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Constru!

1 – On peut analyser les différentes parties d'un édifice avec plusieurs grilles, suivant que l'on est
dans les phases conception, ou constitution du bordereau descriptif, ou constitution des lots de
travaux. Décrivez ces différents systèmes d'analyses et la place de la structure dans chacun d'entre
eux. Qu'est ce qu'un sous-ensemble fonctionnel?

>> même pas sûre de savoir de quels différents types d'analyse qu'il parle xD
J'ai trouvé analyse par fonction d'usage, analyse par fonction, analyse par coût.

Conception : on définit des usages qu'on voudrait donner aux différentes parties du projet. Voir
tableau page je sais plus combien à 7 lignes dans le poly. Sur les différentes fonctions d'usage.
Définition des usages permet de donner plus tard des limites physiques aux espaces. Même si on
peut pas prévoir les usages que vont faire les futurs usages des espaces conçus, cette définition des
fonctions d'usage va néanmoins les orienter.

Différentes parties d'un édifice : chacune rentre dans une catégorie = sous-ensemble fonctionnel
Après avoir décidé des usages qu'on veut donner aux différents espaces, on va leur donner des
dimensions etc, on va se mettre à les dessiner plus précisément de telle sorte qu'on sera en mesure
de distinguer différents composants, chacun ayant une fonction bien particulière dans l'édifice,
fonction qu'ont peut répartir dans 6 catégories. Voir tableau à 6 lignes dans poly. Sur sous-
ensembles fonctionnels.

Puis on arrive dans le concret. On peut aussi classer les différentes parties d'un édifice selon leur
nature. C'est ce dernier tableau qui est important à l'étape de la réalisation : sert notamment pour
déterminer coût de prod. Voir tableau à 15 lignes avec pourcentages et tout.
> Lot 3 : Structure et maçonnerie, BA, charpente : correspond à 20% du coût total, énorme!

Donc place de la structure :


– phase de conception : pas forcément ce qui prime direct, sauf si l'archi prend parti d'en faire
un de ses « concepts »
– mais plus on avance dans une concrétisation du projet (maquette....réalisation), plus la
structure prend une place non négligeable : genre structure = un sous-ensemble fonctionnel à
elle-seule, ou encore dans phase réalisation, structure = 20% des coûts totaux.

Un sous-ensemble fonctionnel = « organe »


> catégorie dans laquelle les différentes parties de lédifice vont se ranger. Fonction que ces éléments
ont dans l'édifice. (pourav comme définition, pas trouvé mieux xD)

2 – Les systèmes porteurs de l'habitat ont une histoire, qu'en avez-vous retenu du point de vue
formel et fonctionnel, et quelles sont aujourd'hui les pratiques courantes?

Systèmes porteurs de l'habitat.


> But : trouver système vertical de descente de charges pour permettre d'avoir superposition
logements/bureaux avec/sans parking.
> Histoire : évolution de 1910 à 1990. Systèmes se sont appauvris, surtout dans années 70.

Evolution liée à une volonté de réduire les coûts de prod. Rappel : structure = 20%!
Puisque les productions de logements sont souvent à l'initiative d'organismes qui sont plus
intéressés par rentabilisation du terrain que qualité architecturale de l'habitat, ils forcent archi à
dépenser moins sur structure. Pb : structure importante dans ce type de projet!
Années 70 : apogée de la production de logements de « faible qualité ».
On s'est repris depuis. De plu en plus d'innovations en terme de systèmes porteurs afin d'avoir une
+ grande qualité (lumière, expaces en gén.) tout en limitant les coûts.

De plus, amélioration matériaux, innovation techniques qui permettent encore plus de liberté.

Pratiques courantes aujourd'hui? Aucune idée

3 – Les 3 principaux matériaux structurels sont identifiés par leurs caractéristiques techniques (entre
autres mécaniques à, ensuite pour les questions d'aspect, de mise en oeuvre, etc. Quelles
comparaisons faites-vous entre eux (en incluant ces caractéristiques)?

Pas vraiment de réponses précises, j'ai juste noté des trucs en lisant son poly, prends ça comme un
sorte de résumé du cours qui peut répondre à moitié à la question xD

Matériaux structurels : acier, béton, bois.


> comportement des matériaux liés à phénomène physiques habituels, pas seulement une question
de poids et surcharges.

> effort sur un matériau : déplacement relatif = déformation.


Donc efforts internes à la matières = contraintes.
Et puisque matériaux sont solides, contraintes sont + complexes à déterminer que s'il s'agissait de
liquide/grains. On a besoin de vecteurs N et T.

Déformation > conséquences sur dimensions.


– Eau, température > dilatation, notamment du bois. Donc conséquences sur résistance du
matériau.
– Eau : Conséquences sur bois, argile
– Feu, température très élevée : conséquences sur acier (résistance diminuée de moitié)
– Eau + froid = gel > augmentation volume, gonflements, rouille,...

Comportement méca des matériaux : phase élastique + phase plastique.


Chaque matériau a son module d'élasticité. Contrainte = voir formule dans cours.

4 – Qu'est que le modèle statique d'une structure? Quels sont les différents types d'efforts internes
auxquels elles est soumise? Donnez des exemples et commentez les échelles et les modes de
représentation.

Modèle statique = représentation simplifiée permettant de calculer l'équilibre statique.


Représentation faite de segments de droite (poutres) et de points géométriques (liaisons).

Structure soumise principalement à traction, compression.

Exemples du cours. Modèle statique (avec traits en poutres) : Cool mais lorsqu'on doit passer à une
plus grande précision (définition type/section des éléments, dimensionnement), cette représentation
simplifiée n'est plus acceptable.

Du coup, si on s'intéresse plus précisément à chaque élément, on doit les dessiner afin de déterminer
répartition des charges, efforts internes dans chacun des éléments. Exemple dessin poutre sur deux
appuis (triangles). Voir cours pour la masse d'exemples.

Le dimensionnement + forme des liaisons entre les différents éléments demandent une + grande
échelle encore de représentation. Exemple dans le cours du dessin d'une liaison poteau-poutre.
Dessin précis de la constitution des éléments : dispositions des armatures,...

5 – Quelles sont tous les types de charge et de sollicitation à prendre en compte dans la conception
et le calcul d'une structure? Qu'est-ce que la descente de charge?

Charges sollicitant les structures :


– charges d'exploitation
– charges climatiques (= contraintes exté)
– poids propre des matériaux
Conception et calcul d'une structure se fait en combinant tous les cas de figures des charges.
• Charges d'exploitation évaluées à des valeurs maxi
• Charges climatiques : neige et/ou vent
• Charges permanentes = poids propre + surcharges constantes sur les surfaces

Charges d'exploitation :
Règle de dépression appliquée pour descente de charges à cause de questions de sécurité et risques.
En gros : appliquer un certain coef, limité à 0,5 dans calcul pour pas trop exagérer dimensions (si
j'ai bien compris). On distingue :
– batiments usage d'habitation ou d'hébergement
– bâtiments usage de bureaux
> 1er cas : charges différentes : jolie formule avec sigma
ou charges identiques : encore jolie formule
> 2e cas : charges identiques : dernière jolie formule

Charges permanentes :
– Poids des matériaux répertoriés = G, en kN/m3. Ex : acier = 78,5, BA = 25, bois = 6 à 10
– Mais aussi poids planchers, murs, toitures, revêtements.

Descente de charges : expression qui vient de la méthode de dimensionnement de la structure. En


effet, méthode consiste à travailler en « descendant », de sorte qu'on reporte les charges+poids
propre aux étages inférieurs jusqu'aux fondations.

6 – Quelles sont les différences entre systèmes isostatiques et hyperstatiques, et quelles sont les
conséquences pour la conception et le calcul de stabilité des structures? Donnez exemples.

Un peu flou...finalement je crois que j'ai lu dans le poly qu'il fallait préférer un système
hyperstatique. Questions de sécurité je suppose...enfin, au niveau théorique, isostaticité toujours la
plus recherchée je pense.

Système isostatique : lorsqu'on peut déterminer les efforts sans tenir compte des déformations.
Chaque élément du système est dimensionné de telle sorte que l'équilibre statique est parfait. En
situation théorique, ne craint pas de risques de déformation. Mais en réalité, faire gaffe. Enfin,
contrairement à système hyperstatique, il n'en fait pas trop pour atteindre cet équilibre

Système hyperstatique : en fait justement trop.


– peut être adapté à certaines situations où charges importantes. Préférer système iso sinon?
Moins cher + surdimensionnement a conséquences esthétiques...
– dû à la prise en compte d'hypothèses supplémentaires (déformations) lors du calcul des
réactions d'appuis. Néanmoins, faut pas pousser le bouchon trop loin, pour des raisons de
sécurité, confort et conservation des ouvragres de second oeuvre, pas prendre en compte
trop de déformations. En gros, si on exagère trop, genre pour dimensionnement d'une poutre,
risques de sécurité, mais aussi affreux,etc.

Trop grande stabilité > plus forte instabilité?


Ex : mettre encastrement alors qu'on pourrait mettre articulation au niveau d'un poteau = risque de
flambement plus grand car moins de souplesse.

Exemples?

7 – Quelles sont les principales vérifications à faire pour qu'une structure soit résistante à l'ensemble
de ses sollicitations? Plus généralement, quels sont les différents risques à maîtriser en matière de
sécurité?

Structure risque :
– flexion
– déformations
– compression et flambement
Donc à vérifier :
– matériau : ne pas dépasser « σ avec le petit e » (voir dans cours!)
Vaut mieux prendre « σ avec le ptit e » = « σ avec petit m » - k x s (bref, voir coursxD)
– exploitation
– calcul
– réalisation
Eum...me comprends pas moi-même, si t'as mieux...=)

8 – Comment la question de la sécurité incedie se traduit en terme de conception et de calcul pour


les structures?

Sécurité incendie :
– édifices classés en fonction : - nombre d'usagers qu'ils reçoivent
- activité qui y est effectuée
- facilité d'accès des secours
– Matériaux classés suivant aptitude à brûler : de M0 à M6
Seuls autorisés : matériaux non combustibles, non inflammables ou difficilement
inflammables.
– Protection contre le feu : compartimentage (pare-feu, couvre feu) et résistance (stabilité au
feu) (eum, faut reregarder le cours, j'avais l'air d'avoir compris ce que je racontais donc me
suis pas trop étalée de dessus...j'aurais dû xD)
– structure doit être hyperstatique

Pour atteindre stabilité :


– béton : bon enrobage des armatures + ferraillage surabondant
dalle : plus elle est épaisse, plus longtemps elle résistera au feu
Autres schémas intéressants dans poly
– bois : partie brûlée = protection pour partie non brûlée
vitesse de propagation double quand direction de propagation dans le sens des fibres
– acier : à protéger du feu car température trop élévée (900°C je crois) provoque diminution
résistance et limite d'élasticité donc.
Comment protéger? - protection rapportée
– cloisonnement horizontal/vertical
– refroidissement par eau dans profils creaux
9 – Les bétons : composition, dosages, avantages et inconvénients pour les structures.

Bétons : banché, armé, pré-contraint

Histoire (juste pour culture, ça fait 3ans qu'on nous le rabâche, il serait peut-être temps qu'on la
connaisse enfin xD)
– un des matériaux les plus anciens après terre cuite (utilisé par les Romains)
– mot « béton » apparaît en 1737, Belido
– 1817 : Vicat invente le ciment. Ère utilisation par Aspdin à Portland.
– 1850/60 : 1ères cimenteries françaises
– apparition ciment armé, puis béton armé
1ère utilisation : barque de Lambot, 1848
– 20e siècle : Freyssinet invente béton pré-contraint (hangars d'Orly, 1929)
Siècle d'améliorations, innovations.

Composition : béton = ciment + eau + granulats


Ciment + eau dormant une sorte de pâte qui sert de lubrifiant et colle.

> ciment : liant hydraulique fabriqué à partir de la cuisson du calcaire (76%) et argile (24%).
A température = 1450°C.
Hydraulicité : grâce à chaux + silice + alumine (chaux = cuisson du calcaire marneux à 800°C

Ciments classés suivant leurs résistance en Mpa. Voir liste dans le cours, trop la flemme xD

> granulats = minéraux (diamètre : jusqu'à 125mm) propres de toute matière organique.
Classés suivant grosseur. Idem, voir dans le cours si tu veux les apprendre.
De nature différente, usage dépend du type de béton voulu. Idem voir tableau poly.
Pourcentages : le mieux > 2/3 en poids de gros/moyens granulats + 1/3 de fins = nombre total de
granulats dans béton.

> eau de gâchage = propre de toute matière orga aussi, ph à peu près neutre, pas utiliser eau de mer!

Utilisation : - mouiller les granulaters pour mise en contact avec ciment.


– faciliter fluidité lors de la mise en place du béton (= ouvrabilité du béton)
– réaliser réaction chimique d'hydratation du ciment (déclenchement de la « prise »)
Le reste doit être évacué. Donc doit être dosée avec précision.

> adjuvants : - modifient ouvrabilité du béton


ou – modifient temps de prise et durcissement
ou – modifient certaines propriétés (genre amélioration résistance au gel, etc)
• ce sont des produits de cure = protègent le béton pendant durcissement.

Dosage. But : réduire porosité du béton = quantités ciment et eau minimales pour résistance max.
Résistance mesurée par essais destructifs, essais non destructifs, ou vitesse du son à travers béton.
Voir tableau dosage types.

Avantages. Résistance à la compression. De 25 à 60/80 Mpa.

Inconvénients. Faible résistance à la traction + retrait du béton pendant durcissement = fissures!


Certaines sont acceptables, du moment qu'elles sont pas préjudiciables.

D'où utilisation combinée acier et béton :


– béton armé
– béton pré-contraint : on comprime grâce à des câbles insérés et pré-tendus dans la section
avant, donc moins d'efforts de traction. On prévoit et prévient des futurs efforts de traction.
– béton de fibres : fibres de petites dimensions dans le béton = moins de micro-fissures.

10 – Fondations légères, principes et technologie pour différentes situations en ville, sur carrières,
avec nappe phréatiques.

Fondations légères = superficielles. Pas besoin d'aller chercher un « bon sol » plus bas que le
dernier niveau du bât donc semelles filantes (sous les murs) ou ponctuelles (sous les poteaux)
suffisent. Voir schéma type de semelles dans poly.
Attention : semelles ont tendance à se déformer d'où armatures en partie inférieure.

Règles :
– terrain en pente = règle des 2/3 (voir schémas poly)
– joints : s'interrompent avec les massifs de fondation (idem poly)
– si semelle ne peut pas être placée dans l'axe des charges verticales, utilisation longrines pour
relier les différents massifs, et qui résistent aux moments de flexion et décalage des charges.
Voir poly pour schéma.

Dimensionnement : faire en sorte que pression de la semelle sur sol soit inférieure à pression
admissible.

Rien sur ce que se passe selon qu'on est en ville ou quoi!

11 – Fondations profondes, principes et technologie et principes de conception ; les dispositions


constructives (les différentes géométries, ferraillages, mises en oeuvre)?

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