Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
FACULTE POLYTECHNIQUE
Département de métallurgie
Présenté par
par :
Kakunde Ngoy
Mudimbi wa Musongo
Mujinga Nsenga
Ndayi Kasongo
Ngoy Luhembwe
a. Que la grandeur m n’a pas varié en échelon, mais a une variation linéaire pendant 20
secondes
b. La réponse est interrompue à t = 180 secondes. On demande les caractéristiques dynamiques
et statiques du processus.
20
20 T
0.25
0.2
0.15
0.1
0.05
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
Résolution
Etant donné que la réponse du système est apériodique d’où Les caractéristiques
dynamiques à déterminer sont donc: la constante du temps et le temps mort.
- La constante du temps T: c’est le temps après lequel la valeur de la réponse transitoire d’un
système apériodique atteint le deux-tiers de sa valeur stationnaire, sa valeur est déduite
graphiquement par la projection du segment de la tangente au point d’inflexion de la courbe de
réponse comprise entre le d’intersection avec l’axe des abscisses et la parallèle à cet axe passant par
le point stationnaire.
- Le temps mort Tm : c’est le temps pendant lequel la valeur de la grandeur de sortie ne varie
pas, en dépit de la croissance en de la grandeur d’entrée.
Sur le graphique on déduit Tm = 32 sec, cependant ceci doit être corrigé car la variation de la
grandeur d’entrée étant linéaire pendant vingt secondes avant d’atteindre sa valeur stationaire. On
considère que la réponse a commencé à varier après un temps moyen ∆t/2 d’où le temps mort réel
du système est : Tmr=Tm-∆t/2 = 22 sec
Pour la détermination de la constante du temps et du gain, nous devons d’abord trouver la valeur
stationaire de la réponse par extrapolation de la courbe.
Méthode d’extrapolation
dpi(t) 2 dpi ( t )
105[ dt
] + 7,1.104[ dt
] + 2,4.103pi =Qa(t)
Résolution
A. Méthode algébrique
d 2 s( t) ds (t)
a0 2
+ a1 + a2 s ( t )=b 1 e (t)
dt dt
d 2 s(t ) ds (t )
Ou encore sous la forme : 2
+2 w n z +w 2n s ( t )=w 2n ke(t )
dt dt
Avec :
a1
- ωn la pulsation naturelle de l’élément, w n=
√ a0
a1
- z le facteur d’amortissement, z= 2 a a
√ 0 2
b1
- k le gain de l’élément, k = a
2
+ k 2 .e
n
]
z+ √ z 2−1 z−√ z 2−1
Avec k1 =- et k2 =
2 √ z2 −1 2 √ z 2−1
b. Pour z = 1 (racines réelles, négatives et confondues)
c. Pour z< 1 racines complexes conjuguées à partie réelle négative.
71000
● Dans notre cas z= = 2 ,293 > 1 d’où nous sommes dans le
2 √100000.2400
premier cas. Calculons k, k1, k2 et ωn
1 atm
K= = 4,167.10-4 le gain de l’élément
2400 N m3 /min
2,293+ √ 2,2932−1
● K1 = - = -1,055
2 √ 2,2932−1
2,293−√ 2,2932−1
● K2 = = 0,056
2 √ 2,2932−1
a2 2400
● ωn =
√ √
a0
=
100000
= 0,155
d2 pi(t ) dpi(t)
105 2
+7,1. 104 +2,4. 103 pi=500
dt dt
Introduisons le laplacien,
d 2 pi( t) dpi(t)
{
Ł 105
dt 2 } {+ Ł 7,1. 104
dt }+ Ł { 2,4.103 pi }=Ł {500 }
500
105p2.pi (p) + 7, 1.104p.pi (p) + 2, 4.103pi (p) =
P
500
→pi (p) =
p (10 p +7,1. 104 p+2,4. 103)
5 2
0,005
Pi(p) = p ( p+0,035 )( p+ 0,675) ceci peut se décomposer en une somme des
c1 c2 c3
fractions du type : + +
p p+ 0,035 p+0,675
(*)
NB. (*) Astuce mathématique permettant de calculer le Laplacien inverse.
p .0,005
C1 = [ ] = 0,21164 ≈ 0,212
p ( p+0,035 )( p+ 0,675) p= 0
( p+ 0,035 ) 0,005
C2 = [ ]p=- 0,035 = - 0,223
p ( p+0,035 )( p+ 0,675)
( p+ 0,675 ) 0,005
C3 = [ ]p= - 0,675 = 0,01157≈ 0,0116
p ( p+0,035 )( p+ 0,675)
T (s) P (atm)
0 0
10 0.05368619
20 0.09924783
30 0.13136363
40 0.15399526
50 0.16994351
60 0.18118204
70 0.1891017
80 0.1946826
90 0.19861538
100 0.20138677
110 0.20333974
120 0.20471597
130 0.20568578
140 0.2063692
150 0.20685079
160 0.20719017
170 0.20742932
180 0.20759785
190 0.20771661
200 0.2078003
0.25
0.2
0.15
0.1
0.05
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21