Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Démonstration
X étant arbitraire, on peut choisir X telle que X mn=1, les autres X pq étant
nuls.
X pq =δ pm δ qn
i)
D’où M ks = A∑ Γ (km ( A ) Γ (nsj) ( A−1 )=0.
∈G
(i ) ( j )∗¿ ( A ) =0 ¿
On obtient : A∑ Γ km ( A ) Γ sn
∈G
b) i=j
On refait le même calcul que tout à l’heure avec M= A∑ Γ (i ) ( A ) X Γ (i) ( A−1 ).
∈G
i)
Mks= A∑ Γ (km ( A ) Γ (nsi) ( A −1 ) =a δ ks.
∈G
ni
i
=∑ X pq ∑ Γ qp ( E )=∑ X pq g δ pq
p ,q AϵG p, q
= gTrace ( X )=a ni
g
D’où a= n Trace ( X ). Or seul X mn=1, les autres éléments de X étant nuls,
i
( i)∗¿ ( A ) = g δ ij δ ks δ mn ¿
(i ) ni
∑
A ∈G
Γ ( A ) Γ sn
km .
Interprétation
Ceci exprime l’orthogonalité des vecteurs Γ (kmi) entre eux, donc leur
indépendance.
Si r est le nombre de représentations irréductibles, le nombre total de
r
∑ n2i ≤ g
i=1
( j )∗¿ ( A ) = g δ ij ni
( i) ni
∑χ (A) χ =g δ ij ¿. (faire la démonstration)
AϵG
∑ g k χ ik χ kj∗¿=g δ ¿ , ij
k =1
K
gk i g k j∗¿=δ ¿
∑
k =1 √ √ χ
g k g k
χ . ij
gk i
On peut poser Ci vecteur caractère de composantes
La relation précédente peut être vue comme le produit scalaire<C j , Ci>.
√ χ , avec k=1,2….K.
g k
On a donc r≤K.
dans la décomposition.
En prenant les traces des deux membres dans une classe k, on a :
χ k =∑ ai χ ik
i
k =1
K
1
a i= ∑ g χ i∗¿ χ ¿ (faire la démonstration).
g k=1 k k k
K r
gk ¿ 2
De même on a ∑ χ k χ k =∑ |ai| (faire la démonstration)
k =1 g i=1
Critère d’irréductibilité
Soient Г une représentation d ‘un groupe G et χ son caractère.
r
χ ( A)=∑ ai χ i ( A)
i=1
1 1
g
∑ χ ¿ ( A ) χ ( A )=
g
∑ ∑ a¿i a j χ i∗¿ ( A ) χ j ( A ) ¿
A ∈G A ∈G i , j
1 j
¿ ∑ a¿ a ∑ χ i∗¿ ( A ) χ ( A ) ¿
g i , j i j A ∈G
1
¿ ∑ a¿i a j g δ ij
g i, j
r
2
¿ ∑|ai|
i=1
Si cette somme est égale à 1, seul un a k =1 , les autres étant nuls, et on a
Г =Г k .
K
ou en sommant sur les classes ∑ g k χ ¿k χ k =g.
k =1
Représentation régulière
Soit une table de multiplication telle qu’un élément de la colonne de gauche
(2ème opération dans le produit) soit l’inverse de l’élément correspondant dans
la ligne du haut (1ère opération dans le produit).
E C2 σV σV’
E E C2 σV σV’
C2 C2 E σV’ σV
σV σV σV’ E C2
σV’ σV’ σV C2 E
a i= χ i∗¿ (E ) =n ¿i
r
Г reg =⨁ ∑ ni Г i
i=1
r
χ reg ( E)=∑ ni χ i(E)
i=1
r
d ' où g=∑ n 2i .
i=1
On a donc une égalité et non plus une inégalité comme plus haut.
On peut aussi montrer :
Mbola hitohy