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rés des monticules de neige ct dissl~qués par A l'intérieur, une scéll<: de carnage attend
le professeur ;\ loore . les cxplo rateurs. Au centre de la tente, l'cm·
C.. qui s" 'St passê ; les (ord,'l 011/ if.i ((Jup.;,'! p.l r prein ti:" di:" la s urface tissée de la toile est
l..s ChOIel Tris II l/cÎ""l/~s alors qu~ les de/lx inc rustee sur tou tc la ta ble de dissection, cc
J/QIIIIII~f ,;/aielll ci f'imùie/lr lll.' 1" Imu. Ale,.,ù qui permet de conclu re q ue c'est il cette
II/ais r.."dlls COllfllS IX" l'effOl/(lremt'lIIlle ..dle-ci, table que la tente était collee. Des stalac-
el alarml:J par les som pnn·el/QI!/ dt' l'I.'.wù;ellr, tites de sang rougeâ tre pendent sur les côtés
du plateau ct des plaques de sang congelé
,
les de/lx hommes f<> SOIlI armis el 01/1 a/fmdll.
Qllamlla cr.ial/fre a pJllé".,! dalls l'abri, I1s 1'011/ décorent le sol. Des projections du mème
af/oqué e/ rhm; ci III; il/flige, Illie h;g.!,e blu< liq uide décorent genére uscment les aut res
SUri! 111't1111 ~I'itr.? d«hÎqlletés. Le sallg de l'iII/ms surfaccs ct des ou\·rages médicaux, ouve rts
t'/ de ses V;Clill/"S a il.! ProFI; ell lOlIS sem./lpNs sur des schcnms d 'anato mie humaine et de
l'arriv';e lie la missioll de sa ll'l!e/age li" Oya, III d issec tions, son t collés il la ta ble pll r une
lem.: li ;,; ell/nret SOIiS Il/Ii.' épaiue (OIlcll.: de é pa isse couche de sll ng givre. Il est clai r
" eige, dallS le bill de dissill/Iller l'odfUr des qu'un ètre viva nl a ê té d isséqué ici. La vio-
Choses Tris AI/dmlles ~I d~ mIma lu chiellS. lence des projcctions indique, grtice il un
test d' Intuitio n ré ussi, que les spécimens
• "r 7 (Moultoll et Mil/s) : le déblaiement de étaÎo.'nt probablemenl enco re vi\'ants durant
la butte neige use au-dessus de cet e mplace- l'opération.
ment rh-de que la ten te est tout simplement Voir cette scene Cl comprend rc ce q u'cHe
signifie coùte 111D4 points de SAN .
abscnte. Les lits ct un cllchel'être ment dés-
o rdo nné de vêtem cnts e t d' éq ui pe mc nt S ur les côtés, sur des \lIbles de tailles plus 1
polaire sont entassés du CÔlé abrité du mur modestes, SOnt posés des casiers destinés à
de proteelion. ranger les instrumenlS médicaux, scalpels ct
Ce qui s'es r paué." les Choses nes I llIdfl/lII!S outils. Un grand nombre de ces casiers sont
lm/ emll/ell é cr rte /tille ail/si qlle ses ccc,/pa ll /J. tachés d'elllprei1l1cs d 'instr uments de dis-
LA pillpart du matériel restalll a ùi empon; section, mais les o utils en question ne SOnt
fJ<Jr les rafales de '/-,<,11/. pas visibles. Il y a aussi plusieurs allume ttes
en bois sur ces tables latérales; la plupart
• T8 (Cm ·I'OU et BI·e,U/a,,) : cette te nte est brûlées mais certaines inutilisées.
e n très bon é tat , ct elle se rclévi:"ra d 'elle- Un examen auentif rèvéle un dern ier indice
mc me lo rsque la couchi:" su perficie lle de macab re . Fi ne me nt imprimees dans les
neige sera déblayée; cependa nt la réussite Oaques de sa ng ginc sur le sol, on tro u\·e
d' un test de Trouve r Obje t C ac hé alliTi:" plusieurs emprei ntes p..1rLiculieremcnl nenes.
l'anention sur trois petits trous, deux sur un Certaines d 'entre elles sont des t.races o rd i-
pan d 'ou\·ert ure de l'abri c t un tro isième naires. qui po urraien t a ussi bien prO\'enir
prés du s om met de la structure. Un test des boues des invcsligati:" Ufs. ;\"Iais il y en Il
d' In tuitio n peul ctre utilisc, si nccessai re, d 'autres ... ce sont les empreintes striées et
pour suggérer q u'ils onl étc produits par des triangulaircs découl·c n es pllr Lake sur les
balles. foss iles précambr iens: les em preintcs des
L'intéricur dc la tente est sombre ct Ic sol Choses Tres Anciennes.
irrégu lier. En cxa minant ce dernier, o n rca- Ce qlli s'esl PIISS~; /..lIke er 1'111/ d~s clrit!IIS mu':'~
lisc que toute la surface est recouverte d' une disséqllb en C~ /i,'u par //IIt! Chose 7;-;$ AI/âell/le.
couche rougeàtre de SlIng gelé. Uil test reussi
en Ploemiers Soins o u en Médecine pe r-
met d'estimer qu 'il r Il là environ cinq à six ·.Tes mystérieux
lilrcs de SlIng, soit la qU:l1ltilé présem e dm1S
un corps humain. Un test d'Int uition él'en" monticules de glace
tuel permet de CQnclure que quelqu' ull s'est Les six monticules sc situent au sud du prin-
vidé de son sang ici. Cette révclatio n cOÎne cipal grO\lpe d e tentes, entre celles-ci ct la
II I D4 points de Sante Mentale. tente de dissection isolée. Ces structures arti-
L'examen des effets personnel présents dans ficielle s som plus o u moins coniques et une
celle tente est particuHêrement malaise étant \Oue e n CO\II)e ho rizontale mo ntrerail qu 'elles
donné qu 'ils sont IOUS immergés et impré- SOnt légérement ovales. Elles fon t cmre 60
gnés de s ang à prCs ... nt solidifié. Un objet centimètres et deux mctres de haut et possé-
faci lement identifiable est une boite de car- dent un d ia mètre d'em·iron 4,50 métres il la
lO uches d e fusil ou\·erte. Mais le fu sil n'eSl base. Un test ré ussi d'Orie ntatio n permel
pas visible, ni aucune aUlre arme d'ailleurs. de renliser que l'alignement des montic ules
Ce qlf; s'esi passi: Carnll/ itaÎl abs/'III /ol"sqlle I..s es t grosso 1110do d a ns l' axe du pôle Sud
Chf,lles 1res Allcielllles 011/ attaqui. Brell/taJ/ a magnètiq ue. Les trois mont icules occiden-
;'i rh·";//; dalls sa cOllclte/le fJ<Jr l'mtr,}c (l'u l/e tau;( SOnt plus bas et un peu plus larges que
Chose Trà A llci""lIe. li a r.i/lui â attraper SOI/ les aUlrcs q ui, CILI(, culminent cntre un et dC1L1(
fusil e/ ci lira trois COl/pS, Ot'alll que SOli orlJ/~, mètres de hll utc Uf.
lIil/si qlle ses lIIaillS, II f III; soielll arrachin.
Br~IIIIi!ll eS llllort dallS SOli /il eu se vidam de US momiculcs l)Cu\·cnt aisêment être déblayés
SOli s,wg, Ilmdis que la o";allm' obs.. r'L·llit/~ ph,}. al'ec les fonde uses à glllce, o u al·cc des pelles
/l oméll e. e t de l'huile de coude. Le déblaiem ent ne
révélera q\IC de la neige tassée, jusqu'à lIuein-
.1'9 (t e l/t e de dissection) : III tc nle es t drC" environ trente centimetres au-dessus d u
intacte C"t elle sc rdi:l-era d'elle-mème jusqu'à so l. C'es t à ce moment que le co nl C" nu du
hautC"ur de taille lorsque la glace qui la recou" mo nt icule se ra rC\·élc.
vre sem déblayée. La remontée de la structure
est ilHC"rrompue à mi·ehemin : la toile lIdhere Chaq\l(! monticule contient une Chose Très
à q uelque chose. Pour pénétrer dans l'abri , Ancienne endommagée. Voir un ... Chose Cil
clle dC"vra être détachée. enticr, même sous for mc de cada\'fe, coÎne
Mais pour l'ins/am, ccue i.'xplorntion n'est pas une profo ndeur dc trois il vingt métres, les
nêcessaire. L.'l pisti.' des fouilles de I\"-quipe de galeries sont ell\'ironnées de stra tes de pierres
Lake peut etre facilement suh'ie aux alentO\lrs tendn:s o u fossiliféres.
de l'OU\"i.'l1Ul"e. De pn.'cieuses gangues dc s~ di
mcnts et des foss iles rAres ou inconnus Ont Un e xamen auenti f des espaces l"ierges de la
été détaches CI soigneusement mis sur le côté; cal'erne, par le professcur\X' illard ou l' un des
des cl11prcimes de bo ll CS marquent distinc- il1\'estigateurs (avec un test de Géologie ou
tement un passage fréquemment cmprunté Sciences d e la "ie : Paléontologie reussi),
qui remo nte le léger courant d 'air, en légére indiq ue claire ment que celle cadte a etc inon-
." penle descendante sur une di7A'line de métfCS, d ée à d e nombreuses reprises durllnt des
jusqu 'à un c zone qui a é té profond ém cnt millions d'années, et que l'cau prol"enait tou-
excavee. Des traces d'owils sur les p.1rois elle jours de l'ouest, au-dela du site d 'excav!IIion
:1 sol indiquent les endroits ou de grandes quan- des C hoses T rés Anciennes, l'ers le5 mon-
tités de gangucs et de fossiles Ont eté retirées. tagnes Miskatonic.
Le résulta t est une c:wite Q\'ale de six mètres La légcre brise vient elle aussi de ceue d ire<:-
de long ct d 'environ trois de haut, dont le sol tion.
sc silUc l ,5 0 metre plus bas que la premiè l'e
cal'ernc. A son extrémité, un g roupe de pro-
fond es cavites dans le sediment l'one cc q ui ,.'La·cavité
peut etre identifié en to ute cert itude comme
des emprein tes, celles de plusie urs C hoses des Cjioses 'n'ès AÎlc ieuues
Très Ancien nes. De profondes entailles dllns La g ra nde salle ovale ou les Choses Trés
la roc he d es parois et du sol signa lent des Ancien nes Ont ete retrouvées est un pell plus
tentatil'cs d 'é tablir l'àge de ces spécimens profondément enterree dans la colline que la
g râce au matériau elwiro nnluH ; mais une grolle dans laquelle les équipiers de Lake ont
inspection, me me ra pide (aidee d'u n test penétré en premier lieu. Cette 5.111e fait environ
réussi de Scie nces d e la "ie : Biologie ou de trois métres du sol au plafo nd, ce dernier étant
Sclcnces d e la leITe : géologie) permet de lui-mcme situé trois mé tres sous III surface.
voir q ue la ga ngue sed imentaire cOlUient un Il plonge a bruptement a l'ext re mi tc de la
enchel'et remen t de c relllUres fossiles o rigi- piete.
naires d'eres aussi dÎl"Crses que le Précambrie n
ou le Cenozoïque, ct ne fournit donc aucu n
Si les inn.'"Stigateurs decident de creuser Îlleur
indice pour dater les creatures.
tour dans celle salle, ne VOliS)' opposez pas.
Elle existe largemelll grâce aux efforts entre-
Au-delà de cette cavi t ~ . des éranures ct des pris p<l r Lake ct son équipe pour en extrai re
griffures confir ment le passage de quelqu ' un,
IOUS les fossi les de C hoses T rés Anciennes.
mais il n'y Il aucune I>iste ou trace s\lffi sal1l-
Al'alll leur passage, les creatmes étaient pro-
ment l'alable pour affil"lller que l'exploration
fondement incrustées dans une ganguc de
• a etc poursuivie. Un test réussi de Pis tel' per-
roche sedimentaire, pressees les unes contre
met de détecter que d'aut res personnes som
les autres dans cc qui est del'en u un coin de la
allées au-delà de la cavite des Choses Trés
peti te cal·cnle .
Anciennes. Il est impossible de déterminer
oû elles sc sont al"CnlUrl'eS, ni même si elles se
Des excavations supplémelllaires en ce lieu
SOnt éloignees de plus de q uelqucs metres.
n'appo rtent rien qui puisse aider les investiga-
'. De discrétes marq\leS similaires mont rcnt que
• teurs il. comprcndre quoi q ue ce soit sur les
diverses telllatives d'explora tion Ont Cie failes
créatures. Mais si l'équipe précise spécifique-
depuis l'oU\'ertur<'" de la cal'erne, mais elles
ment au gard ien q u'clle creuse l'ers le haut,
om évidemment été illlerrompues lorsque les
speci mens de Choses Tres Anciennes ont été dans 1<1 partie sUIJérieu l'c des pa rois ou il tra-
decoUl"erts dans la grn nde cad te ol·ale. vers le plafond, faites-leur réalise r un pre mier
) teSI de C h:m ce ( 50 %).
es im;esligau l/rs à la
cOllj irllleraii/H qut Its "
i l le,.re apds m;oir lIIas-
'leS do i'/,,'~IU j Ol/ iller de
al," '$ difjérillls, dam des
'iwlIr ,ù/SSir UI/ /Oral df
. ,Jilliur auu f<' 1'l ill/de 1 ,.
raille,u'mll P" t'lIIprlm-
H1I'S
s allongen t la d istance nocif, qu i d égagen t u ne âcre puanteur s'ils Néan mo ins, ent re r dans l'cau au ire l'au en-
SOnt tranches. L'écho d e lége rs clapotis ct d e tion d e ses habitants,
bruissemen ts sc fn it parfo is entend re, comme
ct ne sc perd pas en si d e petits an imaul' se mo uva ÎCnt furt ive- L e lac e ng lo ut Î a b r it e d es fo r m es d e l'[e
êt res q\li suivent leur ment dans l'obscurite, Auc\1ll n'est visible .. , étra nges c t m ys térie uses, COllll1lC aucun des
:s défiS ct d ecouwrtcS pou r l'insta nt. c xplorateurs n'e n li vues a\'a nt , Le ga rd ien
Zone 2 d ans la ~ T.1b1c dc\'rait eITeclUe r un test sous 20 % ml moins
e SOUlerraine .), Au fur Les champig nons ne sont pas l'éncne llx, Ils pour chaq ue jour que le g ro upe jJasse d ans
,les parois s'espacent, So nt méme co mest ibles, mais leur tel'ture c e lle rég ion , ct sous 60% o u moi ns po ur
ant est tou;ours source pâle CI gl uallte est cxtrémement rebutarHc, chaque heure que le groupe passe cl:tns l'enu.
e fossiles ag glo mérés Ct ils Ont u lle fa ible \":lieu r nu tr i[ i\'e. En cas d e réussite, le groupe re ncontre un
Ites de l'histoire terres- rcprèsenlant de la faune locale: poisson a\'eu-
sur les paro is. Vingt kilo mètres après l'apparitio n d es pre- gle, tll pis d 'algues, phasme o u p ro to-creat ure
miers champignons, le passngc s'o uvre su r (\'oir le l'An nexe 8 : IJcs tiai re pour III descrip-
!r a bonne a ll u re, un une gra nde étcndue d 'cau, calme ct no ire. tio n de chacun d e ces ani mau x), G ardez il
he ure, m:.is doit prcn- C c lac souterrain fait quelq ues centaines de l'esprit que ces face il faces, qu i l'ont entraîner
bruit Cl edaboussures, altirerom d' autres créa-
tures affamées. Une renCOntre pcut do nc Cil
Maladies:etil1fectiolls .dli laceJfgloüti ent raîner beaucou p d 'autres. Il
les brmes de vie peuplant le lac se sont développées sans aucune forme de cootacl avec le Li ne foi s le lac Imwrsê, le groupe doit décider
monde de la surface durant des millions (l'années. C'est aussi le cas des maladies el des de la d irection il prend re.
micro-organismes qlli se logent dans leur orgarnsme. Les explorateurs qui se blessent daM
l'eau, s'y font mordre par des prédateurs, O!J y entrent avec des plaies ouver1es ou des ère- Il Y a deux chemins : l'un part \"e rs le no rd, et
nures, risquenl d'élie atteints d'ooll infedion 00 d'une maladie. les méthodes de prévenUoo
Ofdinaires ~1 efficaces. Mais Ell rabsence de celles-ci, les humains n'ont aucune résistance
l'au tre plus \"ers l'oues1. La brise vient du
è ces formes de contagions Inconnues. Le gardien devrait lancer secrètement rEnduranCI ' nord. Le lunnel en direction d e l'ouest grimpe
20 %(ou moins) du personnage cooœmé. En cas de réussite, la victime contracte l'un des doucement pendant UIlC centaine de kilomc-
maux suivants, à la discrétion du gardletl. tres a\·a nl d'étre interro mllU par une paro i d e
Il n'existe alJCUn traitemen t médical connu pot.II' ces maladies. glace infranchissable, ;1
Le passage en direction du nord continu e
Plltréraclioll des chairs pendant soi.xan te kilomhres, puis tOurne brus-
Cette infection. causée par des forme s de prolo-vie microbiennes, s'étend rapidement dans le queme nt l'ers l'ouest, le lo ng d'u ne pa roi
corps, Comme la gangrène, elle dèV1Jfe les ti ssus mou! de la vicUme, en partant da la bles- abrupte, noire ct luisante. L'air est étonna!l1 _
sure. la chair devienl gris Joncé el commence ê suinter; un ou deux jours plus lard,la chair Illelll chaud CI transportc u ne odeur de mêtal.
infectée se désagrège en fibèfanl des épanchements gluants el hautement conIagieux. la vic- L'\ b rise est plus fo rte; elle provient du SOIll-
time meurt si ~ 11 dix jours plus tard, après avoir vu son co rps se faire dévorer vi~an\.
Sympt6mes : Rougeurs el boIJrsooHures vi~bles en respace d'une heure. Assombrissement
met de cel escarpement à pic. Pour trOIWer
l'originc du vent, les explorateurs doil·em l'es- ,.
el suintement de la cllair en l'espace de qualre heures. calader, TI\."'I1Ie métres plus haUl, ils di:cou\"R:m
o.!gAls : 1 Poin t de Vie par Jour, s'éler.d depuis la zone irlfeclée.
Spécial : Amputer ou cautériser la zOI1elnfectée esl efficace seulement au cours des deux
premiers jours. ~rés cela, l'infeclion a gagf1é le corps entier.
Nol. : le suintement elle dèpOl inleclieux sallllrès contagieux" Ouiconque touche run d'9f1lre
eux sans protection, même en n·ayant aucLIf'Ie plaie, doitlaire un tesl SOlIS son Enduranc.-
qu'un tunnel ci rculai re, de cinq metTes d e
larg e, plonge dans la paroi. JI est bien trOp
régulier pour ctre naturel, -
20 % ou moins pow- éviler d'être contaminé.
·.Te ·conduit thermique
BhraCÎ nement
Celte itlfeclion est causée par l'inlrUsion de spores des lapis d·algues dans une plaie ouverte.
La victime a un accés de fiévre modérée deux ou Irois jow aprés l'infeclion, accompagÀé de
Le lllnnei mene à IIne ancienne bouche d'aéra-
tion, construite par les C hoses Très I\nciennes ~ doue,
a ux tem ps p rilllo rdiaux pou r accéder au x rebot
démangeaisons el d·oo affaiblissement général. la douleur et la latigue al.lQmentenl chaque
.I ~
conduits thermiq ucs du Piege Divi n. l'autT
jour: en général. la victime ne peut plu s se déplacer ni se nourrir après le cinquième jour, et
lombe dans l'inconscience au sixième. Huil à dix jours après l'infec~on, des pédic:oles garnis L1 pf
de spores corrrnencent a sortir de la peau, aux endroks humides el fragiles, dont les )'BIJx, la Les ex plorateu rs sui vant cc tu nnel hori zoru al épllis
bouooe et IîntérioUf des poumons. l 'il'lhalaHon de ces spores peut Infecter de l'IOIM!llel vic- pendant vi n gl mélres tro ul'ent il son extré- lIlêm
limes. En l'espace de 21 jours. le corps entier est ingé r~ par le ta pis d·algues, qui part alors en mité lill trou rond dl' cinq metres de diametre, tuyau
quète d'une autre source d·allmenlation. dépourvu d'aspér ités ou d 'échelle, plongellnt
Sympl6mes : Fièvre, affaiblissemenl général, peau qui démange, deux li Irois jours après l"in· droit d ans les ténébres. C'est d e là que pro- , Lep.
fection, viennent la brise et l'od eur métallique. b res,
Oég115 ; 103 - 1 points de CON par jour, 11 partir du second jour, large
Spécial: An1Iuler ou caulériser la zone infectée est efficace seulement au coocs des pre·
mières 24 heures. Après cela, nnfeclion a gagné le corps 9f1lier, Le puits de la bouche d 'aération descend sans canal
Note : la seule protection efficace contre le ta pis d"algues est, paradoxale ment, une très forte interruption sur presque 800 melfes. Des mil- auxq l
fièwe et des doses massives d'alcool dans le corps. Rer.dre la ~i c lime ivre morte ellou aug·
menter sa température COfporelle alHlessus de <lO'C durant plosieurs heures au cours des
lions d 'n nnées de 1ll0\I\'elllentS de roche l'ont
q uelque pe u effrite et d évié de sa trajectoire
.; le pla
suit 1:
trois ou quatre premiers jOlIfS loi permet d"effecluer un autre tesl sous son Endurance -20 %
(à son ni~eau alléré) pour récupérer.
orig inelle, re ndam sa desce nte envisageable
pour des explorateurs expérimentés et témé-
rai res. Survivre à cette séance d e l'llrllppe
,.. Les c
l'exll!
une s·
requiert d eux tests d ' Ath l étisme ré ussis, tanci
Parasites Qu iconque echoue fa Ît une ch\lte morlelle ) gOUdl
Cetta infection esl ca usée par l'ingeslion de poissons locaux sans cuisson appropriée, ou par da ns l'obscurite la plus totale. du p c
finlrUsion de formes de proto-vie parasites dans rorganisme, a tra~ers l'eau ou des plaies
ouvertes. l es parasites s'alimenlent el se développent dans cet environnemenl riche el nou· La descente est longue et dinicile. De la pierre Pièc,
~eau, Jusqu·a de~en ir des ~ers semblables a ceux qu·héberg&ntles poissons aveugles. no ire et luisante, finement polie par Ull p ro- arr in
les symplOmes son t différents suivant que le parasite ait été ingurgité ou allrapé a Iravers cedé in connu, entoure les explorateurs de Une
une blessure. Cesderniéres gondent énormément, deviennent cllaudes, irritées, et doulou· tOUle part. U n \"en t sec el chaud soume conli- d'une
leuses au loucher. Au bout d·oo jour, on peul vot- quelque chose bol.lQer SOlIS la peau. OLMir
la plaie révéle un nid de petites sangsu es, semblables 11 des asticols, en plein festin. Elles
nuellement depuis les p ro fondeurs. b"".
peu~enl être retirées au couteau, et na poseront alors plus problème.
murs
l es plus jeunes parasites peuvent étre avales. el s'attachent alors aux tissus de ,'hôte, s'y Les parois du puits s'éclll"tent sur les dix der- visibl
nOllfrÎ'Ssenl el s'y développent pendant des mois. la victime peut finir paf mourird'hémofragie niers m êtres ; Ics ex p lo rateu rs doivcnt pou,
intern e ou de malnutrition, descend re en rap pel 0\1 se laisser to mber S\lr CI) de
Sympt6mes : Douleurs d'estomac, nausées, saigroements rectaux, dix a quinze jours après lIll sol d 'onyx lisse d\llle piece il cinq côtés. noml
l"infection.
o.!gA ts: 102· 1 points de CON par mois suivant l'infection.
L'air est fa tcmpérarure corporelle; il desséche . ; tUlltl(
la peau (pour de longs l'oyages fa Iral'ers ces
Spécial : les jeunes para sites font moins de cinq miHimèIJes da long, mais son t mobiles, A regions, l'oir la description de la Z one 5). Pièct
pMir d·un mois après l'inlection, ils peuvent remonter dans la gorge el la bouche de la victime,
êla recherche de nourrilure, ou apparaitre dans ses matières fécales. Ce dernil!( cas peut
nou\"
aussi concerner des spécimens &dulies, Jusqu'a Quatre centimétres de long, qui partiront alors Piete ,,°1 : C 'est III piéce da ns laquelle atter- un a\
rapidement en rampant. rissent les explorll tcurs. Elle est pentago nale ct a ussi
fllit quinze metres de bout en bout. Trois d es Sous
côtés SOnt d es mu rs d e la Illeltle pierre som- Conc~
bre. Les deux a utres s'ouI'rent sur une sorte \"o ie 1
de ca nal de dix melrl's d e profo ndeur, qui uniro
s 'étend hors d e HIC de c haque côte du seuil. rainu
Le cannl est Irlll·eTsé par une arche en pente l, haute
'.'Ülnterne en.verre Io! 111111/,,1 lIIiJlIl,' , 'II pmi.! du/"-·... dlfflml 700 kilolllè-
Il'' 'J, .! I s 'ael/Ji·,' p rh .III l'i,;g... Dh·i/l. J.,' 5<'111
t\ pres cela, le te r rain s'apJani t ct rcd e,·ient
humide (Zone 3), Les champignons Oasques
des Glloses 'fI'ès (lbs/ad" <'SI /1I1.! bl',\·Ir<! dijfic/'l<! ri pi/SW; ri 80 N110- réapparais5eIH, Ct lllcmc quelques petits flni-
Z,
mè/ris Il.! III sl/mim, Ici où Il 11/1111,' / s'eSf ,1/omlré. maux. Les explorateurs doi\"C1lt supporter CCt
A1ICien.nes· D,ms l'arlll"~ Ilil"o?CliiJl1, i/ So? polll"Sl/it SI/lIS illlo?rrup- environ ncment d e plus cn plus moite ct bru- C,
gla,
film j llsqll 'il /IIlo? cÎlè fùus-mlll'ÙI", SI/I' l,·s 1"Î1.'l/go!S do! mc ux pendant cncore 120 kilomè tres, al'ant
Cene lampe ancienne était utiUsée par d,
II/ 1II1r dl Ross. /J..'IIX 01/ lrois 11II1'j!j SllI/iOIl$ sinli- d 'arr iver il des ca'·ernes Irallsform ees e n tun- ,~
les Choses Trés Anciennes pouf éclairer 1(I;r... s j (l!Ql/mlll le 1IIIIIId (I I/liS d/(/qlll dil",'(I;OI/, nels artificiels, il presc nt gondok'.s et disloques
leur foute dans les tUM els. Ell e est faite lII(lis elles Ile CiJllliellIIelif ri~11 d'wik (II/X e.\p!IJI"<1- pa l' le passage du temps,
d'un 1TICIfœ81J de pierre plat et poji il cinq lor-
ctllés, de vingt centimètres de large sur
I4'lIr$. e"
Pour les d ern iers kilomètres d e leur odyssée
deux d'épaisseur, sous lequel un récep-
tacle de verre Il cinq rotés est attaché. Le setll autre d ètail marquant dans la pièce souterraine, les ex ploratcurs som entoures dl' "'"
Pro(
Ce dernier mesure environ ving1 cenli-
mèlres el se te rmÎne en poi.'lle. Uil
anneau de pierre de six centimètres de
est un c trange objet en ve rre, accroche a \ 111
c roche t de pie r re à CÔtc d e l' arcade , Il est
d eerit c i-contre,
pioces d 'arehitC'Clllre antedi[UI'iennes. Les fos-
siles ont disparu ; il la piAce, les scientifiques il
la foi s terri tics et admiratifs marchcnt da ns
"'"
t 'air
"'"
tend,
diamètre surmonte le tout et sefl fi d es couloirs aux pro portions titanesques, sur
accrocher la lampe. l 'ensemble pèse I.e condl/it : A l'aide d e cordes, les investiga- d es nltl rs CI des d igues ècroules, ct il tranors Zoo<
3.5 kilos. teurs lleu"ent sans risque desccndre deptlis [e d'anciens barrages, Un test reussi de M éth,' I' : Ces !
le réceptade de verre semble collin pOnt SU I' le tuyau, ct re'"enir. Le sommet du Illccallique informe un explorAteur q\le ces laie
une sorte de vapeur dense ou de Ikjuide tuyau se trou" e cinq metres sous ['arche du travaux eta ient jadis d estinês a barrer el redi- .,~
OIJaque, qui remue qlland on bouge la pOIl t. Le tuyau est très chaud (plus de 120 c C.), riger tlll fleul'e d'une \llille ct d'une force railla
lampe. Il n'y a aUClJn moyen apparent assez pou r bouillir de J'cau. Il repose sur tlne considérables, L'age de l'OUVrAge cst extraor- 1 "'~
d'ouvrif le réceptada ou d'en videlle serie d e bereeaux en pierre, places tous les 40 dina ire m e n t anc ien, ct son a rc hit ec t ure
liquide. mètres environ, il perte de vue dans chaque bila rre, mais il est indubitable (Iu'autrefois,
lone
dirC'CtiOIl. en des te mps immemoriaux, une puissante 1
Quiconque Iooche le réceptade en velTe cil'ilisAlio n a livre ici ulle guerre CO ntre la
(el non les pièces en pierre) à mains Si tlll explorateur souhaite examiner la tache nature, et li ètè l'a incue.
nLles perd immédiatement un Point de 2
Magie, dans une sensation de doulou- noire sur le turau, référez-\"üus il la descl'iption
feuX déchirement Celle énergie est d es Animalcules dans l' Annexe 8 : Bcstiain..·. Ici et la, gra\·ees autour d e panes submergees 3
absorbée par la lampe el fa it bouillir le Ce lle masse go udronneuse est en effe t un d e cham pignons ou d ans les pierres dc mu rs •
Iktuide, qui émet alors une vive lumièle Animakule de 1'/ \1 1, somnolenl ct repu d 'muir érodes, les exp!ol'Ateurs decouvfC llt des bandes 4
«fun vert pâle et écœuran1. La lampe
reste all umée durant quatre heures
grace fi cette . charge . , pois s'éteinl
bu toute cene chaleur, Si l'explorateur essaie
de le detacher du tu yau, il s'éveille et s'hué-
l'esse il ces nouvelles sources d e chaleur,
de poin tilles qui s'appa rentent clairemclll il
un système d'écriture. L'etrange te et l'inhu-
manite de leur exéc ution , a in s i q ue
.
5
,•
Mer Engoolie 1i12km1h 1Athléllsme ' 8 heules, m/jour
i découvre!\! des band~ 100-1000 5el 25 1 Pister /}our
Humide, souvent brumeux Aisée, ravins occasionnels
parentent c1~ irc n~.e nt a 1Athléll' me ' jour, 40%/ jour
, Tunnels thermiques 600-200<) 31)~SO
2 Il Hmfll
:. L'étrangetc ct Imhu- Torride, parlols humide 1 Pis 1er / jour
:e c u t ion , a in s i q u ~ Moyell!'le, peu Oe surfaces sOres 1 Athlétisme /4 heures
1è2km/h 21)%j 4 heures ,
'uetures a cinq cÔles '1\11
icm donner au>; inl'esti-
.cs.
>che. Des brêches et d~s
énent aux nil'ellux supe-
froids, jusqu'a aueindre
ms l'un des bits contre-
ile. Si les explorateu ~s
'S ascenda nts ct conu-
's plus larges menan t a la
---- ----\ ,
ilS le royaume de la Mer ",
lpitoyables Shoggo th s.
~ gardien doit !)asser IlU
la lcs Montagnes. l "' Clirollologje.'ditCjÜiPitre~JThit
} -
,
27 II0 IJCmb,'e _ Les deux exped itiolis re;oignentle Camp dc Lak
ensemble. Ct par Ics ,ai,rs, deco"M~1 e~l début d 'apres-midi Cf auerri~. _ __
: 111 Cil debuf ~e sOI.rec. Les habltallons SOnt inslaUêes, puis /\'Ioore
cmande au.\( Illl'CSlIgaleurs d'explorer le Sife. __ 1
28.lI ovembl'e - 1\loore CI les irll'estign te urs Ouvrent un lIlorü ieule CIe
;~elg~, y I~O~I\'cnt une Chose Tr<.':s AnCienne ct la dissèquent ditns
Na,;reS-1ll1dl. Stnrk\~'e:l1her annonce q u'il vn eSca lader Je 1110n-1
l a lsen. L;s deux tIers de la foreuse Illise au pOint pitr Pabodie arri_
l'
ellt par 1l~I~n, ~uran,t ~oi.rée,
la les ùwesliga fCurs Ont la possibilite de----j~
·----- 1s,urprendrc
E.B.E 1 ultime negocr3t1on radiophonique ClHre Lexington Cf
1
---.-
29 ,~ovemb"e - Le campement eSI ac hevé, Une aUl re Chose Très
AnCienne eSI déterrée ef examinéc La fore use de l'a b d ' ' ____....
bJée Ct c ' . 0 le eSI assem_ f
. , . onU ne nce a. cre user dans le sile d 'exclll'lHion de Lake. Les t'
dl~~eS!I~nfe~rs, devra lem meure au jour au moins l'un des sites dign;;- -
Interet laIsses par l'expédifion Miskatonic.
l
J"O ,:ovembl'e :- L'équ ipe de fomgc pnn'iell{ a oUl'rir la grolle de L.'lke ,
tOI (ans 11lll1ntmée. Le reSle de ln journée, les équipes surëXCifé'", =""- - - '
e~plorent les Sout,errains CI leurs richesses geologiques. TOUjours plus
d hOlllrnes~ c~lcns
de et. de m3feriel urÎvclll nu camp. ....'l'o ore essai(' de-
COntacter l ll bodle aux Elats-Unis, mais celui-ci rcfu se de lui parler.
r
~- -
-- -,
- .". -
a près le débu t des operations, I~our plus de dépôt - plus longte mps en cas de mauvais
dé ta ils, voir . Maintenance Aé ronau tique . temps, comme du brouillard ou du blizzard
dans l'Annexe 2 : M anuel de l' Amarctiq ue, (q ui peu t ral11'aper les itll'es!igateurs s'ils SOnt
e ncore IIU so l il treizc heures) o u quand ils
l'oragent m'cc des blesscs ou des novices en
Déplacements au sol raquelle, S i le g roupe approche dll dcpôt
depuis un au tre endroit que le Boeing, le gar-
1
Les investiga te urs qui décident de marcher dien doit ajust er le temps en conséq uence.
d ' un sile il un a ut re pClIvent penser que le
voyage se ra aise, mais il rcse r n~ en réalite
quelques surprise~. Les conge,res de neige et
de glace som a n ClCIH1 CS et fnables ; un pas . ,
.':L''~ o'Jnbr e"'S l'lr
, ', _ "
J.a. gJ.ace
de tr an~ r s peut f~ire passer le personnage au
trave rs d'une fine couche de glace, dans une La missio n de sauve tage de la Ba rsmcier-
profonde dél)rcssion, a u risque de sc fo uler Fa lken parvielll a u-dess\ls d u dépôt le 11
o u de sc briser la cheville. Des échardes de dcce mbre, à 19 heu res, il bord du Graf
glace brisee P CU\'Cn! entailler ou lacérer des Zeppe/ill, un cnOl'lne dirigeable capable d'ef-
parties de p Clm exposées. CI de telles bics· fec tu e r le voyage d e 3 000 kil omct res
sures doil'e nt ctre soignées a\'ec atl c1lIion . Le aller-retour sallS ravitailleme nt,
terrain semble plat Illois cn fa it s'Clel'c ct plonge
en vagues de glace sans lin, parcou rues de fis· Ceux q ui sont au sol se rendent comp te de
sures ctroites ct de crel'osses dissimulêcs par la presence dit zeppelin quand une g rande
la neige. Elles ne prcsen lcrH aucun risque ombre obscurcit les cieux ; lorsque les \'CIlIS
pour des personnes equipées de ra(luettes ou s'apa isent, o n peUl percel'oir le lourd bour-
pour les larges patins d'un avio n, mais som do nneme nt d e ses mo teurs, q ui forme un
da nge reuses pour un hOlllllle à pied, bruit de fond cOnstalU, Si Rilke ct Ilaumann
SOnt encore dans leur te nte, ils tra nsme ttent
Ici, se deplaccr au sol de lllaniere précaution- un court message en direction du dirigeable,
neuse implique de teste r chaque pas :I\'anl info rmant par hi mc mc le monde cntier que
d'al'ancer ; pour celte raiso n, la progressio n le urs sall\'cteurs son! :lrril'es.
est plus lente que ce q ue le g ro u pe pouvait
es pérer, T rois kilométres par heure consti tue Les opêrllteurs rlld io du zeppelin Ont Ccoute
ulle vitesse excellen te sur \ll1e piste inconnue, les messages cmis d epuis le dépo t, ct som
DelL'\: kilomètres par heure son! plus habituels. capables d 'effcctuer leurs InOp reS trans mis-
sions si besoin est. Les puissallles rad ios d u
C haque membre du grou pe d oit reussir un Gmf Ztppdill peul'ent aisément atteind re III
test de C hlmce (50 %) pour éviter les acci- côte. Si le cont llc t a\'ec l('s ho mmes du dépôt
dents, il moins qu'il ne soi! dêjil familie r de cc est interrompu, l'équipe de secours arrh'e en
type de terrain o u qu'il ré\lssisse un test de a hitude, trcs prudcnte, ne sachant guère cc
S ur vie (milie u pola ire) . Un échec indiq ue qu i s'est passé mais ne l'oulant pas Illellre en
que le perso nnage a glisse dans une crevasse ou danger le bâtiment ni SOIl cqui page, Le capi-
un cre ux, subissant 10-1-1 points de dèg:its. taine du dir igeable, le Dokto r Hugo Eckener,
Les personnages :l\'CC une competence Survie a po ur instruction de rIllllener la mission à
(mili e u jlolaÏl'e) de 25 % o u plus n'ont pas
tout prix, mais c'est Uil homme prag matique
besoin d 'effectuer de test de C ha nce .
et lo;n d 'étre naïf.
Les investigateurs q\li portent des raque ttes
pcu\'em a ussi éviter les dangers du terrain, Une fois que le zeppelin est arrh'c, les in\·esti-
Le Btlle ne dispose d'aucune raq uette, mais il gateurs perdent la plupart de leurs opportunitCs
ye n a to uj o\lrs quatre paires à bord du "'agir contre les fuyards. Le Graf Ztppdill est
II'f!dddl, Cependant , \'oyager au sol avec des incapable de faire descendre une équipe au sol
raqueltes est épuisant Ct ralemit les personnes al'a nt q ue !es l'ents ne s'apaise nt, vers 2 1
inexpcrimentces, qui ne pcu\'ent parcouri r heures, mais il reste l:i, tcl lin grand re quin
plus d' un kilo mètre ct demi par he ure; ceux noir rodant dans le ciel, il 300 métres du sol,
en bonne conditio ll physique ct qui connais- attendant patiemment que le brouillard se lè...e.
se nt l'u sage d es raq uell es peu l'elll alle r Les in\'estigateurs Ile peu\'e!1t pas non plus
beaucoup plus vite s'ils SOnt prêts il fo urni r Mcoller ou se déplacer jusqu'à ce que le di ri-
l'effort necessaire , geable soit parti. Il est cxtremcment d ifficile,
à ce l1lo ll1('Ill-1à, de l'edu ire a u silence les
Il faUl deux heures au g roupe pmlr p;m:oltrir hommes du dél>Ôt sans laisser des traces qui
les cinq kilomètres qu i sel'arWt le \\'hlddl du cotldu imielll les S:l u\'\~t ('urs aux investigateurs,
-,
Otto Schick construit ct renforce les puits ct les tun nels
46 ans. m~ docin
de mines de cha rbo n da ns la reg ion de la
Ruhr, jusqu'cn 19 14, Une gr:l\'C m~l~di e pul- ,.,
mo n~i re l'a e:l:empte de sen 'ice militai re, cc
APP 12 Prestance 50.
CON 09 Endurance <S. qui ne l'a pas (,lllpeehê de tr3 \'aîller pour l'ar-
mêe tout ~u long de la g\lcrr(' ; il co neevnit 1 -,
1
DEX 11 Agilité 55%
FOR 10 Puissance 50% c t testait des a rmes c himiq ues Ct leurs s~'s
TAI
ËOU
14
16
Corpulence
Connaissance
TO'
ao %
té mes de dêploiemenL Jusqu 'en 192'1, il a .'
occup é un pos te d e direc ti o n a u sei n de
INT 13 InluiUon 65 % BASF, où il a dêveloppe des processus d'affi-
POU Il Volonté 55% nage de l'aniline, ct Il trll\'aille sur dilTérellles 1
Valeurs dérivées
synthèses chimiq ues,
Impact aucun 1
Points de Vie 12 An'C la chute de l'êconomie allema nde conse-
Santé Mentale 29 C\!Iive il l'inflatio n d 'aprés-guerre, Barstlleier
s'cst retrou\'ê sans emploi, Quelques contacts nu
Compétences sein du gouwmclllell1 lui Ont permis de lrOu\'er
~lal\s -ralke l1 Baralin <S. du travail dans la sociête IG Farocn dc 1925 il
4/1 ans, meneur de l'E.B.F.
BibliothèQue 40. 193 1. C'est Iii qu' il a rencotltrê \'i'ilhehn Knu th,
"'.
Médecine 60%
Ct que cc dern ier l'a introduit da ns son cercle
Photographie
APP 11 Prestance 55% Premiers soins 30% d'amis infl uents, C'est Knuth q ui n insisté pour
CON 13 Endurance '5% q ue Barsmeier mène l'expédilion 3lu arctiqlle,
Of X 09 Agilité <S. Psycllologie
Seiences de la vie :
35%
FOR 15 Puissance 15% • analomie 60% I3nsmeicr est le plus fidele lIgent de Knuth
TAI
tau
14 Corpulence TO ' - pharmaco!og!e 45% au sein de l' E.I3,F, Il n'esl pas l'erse da ns les
16 Coonaissance 80 % Sciooces rormel'.es : sciences occultes, CI n'a lIucune sympathie
INT 15 Intuition 15 % • chimie 25%
POU 10 Volonté 50" pa rt ic ulière po ur le regime nazi, mais il eSI
Sciences occulte s 10 % loyal ell\'el'S son chef, el a la ferme intention
Valeurs dé rides l angues
de cond ui re l'elq)êditio n a u succès. .\hlgrê
Impact + 104
Allemand 7S% son manq ue d'(,:l:périencc en climat hostile,
Points de vie 14 il constitue un bon dirigeant pour l'E,B.F, :
Anglais >l'
S8Ilté Mentais
Compétences
50 Suédois
Armes
"'. c'est un admi nist m te u r co mpcten t ct un
me ne ur d'hommes, ct il sait Illettre à profi l
les talcms de ses e:l:plorateurs, quelle que SOil
Athlétisme : , carabine Kar 98 30%
• escalade 50% la discipline concernee. Son parcours éclec-
Oég~ts 206 ' 4 tiq ue lui perllle! de pa rle r fa ci leme nt Ill'ec
Mélier : ' Pisto1etl uge r POB 72%
· mécariq\le 25 . n'impol'le qui, depuis les manœuvres du cnmp
Orientation
Scienœs de 13 Terre:
· g~og ie
"'.
TO '
dégâts 1010
jusqu 'a ux scie ntifiques et a ux g uides.
(
sous les yeux . Il est e xtrê mc mc nt cérêmo-
nie ux, même dans les pires des situatio ns, I)artisan de la thêorie de la dêriw des conti-
nents (alors cOlltrolwsce), Falken a beaucoup
l'o)':lge il la reche'l'che de preu\'es de celte théo-
, rie, C 'est ce qui l'a amenê à faire partie du
B{Juipe groupe d'expcrts officiant autour dl.' Loemmler,
Son ex perie nce e n Arc ti q ue en fai sait un
de la-base de Palmer me neur tou t désigne po ur l'e:l:péd itio n de
1933,
"
Les l'';\·es qu'ont les dormeurs ne sollllli précis -'L'a glace
ni spécifiques; ce 50111 des mélanges d'én!ne-
lllelllS et de seenes qui sc SOnt déroulê5 dans la Au sein de la zone exploi tée dans cclle his- \,1
,
Cité un million de fois au travers des ilges. Ils sc toire, lu surface naturelle est di ssi mul~e sous
mélem et sc confondent, les détails cha ngeam il une couche de glace d'épaisse ur comp rise
chaque instant, mais le scns générnl de chaque e ntre un et qu inze m et res. Cellt." coue hc l"
1
rcve n..'Ste clair. Quelques excmples sont fournis reeoulTe toutes les carac teristiques originales
dans l'encad re pag.:- précéde nte. du sol, ct ell e présent e une surface plate et
lisse faci le il emprun ter.
,t· .
neaux 0111 jamais po rté des pigments, toute
fil ' , .
trace en a cté balayce par le temps depuis des
.,
• , •.,' . \',!'."
"t .,
,. ctern ites.
• .fI~'{ , .~I!I, ,
ma tio ns êcrites, grÎlce il l'écrit ure par groupes
de c inq poin ts so ul'ent e mployée par les
,..'• .
Choses Tres Anciennes, d e méme que des
• ,"
"l.\
jt l. illustrations sous forme de fri ses et dc pan-
f '.,
.~
". ••
, PI
, l" neaux ,
,
/, l- .,,1 • , \
Le style employc po ur réaliser ces illustratio ns
..
"
, ,1 ••
L·écrilure des Choses Trés Anciennes
1
ressc mble a une combinaison de schémas tl-ch-
niques et de cubisme, représentant des points
de vue multiples el d'u ne précision technique
goulles la chaleur \'Îtalc lm Dieu Inconnu CI
PI'Oto-cré!illI l'es l':lidanl il regagner d es forces. Beaucoup d 'au- -)
miffeirres trCS, d ont certains assez grAnds, altcndrnt SO llS
la glace de la Cite; ils On! jad is ctc empri-
TAI Ocl 1 (3 à 20 un) sonnes dans des fosses par les Choses, et gelés
FOR 103 sur pince il J'aide de ['eau du grand neuve. Si
CON 306 jamais la Cite sc réchauffe, ils seront libres ct
pourrolH croÎne il nou\'eau.
Points de Vie t·,
Atta ques
• QiVlllSes al1aques 60%
UflB par tour, dégéts 1 i'llD3 m:-PrOto-vie
Spklal La proto-vie est une aut re maniè re de dési-
les proto-créaluras sonl immunisées gllcr les creatures prou!iformes dégorgées d e la
contre les impacts. les projectiles elles
armes coupantes. Le feu , les sortilèges
masse d' Ubbo-Sathla depuis les débuts de
elles 3fmes enchantées les blessent nor· l'histoire terrestre, Les C hoses T rès Anci... nncs
materne",. ont ut ilise d es tiss us d e prOlo-creatures pour
f~çonner la vie terres tre sous toutes ses formes,
Perte de SAN Oi t dont leurs serviteurs Shoggoths, il y a des mil-
lions d 'an nees, \
Grâce â celte rl..'C herche permanente d e l'équi-
Les proto-creatures résid llient originellement libre, l'or ga n is me d es p roto-créatures est
dllns les . grottes grises " loin sous la glllC'" ext rcmemel1l résistant aux d égâts. Les cou ps
antarctiq ue, mais se sont petit il peti t re pan- et les entailles pcun:1lI endommager ses tissus,
dues dans III i\·1er Engloutie. Au cours de ces mais il s'adapte et se soigne lui-même presque
millions d'annees, d ies Oll! donne vic au ri che instantanement. Le fe u, l'acide, la n111 gie et
ct étra nge écosystème d e l'Abîme, uniq ue a u les ar mes enchantées lui infligent des dégâts
mo nde (\·oi r I ~ description des mllres formes no rm a ux. D e par cctte adapmbilité et cette
de \'ic peuplan t l'Abime ci-après), résistance ext rémes, [es forme s d e pro to-\"ie
on t tendance il se h isser ail sommet d e la
cha ine alimentaire, où qu'clics soien t.
Physiologie Ce tt e hegém o nie est tem pé rée il l'éc helle
li n')' a pas d eux proto-crêa tu res idemiques. micro-orga nique j les habi tants d es rég ions
Leu rs corps, informes au point de ressembler il d e l'Abîme Ont IOUS dén~ loppê une rés istance
des s~cs, sont blanc, gris 0\1 vert jaunâtre. Leur aux infectiOns d es gra ndes cellules des proto-
taille varie de trois il vingt centimètres, ct leur c ré atures, q\li nc sont qu e relative ment
poids de quelques grammes il un kilo. Certaincs toxiques pour eux. Néa nmo ins, il cause de la
o nt des ten t~cu l es, d '~ utres ont de court es présence d'endopa rasites dans les tissus de ces
pattes j certaines ont des bouches ct des d en ts, hôtes, \es explorateu rs doive nt prendre toutes .,1
d 'autl"\.'5 ont de longues la ngues poisseuses pour les precautions nècessai res au moindre contact
attrape r leurs proies, et d'autres encore enrou- al'ec les fo rm es d e \'ie de l'Abime, ct bien les
lent simplem ent lem corps autour de le urs cuire s'ils leur sen·ent d 'aliments (dans le cas
vicli111"'s ct les digèrent len tement. con traire, \·oi r les malad ies ct infeClions du '-•
lac englouti da ns le C hapitre Huit, et la Mort
Les p roto-créatures se batten t entre elles d ès Le nte il. la fin du C hap itre D ix-C),
leur naissance j leur besoin im pulsif de !llll nger,
- '.
1-
et d 'éviter de sc faire ma nger par leurs congé- Note (III /lm 'dicII : fOllles I.-s jO/"llli:s iI.- pm/o-
nères, les pousse il modeler le ur corps I)ou r vi.-, Q/i qu'elfes SOÎllII, J><'IMNIII etro! cOlI/rOlies pD'
fo rmer des membres ct des organes, comme
aUlalll de moyens d 'attaque et de d éfense. La
la vo lolll ~ d'Ubbo-Sa lhla li Il 'imp ort e qud
II/OII/CIII . Cepelldalll, Ubbo-Sathla l/'é/11II1 pos
1
formation de ces appendices organiq ues peu t ill/dlig.'111 elu'aY(l1I/ /HIS (le plal/ p,ècis, (t'la I/'ar-
prendre des heures, \·oire d es jours; une fo is rin: qlu Irès IWWllo!lII, l\1ais si Io!s imxs/ig<lI.·lfIl fI/
utilisables, ils sont conservés ou aba ndonnés, viell llelll li cO I/HilUer /Ill e lII eIW C.' pOlir Ubbo-
selon l'em-ie d e la pro to-créature. Salhla ail u i u mimc de sa CaW f /lC, /Oilles Io!s
PlVlo-Cf~aWre$ préso!lIlo!s pDrlolll Mm'ml St mf/ier
Les proto-créatures ne sc reprod uisent pas,
au sens habituel d\1 ter me ; par COntre, durant
li"Ii p01l1" le di:jClldl'o!, m,~, dM CO ll$.!qll Cll ceS ,.
illlprèvisibllS mais violmus,
leu rs combats incessants, des parties de mem-
bres ou de tissus d' une proto-créature pclwem luil" le Chapifro! IO-C el le Mal/ms MOI//ri/rl/lII
être séparées d e son eorps. Parfois, ces mo r- pOlir la des,,';pl;OIl d'Ubbo-Slllhla .. 1 des pilis
ceaux meurc nt ; pa rfo is ils sur vive n t, el se impro!ssiollllO/IIS sp.;dlllms dl' JOI/ EIIg.-lII/C.-.
metten t il lu tter pour le ur prop re compte.
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.Nouvelles'compételXces· C\jnduite : t raîneau (%0''%)
Connaître les tradit ions ct les usages du \'oyagc e ll traineau il
, , l,
,t.
t raî neau possede au to matiquement des att elages de chie ns
Alhlétisme : escalade .(15'0/0) calmes, eOicaces et o béissants, Mais tout spécialiste q u'il soit,
il est toujours sujet aux d iflku ltés et aux dangers d u \'Oyage el ,1
L'esc alade libre (escalade il maiil s nues) requiert un tes t
de la sur vie polaires, "
d ' At hlé tis m e: esca lade to us Ics J:i 10 mètres d 'ascensio n,
suiwmt le nombre l'l Ia so ! i dit ~ dcs prises, le l'cnt, ta \' isibilité, l' "
l'adhére nce, etc.
Écriture des 1ÛlCiells (00'0/0)
Si un invcsligat.:!uT souhaite grimper discrètement, lancez un Sans fresque murale il disposition, le score de base est de 00 %,
D I OO co nt re son sco re d ' Athl é tis m l: : es c a lade c t de Les person nages ayant l'occasion de compare r e n dc tail des
Discrétion Su r la l ll blc de RêsisHlnCC. Si le [l'S I d' Athlé tis m e: fresques des Choses Tr~s Anciennes ct les bandes de pointilles
cscahulc ]'éussit ct que celui de D iscr ét ion échoue, il grimpe qui les légendent commcncent il remarque r que certains sché-
bruya rnmcll1. Dans le cas ilwerse, il lOmbe sans bruit. mas d 'écriture se répclcm , en associa tio n avec les concepts
picturau:.: q ui les illustrent, tels q ue· catastrophe ", . guerre "
Un il1vcs tigmeur al'cc un score de 60 % ou plus en Athlétisme:
esenlnd e sait escalade r une paroi rocheuse :i mains nues ct
• es poir ", • Shoggolh " etc. t\l'ec le te mps, ces corres pon-
da Jlces entre illus lraliolls et gl yphes se mult iplient.
,. J
,
maitrise les principes ct l'équipement de l'escalade artificielle, Un
score elevé en Escalade eSI donc similaire :i l'alpinisme: bi.:-n que On peut louterois affirmer sans e:.:ageration que le score d' un
cc soit un spor t répand u dans les années 90, il est rare à la fin pe rson nage huma in en 13e rihu'e d es Anciens est éga l a u
du XIX' "" siècle et dans les années 20, nombre de notio ns qu'il peutlrad uire par un mot: 50 % équi-
vaut à 50 mOIS, Les fresqu es Illurll les d es C h oses Très
Anciennes SOnt b ie n plus instruc til'es,
•
Bagarre (DflX.1à.0/0) 1
Perme t à un personnage de se défendre d ' une allaq ue phy-
siq ue e n interposant un o bjet q u' il a en main, Un la bou re t,
Métier: explosifs (démolit ion) (01):.0/0)
Le stockage, le transpo rt et l' utilisation des explosifs couran ts
III
un fu sil vide, un tuya u, une branche d 'arbre - tO ut cc qu i peut
logiquemem étre tenu à la main pour parer un coup peUl être disponibles à la vente, tels que poud re il canon, d ynamite (ordi- 1
naire QU il basse température), nitrogl ycérine, trini tro toluène,
u tilisé con joi nte me nt Iwec celle com pétence, Un tes t de
picrate d 'ammo nium, cordeAU détonnant, Cie, ai nsi que mèches
Bag:wrc ré ussi signifie q ue l'objet a enca issé le coup, de mise à feu, détonateurs éleCiriq ues, systcmes de retarde-
men t, allumages l'otati fs, CI des considérations de securite ct f
Si les dOlllmages innigcs par l'attaquant excèdelll les Points météorologiques, Po ur des projets de démolition il petite échelle
' de Vie de l'objet, il sc brise ou échappe dcs mains d u défenseur, (détruire des rochers, creuser un puits, prolongl! r un conduit de
Ce de rnie r perd un nombre de Points de Vie égal a\l:': d o m- mine, chasser un C hthonicn), un score de 60 % garantit auto- ,.
mages excédentaires, ma tiquement un su cc~s, sau f en cas de 00 o u de l' util isation
d'e:.:plosifs artisanaux, l ,
1
Comme pour l' Athle tis m e, la compe tence Bagarre a ug- 11
mente :l\'ec les tests rC lissis, Il Ile remplace pas la ca pacité il Si un inl'cstigatcur l'CUI demo lir un grnnd bàlimcm , un lo ng ': ;
parer les armes de corps il corps, lell.:-s q ue k s épé.:-s, tunnel, un barr ag.:- massif, un pOllt ':-11 acicr, ou tQUle autre
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L'H ÉRIT IÈR E L EXINGTON REVl ENT SUR SES D ÉCLARATIONS i' '
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New York (A P) - Acad~ Ill o n père .., a-t-elle déclaré. dOUle pas <"[ue je retrouventi l'ierpul1ll'l'lorg;m. A la suite
Lexington, mie de l'ind ustriel cet o uvrage .• d 'une cérémon ie do nnée dans
Pcrcival Lexington décédé Cil Il r li quelq ues jours, Acacia la plus stric te imim ité.le
début de se maine, CSI r( l'en ue Lexi ngton avai t afllrmé que .. No us savo ns <"[ue j"liss corps a été in humé dans ta .
aujourd'hui sur Ses déclara -
tions am érieures. À pdne
quelques jours après ,wolr
le décès de SOli ]l~ re était lié à
la disparitio n d 'un m an uscrit
mre de b bibliot hèque de
Lexing to n ,lTlll"ersc une péri -
oôe diAicile . , a décl aré le
commissai re Ronald O'M eira
propriété fa illitinle du com t~
de Suflôlk. ,,
•
ôlO1 rmé par \'Ole de presse celui-ci , installée dans I ~ pi~cc qui a co ndu ail suicide dans Le testament Ct les demitres
'1l1'il s'agi ssait d'un inCli n ee où le corps a été re trOll\'é s:m s ce tt e affai re... Les SUppUI:! - voluntés du défun t serom \ 1
abusil'cmcll t classé conimc vie. rions qu'elle a pu al'ancer dévoilés au cabille t de so n '1
suicide par les (O(CCS de lo r- d umnt les journées écoulées avocat mercredi proc hain. Sa
dre, r.,.liss Lexing ton a oITerl .. Je pense que ce livre se sb: pli q ucnt évide mment par fi lle uni q ue Acada del'rni t "
aux journalistes prése nts, ~ trollve encore d ~n s son cllbi- la tension nefl·c use q u'c lle a logi q l1 ~ m cn t hériter de l' inté-
l'issue de l'inh umation de son net de trnvail . , ~ -t-e1lc eue à subir.• grnli té de la fort une fam iliale.
pè re, un réc il en tous poinu répond u lorsque nous rlll'On S O n Ile sait pas encore <lui sc r,l
di tTérent. interrogée sur ses aflirm:l.tions De nomb rewc amis et col- ~ 1':l\'en;r chargé de gé rer l'en-
'" Le rapport d u médeci n antérieu res. • Je n'ai pas lêgucs {le Pcreh'ill Lexingto n treprise c t les ;nl"es ti sse mCI1IS
légisu: t' t l'accumulation d e encore achevé le nécessaire ont tenu :' lui rendre un LC)ii nglo n pOlir le com pte de
prcU\'Cs ma térielles me con- in' ·ent:!ire des biens pr6enu dernier hommage, dont l'in- I:! jeune fe mme.
traigne nt à accep ter la triste d:!ns no tre demeure fa miliale. dUStriel Joh n D. Rockfelk r ct
\'éri l~ au sujet rie la mort de Lo rsq ue eeh sera fait,jc Ile le célèb re t\ nancic r Jo hn
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Alde de leu 4.4 : N.V. Pillar·R'posle. ~ditKln du !lOir· 26 juillet 191 1
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16
1 Ma lle tte , Do nt. inat:rument. de biologie , zoologie et bota ni que
Cabi" ee
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(_lorD. Dope s, 1&111 811 etc .)
Camhole
Cabi"ee
Cabi ne mé deoin ,
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Paire s de me not te, Cabine m6deo i n n. d. n .d .
1 Vall s . , cont. 24 n "con a de ltq u e u r s médicina l e . diver a e a Cabine m6deoin 14 I4
1
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p hsrmaoie, oo nt . Dutl h oh i rurg i caux e t drogue s
Saooohe d e .. 6deoin , util isable en dlp la o e ment
Cab i ne 111 6 deoln
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(o on t. morph in e in jeotable)
C,&rton, OO l1t. t abao et 01g8t é th$
Cabine m6 deoi"
Bureau S . S . M. ,6
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géo l o gu ea , a aohet e il é Oha ntillo n e , ",etérial il d ellsin)
Co f fres , oont . ki t dB g éophy e io i s n (oomp lU de préoision ,
Bureau B. S . M. 19 Il'
Bureau S , S . M. 6
'.... g néto m6 tr e )
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2 Cof fre s , oont . ", aU, riel d ' éohanti llonnag e e t d' e xpéri menta tion
ohimiqus (t Ubs" Assslli , VIl SOR A b e o s t Il utre s verreries ,
beo e Bu n s en, oon e olll llla b la " d ' ana l y ae, pi noe s , bouohon .. ,
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, thsrmomêtre s , table" de r é f . )
Cai sses , oo nt . 6 bOit OR (rer-bl a no) de Boude oau Btiqu e
Bureau E. S . M.
R. du B08 00 69
10
276 ~
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Notu au gardian
Les éléments suiva nts sont tau x :
' la caisse c:onlenanl 1es harmonicas a été cassél! el les deux Instruments sont perdus_ C'esl visiblemenl du vandalisme; les deux harmonicas peuvent étre remp!acés au
c:oû1 d'environ 8 S.
' la caisse contenant les instruments d'astronomie elle compteur Ge;ger esl manquante. E~e est actu&llemenl dans la salle des bagages de thôle1Amherst : les Investiga-
leurs ne peuvent pas trouvel t'informati on Il moins qu'ils n'en panenl Il Moore, qui esl au courant de sa localisation.
' Ia caisse contenant la soude causbque a été tÎllrée i l'entrepOt mais est portée manquante. On n'en trouve nulle !face : on peut en racheter auprès d'un fournisseur pour
laboratoire, pour environ 9 S. l a première caisse a élé volée par le saboteur, Hennill9, el monlél!;II bord du navire,
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