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********* **********
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
*********
PRIMATURE
*********
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
*********
INSTITUT NATIONAL SUPERIEUR DES SCIENCES
ET TECHNIQUES D’ABECHE
*********
SECRETARIAT GENERAL
*********
Sommaire
AVANT-PROPOS ..................................................................................................................... i
REMERCIEMENTS ................................................................................................................ ii
DEDICACES ........................................................................................................................... iii
INTRODUCTION GENERALE ............................................................................................ 1
CHAPITRE I : ELECTRONIQUE ANALOGIQUE ........................................................... 3
TP 1 : GBF / OSCILLOSCOPE .......................................................................................... 3
Manipulation 1 : Etude de GBF / Oscilloscope .................................................................. 3
Manipulation 2 : Etude du circuit RC................................................................................. 3
Manipulation 3 : Etude d’un filtre passif du 1er ordre....................................................... 4
TP 2 : TRANSISTOR EN COMMUTATION ................................................................... 4
Manipulation 1 : Polarisation par résistance de base ........................................................ 5
Manipulation 2 : Polarisation par pont de base et résistance émetteur ............................. 6
TP 3 : TRANSISTOR EN AMPLIFICATION .................................................................. 7
Manipulation 1 : Montage émetteur commun ..................................................................... 7
Manipulation 2 : Montage base commune.......................................................................... 8
Manipulation 3 : Montage collecteur commun ................................................................... 9
TP 4 : AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL ............................................................... 10
Manipulation 1 : Montage non-inverseur ......................................................................... 10
Manipulation 2 : Montage inverseur ................................................................................ 11
Manipulation 3 : Montage comparateur inverseur .......................................................... 11
TP 5 : MULTIVIBRATEUR ............................................................................................. 12
Manipulation 1 : Montage multivibrateur astable............................................................ 12
Manipulation 2 : Montage multivibrateur monostable ..................................................... 13
CHAPITRE II : ELECTRONIQUE NUMERIQUE .......................................................... 15
TP 1 : DECODEUR-AFFICHEUR 7 SEGMENTS......................................................... 15
Manipulation 1 : Reconnaissance des broches du CD4511BCN ..................................... 15
Manipulation 2 : Décodeur –Afficheur 7 segments .......................................................... 16
TP 2 : COMPTEUR / DECOMPTEUR ........................................................................... 17
Manipulation 1 : Réalisation d’un compteur modulo 10 à l’aide de bascule JK ............. 17
Manipulation 2 : Réalisation du compteur modulo 10 à l’aide du CI 4518 ..................... 18
TP 3 : LES REGISTRES ................................................................................................... 19
Manipulation 1 : Registre à écriture série et lecture série ............................................... 19
Manipulation 2 : Registre à écriture parallèle et lecture parallèle .................................. 20
Manipulation 3 : Registre à écriture série et lecture parallèle ........................................ 21
a
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b
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b) Insolation ................................................................................................................... 38
c) Révélation .................................................................................................................. 39
d) Gravure ...................................................................................................................... 39
e) Perçage ...................................................................................................................... 39
SUGGESTIONS ..................................................................................................................... 40
CONCLUSION GENERALE ............................................................................................... 41
RESUME ................................................................................................................................. 42
ANNEXES ............................................................................................................................... 43
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ............................................................................. 48
c
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d
INSTA/ANNEE ACADEMIQUE 2014-2015
AVANT-PROPOS
L’Institut Universitaire des Sciences et Techniques d’Abéché (IUSTA) est créer en 1997
désormais connu sous le nom de l’Institut National Supérieur des Sciences et Techniques
d’Abéché (INSTA) le 02 Mars 2015 par la Décision N°66 PR/PM/MESRS/INSTA/SG/2014.
C’est une institution étatique qui forme les jeunes scientifiques. Diverses filières y sont
disponibles avec un accès soumis au concours. Elles sont entre autres : Electromécanique,
Informatique Industrielle et de Gestion, Science Biomédicale et pharmaceutique, Science et
Technique d’Elevage. L’Electromécanique est scindée au cours de l’année académique 2011-
2012 en Génie Electrique, Génie Mécanique et Génie Energétique. A l’issue de trois(3) ans
d’études, les étudiants sortent avec un diplôme d’Ingénieur de travaux.
Pour bien mener ces formations, l’INSTA a mis en place des partenariats avec des
universités nationales (Institut Universitaire Polytechnique de Mongo (IUPM) et Faculté des
Sciences Exactes et Appliquées (FSEA)) et internationales (Institut National des Sciences
Appliquées (INSA) de Lyon et l’Université Jean Monnet de Saint Etienne) dans le cadre de
mettre en place un Master professionnel (Master II) avec deux (2) options : Génie Electrique et
Génie Mécanique. Le financement de cette formation est assuré par plusieurs institutions dont
l’entreprise Esso est le routeur. Le stage de fin de formation est autorisé, lequel doit faire l’objet
d’une présentation de rapport pour évaluer les capacités de l’étudiant dans la vie
professionnelle. L’obtention du diplôme d’Ingénieur de conception est tributaire du verdict de
jury. Raison pour laquelle vous avez entre les mains, le travail, fait au laboratoire de Master
Esso en qualité d’étudiant du département Génie Electrique.
i
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REMERCIEMENTS
Loin d’être une simple formalité académique, j’ai l’obligation intellectuelle de
m’acquitter d’un devoir du cœur en exprimant ma reconnaissance à tous ceux qui, de près ou
de loin, de manière directe ou indirecte, ont contribué à la réalisation de ce travail.
Je remercie du fond de cœur le Tout-Puissant pour sa protection divine durant
mon cursus académique ;
Je remercie autant l’administration de l’I.N.S.T.A sans oublier le Pr. JEAN
JACQUES ROUSSEAU de l’université Jean Monnet de Saint Etienne (France).
Ma reconnaissance va ensuite à mes professeurs auprès desquels j’ai trouvé la
disponibilité malgré leurs contraignantes obligations. Je remercie
solennellement pour leur présence auprès de moi tant au niveau d’encadrement
qu’au niveau d’enseignements. Sans oublier mon encadrant Dr. KHAMIS
YOUSSOUF KHAMIS.
Reconnaissance à mon oncle paternel NGAMAYE KAMDAOU qui m’a motivé
et qui a fait tous ses efforts pour m’aider tout au long de mon parcours d’études
jusqu’aujourd’hui.
Je remercie du fond de cœur mon oncle paternel GALI MASSA de m’avoir
accueilli pendant mes séjours à N’Djamena
J’exprime ma gratitude à mes frères et sœurs
Nul mot ne peut suffire pour exprimer ma gratitude aux camarades et amis de classe
pour les échanges et partages d’expériences, les remarques et suggestions pertinentes, le climat
fraternel et interactif qui a régné tout au long de notre formation.
ii
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DEDICACES
Je dédie ce travail au Père le Tout-puissant, mes parents, mes ami(e)s, mes frères et sœurs.
iii
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INTRODUCTION GENERALE
Comme dans toutes les institutions universitaires, après la fin de la formation
professionnelle, les étudiant(e)s ont droit à un stage pratique dans une société
industrielle ou dans un laboratoire. L’Institut National des Sciences et Techniques
d’Abéché (INSTA) a décidé de redynamiser la formation dans le domaine pratique, de
mettre en place les protocoles de Travaux pratiques tout en mettant aussi en appui
des résolutions de ces derniers.
Ce stage correspond à une période temporaire de la mise en situation dans le
monde professionnel durant laquelle l’étudiant met en œuvre ses connaissances
théoriques et acquit des compétences pratiques. L’objectif de ce stage consiste en
général la mise en place des protocoles en se basant des théories appris en
électronique, permettant aux étudiants concernés de cette formation de réaliser leurs
projets lors de séances des Travaux pratiques.
Les taches qui m’ont été confiées consistaient à :
Identifier les matériels électroniques ;
Proposer et mettre en place des simples montages ;
Interpréter les montages électroniques ;
Concevoir une maquette électronique destinée pour les travaux pratiques.
Notre travail est subdivisé en quatre chapitre, savoir :
→Chapitre I : Electronique analogique
Dans ce premier chapitre nous présentons les différents travaux pratiques
destinés à la partie électronique analogique, à savoir l’oscilloscope (principe de
fonctionnement, utilisation…), le transistor (communication et amplification),
l’amplificateur opérationnel (régime linéaire et non linéaire) et les multivibrateurs à
NE555.
→Chapitre II : Electronique numérique
Dans ce deuxième chapitre nous présentons les différents travaux pratiques
destinés à la partie électronique numérique, à savoir l’étude d’un décodeur associé à
un afficher 7 segments (principe de fonctionnement, utilisation…), l’étude des bascules
et leurs applications (compteurs et registres).
→Chapitre III : Résolution des protocoles
Ensuite ce troisième chapitre traite la résolution des TP mis en place, ce qui
devient en quelque sorte aux enseignants un référentiel
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3. Changer la valeur de la capacité avec différentes valeurs mises à votre disposition tout
en fixant la valeur de la résistance et observer l’évolution de la grandeur de sortie.
Mesurer la constante de temps et comparer à sa valeur théorique. Conclure.
4. Refaire la même opération avec différentes valeurs de la résistance en fixant la valeur
de la capacité. Conclure.
Manipulation 3 : Etude d’un filtre passif du 1er ordre
On souhaite dans cette 3ème manipulation mettre en œuvre un filtre passif du 1er ordre, à savoir
le filtre passe bas et passe haut.
1. Refaire le schéma de la figure 1 ci haut pour les valeurs de R=22Ω et C=2200uF.
Remplir le tableau ci-dessous :
f(Hz) 10 100 200 300 500 1K
Ve (V)
Vs (V)
G en dB
Φ (°)
1. Tracer le diagramme de Bode de ce filtre. En déduire la fréquence de coupure fC et
comparer avec sa valeur théorique.
2. Refaire la même opération avec un filtre passif passe haut du 1er ordre.
TP 2 : TRANSISTOR EN COMMUTATION
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Généralités :
Le transistor bipolaire est un composant à trois électrodes nommées base (électrode de
commande), collecteur et émetteur (électrodes de puissances).
Il existe 2 types de transistor bipolaire : le NPN qui est commandé par un courant de
base positif entrant, et le PNP qui est commandé par un courant de base positif sortant.
Manipulation 1 : Polarisation par résistance de base
Etude théorique du montage
On veut : S=0 LED éteinte et S=1 LED allumée avec ILED=20mA
Partie puissance : Donnez la valeur de ICSAT lorsque le transistor est saturé. Calculez
alors la valeur de RC qui fixe ce courant (on donne la tension de seuil de la DEL : 1,5 V
et Vcc = 5 V).
Partie commande : On cherche à se placer à la limite de la saturation. On considère que
la relation IC=β.IB est donc toujours valable. Calculer alors le courant IB de « juste
saturation », IBJSAT. Pour être sûr de saturer le transistor, on applique un coefficient de
sécurité (dit de sursaturation) de l’ordre de 2 à 10 : IBSAT=2.IBJSAT. Calculez IBSAT. En
déduire la valeur de RB sachant que Ve=5 V.
Soit le montage de la figure ci-après :
1. Mesurer le gain en courant β du transistor mis en votre disposition ;
2. Mesurer les courants IC et IB. En déduire β et comparer avec la valeur mesurée ;
3. A la saturation, vérifier le comportement de l’interrupteur ;
4. Quels sont les avantages et inconvénients de ce montage ?
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TP 3 : TRANSISTOR EN AMPLIFICATION
Objectifs :
Mettre en œuvre le modèle des «petits signaux» d’un transistor (fonctionnement
dynamique)
Mettre en œuvre les principaux modes d’un transistor en régimes dynamiques (Emetteur
commun, Base commune et Collecteur commun)
Détermination des paramètres d’un amplificateur (gain en tension, impédance d’entrée
et impédance de sortie)
Le transistor utilisé est de type BC547BTA représenté à la figure 2.
Mesure d’impédance d’entrée
La mesure de l’impédance d’entrée du quadripôle consiste à placer un potentiomètre
variable entre l’entrée (GBF) et l’entrée de l’amplificateur puis ajuster ce potentiomètre jusqu'à
obtenir un signal d’entré égal au signal d’entrée de l’amplificateur divisé par deux (pont diviseur
de tension par 2).
Mesure du gain en tension
Consiste à faire le rapport du signal de sortie par le signal d’entrée, visualisées à
l’oscilloscope.
Manipulation 1 : Montage émetteur commun
Soit le montage de la figure ci-dessous :
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TP 4 : AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL
Objectif :
Etudier le comportement de l’amplificateur opérationnel en régime linéaire et non
linéaire.
L’amplificateur opérationnel utilisé est de type LM324 qui est un circuit intégré
composé de 4 ampli-op.
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1. Réaliser le montage de la figure ci-dessous et faire vérifier votre câblage avant de mettre
sous tension ;
2. Visualiser les tensions d’entrée et de sortie ;
3. On demande de mettre à l’entrée non-inverseuse une batterie de 5V. qu’observez-
vous ?interpréter.
4. Quel est le rôle de ce montage ?
Liste des matériels :
Générateur Basse Fréquence ;
Oscilloscope ;
Un amplificateur opérationnel (LM324) ;
Des résistances ;
Des câbles de connexion.
TP 5 : MULTIVIBRATEUR
Objectif :
Comprendre le fonctionnement de NE555 en multivibrateur astable et monostable
Le NE555 utilisé est représenté ci-dessous :
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Figure 16: Montage d’un décodeur avec afficheur 7 segments à anode commune
Matériels utilisés :
Circuits intégrés SA52-11EWA et CD4511BCN ;
LED de 1.5V ;
Une platine ;
Des résistances de 100Ω ;
Micro-interrupteurs à 2 positions.
TP 2 : COMPTEUR / DECOMPTEUR
Objectifs :
Bien comprendre le principe de fonctionnement de la fonction comptage et décomptage
Réaliser un compteur modulo 10 à l’aide des bascules JK ;
Réaliser un décompteur modulo 10 à partir des bascules JK ;
Réaliser un compteur modulo 10 à l’aide du circuit intégré 4518B.
Manipulation 1 : Réalisation d’un compteur modulo 10 à l’aide de bascule JK
Dans cette première manipulation, nous souhaitons réaliser un compteur modulo 10, c'est-à-
dire qu’il compte de 0 à 9, à l’aide des bascules JK.
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Matériels utilisés :
Circuits intégrés HCF4518BEY et DM 7473 ;
LED de 1.5V
Une platine ;
Un Générateur Basse Fréquence ;
Micro-interrupteurs à 2 positions.
TP 3 : LES REGISTRES
Objectifs : Cette séance de TP permet aux étudiants de bien comprendre le fonctionnement des
différents registres, à savoir :
Registre à écriture série et lecture série ;
Registre à écriture parallèle et lecture parallèle ;
Registre à écriture série et lecture parallèle ;
Registre à écriture parallèle et lecture série.
Nous utilisons des bascules D à partir d’un CI DM7474 pour fabriquer ces registres
(voir sa fiche technique à l’annexe)
Manipulation 1 : Registre à écriture série et lecture série
Cette manipulation permet à l’étudiant de mettre en œuvre un registre à écriture série et
lecture série à partir des bascules D. Les sorties sont représentées par des LED.
1.1.Expliquer ce que veut dire un registre à écriture série et lecture série ;
1.2.Donner un exemple d’application de ce registre ;
1.3.Réaliser le montage représenté sur la figure ci-après et le faire vérifier impérativement à
l’enseignant avant la mise sous tension ;
1.4.Combien de bit contient ce registre ?
1.5.Quels sont les bits d’entrée et de la sortie ?
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Matériels utilisés
Deux circuits intégrés DM7474 ;
Un circuit intégré SM7432N ;
Une platine ;
Des câbles de connexions ;
Un générateur des signaux basse fréquence ;
Quatre LEDs.
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Nous constatons que τth > τmes. Parfait, la charge et la décharge dépend du
Condensateur (F) Résistances (Ω) Temps de mesure (s) Temps théorique (s)
0.47µ 470 0.25m 0.22m
0.47µ 1.5K 0.7m 0.7m
0.47µ 2.2K 1.2m 1m
2. Traçons le diagramme de Bode d’un filtre passif passe bas du 1er ordre
Figure 22 : Diagramme de Bode d’un filtre passif passe bas du 1er ordre
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𝑉𝑠 𝑓
G (dB)=20log ( ). En déduisons la fréquence de coupure : G (dB)=-20log ( ) ; on sait qu’à la
𝑉𝑒 𝑓𝑐
𝑓
fréquence de coupure G (dB)= -3dB → =√2. Nous estimons f=400Hz donc fc=283Hz. La
𝑓𝑐
Figure 23 : Diagramme de Bode d’un filtre passif passe haut du 1er ordre
TP 2 : TRANSISTOR EN COMMUTATION
Manipulation 1 : Polarisation par résistance de base
Soit son montage à la figure 3
Etude théorique :
Partie puissance : Lorsque le transistor est saturé, ICSAT=IC donc IC=20mA
Calculons RC avec VLED=1.68V et VCC=5V
𝑉𝑐𝑐−𝑉𝑙𝑒𝑑−𝑉𝑐𝑒
VCC=VLED+RC.IC+VCE → RC= donc RC=156Ω
𝐼𝑐
Partie commande : Calculons IBJSAT
𝐼𝑐
IC=β.IB → IBJSAT= → IBJSAT=0.18mA
𝛽
Calculons IBSAT en utilisant le coefficient de sursaturation :
IBSAT=2.IBJSAT → IBSAT=0.36mA
En déduisons RB sachant que VCC=5V
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𝑉𝑐𝑐−𝑉𝑏𝑒
VCC=VBE+RB.IBSAT → RB= → RB=12KΩ
𝐼𝑏𝑠𝑎𝑡
Soit le montage de la polarisation par résistance de base à la figure2
1. Le gain du transistor mesuré est : βM=250
2. Les valeurs de mesures sont : IB=0.04mA, IC=9,73mA et VCE=0.74V. En déduisons β,
on sait que : IC= β.IB → βC=243. Donc βM > βC, cela est dû à l’erreur des mesures.
D’après la notice technique de ce transistor le gain est compris entre [110 ; 800], alors
nous sommes dans la bonne marge.
3. A la saturation, l’interrupteur est fermé : IC=ISAT< β.IB (critère de la saturation) et
VE=0.1 à 2V (conséquence)
4. Avantages : souplesse, facile à réaliser et un rendement maximal théorique important
valant 78%.
Inconvénient : le gain dépend de la température
Manipulation 2 : Polarisation par pont de base et résistance émetteur
Soit son montage à la figure 4
1. Les valeurs de mesures sont : IC=8.76mA, IE=14.1mA et VCE=0.28V
2. Pour une valeur de R2=500Ω : IC=8.18mA, IE=20mA et VCE=0.26V
3. Pour une valeur de R1=100Ω : IC=7.45mA, IE=27 .2mA et VCE=0.24V
4. Avantage : le gain ne dépend pas de la température
Inconvénient :
5. Traçons la droite de charge statique :
Au blocage : IC=0 et VCE=VCC=12V
A la saturation : IC=ICSAT et VCE=0
𝑉𝑐𝑐
Point de fonctionnement : VCE =
2
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TP 3 : AMPLIFICATEUR A TRANSISTOR
Manipulation 1 : Montage émetteur commun
Soit son montage à la figure 5
𝑉𝑐𝑐
Données : IC=10mA ; β =110 ; VCE = 2 ; Emax=emaxsin(ωt) avec emax=100mV et VCC=12V
1. Nous supposons que le courant de polarisation est de l’ordre 10IB. Déterminons les
valeurs de résistances :
IP=10IC/ β → IP=0.9mA
VCC=VCE + (RC+RE)*IC et VB=VBE + VE ; VE=VB - VBE
AN: VE=1.44-0.7=0.74 → VE=0.74V
VE=RE.IC
0.74
AN: RE= 0.01 = 74 → RE=74Ω
𝑉𝑐𝑐−𝑉𝑐𝑒
RC= - RE
𝐼𝑐
6
AN: RC= -74=526 →RC=526Ω
0.001
VB=R1.IP avec VB=0.74V → R1=814Ω
𝑉𝑐𝑐
VB=R1. → R2=X=12386Ω
𝑅1+𝑋
Prenons les valeurs normalisées : R1=1KΩ ; R2=12KΩ ; RC=560Ω et RE=82Ω
2. Visualisons les tensions d’entrée et de sortie à l’oscilloscope
𝑉𝑠
En déduisons le gain : AV=
𝑉𝑒
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TP 4 : AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL
Manipulation 1 : Montage non inverseur
Soit son montage à la figure 9
Nous appliquons à l’entrée non inverseuse un signal sinusoïdal d’amplitude 2V et de fréquence
1KHz à l’aide du GBF. L’amplificateur opérationnel est alimenté par une source des tensions
continues de +15V et -15V dont la +15V est appliquée à l’entrée 4 et -15V à l’entrée 11.
Données : R1=1KΩ et R2=2KΩ
1. Visualisons les tensions d’entrée et de sortie à l’oscilloscope
En déduisons le gain en tension : VS=5.97V et VE=1.99V. Connaissons que le
Vs
GV= → GV=3
𝑉𝑒
2. Changeons la valeur de R1 avec celles mises à notre disposition.
Pour R1=33Ω, la sortie est saturée
Pour R1=1.2KΩ, VS=5.32V et VE=1.99V→le gain a diminué
Donc plus on diminue R1 on sature l’amplificateur et plus on augmente R1 on diminue
le gain pour R2 fixe.
3. Changeons la valeur de R2 avec celles mises à notre disposition
Pour R2=560Ω, VS=3.10V et VE=1.99V
Pour R2=3KΩ, VS=7.96V et VE=1.99V
Donc plus on diminue R2 le gain diminue, plus on augmente R2 le gain augmente et à
force d’augmenter R2 on sature l’amplificateur.
4. Ce montage est beaucoup utilisé dans les microphones et radiophonies.
5. Lorsqu’on augmente l’amplitude, la sortie devient de plus en plus importante.
Manipulation 2 : Montage inverseur
Soit son montage à la figure 10
Données : R1=1KΩ et R2=2KΩ
1. Réalisons le montage
2. Visualisons les tensions d’entrée et de sortie à l’oscilloscope
Vs
En déduisons le gain en tension : VE=1.99V et VS=-3.98V → GV= 𝑉𝑒 → GV = -2
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TP 5 : MULTIVIBRATEUR
Manipulation 1 : Montage multivibrateur astable
Soit son montage à la figure 13
Données : R1=1KΩ, R2=5800Ω et C=470µF
1. Réalisons le montage
2. Traçons la caractéristique du trigger
2
Lorsque la tension aux bornes de C atteint de VCC , le transistor court-circuite
3
alors le condensateur C en dérivant vers la masse son courant de charge. Le
condensateur se charge via la broche 7 et R2 : la tension à ses bornes diminue.
→VS=0
1
Lorsque celle-ci aura atteint de VCC, le transistor est bloqué. Le condensateur
3
recommence de se charger et nous nous retrouvons dans la situation initiale.
→VS=VCC
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1. LT signifie Lamp Test, a pour rôle de tester la lampe. C‘est une entrée employée pour
examiner l’affichage, à l’arrêt ou la modulation d’impulsion d’éclairage d’afficheur
BCD mémorise les données.
2. BI signifie Blanking, a pour rôle de marquer. C’est une entrée employée pour examiner
l’affichage, à l’arrêt ou la modulation d’impulsion d’éclairage d’afficheur BCD
mémorise les données.
3. LE signifie Latch Enable, a pour rôle de verrouiller la lampe. C’est une entrée employée
pour examiner l’affichage, à l’arrêt ou la modulation d’impulsion d’éclairage
d’afficheur BCD mémorise les données.
4. Les broches représentant les entrées sont : A, B, C et D
5. Les broches représentant les sorties sont : a, b, c, d, e, f et g
6. Nous avons réalisé le câblage
7. Procédons à la vérification de la table de vérité donnée par le constructeur :
Décimal D C B A a b c d e f g
0 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 0
1 0 0 0 1 0 1 1 0 0 0 0
2 0 0 1 0 1 1 0 1 1 0 1
3 0 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1
4 0 1 0 0 0 1 1 0 0 1 1
5 0 1 0 1 1 0 1 1 0 1 1
6 0 1 1 0 1 0 1 1 1 1 1
7 0 1 1 1 1 1 1 0 0 0 0
8 1 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1
9 1 0 0 1 1 1 1 0 0 1 1
10 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0
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4. Si on alimente avec une tension de 5V, on endommage l’afficheur. Pour cela, nous
réglons l’alimentation de la platine à 2.5V et nous utilisons des résistances de 100Ω afin
de limiter le courant ;
5. Réalisons le câblage ;
6. Vérifions la table de vérité du décodeur de ce nouveau montage :
Décimal D C B A a b c d e f g
0 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 0
1 0 0 0 1 0 1 1 0 0 0 0
2 0 0 1 0 1 1 0 1 1 0 1
3 0 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1
4 0 1 0 0 0 1 1 0 0 1 1
5 0 1 0 1 1 0 1 1 0 1 1
6 0 1 1 0 1 0 1 1 1 1 1
7 0 1 1 1 1 1 1 0 0 0 0
8 1 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1
9 1 0 0 1 1 1 1 0 0 1 1
10 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0
7. Nous utilisons les inverseurs dans ce montage pour pouvoir inverser les sorties.
En réalité, comme c’est un afficheur à anode commune, il affiche en décimal lorsque
ces sorties sont mises à zéro. Raisons pour laquelle les sorties sont inversées voir la table
de vérité ci-haut.
TP 2 : COMPTEUR/DECODEUR
Manipulation 1 : Réalisation d’un compteur modulo 10 à l’aide de bascule JK
1. Comme nous voulons compter de 0 à 9 il nous faut nécessairement 4 bascules donc
24=16. Bref c’est un compteur à séquence tronquée.
2. Nous avons réalisé le montage.
3. Les résistances permettent de limiter le courant et les inverseurs ont pour rôle d’inverser
les sorties.
4. La porte NAND a pour rôle de faire une remise à zéro dès que le compteur atteint 9
5. La remise à zéro se fait au niveau 10 et c’est à partir des bascules B et D.
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TP 3 : LES REGISTRES
Manipulation 1 : Registre à écriture série et lecture série
1. C’est un registre à entrée série et sortie série (SISO) ;
2. Ce registre à pour application : essentiellement le calcul arithmétique binaire ;
3. Fait
4. Il contient 4bits généralement ;
5. Il contient 1 bit à l’entrée et 4 bits à la sortie
6. Fonctionnement : ce registre possède une entrée et une sortie ; les données binaires
d’entrée sont introduites bit après bit. Elles sont généralement disponibles les unes après
les autres au rythme de l’horloge en sortie.
Manipulation 2 : Registre à écriture parallèle et lecture parallèle
1. C’est un registre à entrée parallèle et sortie parallèle (PIPO)
2. Son domaine d’application : il est généralement utilisé dans les mémoires tels que USB,
téléphonie etc… à accès séquentiel.
3. Câblage
4. Il contient 4 bits à l’entrée et à la sortie
5. Le rôle des portes AND(ET) permet de faire la lecture
<<Read>>=1 : lecture et Horloge=1 : écriture
6. Fonctionnement : Toutes les entrées (E1, E2, E3 et E4) sont introduites en même dans
le registre et toutes les sorties (S1, S2, S3 et S4) sont disponibles au même instant. Ceci
permettant de faire un stockage en parallèle et un transfert en parallèle d’un mot de n
bits.
Manipulation 3 : Registre à écriture série et lecture parallèle
1. C’est un registre à entrée série et sortie parallèle (SIPO). Il a pour application :
convertisseur série-parallèle (réception lors d’une transmission série).
2. Ce registre possède une entrée E et quatre sorties (S1, S2, S3 et S4). Les données
binaires d’entrée sont introduites bit après bit. Les sorties sont toutes disponibles en
même temps. Ces registres peuvent être utilisés pour faire une transformation série-
parallèle des données. La donnée est disponible après N coups d’horloge, où N est le
nombre de bascules.
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Pour fonctionner correctement, il ne faut pas que deux sorties soient actives en
même temps. Donc, par exemple quand Micro-inter5=1, le bus de sortie S est relevé à
la sortie Q de la 1ère bascule.
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b) Insolation
Cette deuxième étape consiste à mettre en place les différentes pistes constituant le circuit
imprimé, ce qui revient à :
Préparer la plaque : ce qui veut dire qu’il faut enlever la couche de plastique ;
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c) Révélation
Cette troisième étape se réalise à l’aide des cristaux dissous dans de l’eau à 25°C ; pendant
une durée de 2 à 3mn.
d) Gravure
La gravure est une étape qui permet d’enlever la couche de résine après révélation. Cette
étape est réalisée par un mélange de perchlorure de fer et de l’eau à environ 30°C, pendant une
durée de 45mn environ. Après cette étape de gravure une étape de nettoyage à l’acétone est
indispensable. Cette opération se réalise à l’aide d’une machine représentée sur la figure ci-
après.
e) Perçage
C’est la dernière étape qui consistait à percer les trous et mettre en place les composants et
assurer la soudure de ces derniers. Ensuite on vérifier les bonnes connexions afin d’éviter tout
court-circuitage.
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SUGGESTIONS
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CONCLUSION GENERALE
En somme, nous avons passé ce stage avec aisance dans la mesure où nous pouvons
bien former nos propres jugements et conquérir notre autonomie que ça soit dans la vie
professionnelle dans la mesure du possible. Au terme de ce stage, l’expérience s’est relevée
positive.
En effet, la qualité pédagogique de cette course dans le monde du travail professionnel est
indéniable, elle nous a permis de quitter le domaine théorique pour découvrir les réalités
pratiques. Ainsi donc, nous avons pu, suivant la nature des tâches effectuées, mettre en exergue
les connaissances acquises au cours pour faire face à la problématique nouvelle. De ce fait, les
difficultés surmontées ne sont que des circonstances vers l’acquisition des nouvelles
compétences.
En outre, ces montages pourront dorénavant être un privilège pour les futur(e)s
étudiant(e)s de cette formation de mettre en œuvre leurs connaissances lors des séances de
travaux pratiques.
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RESUME
Cette mise en place des protocoles permet aux étudiant(e)s de se familiariser avec les
matériels qu’ils utiliseront durant leurs travaux pratiques en électronique. Ils apprendront
également à :
Reconnaître les divers constituants d’un circuit électronique ;
Faire correctement des mesures de tension, de courant et des impédances dans un circuit
électronique ;
Réaliser un circuit électronique d’après un schéma ;
Visualiser une tension sur l’oscilloscope.
Ensuite, concevoir une maquette électronique pédagogique destinée pour ces travaux
pratiques. Et enfin, apprendre à respecter certaines mesures de sécurité (car toute manipulation
‘imprudente’ des circuits électroniques peut être un danger pour le manipulateur et pour son
entourage).
Mots clefs : Mesure courant, tension, oscilloscope, BC547BTA, circuits intégrés NE555,
LM324, CD4511BCN, SA52-11EWA, DM7473 et DM7474.
ABSTRACT
This protocols putting permit to familiarize the students with the materials they will use
during their practical work in electronics. They will also learn with :
To recognize the different components of electronic circuit ;
To correctly make the measures of voltage, current and impedances in an electronic
circuit ;
To carry out an electronic circuit according to a diagram ;
To visualize on the oscilloscope an voltage.
Ultimate, to conceive electronic model pedagogic for this practical work.
And final, to learn how to respect certain safety measures (because any handling ` imprudent'
of the electronic circuits can be a danger for the manipulator and its environment).
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Key words: measuring current, voltage, scope, integrated circuit BC547BTA, NE555, LM324,
CD4511BCN, SA52-11EWA, DM7473 and DM7474.
ANNEXES
Ici, nous sommes appelés à vous joindre quelques fichiers comme suivent :
Nous présentons un de nos câblages réalisé sur la platine (Montage d’un afficheur 7
segments)
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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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