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Jury de soutenance:
Je dédie ce mémoire :
A mes chers parents ma mère et mon père pour leurs patience,
leurs amours, leurs soutient morale et financier ainsi leurs
encouragements et aussi tous les sacrifices qu’ils ont endurés
que dieu les gardent et veillent sur eux.
A mes frères et à ma sœur.
A mes amis et à mes camarades d’électronique de puissance et
surtout à tous ceux d’électrotechnique promotion juin 2017.
BOUDJATAT WALID
Je tiens à remercier :
Chapitre I
Etude et fonctionnement de la machine asynchrone
I.1.Introduction……………………………………..……………………………… 03
I.2. Principe de fonctionnement de la machine asynchrone………………….… 03
I.3. Glissement d’une machine asynchrone…………..…………………………... 04
I.4. Constitution de la machine asynchrone……………………………………… 04
a) Stator…………………………………………………………………...….. 05
b) Rotor…………………………………………..…………………………… 07
I.4.1. Les différentes configurations des machines asynchrones.……………….. 08
a) Stator…………….…………………………………………..……………... 08
b) Rotor…………………………………………..……………………………. 08
b).1. Moteur asynchrone à cage d’écureuil (rotor en court-circuit)…… 08
b).2. Moteur asynchrone à rotor bobiné (rotor à bague)………………. 09
b).3. A double cage………………………………………………………... 11
b).4. A double encoches ou à encoches profondes.……………………… 11
I.4.2. Avantages et inconvénients de la machine asynchrone……………………. 11
I.5. La variation de la vitesse dans les MAS……………………………………... 12
I.5.1 Quadrants de fonctionnements………………………………………………. 12
I.5.2. Réglage par variation de tension…………………………………………….. 14
I.5.3. Réglage par action sur le glissement………………………………………… 14
I.5.4. Réglage par variation de la vitesse…………………………………………... 14
I.6. Démarrage de la machine asynchrone………………………………………. 15
I.6.1. Démarragedirect moteur 1sens de rotation………………………………… 15
I.6.2. Démarrage direct moteur 2 sens de rotation………………………………... 15
I.6.3. Démarrage moteur étoile/triangle…………………………………………… 15
I.6.4. Démarrage par résistance rotorique………………………………………… 16
I.6.5. Démarrage par résistance statorique………………………………………... 16
I.6.6. Démarrage électronique……………………………………………………… 17
I.7. Freinage des moteurs asynchrones………………………………………….. 17
I.7.1. Freinage à contre-courant…………………………………………………… 17
ELECTRONIQUE DE PUISSANCE ANNABA 2017
SOMMAIRE 21 juin 2017
I.7.2. Freinage par injection du courant continu…………………………………. 18
I.7.3. Freinage par fonctionnement en hyper synchrone………………………… 18
I.7.4. Freinage par fonctionnement en génératrice asynchrone…………………. 18
Chapitre II
Modélisation de la machine asynchrone
II.1. Introduction……………………………………………………………………. 19
II.2. Hypothèses simplificatrices………………………………………………….... 21
II.3. Mise en équation du modèle de la machine…………………………………. 21
II.3.1. Equation électrique…………………………………………………………. 22
II.3.2. Equation magnétique……………………………………………………….. 22
II.3.3. Equation mécanique………………………………………………………... 24
II.4. Transformation de Park…………………………………………………….... 25
II.4.1. Equation électrique…………………………………………………………. 28
II.4.2. Equation mécanique………………………………………………………… 29
II.4.3. Choix du repère (d, q)……….……………………………………………… 29
II.4.4. Référentiel fixe par rapport au stator……………………………………... 29
II.4.5. Référentiel fixe par rapport au rotor……………………………………… 30
II.4.6. Référentiel fixe par rapport au champ tournant…………………………. 31
Chapitre III
Etude de l'onduleur de tension triphasé
III.1. Introduction…………………………………………………………………… 32
III.2. Types d’onduleurs …………………………………………………………..... 34
III.2.1. Les Onduleurs de courant…………………………………………………. 35
III.2.2. les Onduleurs de tension…………………………………………………… 35
III.3. Principe de fonctionnement de l’onduleur triphasés ……………………… 36
III.4. Les différentes techniques de commande de l’onduleur …………………... 37
III.4.1. Onduleur de tension à commande 180°…………………………………… 37
III.4.2. Onduleur de tension à commande 120°…………………………………… 45
III.4.3. Interprétation des courbes…………………………………………………. 52
ELECTRONIQUE DE PUISSANCE ANNABA 2017
SOMMAIRE 21 juin 2017
III.5. Modélisation de l’onduleur………………………………………………….. 52
III.5.1. Onduleur de tension à modulation de largeur d’impulsion MLI……….. 52
III.5.2. Modélisation d’un bras d’onduleur triphasé……………………………… 53
III.5.3. Tableau récapitulatif……………………………………………………….. 54
III.5.4. Fonction de connexion……………………………………………………… 55
III.5.5. Les potentiels des nœuds………………………………………………….... 56
III.5.6. Les Tensions composées……………………………………………………. 56
III.5.7. Les Tensions simples………………………………………………………... 56
III.6. Stratégie de commande triangulo-sinusoidale à une seule porteuse……..... 57
III.6.1 Interprétations des résultats………………………………………………… 63
Chapitre IV
Association machine asynchrone-onduleur
IV.1. Association machine asynchrone onduleur………………………………….. 64
IV.1.1 Interprétation des résultats de simulation………………………………….. 71
Conclusion générale…………………………………………………………………... 72
Annexe 1…………………………………………………………………………………… 73
Annexe 21…………………………………………………………………………………. 74
Annexe 22…………………………………………………………………………………. 75
Annexe 31…………………………………………………………………………………. 76
Annexe 32…………………………………………………………………………………. 77
Bibliographie
ELECTRONIQUE DE PUISSANCE ANNABA 2017
LISTE DES FIGURES 21 juin 2017
n La vitesse de rotation.
f La fréquence de l’alimentation.
g Le glissement.
U Les tensions.
R La résistance.
I Le courant.
K1, K2, K3 Rapports cycliques des temps de commutation par rapport à la période
de Modulation.
Tm Période de modulation.
m L’indice de modulation.
φs La phase a statorique .
φr La phase a rotorique.
Ce Couple électromagnétique.
Cr Couple résistant.
ويخصص الفصل الثاني لنموذج الماكينة غير المتزامنة التي تغذيھا الشبكة. .2
في الفصل الثالث نقدم تقنيات التحكم المختلفة للعاكسين،مع دراسة مفصلة من .3
في نھاية ھذا العمل ،نقدم استنتاجا عاما ،والذي يلخص جميع نتائج المحاكاة.
Introduction
Générale
CHAPITRE I
Etude Et Fonctionnement De La
Machine Asynchrone
CHAPITRE II
La Modélisation De La Machine
Asynchrone
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
Conclusion
Générale
[Sélectionnez la date]
INTRODUCTION GENERALE
INTRODUCTION GENERALE
I.1. Introduction :
La machine asynchrone connue également sous le terme `anglo-saxon `de la
machine à induction, est une machine à courant alternatif sans connexion entre le
stator et le rotor. Le terme asynchrone provient du fait que la vitesse de ces
machines n’est pas forcement proportionnelle à la fréquence des courants qui la
traversent La machine asynchrone a longtemps été fortement concurrencée par la
machine synchrone dans les domaines de forte puissance, jusqu’à l’avènement de
l’électronique de puissance. On les retrouve aujourd’hui dans de nombreuses
applications, notamment dans le transport (métro, train, propulsion des navires), de
l’industrie (machine-outil), dans l’électroménager. Elles étaient à l’origine
uniquement utilisées en moteur mais, toujours grâce à l’électronique de puissance,
sont de plus en plus souvent utilisées en génératrice. C’est par exemple le cas dans
les éoliennes.
L'enroulement au rotor est donc soumis à des variations de flux (du champ magnétique).
Une force électromotrice induite apparaît qui crée des courants rotoriques. Ces courants
sont responsables de l'apparition d'un couple qui tend à mettre le rotor en mouvement
afin de s'opposer à la variation de flux : loi de Lenz. Le rotor se met donc à tourner pour
tenter de suivre le champ statorique.
ns n
g=
ns
a) Le Stator :
Le stator d’un moteur asynchrone est identique à celle d’un moteur synchrone
(MS), 3 enroulements couplés en étoile ou en triangle et décalés entre eux de 2π/3
qui sont alimentés par un système de tension équilibrées. Le stator d’un moteur
triphasé (le plus courant en moyenne et grosse puissance), comme son nom
l’indique, est la partie statique du moteur asynchrone. Il se compose
principalement :
De la carcasse,
Des paliers,
Des flasques de palier,
Du ventilateur refroidissant le moteur,
Le capot protégeant le ventilateur.
Fig. (I.3) : Influence du nombre de paires de pôles sur la vitesse de rotation et de la forme
du champ statorique résultant.
Lorsque les enroulements du stator sont parcourus par un courant triphasé. Ceux-ci
produisent un champ magnétique tournant à la vitesse de synchronisme. La vitesse
de synchronisme est en fonction de la fréquence du réseau d’alimentation (50 Hz
en Europe) et du nombre de paires de pôles. Vu que la fréquence est fixe. La
b) Le rotor :
Le rotor du moteur supporte un bobinage semblable à celle du stator du MS,
bobinage triphasé décalés de 2π/3 à même nombre de pôles que celle du stator MS.
Ces 3 bobinages sont couplés en étoile et court-circuités sur eux-mêmes. Ce type
de rotor est dit bobiné mais on peut envisager un rotor plus sommaire constitué de
barres conductrices court-circuitées par un anneau conducteur à chaque extrémité.
Le rotor est la partie mobile du moteur asynchrone. Couplé mécaniquement à un
treuil d’ascenseur par exemple, il va créer un couple moteur capable de fournir un
travail de montée et de descente de la cabine d’ascenseur.
Il se compose essentiellement :
D’un empilage de disques minces isolés entre eux et clavetés sur l’arbre du
rotor afin de canaliser et de faciliter le passage du flux magnétique.
D’une cage d’écureuil en aluminium coulé dont les barreaux sont de forme
trapézoïdale pour les moteurs asynchrones standards et fermés latéralement
par deux "flasques" conductrices.
Avantages Inconvénients
Structure simple. Non découplage naturel.
Robuste et facile à construire. Non linéarités.
Coût réduit.
Absence d’un système bagues balais.
Frein avec vitesse positive Moteur avec vitesse positive
F F
F F
Ceci donnant une variation non continue de la vitesse ce mode n’est donc pas
envisagé pour un réglage fin du point de fonctionnement désiré.
I.6.6.Démarrage électronique :
Le démarrage se fait progressivement, ce qui évite la pointe de courant en
démarrage direct. La tension évolue de 0 à Un selon une rampe programmable.
Le démarrage se fait à courant constant les rapports T/Tn= (U/Un) 2= I/In sont
vérifiés.
Avantage :
- Démarrage en douceur.
- Limitation du courant.
Inconvénient :
- Prix plus élevé.
II.1. Introduction :
(as)
Rotor
(cr)
(ar)
(bs)
(br)
(cs)
- Pour le stator :
0 0
0 0 .
0 0
- Pour le rotor :
0 0 0
0 0 . 0
0 0 0
Le rotor étant en court-circuit, ses tensions sont nulles.
En matriciel :
1 2 3
2 1 3
3 2 1
1 2 3
3 1 2
2 3 1
= .
Avec :
Ou :
Ls : est l’inductance propre d’une phase statorique.
Lr : est l’inductance propre d’une phase rotorique.
Ms : est l’inductance mutuelle entre deux phases statorique.
Mr : est l’inductance mutuelle entre deux phases rotoriques.
Msr : est le maximum de l’’inductance mutuelleentre deux phases rotoriques st une
phase statorique.
Avec :
On obtient finalement :
. / . .
. / . .
Avec :
J : moment d’inertie du rotor.
F : coefficient de frottement visqueux.
Ce : couple électromagnétique.
Cr : couple résistant.
P : nombre de pair de pole.
Fig. (II.2) : représentation angulaire des systèmes d’axes dans l’espace électrique.
0 0 0
2 2
cos cos cos
2 3 3
2 2
3 sin sin sin
3 3
1/2 1/2 1/2
Transformation :
0
Avec x : tension, courant ou flux, et les indices suivantes représentent :
”0” : indice de l’axe homopolaire.
”d” : indice de l’axe direct.
”q” : indice de l’axe quadrature.
0 . 0 0 0
On démontre que :
0 1 0
1 0 0
0 0 0
On obtient finalement le système des équations de Park. Qui constitue ainsi un
modèle électrique dynamique pour l’enroulement biphasé équivalent :
Vd = Rid + dφd /dt – (dθ /dt) φq
Vq = Riq + dφq /dt – (dθ /dt) φd
V0 = Ri0 + dφ0 /dt
Pour la réduction de la matrice des inductances les transformations proposées
établissent les relations entre les flux d’axe d, q, 0. Et les flux d’axe a, b, c :
0
0
Après le calcul, on trouve :
0 0 3/2 0 0
0 0 0 3/2 0
0 0 0 2 0 0 0 0
3/2
0 0 0 0
0 3/2 0 0 0
0 0 0 0 0 0 2 0
0
0
0 0
0 0
0 0
II.4.1. Equation électrique :
Les équations des Park des tensions, statorique et rotorique s’écrivent :
Vds = Rsids + dφds/dt – (dѲ s /dt) φqs
Vqs = Rsiqs + dφqs/dt – (dѲs /dt) φds
Vdr = Rridr + dφdr/dt – (dѲr /dt) φqr= 0
Vqr = Rriqr + dφqr/dt – (dѲr /dt) φdr= 0
Dans le repère de Park (d, q) tournant à la vitesse angulaire ω s = dθs /dt l’équation
suivant : Machine asynchrone a cage
Vds = Rsids + dφds/dt – ωsφqs
Vqs = Rsiqs + dφqs/dt – ωsφqs
Rridr + dφdr/dt – (ωs ‐ ω) φqr= 0
Rriqr + dφqr/dt – (ωs ‐ ω) φdr= 0
Avec :
Jdω /P dt = Ce – Cr – (f/P) ω
1.5 1.5
1 1
phids(wb)
phiqs(wb)
0.5 0.5
0 0
-0.5 -0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
30 20
20
10
ids(A)
iqs(A)
10
0
0
-10
-10
-20 -20
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
200 30
150 20
Ce(Nm)
w(rd/s)
100 10
50 0
0 -10
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
30
20 2
ias(A)
ias(A)
10
0
0
-10 -2
-20
0 0.5 1 1.5 2 1.78 1.8 1.82
t(s) t(s)
1.5 1.5
1 1
phids(wb)
phiqs(wb)
0.5 0.5
0 0
-0.5 -0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
30 20
20
10
ids(A)
iqs(A)
10
0
0
-10
-10
-20 -20
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
200 30
150
20
Ce(Nm)
w(rd/s)
100
10
50
0
0
-50 -10
0 0.5 1 1.5 2 0 0.5 1 1.5 2
t(s) t(s)
30
4
20
2
ias(A)
ias(A)
10
0
0 -2
-10 -4
-20 -6
0 0.5 1 1.5 2 0.98 1 1.02
t(s) t(s)
Fig. (II.4) : Caractéristiques de sortie de la machine à pleine tension en charge.
Les interrupteur T1et T2 ;T3 et T4 ; T5 et T6 doivent etre complémentaires deux à deux ; quelle
que soit la loi de commande adoptée ; il est possible d’établir des relations générales qu’on
utiliserons tant pour la commande pleine onde que pour la commande (MLI).
Il nous importe ici de voir de quelle manière les signaux de commande de l’onduleur sont
élaborés pour générer une tension la plus sinusoidale possible.
III. 3.1.Onduleur de tension à commande 180°:
Pour ce type d’onduleur chaque transistor conduit pendant 180° de plus pour chaque
séquence de fonctionnement nous avons trois transistor qui conduisent en même temps.
Les tensions composées : Uab(t) ; Ubc(t) ; Uca(t) sont Définies comme suit :
Uab(t) = Van(t) - Vbn(t).
Ubc(t) = Vbn(t) –Vcn(t).
Uca(t) = Vcn(t) – Van(t)
Lorsque :
1- ) 0 <wt<π/3 : les transistors T1, T5 et T6 conduisent.
Schema equivalent:
La résistance équivalente
1/Réql = 1/R + 1/R = 2/R= Réq1 = R/2
Le courant:
I1 = Ue/Réq = 2Ue/3R
Les tensions simples:
Uan(t) = Ucn(t) = I1 (R/2) = Ue/3
Ubn (t) = - I1R = - (2/3) Ue
Le courant :
I2 = Ue/Uéq = 2Ue/3R
Le courant :
I3 = Ue/Réq = 2Ue/3R
Le courant :
I4 = 2Ue/3R
Le courant :
I5 = 2Ue/3R
Le courant :
I6 = 2Ue/3R
0.9
0.8
0.7
0.6
0.5
0.4
0.3
0.2
0.1
0
0 10 20 30 40 50 60
Fig. (III. 2) : Tension et spectre d’Ua pour l’onduleur à conduction 180°.
La résistance équivalente :
Réq = R + R = 2R
Le courant :
I1 = Ue/Réq = Ue/2R
Les tensions simples :
Uan(t) = I1R = (Ue/2R) R = Ue/2
Ubn(t) = - I1 R = - Ue/2
Ucn(t) = 0
Les tensions composées :
Uab(t) = Uan – Ubn = Ue/2 + Ue/2 = Ue
Ubc(t) = Ubn –Ucn = - Ue/2 – 0 = - Ue/2
Uca(t) = Ucn – Uan = - Ue/2
Schéma equivalent:
Le courant :
I2 = Ue/2R
Le courant :
I3 = Ue/2R
Le courant :
I4 = Ue/2R
Schéma equivalent :
Le courant :
I5 = Ue/2R
Le courant :
I6 = Ue/2R
0.9
0.8
0.7
0.6
0.5
0.4
0.3
0.2
0.1
0
0 10 20 30 40 50 60
I
T11 D11 T21 D21 T31 D31
Uc = I1 I2 I3
.M
.A .B .C
VA VB VC
N
Fig. (III.4.1): onduleur à deux niveaux.
TK1 D K1 V K1
A IK
= UC
TK0 D K0 V K0
iks iks
IK . IK .
. .
.
.
Fig. (III.4.2) : un bras de l’onduleur à deux niveaux et ces différentes configurations C0, C1, C2.
Avec : K = 1, 2, 3.
Tel que :
BK1 : commande de base du transite Tki et c’est cette commande qu’on va adapter pour la
suite de notre étude.
Avec : K = 1, 2, 3.
VK =VAM : 1er bras
VBM : 2éme bras
VCM: 3éme bras
Vref ≥ Up =VK = Uc /2
Vref < Up = VK = - Uc /2
VK = Uc /2 = (BK1, BK0) = (1, 0)
VK= - Uc /2 = (BK1, BK0) = (0, 1)
Les commandes Bki ainsi que les fonctions de connexion du premier bras sont représentés sur
la Fig.(III.10)
Les différentes tensions composées de cet onduleur s’expriment au moyen des fonctions de
connexion comme suit :
On a donc :
VA= ⅓(2VAM -VBM -VCM)
VB= ⅓(- VAM +2VBM -VCM)
VC= ⅓(-VAM -VBM + 2VCM)
Vréf1= Vm . sin ( t)
Vréf2= Vm . sin ( t - 2 )
3
Vréf3= Vm . sin ( t - 4 )
3
Les tensions délivrés par l’onduleur à commande MLI et cela pour différents indice de
modulation et un coefficient de réglage r = 0,8, sont représentées ci-dessous :
Fig. (III.5) : Commande triangulo-sinusoïdale M=6 (Porteuse dent de scie, porteuse triangulaire).
400 400
200 200
V am (V )
V bm (V )
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
400 400
200 200
V c m (V )
V a(V )
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
400 400
200 200
V b(V )
V c(V )
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
0.8
0.6
0.4
0.2
0
0 20 40 60
300 300
200 200
100 100
Vam(v)
Vbm(v)
0 0
-100 -100
-200 -200
-300 -300
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
300 400
200
200
100
Vcm(v)
Va(v)
0 0
-100
-200
-200
-300 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
400 400
200 200
Vb(v)
Vc(v)
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
0.8
0.6
0.4
0.2
0
0 20 40 60 80
400 400
200 200
V am (V )
V bm (V )
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
400 400
200 200
V c m (V )
0 V a(V ) 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
400 400
200 200
V b(V )
V c (V )
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s ) t(s )
0.8
0.6
0.4
0.2
0
0 20 40 60
300 300
200 200
Vam(V)
Vbm(V)
100 100
0 0
-100 -100
-200 -200
-300 -300
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
300 400
200
200
Vcm(V)
100
0 Va(V) 0
-100
-200
-200
-300 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
400 400
200 200
Vb(V)
Vc(V)
0 0
-200 -200
-400 -400
0 0.01 0.02 0.03 0.04 0 0.01 0.02 0.03 0.04
t(s) t(s)
0.8
0.6
0.4
0.2
0
0 20 40 60 80
1.5 1
1
0.5
phids(wb)
phiqs(wb)
0.5
0
0
-0.5
-0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30 40
20
20
ids(A)
10 iqs(A)
0
0
-20
-10
-20 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
30
Ce(Nm)
w(rd/s)
20
100
10
0 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30
5
20
ias(A)
ias(A)
10 0
0
-10 -5
-20
0 0.5 1 1.5 1.45 1.5 1.55
t(s) t(s)
phids(wb) 1.5 1
phiqs(wb)
1
0.5
0.5
0
0
-0.5
-0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30 40
ids(A)
iqs(A)
20
20
10
0
0
-20
-10
-20 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
Ce(Nm)
w(rd/s)
150 30
100 20
50 10
0 0
-50 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30
ias(A)
20
10
-10
-20
0 0.5 1 1.5
t(s)
1.5 1
phids(wb)
phiqs(wb)
1
0.5
0.5
0
0
-0.5
-0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30 40
ids(A)
20 iqs(A)
20
10
0
0
-20
-10
-20 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
Ce(Nm)
w(rd/s)
150 30
100 20
50 10
0 0
-50 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30
4
ias(A)
ias(A)
20
2
10
0
0 -2
-10 -4
-20 -6
0 0.5 1 1.5 1.45 1.5 1.55 1.6
t(s) t(s)
1.5 1
phids(wb)
phiqs(wb)
1
0.5
0.5
0
0
-0.5
-0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30 40
ids(A)
iqs(A)
20
20
10
0
0
-20
-10
-20 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
Ce(Nm)
w(rd/s)
150 30
100 20
50 10
0 0
-50 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
30
ias(A)
20
10
-10
-20
0 0.5 1 1.5
t(s)
1.5 1
phids(wb)
phiqs(wb)
1 0.5
0.5 0
0 -0.5
-0.5 -1
-1 -1.5
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
40 40
ids(A)
iqs(A)
20 20
0 0
-20 -20
-40 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
Ce(Nm)
w(rd/s)
30
150
20
100
10
50
0
0 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
40 10
ias(A)
ias(A)
20 5
0 0
-20 -5
-40 -10
0 0.5 1 1.5 1.2 1.25 1.3 1.35
t(s) t(s)
phids(wb) 1.5 1
phiqs(wb)
1
0.5
0.5
0
0
-0.5
-0.5
-1 -1
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
40 40
ids(A)
iqs(A)
20 20
0 0
-20 -20
-40 -40
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
200 40
Ce(Nm)
w(rd/s)
150 30
100 20
50 10
0 0
-50 -10
0 0.5 1 1.5 0 0.5 1 1.5
t(s) t(s)
40
ias(A)
20
-20
-40
0 0.5 1 1.5
t(s)
deux essais à vide et en charge on remarque que plus m augmente plus on a une
réduction notable des couples pulsatoire qui sont directement liées aux
CONCLUSION GENERALE :
Dans notre étude, nous avant présenté la modélisation du moteur
asynchrone alimenté par une source de tension sinusoïdale triphasée et
équilibrée à fréquence constante établi sous des hypothèses
simplificatrices.
Après, nous avons utilisé la transformation de Park pour éviter la
complexité des équations différentielles. Cette transformation permet le
changement du système triphasé réel au système biphasé linéaire
équivalent de cette machine ce qui signifie une facilité de résolution et
de simulation.
Pour finir, on à étudier la machine asynchrone associée à un onduleur
de tension à pleine onde (commande à 180° et 120°) et à MLI. Dont les
tensions délivrées par l’onduleur ont été présentés en détails dans le
manuscrit. Les résultats de simulation montrent que l’alimentation de la
Machine asynchrone par un onduleur de tension à modulation de largeur
d’impulsion à porteuse triangulaire à vide ou en charge, est assez
satisfaisantes comme on peut le voir sur la caractéristique de vitesse où
les ondulations sont insignifiantes en régime permanent ainsi que les
couples pulsatoires qu’on arrive à réduire avec l’augmentation de
l’indice de modulation m comme il est montré sur la caractéristique du
couple.
La tension 380V/220V
In = 3.7/6.4
Le cos φ = 0.64
La fréquence f = 50 Hz
Cr = 2,5 N.m
J = 0.031kg.m2
ωs = 314
Rr = 3.85Ω
Rs = 4.85Ω
Ls = 0.274H
Lr = 0.274H
Lm = 0.258H
Données
Y= Uc/2*dscie(Wp*t)
Y= abs(y) –Uc/2
I=1
Oui Non
I≤L
K=1
AFFICHER
Oui Non
2 3 4
1
1 2
3 4
VK1 (I) = Uc/2 VK1 (I) = -Uc/2
K+1
Non Oui
K≤3
I=I+1
Début
Données de départ
Y= abs(y) –Uc/2
K= 1
Vref K ≥ Y
K+1
2
1
1 2
Non Oui
K≤3
dy= [dphids;dphiqs;dids;diqs;dwm]
BIBLIOGRAPHIE
[1]- PHILIPPE BARRET
Régimes transitoires des machines tournantes électriques.
Edition EYROLLES 1987
[2]- GUY SEGUIER, FRANCIS LABRIQUE
Les convertisseurs de l’électronique de puissance, volume 4,
La conversion continu-alternatif. Technique et documentation Lavoisier 1989.
[3]-R. ABDESSEMED, M. KADJOUDJ
Modélisation des machines électriques Presses de l’université de Batna 1997.
[4]-HENRIFOCH. FRANCOIS FOBEST. THIERRY MEYNARD.
Onduleur de tension Technique de l’ingénieur D.3176-2. 2002
[5]- modélisation de la machine asynchrone : chapitre 2 d’une thèse de
magistère l’année 2016.
[8]-www.memoireonline.com.
[9]- https://www.doc-etudiant.fr/Methodologie/Memoire