moment

- Youpiiiiiiiiiiiiiiii

Rita a commencé à jubiler dans la voiture. Elle nous balance la nouvelle. C’était la fête avant

d’arriver à la maison. Il faut que cette nuit là on s’éclate au maximum. Rita avait fait la

promesse à son Proviseur de lui donner un coup s’il réussi à l’aider à avoir son examen. Il

faut qu’elle tienne sa promesse. Il la rappelle :


- J’espère que tu n’as pas oublié la promesse hein ma petite, il y a très longtemps j’attends

ce moment.

- Non monsieur, à mon retour on gère ça, vous êtes vraiment un homme de parole. Merci

beaucoup, je ne vais pas vous décevoir, vous pouvez compter sur moi.

- Merci mon bébé, tu sais que je t’ai toujours aimé

- Je sais maintenant.

Le proviseur est mal enjaillé. Il s’apprête pour attendre la petite Rita.

Rita n’était pas une élève brillante, elle doutait d’être admise à son examen. Elle avait une

moyenne annuelle de 06/20. Son proviseur a usé de toutes ses relations pour qu’elle soit

admise au Bac. Il va falloir qu’elle honore sa promesse une fois de retour à Soubré.

Vu la fatigue, nous avons décidé de reporter le show à samedi le temps de bien récupérer.

Herman a accompagné sa chérie, Florent est rentré. Avec tout ce qu’il a dépensé, pour le

récompenser Rita lui a offert un léger bisou sur ses lèvres. Il voulait mourir de joie

tellement il était heureux.

Je suis rentré prendre ma douche et après, à table et ensuite, au lit. J’étais trop épuisé. Rita a

fait pareil. Herman, lui après sa douche, s’est introduit dans ma chambre pendant que je

dormais, il a récupéré mes vêtements et mon parfum, il est rentré dans sa chambre.

A partir de minuit pendant que tout le monde dormait, il sort de sa chambre et s’introduit

dans celle de Rita. Elle n’avait pas fermé la porte.

La petite est couchée toute épuisée dans sa robe de nuit sexy très transparente. On voyait

son string à travers la robe. Herman, tout doucement monte sur le lit de la cousine, elle était

endormie. Il commence à la caresser. Rita, dans son sommeil a senti les mains sur son corps.

Herman lui dit tout doucement :

- Ne dis rien c’est moi Richard ton cousin adoré,


Toujours les yeux fermés, Rita lui dit :

- Tu as osé aujourd’hui hein cousin chéri

- Laisse toi faire je vais te donner ce que tu as toujours réclamé ma jolie cousine d’amour

La petite cousine se laissa faire toujours les yeux fermés. Herman habillé dans l’une de mes

tenues de nuit, a éteint la veilleuse de sorte à ce que Rita ne le reconnaisse pas. Il enlève le

string de Rita tout doucement pendant qu’elle l’embrassait et caressait sa tête. Il était minuit

30.

A cette heure comme d’habitude je me lève pour faire pipi. Devant la porte de la douche,

j’entends des légers gémissements. Hermann était en train de parcourir l’appareil génital de

sa cousine avec sa grosse langue de chien. Il a oublié lui aussi de boucler la porte avec la

clé. Je marchai sur la plante de mes pieds pour voir à travers les trous de la serrure.

Malheureusement je ne voyais rien, il a tout éteint. Rita continue de gémir mais cette fois le

volume de ses gémissements augmente et j’entends bien :

- Vas-y Richard mon bébé d’amour, c’est super, je meurs de plaisir, vas y encore et

encore…

J’ai ouvert tout doucement la porte sans qu’ils ne s’aperçoivent et arrivé au niveau de

l’interrupteur je me suis arrêté et j’attendais. Après avoir fini de bien lécher sa cousine, il se

déshabilla pour introduire son énorme vilain zizi penché comme pour Loupita, j’ai appuyé

sur interrupteur KPLA.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 8

J’ai ouvert tout doucement la porte sans qu’ils ne s’aperçoivent et arrivé au niveau de

l’interrupteur je me suis arrêté et j’attendais. Après avoir fini de bien lécher sa cousine, il se

déshabilla pour introduire son énorme vilain zizi penché comme pour Loupita, j’ai allumé

la lumière kpla.

Il sursauta comme un chasseur déféquant la nuit dans la forêt près d’un cimetière, se

faisant surprendre par un serpent lui piquant les fesses :

- Qui a allumé, qui a allumé, quel maudit qui a allumé ?

Il se retourna et constate la présence de son grand frère Richard. Tout honteux il baissa sa

tête. Rita vient de se rendre compte de la supercherie d’Herman.

- Herman c’était toi !

Toujours la tête baissée et son zizi tendu, Hermann me dit :

- S’il te plait Richard ne dit rien à personne. Papa me tuera s’il l’apprend.

- Je vais le dire à Papa, C’est ton habitude. Les filles de ménage de la maison souffrent à

cause de ton mauvais comportement. Cette fois c’est ta propre cousine que tu veux

"chatnoitiser" en te faisant passer pour moi. Rita est notre Cousine et c’est interdit entre

cousin. Je te l’ai déjà dit à plusieurs reprises.

- Pardon grand-frère c’est le diable qui me manipule

- Ce n’est pas le diable c’est toi. Tu penses que Rita ne m’attire pas aussi ? Mais je fais des

efforts pour ne pas tomber. Je vais le dire à Papa.


Pendant que je parlais, Rita s’est mise à pleurer, j’ai tout de suite compris ce qu’elle a voulu

faire passer comme message et je me suis tu. Hermann toujours bandé, ramassa ses affaires

et quitta la pièce. Je rejoins Rita sur son lit pour la consoler :

- C’est bon, sèche tes larmes cousine, je ne veux pas te voir pleurer, ça me fait de la peine

- Snif Snif… S’il te plait ne t’en va pas reste ici avec moi, me dit-elle.

- Je ne peux pas il faut te coucher demain on se verra.

- Je ne veux pas dormir seule, j’ai peur, s’il te plait Richard

- Dans ce cas tu viendras dormir dans ma chambre alors.

- Ok c’est mieux ainsi.

Arrivé dans ma chambre, pour ne pas succomber à la tentation j’ai doublé deux pantalons

jeans pour me coucher :

- Pourquoi portes-tu tous ces pantalons ?

- C’est pour dormir

- Depuis quand tu dors habillé ?

- Depuis que le diable rode autour de moi (rire)

- C’est moi le diable

- Non cousine, je parle de la tentation

- Ah ok. Mais ton petit frère m’a vraiment lapé hein, je te jure je pensais que c’était toi, ça

langue est magique

- Rita arrête, couche toi et dormons


- Mais je ne peux plus dormir, si je ne jouis pas cette nuit je vais tomber malade vu le degré

d’excitation que j’ai atteint

- Ah bon !

- Oui

- Ok donc que penses-tu faire alors ?

Elle me regarde et tente de mettre sa main dans mon pantalon me demandant de terminer

ce qu’Herman a commencé :

- Je ne peux pas faire ça, tu es ma cousine Rita

- Une fois seulement et on ne fera plus je te promets bébé

- Rita je dis je ne peux pas faire ça

Pendant que je résistais la petite fille continuait à enfoncer sa main dans mon pantalon :

- Je dis ce n’est pas bien Rita. Ce n’est pas bien entre cousin, Dieu n’aime pas ça

Elle est restée soude à tous ce que je lui disais, elle saisi mon innocent zizi qui n’a pas pu se

retenir. Il se raidit dans sa main et je perdis toute ma puissance. Elle retira mes deux

pantalons et mon chokoto d’attaque (petite culotte), j’étais nu comme un escargot hors de sa

coquille et très tendu. Il est 2h25 minutes. Je continue de dire à Rita sans conviction avec

une voix difficilement perceptible :

- Ce n’est pas bien Rita, ce que tu fais là ce n’est pas bien oh…

Un coup de langue magique de Rita parcourut mon PDG, des boules jusqu’à la glande. Le

plaisir était à son comble. Malgré cette sensation de bien-être jamais éprouvée, je continuais

de dire : « Rita, ce que tu fais là c’est paaaaaaa biennnnnnnn » les yeux légèrement fermés,

sans toutefois m’opposer, je mourais de plaisir. Elle continua encore et encore à me sucer
majestueusement. Après elle monta sur moi. Le temps de bien positionner mon PDG, elle se

rend compte que j’ai déjà vomi sauvagement. Ejaculation précoce subite.

- Tu as jouit ? me demande-t-elle

- On dirait hein …

- Comment on dirait ?

Elle touche le bout et se rend compte effectivement que j’ai gâté.

- Tchia, non toi tu n’es pas prêt pour moi, il faut te reposer 5 minutes tu vas rebander chap

chap (vite fait) moi aussi je vais jouir, tu as les foutaises, me dit-elle.

- Ahi cousine ce n’est pas moi, c’est toi, tu m’as trop bien sucé. Je ne pouvais pas me retenir.

- Ça ne va pas se passer comme ça.

Je cours dans les toilettes me nettoyer, à mon retourr je n’avais plus envie de recommencer

mais Rita insista. Elle tenait obligatoirement à jouir et je lui ai proposé de rappeler Herman,

elle refusa. Elle a voulu que ce soit moi ou rien. Je lui proposai à nouveau de faire avec mes

doigts, elle refusa encore, elle préfère plus le groupe de nerfs que les doigts secs.

Vue la mine de ma jolie, ravissante, élégante, belle cousine, j’ai pris pitié d’elle et je lui ai

offert ce qu’elle réclamait depuis bel lurette, contre mon gré. Je l’ai fait en live (sans capote)

et j’espère que je serai pardonné pour ce péché commis.

Elle était si heureuse. Après elle s’est endormie et pour lever tout soupçon je l’ai transportée

dans sa chambre vers 4h 12 minutes. Je n’ai pas pu dormir tellement ma conscience me

grondait. Qu’est ce qu’Herman pensera de moi quand il l’apprendra ? J’ai fait preuve de

faiblesse fasse à Rita. C’était terrible à supporter.

C’est vrai le remord me rongeait mais c’était pour moi la première fois de faire l’amour à

une fille aussi sensuelle. On dit souvent que c’est doux, c’est avec Rita que je l’ai
expérimenté. C’était vraiment doux et très doux même d’ailleurs. Moi qui ne voulais pas,

finalement j’ai fait 3 bons coups à ma cousine.

Comme on a l’habitude de le dire, les cousines sont faites pour les cousins, je prenais cet

adage pour me donner bonne conscience après ma bêtise.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 9

Moi qui ne voulais pas, finalement j’ai fait 3 bons coups à ma cousine. Mais comme on a

l’habitude de le dire, les cousines sont faites pour les cousins, je prenais cet adage pour me

donner bonne conscience après ma bêtise.

Le lendemain matin, Rita était toute heureuse tandis que moi, dans l’amertume. Herman ne

comprenait pas la bonne humeur de sa cousine. Il avait tellement honte qu’il ne pouvait pas

oser s’approcher d’elle. Mais la cousine semble ignorer le comportement qu’a eu son cousin

la nuit dernière :

- Mon cousin d’amour tu vas bien, lui dit Rita

Herman ne veut pas répondre, il a honte. Rita s’approche de lui et caresse sa tête :

- Tu es fâché contre moi ? lui demande-t-elle

- Pourquoi, pas du tout.

- Comme tu refusais de me répondre…

- Non, en faite je ne sais plus comment te regarder, j’ai honte de ce que j’ai fait hier, j’espère

que tu me pardonneras

- Tu es pardonné Herman. Non ça arrive souvent.

- Merci Rita. Tu es bien

Herman ignore que Rita était fière de ce qu’il a fait, sans lui Herman Richard n’aurait

jamais accepté de lui faire l’amour.

Après le petit déjeuner, le téléphone de Rita sonne, c’est Florent qu’i l’appelle :
- Alloh Florent

- Bonjour Rita, tu es à la maison

- Oui et toi ?

- Je suis sur la route je viens te chercher

- Mais je ne suis pas encore prête pour sortir

- Apprête toi donc

- J’ai compris

Rita me passe l’information. Comme on avait déjà prévu sortir le soir j’ai rappelé Florent

pour lui dire qu’il n’était pas possible qu’on sorte maintenant. Il n’a pas apprécié mais il

n’avait pas le choix :

- Mais Richard tu m’as eu hein, j’étais en route

- Désolé bro mais j’ai une bonne nouvelle pour toi

- Laquelle ?

- La go de mon petit, à la plage

- Oui…

- Elle veut ton numéro

- Ah bon !
- Oui oui

- Mais je ne lui ai pas donné

- Mais pourquoi ?

- Je voulais ton accord avant

- Ah ok donne moi son numéro moi-même je vais l’appeler

Je file le numéro à Florent, il appelle la petite :

- Edwige c’est Florent tu vas bien

- Quel Florent ?

- L’ami du grand frère de ton chéri Herman

- Ah ok pardon, Herman n’est pas mon Chéri hein c’est un ami

- J’ai compris. Tu fais quoi maintenant ?

- Je suis à la maison

- Ok prend un taxi rapide trouve moi chez Assan au 220 logement à Adjamé je t’attends.

- Mais je n’ai pas de transport hein

- Il faut faire arrivé payer

- Ok c’est compris.

Occasion loupée c’est péché comme le dit les ivoiriens. La petite Edo enroule ses fesses dans

un jean diesel avec un petit tee-shirt body mettant ses seins en valeur, elle rejoint Florent

dans les 15 minutes qui ont suivi. Chawarmar, poulet piqué avec bière, ils ont bien mangé

et bien bu :
- Aujourd’hui est Samedi ma petite, tu m’emmènes où ? Demande Florent à Edo

- Ça dépend de toi hein moi je n’ai pas de programme aujourd’hui.

- Ok cool

Florent trimbale la petite Edo dans un hotel de la place. Malheureusement, il n’arrive pas à

bander. Il m’appelle :

- Alloh bro je suis avec la petite Edo actu mais je ne démarre pas tu peux m’aider ?

- Tchiaaa, c’est soyé hein mon frère. Tu es dans quel hôtel ?

Florent m’indique l’hôtel. Je prends un produit et je le trouve à l’hôtel. Si Edwige me voit

elle sera mal à l’aise alors j’appelle Florent et je lui remets son produit. Quelques minutes

plus tard il m’envoie un message.

- Tu es un frère Richard, j’ai mougou copieusement la petite. C’était trop propre. Je

m’apprête à rentrer sur Yopougon pour me reposer. On se prend le soir.

Après avoir fini d’envoyer le message, Florent se rend compte qu’il s’est tromper de

numéro. C’est à Rita qu’il a envoyé le message.

- Alloh Richard tu es où

- Je suis à la maison

- Pardon prend rapidement le téléphone de ta cousine et supprime le message que je viens

de lui envoyer, je me suis trompé de destinataire.

- Comment ça ?

- Arrête de poser des questions pardon vas vite.

Je coure vers Rita, malheureusement, je la vois en train de lire le message :


- Ton Ami Florent m’a envoyé un message

Elle me montre son téléphone. J’éclate de rire :

- Gagagagaga il s’est trompé,

- Il a bien fait me dit Rita.

- Le pauvre

- Une opportunité pour le gbê (refuser ses avances)

- Non ma petite tu risques de jeter à l’eau notre plan. On doit encore prendre un peu de sou

avec lui. Fais comme si tu n’as pas vu le message.

- Ok compris.

Je rappelle mon ami Florent :

- J’ai supprimé le message

- Tu es sure ?

- Oui elle était dans la cuisine tandis que son téléphone était dans sa chambre. Tu as de la

chance frère.

Florent pousse un ouf de soulagement.

Après l’hôtel il remet 35000 à Edo, elle refuse :

- Je vais faire quoi avec 35 000 ?

- Tu voulais combien ?

- 200 000 FCFA

- Pourquoi 200 mille ?


- Tu as donné 150 mille à l’autre la dernière fois pourtant tu ne l’as même pas pompé, or

moi tu m’as pompé 4 fois.

- Tchia ! J’ai compris prend 50 000, je te donne le reste par orange money dès que j’arrive à

la maison.

- J’espère que tu ne vas pas me blaguer hein

- Non pas du tout.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 10

Comme prévue, cette soirée-là, nous devrions célébrer le BAC de Rita. Alors nous

demandâmes la permission à Papa. Sans hésiter il nous l’accorde et nous remet la somme

de cent mille plus sa voiture, la X5. On était heureux. Avec 100 000 on peut bien s’éclater.

Mais moi je ne veux pas dépenser, j’appelle mon ami Florent le friqué :

- C’est como frero ?

- Je suis là et toi ?

- On s’apprête à aller au bar Rita et moi tu viens nous rejoindre ?

- Vous allez dans quel bar ?

- Bluetooth Angré 7e tranche, tu connais ?

- Oui frère je vous rejoins dans 30 minutes.

- Ok frère

Florent sait qu’au Bluetooth la boisson coute très cher. Il va s’apprêter en conséquence pour

nous rejoindre. Je demande à mon petit frère Herman d’appeler sa copine Edwige, il refuse

- Ahi petit appelle Edo on va s’éclater au maximum

- Non elle est trop ennuie

- Donc tu ne veux pas être accompagné ce soir

Herman me regarde et me demande :

- Et toi-même appelle ta go aussi

- Moi je ne suis plus avec Laurette depuis longtemps, actuellement je n’ai pas de go
- Ah oui j’ai oublié, mais je peux vous réconcilier cette nuit

- Laisse ça petit. Elle ne m’intéresse plus

On arrive au bar, on s’installe, on commande une bouteille de Gordon au Coca.

Connaissant mon petit Herman, si je ne trouve pas une go pour lui, il risque de me

mélanger les pédales. Je sors appeler une camarade étudiante qui adore le show :

- Salut Syntiche, c’est Riky

- Hum toi tu m’appelles un samedi soir, tu as un plan pour moi ou bien ?

- Oui ma petite, tu fais quoi en ce moment ?

- Rien je suis devant la télé en train de regarder The Voice

- Ok. Mais tu peux sortir si je te demande ?

- Vite même, trop envie de boire bière là où je suis assise là

- C’est super. Tu ne boiras pas de bière mais de la liqueur ma petite, trouve moi vite au

Bluetooth je t’attends

- Youpiiiiii je ne suis pas loin j’habite tout juste au terminus 81-82. A tout à l’heure

La petite Syntiche adore le show, je vais la brancher à Herman et je serai très à l’aise avec

ma go Rita pardon ma cousine d’amour. Les 5 minutes qui ont suivi Syntiche débarque.

Elle est d’une forme pas trop mince pas trop grosse aussi avec un joli popotin bien rebondit

qu’elle a emballé dans un Lejean blanc avec un haut jaune démembré :

- Sors, je suis devant le Bluetooth me dit Syntiche au téléphone,

- Ok je te rejoins.

Petit bisou sur ma joue gauche, j’ai eu la chair de poule en même temps. Est-ce une bonne

idée de donner un tel produit à ce petit couillon d’Herman ? Je ne peux pas aussi attaquer
le way vue la présence de Rita. Ok, je prends la décision de faire la passe à mon Petit

Herman. Dès qu’on rentre dans le bar, tous les yeux sont braqués sur la petite. Syntiche est

grande de taille. 1 mètre 95. Arrivés à notre salon je fais la présentation et j’installe Syntiche

juste à côté d’Herman. Il est enjaillé. Il me regarde et il sourit. On est rentré en plein pied

dans le show. La première bouteille de Goldon est en train de finir, il ne me reste que 55

mille dans ma poche. Ce n’est pas suffisant. Je rappelle mon gars Florent son téléphone ne

passe pas. Je suis dans pain comme on le dit à Abidjan. Je commande une deuxième

bouteille malgré moi. J’appelle mon petit Herman, il me rejoint dehors :

- C’est comment le vié ? me demande Herman

- C’est comment comment ?

- L’élément que tu as envoyé là, elle est propre hein

- Tu là veux ?

- C’est qu’elle question tu me poses le vié ?

- Répond moi, elle t’intéresse ?

- Elle m’enjaille grave,

- Ok je vais causer avec elle mais il faut te jouer les dur hein, elle aime ça

- C’est compris mon vié. Si tu m’as fait cette passe là aujourd’hui, je vais te bénir jusqu’à ma

mort.

- Tu as combien sur toi ?

- Moi je n’ai rien hein kôrô

- Mais si la go accepte tu la gères comment ?

- Moi je compte sur toi hein Riky


- Je te donne femme, et tu veux que je te donne le lit

- C’est que je vais aller la gérer en piss chap chap

- Ok on verra.

A la fin de notre conversation, voici la voiture de Florent qui gare juste à côté de moi. De la

manière j’ai sauté, on dirait Drogba a marqué :

- Flomi Flomi l’homme digital, trois fois danhéré…

Tous ceux qui étaient devant le bar me regardaient en bizarre. Florent descend de sa

voiture on se fait les accolades. A ma grande surprise, une autre fille descend de l’autre côté

de la voiture.

- Riky, elle s’appelle Ema, ma bonne petite du quartier.

- Enchanté Ema, tu es super belle !

- Merci.

Ema est trois fois plus belle que Rita et en plus, elle est fessue comme je les aime avec

beaucoup de cheveux. Florent sait que je n’avais pas de relation dans la période. Alors il

envoie sa bonne petite du quartier pour moi. Il mélange mes calcules. Florent me prend de

côté et me dit :

- C’est la fille de notre voisin, là où elle est arrêtée là, elle chargée, au moins un million cinq

sur elle. Je lui ai parlé de toi, elle a kiffé en même temps, donc il faut bien la prendre Riky,

elle est venue pour toi.

Je suis resté bouche ouverte. Cette stratégie de Florent est très embarrassante. Séance

tenante il va falloir trouver une autre contre-stratégie. Ok compris. On rentre dans le bas,

on change de salon. On s’installe désormais au VIP. Rita à côté de Florent, Syntiche avec

mon petit Herman, moi avec Ema. Le show est relancé. Dans le Salon VIP, c’est champagne
on boit. Après deux coupes, la petite Ema est inspirée. Elle veut m’embrasser devant Rita.

J’ai cédé. Il y a 1 million 500 mille en jeu, on ne s’amuse pas. J’ai bien béco la petite. Rita

étant jalouse s’est mise à béco Florent aussi. C’était comme si on était en compétition de

bécoly. Herman lui aussi a commencé à embrassé Syntiche. Moi c’est l’argent qui est dans le

sac d’Ema qui m’intéressait. Pauvre de moi.

Elle me tire dans les toilettes et me tend son sac. Tout le blé est désormais dans ma main.

C’est moi je dois gérer.

Après les toilettes, Rita m’appelle dehors je sors, elle m’administre une bonne paire de

gifle :

- Quel est ce comportement ?

- Hé Rita c’est cinéma je suis en train de faire et tu le sais bien

- Quel cinéma et puis tu fermes tes yeux…

Je mets la main dans ma poche je sors dix billets de 10 000 je lui donne et je lui explique la

conduite à tenir durant cette soirée :

- Tu te calmes, je sais ce que je fais, la petite fille que tu vois à côté de moi, c’est l’unique fille

du Ministre des affaires inutiles du pays. Elle a l’argent à gaspiller. Je lui donne ce qu’elle

veut et puis on récupère le blé ma petite.

- Donc tu vas coucher avec elle si elle le demande ?

- Non je vais la blaguer comme tu le fais avec Florent.

- Et si à la fin du show ils veulent qu’on aille dormir à l’hôtel on fait comment ?

- Il faut dire à Florent que tu es indisposée.

- Et s’il veut vérifier je fais comment ?


- On va acheter mercurochrome à la pharmacie de garde tout de suite, tu prépares un truc

pour le distraire, c’est tout.

- Ok j’ai compris. Mais toi-aussi ne sors pas avec la fille là hein

- Non ! jamais je vais lui dire que je ne bande pas, j’ai hernie discale, je ne sais même pas ce

que cela veut dire.

Le plan ainsi tracé, après le show nous avons pris des chambres dans un hôtel à 500 mètre

du bar. Ema et moi, Florent et Rita, Herman et Syntiche. Le lendemain matin tout le monde

était heureux sauf Florent.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 11

Comme si je n’étais au courant de rien, j’approche mon ami Florent :

- Tu m’as l’air pas trop content

- Laisse tomber bro

- Explique qu’est ce qui s’est passé ?

- Mon cher, j’ai eu la malchance c’est tout

- Comment ça ?

- Ta cousine est indisposée, je n’ai pas pu faire quelque chose

- Nom d’un Chien ! Mais Rita aussi, elle aurait pu le dire plus tôt, tu aurais pris tes

dispositions

- Laisse bro ça arrive souvent

- Ok ! Yako hein mon type

Il a pris sa voiture et il est rentré avec Ema. Herman moi et Rita, avons accompagné la

petite Syntiche chez elle et avions continué. Rita doit rentrer sur Soubré prendre son

résultat le lendemain. Elle me propose de l’accompagner. Naturellement je ne peux pas

refuser vu mes sentiments dévoilés pour ma cousine. Je suis prêt à tout pour lui faire

plaisir. Mais Il va falloir aviser Papa :

- Et tes cours ? me dit Papa

- J’attends les résultats de la compo, on a un temps de repos.

- Ah ok, mais vous reviendrez après avoir pris la collante ?

- Oui Papa

- Ok pas de soucis.
Le lundi matin nous primes le car UTB, direction Soubré. En route Rita appelle son

proviseur :

- Bonjour Monsieur Zézé

- Bonjour Rita, tu arrives quand ?

- Hé doucement, tu es trop pressé

- Oui mon bébé il y a longtemps j’attends ce moment ma petite sucrée

- Super je viens demain mardi

- Ok tu as le transport ?

- Non

- Ok je te fais orange money 25 000 tout de suite. C’est Bon ?

- Oui oui merci Privat

Le proviseur, monsieur Zézé Privat s’est empressé de faire le dépôt sur le numéro de Rita.

Dans le car elle me montre son téléphone et me demande :

- Je suis confuse chéri

- Pourquoi ?

- J’ai une dette envers le proviseur et je ne sais quoi lui dire. Je n’ai vraiment pas envie de

coucher avec lui

- Laisse-moi réfléchir un instant.

Après une minute de réflexion, je remue ma tête et dis à Rita :


- Coco, je t’aime bien hein, mais il n’y a pas de solutions, ses gens là sont trop connus

dans les villes où ils exercent. Si tu le doubles, il risque de te faire du mal. Ferme tes

yeux, et donne-lui ce qu’il veut.

- Je n’y arriverai pas.

- Il faut boire, quand tu seras soulée tu y arriveras.

- Humm bébé, tu ne m’aimes c’est ça ?

- C’est parce que je t’aime que je ne veux pas te perdre

Ma position sur la question relative à coucher avec le proviseur ne semble pas être

appréciée par Rita. Elle me boude deux heures durant. J’essaie de la ramener à la raison elle

ne veut rien entendre. Je suis obligé de lui montrer une stratégie :

- Bon écoute, on va utiliser cette stratégie.

Rita qui me boudait s’est ressaisie, et a retrouvé le sourire :

- Je t’écoute, me dit-elle.

- Si on arrive à Soubré, le lendemain, ton proviseur voudra t’inviter à prendre un pot hors

de la ville. Tu acceptes sans hésiter. Tu resteras en communication permanente avec

moi. Après le pot il voudra prendre une chambre d’hôtel. Ne refuse pas, accepte et

communique-moi le nom de l’hôtel et la chambre.

- Et si le réseau ne passe pas je suis foutu.

- Gagagagagagagaga alors là, il va mal te maplor ma petite mais ne soit pas si pessimiste.

- Ok je peux compter sur toi ?

- Oui.

C’est à 19h30 que nous arrivâmes à Soubré. La maman de Rita était si fière de voir sa

nouvelle bachelière. Après quelque pas de danses, elle arrête un taxi. Arrivé chez ma tante

je constate qu’il n’y a pas assez de chambre, j’avais beaucoup d’argent sur moi, je lui

propose de prendre une chambre d’hôtel. Au départ ma Tante refusa, finalement elle fut
convaincue par Rita. A vrai dire la Maman de Rita dormait dans un studio. Je ne pouvais

pas dormir là avec elles. Alors Rita m’accompagna dans un hôtel avec un minimum de

confort. Je prends ma chambre et je dépose mes affaires. Rita propose qu’on prenne la

douche ensemble. Chose que je n’ai pas refusée naturellement. Après la douche nous nous

retournâmes chez ma tante à qui on donna les nouvelles. Après une bonne période

d’échange, l’heure de dormir arriva. Ma tante demande à Rita de me tenir compagnie en

ces thèmes :

- Il ne connait pas bien la ville tu peux dormir avec lui Rita

Rita me regarde et sourit. Moi aussi je me suis mis à sourire dans mon cœur. Un feu vert

qui ne dit pas son nom.

- Ok maman donc on se voit demain

- Dormez bien mes enfants, ne faites pas de bêtises hein

Rita et moi nous sommes regardés. Et ensemble on a répondu :

- C’est compris maman.

Cette nuit là c’était encore magique. Je sais ce à quoi vous vous attendez chers lecteurs

affairés mais souffrez que je ne décrive pas cette fois la scène. Pendant toute la nuit, des

appels en à point finir : Florent, Ema, Edo, le proviseur, Papa tous appelaient. Avant de

répondre il fallait qu’on s’éloigne l’un de l’autre pour éviter tout soupçon. Finalement on

était obligé d’éteindre tous les téléphones pour mieux s’enjailler.

Le lendemain après le petit déjeuner à la maison avec la tante, Rita a appelé son proviseur :

- Allo Priva,

- Oui tu es en route ?

- Non je suis à Soubré, viens me trouver à l’espace la cachette.


Les 5 minutes qui ont suivi, un gros monsieur pas trop grand de taille fait irruption dans

l’enceinte de l’établissement. J’étais assis au fond de l’espace les observant. Ils ont échangé

et tout et ils ont calé le vrai rendez-vous Mougoulistique le lendemain à Gagnoa. Après leur

causerie, Rita me fait le point. Très vite je prépare mon plan. Je me renseigne dans la ville

s’il était possible de louer un véhicule. Evidemment, je prends rendez-vous avec l’opérateur

en charge de la location des véhicules. On s’entend sur les coûts. Ensuite je me rends au

marché et j’achète un pistolet en jouet de couleur noire. Je retourne dans ma chambre

d’hôtel pour bien me reposer.

Le lendemain, Rita fait savoir à sa maman qu’elle a une course à effectuer à Gagnoa avec

moi. Sa mère lui accorde la permission. Pour ne pas être soupçonné qui que ce soit, le

Proviseur décide de faire son voyage dans une voiture banalisée, vitre teintée. Rita me

donne toutes les précisions sur la voiture. Ils démarrent à 10h30, je les suis tout doucement.
RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 12

Le lendemain, Rita fait savoir à sa maman qu’elle a une course à effectuer à Gagnoa avec

moi. Sa mère lui accorde la permission. Pour ne pas être soupçonné par qui que ce soit, le

Proviseur décide de faire son voyage dans une voiture banalisée, vitre teintée. Rita me

donne toutes les précisions sur la voiture. Ils démarrent à 10h30, je les suis tout doucement.

Arrivé à un post de police, je ralenti. Après contrôle d’usage je reprends la route mais je ne

vois plus la voiture du proviseur. J’accélère mais rien jusqu’à ce que j’arrive à Gagnoa. Je

tente d’appeler Rita, son téléphone ne passe pas. Elle m’avait communiqué le numéro du

proviseur. Je l’appelle, son téléphone sonne. Il décroche je ne sais pas ce que je vais lui dire,

je raccroche. Je marque un temps de réflexion. Après je relance le même numéro, cette fois il

est fermé. Je réessaie le numéro de ma cousine Rita, aucune connexion. Non seulement je ne

connais pas la ville en plus je ne connais personne dans la ville. Pour bien retrouver mes

esprits, je rentre dans un maquis plein air. Je boxe une grande Guinness bien glacée

accompagnée de choukouya de mouton. Tout doucement mes idées se remettent en place.

Je rencontre un jeune branché de la ville à qui je remets 10 mille avant de commencer la

discussion. Il est enjaillé :

- Hé mon vié, tu m’as gatté aujourd’hui hein

- C’est grattuit mais tu vas m’aider

- Je suis prêt pour toi-même à l’as carace (prêt à tout). Dit moi tout ce que tu veux, ici à

Gôzô (Gagnoa) je vais te montrer les koulangayo (tous les recoins)

- C’est cool. Tu peux m’accompagner dans un hôtel très caché de la ville mais bien quoi

- Ça c’est un petit problème


Le gars commence à ouvrir la portière de ma voiture et me dit :

- Monte champion kaba kaba (vite)

Je monte et on prend la route, il semble collaborer, mais après une dizaine de minute de

route à la sortie de Gagnoa, le gars en question sort un grand couteau hyper tranchant et

me dit :

- Petit bahadjouhou (imbécile) là donne tout le djêhê (l’argent) qui est sur toi sinon je vais te

mloumlou (piquer piquer)

Je n’ai jamais eu peur de ma vie. Je suis descendu tout doucement de la voiture. Mon faux

pistolet étant dans mon do, j’ai peur qu’il le découvre. Donc je fais un effort pour le cachet :

- Tous les Dizao (billets de dix mille) que j’ai vus là, il faut mettre ça dans ma main, me dit-

il.

En mettant ma main dans ma poche je profite pour sortir mon faux pistolet et je le braque

contre le voyou.

- Pose ce couteau par terre sinon je te fais exploser la tête, dépêche toi.

La peur a changé de camp. Il a commencé à trembler sur lui :

- Mon mon mon vié pardon je m’amusais

- Dépose vite le couteau et tourne-toi

Mes yeux rouges comme un vrai agent de la PJ, le bandit a commencé à faire pipi sur lui.

J’ai récupérer le couteau et je lui ai dit de fuir :

- Mon vié si je bouge tu vas me tuer snif snif

- Bouge je dis
Un pas, deux pas, le troisième pas il s’est faufilé dans la broussaille et il a disparu. Je suis

remonté dans ma voiture rapidement, j’ai quitté les lieux. Dans ma fuite mon téléphone

sonne, je regarde c’est le numéro du Proviseur :

- Vous avez tenté de me joindre tout de suite c’est qui ?

J’ai encore perdu le file, tellement ce salaud m’a foutu la trouille. A force de bégayer le

Proviseur a raccroché. Je me suis réfugie dans un autre coin un peu plus classe. Cette fois

j’ai boxé deux Guinness pour diminuer le stress. Après je rappelle Rita :

- Tu es où Richard ?

- Je suis à Gagnoa et toi ?

- On est à Gagnoa aussi il n’y a pas réseau ici donc fait vite

- Donne-moi votre position

- On à l’hôtel Kiliyo au quartier Babré, Carrefour OBV, renseigne toi

- Quelle chambre ?

- Nom on n’est pas en chambre pour l’instant on est au bar de l’hôtel

- Ok cousine j’arrive

J’ai peur de me faire accompagner par un homme, je prends une jeune fille tête en l’air, elle

m’accompagne. On arrive dans le bar effectivement, ils y sont. Je remets 5 mille à la petite,

je m’installe et je commande 3 Guinness, la petite bouteille. A peine la première petite

bouteille finie, je vois le proviseur ceinturer ma jolie cousine. Il monte pour prendre leur

chambre. Foutaise, j’ai envoyé un message à Rita :

- Communique-moi vite le numéro de la chambre :

Après 5 minutes elle me répond :


- Chambre H25.

Aussitôt je coure prendre une chambre juste à côté de la H25, on me dit qu’elle est occupée :

- Celle d’en face alors

- Occupée Monsieur

- Laquelle n’est occupée donc ?

- Les chambres d’en bas

Quelle histoire ! Ok compris j’ai pris une chambre en bas mais toujours par SMS j’échange

avec ma cousine. Après avoir fini de prendre son bain, Monsieur Zézé sort de la douche nu

avec un minuscule zizi non coupé semblable à un petit cola. Quand Rita a vu, elle ne s’est

pas empêchée de rire :

- Vas te rincer ma jolie poupée

- Ok compris bébé.

Elle a pris son téléphone avec elle et est rentrée dans les toilettes. Etant dans les toilettes elle

m’écrit en disant que la porte n’est pas fermée à clé et que dès qu’elle finit de se doucher je

peux venir traumatiser le proviseur. Super comme plan.

A peine elle fini sa douche, je pousse la porte, et braque mon faux pistolet sur le proviseur

lui intimant l’ordre de se taire. Je ferme bien la porte à clé et je lui dis :

- Donc c’est toi tu mougou ma copine ?

- Non petit c'est-à-dire que…

- La ferme. Rita donc c’est ça ?

Rita joue le jeu


- Bébé je vais t’expliquer

- Tu vas m’expliquer quoi je vous surprends dans une chambre d’hôtel, tu vas m’expliquer

quoi ? Je vais vous tuer tous les deux.

Je fais le mouvement de gauche à droite avec mon faux pistolet. Le proviseur est mort de

panique. Tellement il était stressé il a perdu connaissance. Rita s’est vite habillée et on a

quitté l’hôtel sans qu’on ne soit soupçonné.


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 13

Nous sommes rentrés à Soubré cette nuit là. J’ai commencé à paniquer. Si le Proviseur

meurt, je suis foutu. Il faut que le lendemain je m’arrange à rentrer à Abidjan. Rita semble

ne pas s’inquiéter :

- Relaxe Richard

- Je ne peux pas être relaxe, si ton proviseur meurt on ira tous en prison

- Il ne va pas mourir, il a l’habitude de piquer des crises, il se réveillera après.

- Ah bon hein

- Oui oui et crois moi il ne cherchera même pas à vouloir mener une quelconque enquête.

C’est un vrai péreux

- Ça me rassure.

La réponse de Rita ne m’a pas beaucoup convaincu. Je dois rentrer sur Abidjan le

lendemain avec elle ou sans elle. Alors je pars informer ma Tante :

- La course s’est bien passée à Gagnoa ?

- Oui maman mais moi je dois rentrer à Abidjan demain, j’ai reçu un coup de file d’un

camarade de FAC

- Or tu n’as même pas duré

- La prochaine fois je viendrai et on ira aux champs maman

- Ok mon fil c’est compris.


Le lendemain matin j’ai pris le car, je suis rentré sur Abidjan sans Rita. Elle m’a fait savoir

qu’elle avait des affaires à gérer et qu’elle me rejoindrait un mois après.

Quelque semaines plus tard, je la rappelle Rita, elle me dit qu’elle a des soucis de santé, et

qu’elle va prendre juste un peu de temps de retard, histoire de mieux se rétablir et tout. J’ai

commencé à m’inquiéter pour ma cousine. La plus grande peur était la grossesse. Si Rita

tombe enceinte je suis foutu. Je la rappelle :

- Tu as fait le test de grossesse

- Non bébé mais je pense que demain je le ferrai. Mes menstrues ne sont pas encore venues

et cela m’inquiète énormément.

- Ok espérons que ce ne soit pas le cas.

- Ok.

Cette nuit là je n’ai pas pu dormir. Si Rita tombe enceinte que vais-je dire ? Je l’aime trop

pour refuser la grossesse, d’ailleurs si je refuse à qui va-t-elle confier la paternité ? Elle n’a

pas couché avec Florent sinon on lui aurait fait porter le chapeau. Le Proviseur non plus.

J’ai été le seul à pomper ma cousine. Il n’y pas d’alternative. Si c’est un cas de grossesse,

c’est claire Rita doit avorter. Puisque je n’arrivais pas à dormir, je suis sorti pour prendre un

pot au bar habituel. Seul dans mon salon avec une demi-bouteille de Gordon devant moi,

en train de réfléchir, la musique Rumba en fond sonore, Ema m’appelle. Je sors répondre :

- Bébé depuis tu es revenu de Soubré je ne t’ai pas encore vu qu’est ce qui se passe

- Rien Ema seulement que je suis très occupé en ce moment

- Tu fais quoi maintenant ?

- Je suis au Bar de la dernière fois en train de réfléchir

- Tchrrrrrrrr c’est de moi tu te fous, c’est au bar qu’on réfléchi ? Je viens là-bas
Ema a raccroché le téléphone. Elle pensait que j’étais avec une fille. Tellement jalouse

qu’elle ne s’est pas retenue, les 20 minutes qui ont suivi elle a débarqué dans le bar. J’étais

crou (caché) dans l’angle opposé à la porte d’entrée. Elle est rentrée, elle a tourné croyant

me voire aussi facilement. Elle ressort, adossée de sa voiture elle m’appelle :

- Tu es où je suis devant le Bluetooth

- Une minute j’arrive bébé

Je sors, la petite s’est adossé à une range rover rouge. Bisou sur sa jour, elle m’a esquivé et

saisie ma bouche. Je l’ai bécot malgré moi, je n’étais pas d’humeurs à embrasser cette nuit.

On est rentré dans le bar. Après 30 minutes, elle n’a pas eu de trace de femmes, elle a

demandé à rentrer :

- Ok tu me déposes et tu continues

- Non je dors chez toi aujourd’hui, trop envie de te sentir

- Quoi ! je n’ai pas l’esprit à pomper aujourd’hui hein Ema, le week-end on le fera relaxe s’il

te plait rentre.

- Je ne rentrerai pas tant que tu ne m’as pas Maplor (faire l’amour) ce soir. Ce n’est pas un

débat

- Dans ce cas on le fera à l’hôtel mais on ne dormira pas hein

- Ok compris chou, tu es un ange.

Il est 22h, on part à la Résidence Ohinéné aux Deux Plateaux. Là-bas, ce n’est pas une

histoire d’heure, ce sont des résidences, on parle en thème de nuitée. La petite m’a fait

savoir que je pourrai rentrer après avoir fait deux coups. Elle dormira là, histoire de

changer de cadre. Pourtant Ema est le genre de go, quand tu commences, tu n’as pas envie

de terminer. Avec ses grosses fesses moulantes et ses long cheveux, elle a un corps qui s’est

retenir garçon en plus elle sent merveilleusement très bon.


On s’est mougou (faire l’amour) toute la nuit sans se reposer. Le lendemain j’étais très vide

comme une orange sucée par un bêla après avoir parcouru une distance de 35 kilomètre à

pied sous le soleil sans boire ni manger. Elle m’a filé un paquet de billet de 10 000. Je n’ai

même pas pris la peine de compter. Elle me déposa devant le portail de la maison de Papa

et rentra chez elle.

Aux environs de 10h30, Rita m’appelle :

- Bébé

- Oui mon trésor qu’elle est la nouvelle ?

- Les nouvelles ne sont pas bonnes, le teste est positif

- Quoi ! tu es enceinte ?

- Oui bébé, je ne comprends pas

- On est foutu

Si Rita informe sa maman, c’est dangereux pour moi, je perds ma crédibilité aux yeux de

tout le monde notamment mes parents et mes amis :

- Ta maman n’est pas informée j’espère.

- Pas encore

- Mais arrête de pleurer, ça me fout la trouille.

Pendant que je communiquais avec Rita, Herman me surprend dans le couloir :

- Tu cause avec qui et puis tu transpires comme ça

Je lui fais signe de la main lui demandant de se taire.

- Ne quitte pas hein, dis-je à Rita au téléphone


Je cours dans ma chambre pour relancer l’appel :

- Rita garde ton calme tu sais ce qu’on va faire, tu dois avorter obligatoirement

- Jamais je ne veux pas mourir, on sera obligé de prendre nos responsabilités

- Tu dis quoi ! tu oublies que nous sommes cousins. Tu as idée de ce que les autres

penseront de nous s’ils le découvrent qu’on a couché ensemble toi et moi ?

- Qu’ils pensent ce qu’ils veulent moi je n’avorterai pas. On va assumer tous deux.

Elle a raccroché son téléphone. Je transpire à grosse goute. Les mains sur la tête, je fais les

vas et viens dans ma petite chambre tout en me posant mille et une questions :

- Dans quoi je me suis foutu ? L’inceste dans nos traditions est punie. Je suis mort c’est sûr

Je vois Herman qui rentre dans ma chambre tout doucement en frappant ses mains comme

s’il applaudissait mais à un rythme assez lent. Il a tout entendu. Il écoutait à la porte :

- Bravo Rcky, tu es un dix. Han, je ne crois pas mes oreilles. J’ai tout entendu. Non ! grando

tu es fort même. Je te respecte. Pendant que tu me moralisais, toi tu moussais (couchais) la

jolie petite cousine en spi. Ouais tu es un champion.

Je regarde mon petit frère Herman, je ne sais pas ce que je vais lui dire.

Rita ma Jolie Cousine. Episode 14

Je vois Herman qui rentre dans ma chambre tout doucement en frappant ses mains comme

s’il applaudissait mais à un rythme assez lent. Il a tout entendu. Il écoutait à la porte :

- Bravo Ricky, tu es un dix. Han, je ne crois pas mes oreilles. J’ai tout entendu. Non ! grando

tu es fort même. Je te respecte. Pendant que tu me moralisais, toi tu moussais (couchais) la

jolie petite cousine en spi. Ouais tu es un champion.


Je regarde mon petit frère Herman, je ne sais pas ce que je vais lui dire. Je m’assois sur le

bord de mon lit et mes larmes commencent à couler :

- Arrête de faire semblant de pleurer, c’est pour me distraire, je vais dire au vieux et ton sort

sera scellé, salaud.

- Petit frère, écoute moi d’abord avant de me juger

- Je ne t’écoute pas, tu as été très gourmand. On pouvait s’entendre pour gérer la petite en

duo, mais tu as été tellement gourmand voilà les conséquences. Je vais informer Florent et

tu comprendras ta douleur

Hermann quitte la pièce en claquant la porte. Impuissant je n’ai pas pu le convaincre. Je

suis resté dans ma chambre de 11h30 à 20h enfermé. J’ai honte de moi-même. A 21h 30 je

sortais pour faire pipi j’entends d’une voix très grave :

- Richard là est où ?

C’était Papa. Mon cœur est mort. Herman a-t-il informé le vieux ? Je n’en sais rien. Je

prends mon courage à deux main et je réponds comme un garçon, un garçon qui a perdu

ses couilles :

- Papa je suis là

- Tu fais quoi dans ta chambre depuis tu ne sors pas

- Papa je suis en train de réviser

- Ok, viens tu vas faire une course pour moi

Ouf de soulagement momentané. Il sera plus responsable que j’informe mon Papa moi

même. S’il l’apprend par quelqu’un d’autre ce n’est pas bon pour moi. La personne que je

crains le plus c’est Florent. Il est beaucoup nerveux et très musclé, à cause de moi-même ma

cousine que j’ai enceintée, Florent est capable de me bastonner vus ses muscles sauvages. Il
est aussi capable d’informer Roger, notre ami commun très bavard. Si Roger apprend la

nouvelle c’est sur qu’il va informer toute l’université.

Etant toujours au volant de la voiture je rappelle Rita :

- Allo cousine

- C’est comme cela tu m’appelles maintenant ?

- Non ce n’est pas ça, je suis angoissé, il faut que tu avortes, je te demande pardon.

- Bébé je t’aime, et je suis prêt à t’épouser et pour rien au monde je n’avorterai je te l’ai déjà

dis ce matin

- Tu nous mets dans une situation extrêmement compliquée et dangereuse

- Je m’en fou, d’ailleurs la semaine prochaine je viens à Abidjan.

Rita raccroche le téléphone. Tellement énervé j’ai percuté une voiture pendant que le feu

était rouge. J’ai appelé Papa pour l’informé. J’ai continué en taxi pour finir la course. Je suis

rentré à la maison, toujours pensif. Ema m’appelle, quand j’ai vu son nom affiché sur

l’écran j’ai coupé le téléphone et je l’ai éteint carrément.

Vers 23h, j’ai pris mon courage à deux mains pour réveiller Papa :

- Papa je veux te parler

- De quoi ? tu vois l’heure qu’il fait

- Oui mais il faut que je te parle

- C’est aussi grave ?

- Très grave même Papa, c’est mieux que je te parle que tu apprennes dans la bouche

d’autres personnes
- Ok attend moi sur la dalle.

Je suis monté attendre Papa sur la dalle. Quand il est arrivé, sans faux fuyant, je lui ai jeté la

nouvelle au visage :

- Répète tu dis quoi ?

La tête baissée, je répète ce que j’ai dit :

- J’ai engrossé Rita inconsciemment

- Quoi !

Mon père, Monsieur Gnakouri Gérôme, très grand et gros comme Monsieur Sissoko dans

Aya de Yopougon m’a saisi par les colles, me souleva avec une main et me bastonna

comme un vulgaire bandit :

- Je ne peux jamais imaginer cela de toi, tu es l’enfant le plus exemplaire de la maison. Pour

moi tu étais un model c’est pourquoi je permettais certaines choses parce que je te savais

très conscient et tu viens me dire que tu as couché avec ta cousine jusqu’à l’enceinter !

Quelle honte !

J’ai senti ce jour là que mon père était très déçu de son fils Richard. Je tremblais de peur.

Pour moi il allait me tuer tellement Papa était en colère. Ses cris ont réveillé toute la maison.

C’est clair, la nouvelle est répandue. Mon honneur est bafoué, mes petites sœurs me

regardent avec mépris. Je suis la honte de la famille. La même nuit Papa appelle sa petite

sœur et lui annonce la triste nouvelle. Elle réveille Rita :

- Tu es enceinte de qui

- Héé maman, qui t’a dit que je suis enceinte ?

- Ton oncle vient de m’appeler d’Abidjan

Rita se lève du lit regarde sa maman avec une mine très triste et avoue :
- Je suis enceinte de Richard Maman

Elle s’effondre en larmes, sa maman aussi :

- Je n’ai pas pu résister au Diable Maman, je suis tombée amoureuse de mon cousin et je l’ai

poussé à l’acte. Je suis désolée maman

- Cesse de pleurer ma fille, je te comprends, on va trouver une solution à ce problème le

plus rapidement possible. J’essayerai de convaincre ton oncle.

Le lendemain, Florent appelle Rita, elle refuse de décrocher son téléphone, 18 appels en

absence. Il tente de m’appeler moi aussi je ne décroche pas. Il décide d’appeler Herman :

- Salut jeune tu vas bien

- C’est qui ?

- C’est Florent, l’ami de ton grand frère, je tente de le joindre mais il ne décroche pas qu’est

ce qui se passe ?

- Hééé tu n’es pas au courant ?

- Non, il y a quel problème ?

- Ton ami a enceinté ta go Rita

- Quoi !

- C’est la nouvelle du siècle. Actuellement il est enfermé dans sa chambre, il ne peut plus

sortir. La honte va le tuer

- Ce n’est pas possible

- Mon cher ça été possible hein


Florent est sous le choc. Il ne croit pas aux dires d’ Herman, il va tenter une autre fois de

joindre Rita. Son téléphone étant fermé, il m’appelle. Je décroche :

- Allo Richard pourquoi tu ne réponds pas à mes appels

- Excuse moi frère je suis dans des problèmes actu

- Quels problèmes ?

Je ne peux pas lui parler au téléphone, je raccroche. Florent rappelle mais je ne réponds pas.

Il m’envoie un message :

« Donc ce que ton petit frère m’a dit est vrai. Tout mon argent que je t’ai donné là tu vas

vomir ça. Sale salaud. J’arrive chez toi tout de suite »


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 14

Je vois Herman qui rentre dans ma chambre tout doucement en frappant ses mains comme

s’il applaudissait mais à un rythme assez lent. Il a tout entendu. Il écoutait à la porte :

- Bravo Ricky, tu es un dix. Han, je ne crois pas mes oreilles. J’ai tout entendu. Non ! grando

tu es fort même. Je te respecte. Pendant que tu me moralisais, toi tu moussais (couchais) la

jolie petite cousine en spi. Ouais tu es un champion.

Je regarde mon petit frère Herman, je ne sais pas ce que je vais lui dire. Je m’assois sur le

bord de mon lit et mes larmes commencent à couler :

- Arrête de faire semblant de pleurer, c’est pour me distraire, je vais dire au vieux et ton sort

sera scellé, salaud.

- Petit frère, écoute moi d’abord avant de me juger

- Je ne t’écoute pas, tu as été très gourmand. On pouvait s’entendre pour gérer la petite en

duo, mais tu as été tellement gourmand voilà les conséquences. Je vais informer Florent et

tu comprendras ta douleur

Hermann quitte la pièce en claquant la porte. Impuissant je n’ai pas pu le convaincre. Je

suis resté dans ma chambre de 11h30 à 20h enfermé. J’ai honte de moi-même. A 21h 30 je

sortais pour faire pipi j’entends d’une voix très grave :

- Richard là est où ?

C’était Papa. Mon cœur est mort. Herman a-t-il informé le vieux ? Je n’en sais rien. Je

prends mon courage à deux main et je réponds comme un garçon, un garçon qui a perdu

ses couilles :

- Papa je suis là
- Tu fais quoi dans ta chambre depuis tu ne sors pas

- Papa je suis en train de réviser

- Ok, viens tu vas faire une course pour moi

Ouf de soulagement momentané. Il sera plus responsable que j’informe mon Papa moi

même. S’il l’apprend par quelqu’un d’autre ce n’est pas bon pour moi. La personne que je

crains le plus c’est Florent. Il est beaucoup nerveux et très musclé, à cause de moi-même ma

cousine que j’ai enceintée, Florent est capable de me bastonner vus ses muscles sauvages. Il

est aussi capable d’informer Roger, notre ami commun très bavard. Si Roger apprend la

nouvelle c’est sur qu’il va informer toute l’université.

Etant toujours au volant de la voiture je rappelle Rita :

- Alloh cousine

- C’est comme cela tu m’appelles maintenant ?

- Non ce n’est pas ça, je suis angoissé, il faut que tu avortes, je te demande pardon.

- Bébé je t’aime, et je suis prêt à t’épouser et pour rien au monde je n’avorterai je te l’ai déjà

dis ce matin

- Tu nous mets dans une situation extrêmement compliquée et dangereuse

- Je m’en fou, d’ailleurs la semaine prochaine je viens à Abidjan.

Rita raccroche le téléphone. Tellement énervé j’ai percuté une voiture pendant que le feu

était rouge. J’ai appelé Papa pour l’informé. J’ai continué en taxi pour finir la course. Je suis

rentré à la maison, toujours pensif. Ema m’appelle, quand j’ai vu son nom affiché sur

l’écran j’ai coupé le téléphone et je l’ai éteint carrément.

Vers 23h, j’ai pris mon courage à deux mains pour réveiller Papa :
- Papa je veux te parler

- De quoi ? tu vois l’heure qu’il fait

- Oui mais il faut que je te parle

- C’est aussi grave ?

- Très grave même Papa, c’est mieux que je te parle que tu apprennes dans la bouche

d’autres personnes

- Ok attend moi sur la dalle.

Je suis monté attendre Papa sur la dalle. Quand il est arrivé, sans faux fuyant, je lui ai jeté la

nouvelle au visage :

- Répète tu dis quoi ?

La tête baissée, je répète ce que j’ai dit :

- J’ai engrossé Rita inconsciemment

- Quoi !

Mon père, Monsieur Gnakouri Gérôme, très grand et gros comme Monsieur Sissoko dans

Aya de Yopougon m’a saisi par les colles, me souleva avec une main et me bastonna

comme un vulgaire bandit :

- Je ne peux jamais imaginer cela de toi, tu es l’enfant le plus exemplaire de la maison. Pour

moi tu étais un model c’est pourquoi je permettais certaines choses parce que je te savais

très conscient et tu viens me dire que tu as couché avec ta cousine jusqu’à l’enceinter !

Quelle honte !

J’ai senti ce jour là que mon père était très déçu de son fils Richard. Je tremblais de peur.

Pour moi il allait me tuer tellement Papa était en colère. Ses cris ont réveillé toute la maison.
C’est clair, la nouvelle est répandue. Mon honneur est bafoué, mes petites sœurs me

regardent avec mépris. Je suis la honte de la famille. La même nuit Papa appelle sa petite

sœur et lui annonce la triste nouvelle. Elle réveille Rita :

- Tu es enceinte de qui

- Héé maman, qui t’a dit que je suis enceinte ?

- Ton oncle vient de m’appeler d’Abidjan

Rita se lève du lit regarde sa maman avec une mine très triste et avoue :

- Je suis enceinte de Richard Maman

Elle s’effondre en larmes, sa maman aussi :

- Je n’ai pas pu résister au Diable Maman, je suis tombée amoureuse de mon cousin et je l’ai

poussé à l’acte. Je suis désolée maman

- Cesse de pleurer ma fille, je te comprends, on va trouver une solution à ce problème le

plus rapidement possible. J’essayerai de convaincre ton oncle.

Le lendemain, Florent appelle Rita, elle refuse de décrocher son téléphone, 18 appels en

absence. Il tente de m’appeler moi aussi je ne décroche pas. Il décide d’appeler Herman :

- Salut jeune tu vas bien

- C’est qui ?

- C’est Florent, l’ami de ton grand frère, je tente de le joindre mais il ne décroche pas qu’est

ce qui se passe ?

- Hééé tu n’es pas au courant ?

- Non, il y a quel problème ?


- Ton ami a enceinté ta go Rita

- Quoi !

- C’est la nouvelle du siècle. Actuellement il est enfermé dans sa chambre, il ne peut plus

sortir. La honte va le tuer

- Ce n’est pas possible

- Mon cher ça été possible hein

Florent est sous le choc. Il ne croit pas aux dires d’ Herman, il va tenter une autre fois de

joindre Rita. Son téléphone étant fermé, il m’appelle. Je décroche :

- Allo Richard pourquoi tu ne réponds pas à mes appels

- Excuse moi frère je suis dans des problèmes actu

- Quels problèmes ?

Je ne peux pas lui parler au téléphone, je raccroche. Florent rappelle mais je ne réponds pas.

Il m’envoie un message :

« Donc ce que ton petit frère m’a dit est vrai. Tout mon argent que je t’ai donné là tu vas

vomir ça. Sale salaud. J’arrive chez toi tout de suite »


RITA MA JOLIE COUSINE. EPISODE 15 ET FIN

Avant de prendre la route de chez moi, Florent appelle Emma à qui il donne la nouvelle.

Naturellement, elle a été choquée mais très vite elle s’est ressaisie et a demandé à Florent de

l’attendre là où il était. Emma le rejoint quelque minute plus tard :

- C’est vrai ce que tu m’as dit au téléphone Florent ?

- Oui c’est son propre petit frère qui me l’a dit

Emma remue sa tête et ajoute :

- Tu sais dans quelle condition ils se sont connus ?

- Oui, il l’a découverte aux funérailles de leur grand-père

- Ok je comprends, garde ton calme. Je vais l’appeler

Emma m’appelle, au début j’avais peur de décrocher mais j’ai pris mon courage à deux

mains et je décroche mon téléphone :

- Alloh mon bébé Emma,

- Je sais tout ce qui s’est passé mais ne panique pas je viens te voir bébé, sèche tes larmes.

Je suis surpris du comportement d’Emma. Impatiemment je l’attends à la maison. Quelques

temps elle arrive à la maison avec Florent. Très agité il voulait me battre devant mes petits

frère, heureusement que Emma s’est interposé. Il m’a dit des paroles pas trop bien et il a

quitté les lieux. Emma est restée et m’a écoutée pendant au moins une heure et demie. Je lui

ai tout expliqué du début jusqu’à la fin. Elle-même a commencé à couler les larmes :

- J’ai compris ce que tu as expliqué Richard, ce n’est pas de ta faute, tu n’as pas pu résister

mais sache que moi je suis prêt à te soutenir jusqu’au bout. Tu sais que je t’aime vraiment.
Comme un bébé je me suis jeté dans ses bras et j’ai commencé à pleurer. Elle me consola

essuyant mes larmes. Après notre causerie elle me proposa de quitter la maison juste le

temps que les parents digèrent la nouvelle. Elle me logea dans un studio haute standing, un

appartement qu’elle sous louait. Dans ma période de tristesse, Emma me réconforta avec

un maplorly très bien pimenté. Cela me redonna le morale. Je suis resté dans ce studio

pendant une semaine.

De leur côté, les parents ont décidé dans un premier temps de faire avorter Rita et ensuite

faire un rituel pour conjurer le mauvais sort. La cérémonie consistait à faire asseoir

l’homme que je suis dans une case, nu badigeonné de poudre blanche pendant deux jours

sans manger. Le troisièmes jour, la concernée c'est-à-dire Rita auparavant a donné le nom

de tous ses prétendants et ceux-ci viendront individuellement me donner une paire de gifle.

Je n’avais pas le choix. La cérémonie se déroulera au village dans 2 semaines le temps que

Rita donne le nom de ses prétendants.

A l’école la nouvelle a été rependue par Roger, mon ami bavard à qui Florent à tout

expliqué, je ne le savais pas. Un jour je suis allé prendre mes résultats de deuxième session,

j’entends dans la bouche des étudiants "Mougoudja, mougousseur de cousine" et puis ils se

mettent à rire. Au début je pensais que ce n’était pas de moi qu’ils parlaient, je continuais

ma route. Arrivé à la FAC, le truand du groupe, quand il m’a vu de loin il a crié :

- Je vous présente l’INCROYABLE MOUGOUSSEUR DE TOUTE UNIVERSITÉ !!!

Tous les étudiants qui étaient là ont commencé à applaudir et en chœur ils chantaient : "

Mougoudja mougousseur de cousine, Mougoudja mougousseur de cousine…". Si la honte

tuait j’étais mort enterré ce jour là. Ne supportant pas les moqueries de mes camarades, j’ai

quitté les lieux en courant, mais les étudiants m’ont suivi comme le font les petits gbonhis

(groupes) de la FESCI (Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire) et derrière moi

ils chantaient : " Mougoudja mougousseur de cousine". Heureusement que Emma

m’attendait à la sortie, j’ai sauté dans sa voiture et je suis partie de l’Université. C’était

vraiment très dur à supporter. Mais j’avais à mes côtés Emma qui me réconfortait.
Elle a aussi donné de précieux conseils à Florent, et lui aussi essayait d’appeler Rita pour

l’encourager jusqu’au jour de l’avortement.Dieu merci, l’opération a réussi et Rita s’en ai

sorti indemne.

Le jour du rituel, ils ont réussi à mettre la main sur 25 prétendants de Rita parmi lesquels

figuraient Florent et le Proviseur. J’étais dans la case très affamé et chaque prétendant

venait me walo (giflé) à tour de rôle. Arrivé le tour de Florent, il me dit :

- Frère je t’aime bien mais pour t’éviter des malédictions, je suis obligé de te frapper. Je suis

désolé.

Il a ambiancé ma joue avec une certaine puissance à laquelle je ne m’attendais pas. Je suis

tombé comme du n’importe quoi. Je me suis relevé et je le regardais sortir. Après, je vois

l’ombre d’un monsieur rentré dans la case : c’était le Proviseur, il m’a reconnu. Au début il

a pris peur mais après, la peur a disparu et il me dit :

- Toi, on se connait non ?

Je ne pouvais rien dire. Il a plié les manches de sa chemise m’a fixé dans les yeux et BANG

dans mon visage. Je voyais des étoiles autour de moi. C’était vraiment terrible mais c’était

le prix à payer pour éviter la malediction.

Après le passage des 25 prétendants j’ai perdu connaissance. Je me suis réveillé dans une

clinique dans une petite ville de l’intérieur du pays. Après 3 jours passés dans la clinique je

suis rentré sur Abidjan avec Emma à mes côtés.

Quelques mois plus tard, mon Papa a décidé de payer une université au Maroc où j’étais

obligé de terminer mes études. Par amour Emma m’a suivi, après le Master, nous nous y

sommes mariés avions décidé d’y rester.

Florent à pardonné à Rita et quelques temps plus tard ils se ont mariés eux aussi.
Herman lui est resté toujours à la Maison, chez Papa continuant son travail, celui de

coucher avec les filles de ménages.

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