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Réalisé par :
HAIDER ABDESSAMAD
Encadré par:
Pr. GAROUM (EST SALE)
Mr. EZZAHEOUANI (OCP)
Mr. MOUID (OCP)
Parrain de Stage :
Mr. ESSAHYAOUI (OCP)
Soutenu le 05 Juin 2017 devant le jury
Pr. LAAROUSSI (EST SALE)
Pr. ROUGUI (EST SALE)
Pr. TAJJAYOUTI (EST SALE)
Pr. RADDAOUI (EST SALE)
Année universitaire 2016/2017
EST SALE LP-EEAB Page 1
Dédicace
Remerciement
Le stage est toujours un bon exercice pour le stagiaire. C’est la porte qui
permet une entrée Correcte et réussie dans la vie active, celle des entreprises et
des affaires.
Conscients de son importance, je préfère effectuer, au terme de chaque année
de formation un stage pratique. Ceci dans la perspective d’apporter un
complément à l’autoformation.
Le stage présente plusieurs avantages. Le stagiaire peut confronter ses
connaissances théoriques avec des situations réelles. C’est une façon de juger
l’efficacité de la formation reçue. Le stage permet également de s’adapter à la
vie professionnelle, d’acquérir de l’expérience et par la même, d’augmenter les
capacités professionnelles : le sens de la responsabilité, des relations humaines,
de la discipline et l’initiative.
Entreprendre un stage dans un grand établissement est une affaire pertinente,
de plus l’entreprendre au sein de l’OCP est une expérience très riche.
C’est vrai la tâche n’était pas si facile au début, mais grâce au soutien de
certaines personnes, j’ai pu initier à comprendre un domaine vague en
accomplissant certaines tâches est en assurant ma part de responsabilité.
Ce stage a pu me donner une vision sur la vie professionnelle dans sa réalité
avec toutes ses difficultés et ses contraintes et de bien savoir maîtriser le
domaine du travail par la suite de façon efficace.
CONCLUSION GENERALE 56
Chapitre I :
Présentation et l’historique de
l’entreprise Office Chérifien de
Phosphate.
3. L’organigramme de l’OCP :
DG
DIRECTION
GENERALE
PF DRH DRI
POLE FINANCE DIRECTION DIRCTION
ET RESSOURCES RECHERCHE
SUPPORT HUMAINES INNOVATION
PC PM DSD
POLE POLE DIRECTION
CHIMIE MINES STRATEGIE
LOGISTIQUE DEVELOPE
DC DQE
DIRECTION DIRECTION
COMERCIALE QUALITE
ENVIRON.
PMK PMG
EST SALE
DIRECTION DES LP-EEAB
DIRECTION DES PMB Page 10
EXPLOITATIONS EXPLOITATIONS DIRECTION DE
MINIERES DE MINIERES DES PHOSBOUCRAA
KHOURIBGA GANTOUR
4. Les principaux sites d’exploitations :
Le centre d’exploitation de Oulad Abdoun (Khouribga)
Le centre d’exploitation Gantour (Youssoufia-Ben guérir)
Le centre d’exploitation de Boucraâ (Laâyoune)
5. La fiche technique :
transformation
et commercialisation
dérivés.
2-4 Rue AL ABTAL HAY Siège social
ERRAHA (ex Angle route d’EL
JADIDA ET BPULEVARD DE LA
GRANDE CEINTUR).BP 5196-
CASABLANCA.
www.ocpgroup.ma Site WEB
Phosphates et dérives Production
phosphates (acide phosphore
Stock de BENGURIR
CL1
Le phosphate brut est repris à partir du stock par le convoyeur à bonde CL1 pour alimenter
Le convoyeur CL2 qui diverse dans trémie tampon placée à la tète de la ligne de lavage. Cette
trémie est munie d’un convoyeur extracteur permettant d’alimenter avec un débit réglable le
convoyeur C2. Ce dernier alimente le débourbeur placé en tète du circuit de lavage
Classification.
3- Le débourbage :
A- Le but :
C’est une opération qui consiste à faire une séparation préalable granulométrique basée sur
l’entrainement du phosphate et de l’eau par des rails situés à l’intérieur d’un tambour
cylindrique creux animé d’un mouvement de rotation pour :
Assurer le malaxage et l’attrition du mélange phosphaté.
EST SALE LP-EEAB Page 19
Facilite le criblage à une maille de 3.15mm.
Libérer les gains de l’exo gangue argilo-calcaire qui les enrobent.
Préparer la pulpe à une séparation par hydro-classification.
B- Description du débourbeur :
Le débourbeur est un tambour sous forme de tube cylindrique (virole) avec fond munis
d’ouvertures circulaire sous forme conique pour l’alimentation et la sortie des produits
(solide+eau).
La virole est équipée 14 raille (permettant le malaxage, le délitage et mise en pulpe) et 14
palettes permettant l’avancement du produit dans le tambour sauf que le trois derniers qui sont
au sens opposé afin d’augmenter le temps de séjour.
L’intérieur de la virole est blindé en caoutchouc d’épaisseur (33mm). Chaque débourbeur est
entrainé par 4 moteurs (37 KW) et 16 roues (11.5 bars) (8 motrices, 8 folles).
4- Criblage :
La pulpe sortante du débourbeur subit un criblage pour éliminer la tranche grossière
(>3150µm) qui est envoyé vers la mise à terril, le passant est stocké dans un bac à pulpe BP1
avant d’être refoulé vers le circuit de classification.
Longueur 5,5m
Largeur 2,1m
Type de toile Polyuréthane 90A
Inclinaison 10°
Maille 3.15mm
Les cribles ne demandent pas une surveillance constante, mais il est nécessaire de contrôler à
intervalles réguliers certains points importants :
Régularité de répartition de l’alimentation sur le crible.
Bon état de la surface criblant, elle ne doit pas être colmatée.
Efficacité de l’arrosage (pression d’eau suffisante, orifices non obstrués).
Contrôle de l’amplitude de vibration.
Contrôle de qualités du criblage.
L’état des grilles ; ces dernières doivent être en bon état pour éviter le passage des gros grains
à travers les mailles de la surface criblant.
Rampe Arbre
Rampe
d’arrosage excentriqu
d’ass
e
Le gril
Goulotte D’alimentation
on
Moteur
Ressort
électrique
Ressort Goulotte
suspen d’évacuation
sion du stérile
Goulotte
d’évacuation
du passant
L’hydro-classificateur :
L'hydro-classificateur doit assurer une coupure réglable de 160 ou 180μm selon la qualité du
minerai traité ou selon la teneur demandée par le client pour donner naissance à deux flux.
Une sur verse de granulométrie inférieure 160/180μm destinée à subir un enrichissement par
flottation.
Une sous verse de granulométrie supérieure 160/180μm destinée à être épaissie par HE1 pour
constituer le concentré de lavage.
L’hydro-cyclone :
L'hydro-cyclone est un appareil servant le plus souvent à séparer et à trier les particules
solides dans une phase liquide, l'hydro-cyclone sépare les particules solides selon leurs
Le principe de fonctionnement :
L'hydro cyclone est un appareil de classification hydraulique en dimensions, il permet de
séparer les particules solides d'une pulpe en deux fractions granulométriques qui différent
selon la force centrifuge.
La pulpe alimentant l'hydro-cyclone est introduite tangentiellement dans la chambre
d'alimentation cylindrique.
Les particules dont la vitesse terminale de chute est élevée sont entraînées vers les parois du
cyclone sous l'effet de la force centrifuge. Cette force est plus importante pour les particules
de masse plus importante (c'est-à-dire de taille ou de densité plus importante).
Les particules solides les plus grosses et plus lourdes se rassemblent le long de la paroi
intérieure du cyclone, et sortent en bas de l’hydro-cyclone « sous verse » Tandis que les
particules solides, plus petites et plus légères dont la vitesse de chute est faible, sont
entraînées vers le centre du cyclone et sont repoussées vers le haut « sur verse ».
Description de hydro-cyclone :
L'hydro cyclone est constitué de trois parties :
Une partie cylindrique qui reçoit l'alimentation d’un tube rectangulaire, le
diamètre du cylindre est proportionnelle au diamètre du grain recherché.
Une partie conique.
Sur
verse
Alimentation
Disparition de
la colonne d’air
Sous verse
(en sortie)
6- Flottation :
Définition :
Principe de fonctionnement :
Le circuit La pulpe ainsi conditionné tombe par gravité dans la boite d’alimentation de
première cellule de flottation où a lieu l’ajout de collecteurs de la silice.
Avantages de la flottation :
Décanteur
Bassin Les
4000m2 digues
Pour calculer les charges thermiques, on se place dans les conditions de base c’est-à-dire
celles qui conduisent au calcul des charges maximales. Le système de climatisation tend par la
suite à garder la température constante dans le local, en établissant un équilibre thermique
entre l’intérieur et l’extérieur.
Tous les calculs doivent être effectué correctement pour pouvoir réaliser une installation
satisfaisante, car un système de climatisation sous-dimensionné ne peut jamais être
satisfaisant et d’autre part un système surdimensionné consomme inutilement de l’énergie et
nécessite d’avantage un investissement supplémentaire.
2- Etude thermique :
Hypothèses générales :
Murs extérieurs :
K=0.32 (W/m²/°C)
Murs intérieurs :
K=2 (W/m²/°C)
Toit :
K=0.4 (W/m²/°C)
Application numérique :
Qsocp=4×142=568 W
QLocp=Nocp×CLocp [W]
Application numérique :
QLocp=4×268=1072 W
Finalement :
QLocp= 568W + Qsocp=1072W
QTotal=1640 W
QEclairage=1.25×P×S W
Avec :
S : surface de plancher
2
S=300m
Application numérique :
QEclairag=16875 W
Les types d’appareils couramment utilisés peuvent être classés comme suit :
L’appareillage électrique (hors système d’éclairage): les appareils considérés ici sont
identiques à ceux considérés dans la catégorie « bureautique », mais leur nombre est
proportionnel à la surface du local et non au nombre d’occupants.
Les machines: ici, on saisira les appareils porteurs d’apports latents (appareils de cuisson),
ainsi que les appareils dont la puissance ne peut être rapportée ni à la surface du local, ni au
nombre d’occupants (par exemple un variateur de vitesse).
-Les apports de la majorité des appareils utilisés fréquemment dans le domaine résidentiel
sont standardisés dans la charte ASHREA :
- Qs Grille (variateur
de vitesse)=3000 w
Alors on a :
QLvariateur= 300×18=5400 W
Figure III.5: chaleurs latentes et sensibles des occupants selon LES appareils
E- Application numérique :
-La Température maximum correspond à celle du mois de juin à 16h :00 et est estimée à 46°C
-la température de la salle ne doit pas dépasser 26°C
QTrenv=15189,66w
+ =
Les apports thermiques provenant des infiltrations sont fonction de plusieurs facteurs
(vitesse de l’air, type de vitrage, étanchéité des cadres…)
La charte ASHREA version 2010 standardise ces derniers pour les nouvelles
fenêtres a double vitrage avec cadre étanche et c’est le cas d’ailleurs pour la salle
électrique, à 0,2l/s par m2 de la surface vitrée, ils sont calculées par les relations
suivantes :
S=15m²
Application numérique :
-le débit d’air infiltré dans la salle est donc : Qv=0,2×15=3l/s
QSinf= 1200×0,03×19=684 W
La charge thermique relative à ce type d’apport est purement sensible, il est calculable par
la relation suivante :
QStr = K. S .ΔT
- U = coefficient de transmission thermique de la paroi ou du vitrage
considéré en W/m²°C
- S = surface de la paroi ou de la fenêtre considérée (m²)
- ΔT = différence de température entre les deux faces de la paroi considérée [°C] (extérieur
2
-Umur-ext= 0.32 W/m . °C
2
-Umurs-int= 2 W/m .°C
2
-UToit= 0.4 W/m .°C
2
-Uvitrage= 5.8 W/m .°C
Applications numériques :
2 2
Surface (m ) K (W/m .°C) ΔT (°C) Q (W)
Vitrage 15 5.8 17 1479
Murs 70.3 0,32 17 382
Extérieurs
Murs intérieurs 34.65 2 8 554
QTotal-tr = 2775 W
Le rayonnement direct Ii
le rayonnement diffus D.
Le rayonnement réfléchis R
Ig=Ii+D+R
-Les puissances thermiques reçus par éclairement dans les parois et dans les vitres se
calculent à partir des relations suivantes :
Avec :
αparoi : coefficient d’absorption des parois.
αvitre : coefficient d’absorption du vitre.
G* (90 ;γ) : rayonnement global reçue par une surface verticale d’une orientation γ.
Sparoi : surface de la paroi.
Svitre : surface de la vitre
Avec :
-I0 : est la constante solaire hors atmosphère=1367[W/m²],
-TL: Facteur de trouble de Link=4 pour les régions à Température modéré. -m:
Nombre d'air-masse=0,95 pour l’altitude de la salle polyvalente
2
Ig=Iidn×Sin h [W/m ]
Avec :
-i : l’inclinaison du plan.
- γ : l’azimut du plan.
-a : l’azimut du soleil.
-h : la hauteur du soleil.
Le rayonnement solaire diffus arrive sur le plan récepteur après avoir été réfléchi par
les nuages, les poussières et les aérosols. On suppose que le rayonnement solaire diffus
n’ait pas de direction prédominante de ce fait, l'orientation du plan récepteur n'a pas
d'importance, seule son inclinaison, elle est donnée par la formule suivante :
D=125 x Sin (h) 0,4 x ((1 + Cos(i)) / 2) + 211,86 x Sin(h) 1,22 x ((1 -
Cos(i)) / 2) [W/m²]
Avec :
-h : la hauteur du soleil
-i : l’inclinaison de la surface
Déclinaison solaire :
L’angle entre le vecteur Terre-Soleil et le plan équatorial est désigné la déclinaison solaire.
Hauteur angulaire :
C'est l'angle h formé par le plan horizontal au lieu d'observation et la direction du soleil. Il
est donné par la relation :
Avec :
-h : La hauteur du soleil
-L : La latitude du milieu
L’azimute du soleil :
C'est l'angle a compris entre le méridien du lieu et le plan vertical passant par le
soleil. La connaissance de l'azimut est indispensable pour le calcul de l'angle
d'incidence des rayons sur une surface non horizontale.
Il est donné par la relation suivante :
Avec :
-a : azimut du soleil
- δ: La déclinaison solaire
-ω: l’angle solaire
L’angle horaire :
C- Synthèse de calcul :
La somme des apports par éclairement solaire sur les surfaces de la salle :
Salle Electrique
Charge sensible 10397,83 w
Charge latente 0Kw
Puissance totale 10397,83 w
Pour évaluer tous les besoins climatiques de ce local sensé à être climatisé.
A noter que ce calcule aussi les besoin en chauffage, si jamais on aura besoin
d’installer des systèmes réversibles.
Application numérique :
Qtot = 1640+16875+316525+15189,66+958+2775+10397,83
Qtot = 364,360 KW
Le détendeur :
La fonction essentielle du détendeur est de contrôler
et réguler principalement le flux du cryogène liquide,
Il se présente sous la forme d'un tuyau bobiné assez
fin que les professionnels appellent communément
"capillaire". D'une manière générale, il se trouve à
l'entrée même de l'évaporateur et à la sortie du
compresseur. Il reçoit donc le cryogène liquide sous
très haute pression et lui acquérir une pression plus
Basse, quand il se retrouve dans l'évaporateur. Le débit de cryogène liquide qui passera par le
Détendeur dépendra du réglage qui aura été fait et il convient aussi de mentionner que ce
dernier ne doit jamais être totalement fermé.
L’évaporateur :
C’est un échangeur de chaleur qui absorbe l’énergie thermique du local à refroidir par le biais
du fluide frigorigène qui se détende après avoir passé par le capillaire, on peut dire qu’il
effectue la mission inverse du condenseur.
La chaleur est prélevée du l’air à refroidir par le biais d’un échangeur (fluide
frigorigène/air), les puissances de ces systèmes sont généralement faibles ou moyennes.
Le système le plus répondu dans cette catégorie c’est le split système. Ces climatiseurs
peuvent être mono-split (une seule unité intérieure) ou multi-split (plusieurs unités intérieures)
pour une seule unité extérieure.
Inconvénient :
Ce choix technologique impose parfois des grandes longueurs de tuyauterie liquide et
d’aspiration donc des pertes de charges signifiantes.
B- Les systèmes tout air CTA (centrale de traitement d’air) :
Ces systèmes sont basés sur le traitement d’air centralisé et conçus pour des grandes
puissances calorifiques et frigorifiques.
La centrale a traitement d’air (CTA), permet de maitriser la température, l’hygrométrie et
la qualité de l’air d’un local en créant un climat artificiel. Dans ce cas L’air traité est
acheminé vers les locaux par un réseau de gaines.
Avantage :
-Bonne qualité de l’air
-Filtration
Ils sont généralement montés en allège sous les baies vitrés et peuvent aussi être
plafonniers. Du fait de leur cout modéré, ils sont souvent utilisés dans les bâtiments à usage
de bureaux.
Les systèmes VRV sont conçus pour l’habitat et le tertiaire de petite ou moyenne envergure.
Avec :
-VRV : VRV signifie "Volume de Réfrigérant Variable". Cette dénomination traduit le fait
que le système est capable d'adapter sa puissance strictement aux besoins thermiques des
locaux traités, à tout moment de la journée et quelle que soit la saison.
-La technologie Invertir : INVERTER est le nom de la technologie utilisée pour faire varier
la puissance des groupes VRV. La réduction de puissance s'accompagne d'une réduction de
puissance électrique absorbée par l'installation.
Celle-ci est donc aussi performante à charge partielle (mi-saison par exemple) qu'au
maximum de sa capacité.
L’air hygiénique et le froid sont apportés vers des unités terminales qui peuvent être soit des
éjecto-convecteurs soit des pompes à chaleur sur boucle d'eau soit des plafonds
Rafraîchissants.
les groupe d’eau glacée/chaude :
Les groupes de production eau glacée sont constitués d’un groupe de production du froid
et d’eau chaude, d’un réseau hydraulique et de ventilo convecteur. L’énergie de climatisation
produite par le groupe froid est transférée au local à climatiser via les conduites hydrauliques
et les ventilos convecteurs
F- Les Roof-Top :
Les Roof-tops sont des systèmes à détente directe. Ils sont conçus en un seul bloc par mise
en liaison du condenseur et de l’évaporateur dans le même caisson. L’air de refroidissement
est ainsi produit dans le caisson et pulsé en direction de l’enceinte à climatiser par le biais
d’un réseau de gaines.
Les roof-top sont des centrales uni zones installées à l’extérieur précisément aux toitures
des bâtiments. Ils sont fréquemment utilisés pour les applications suivantes :
La réversibilité du système