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Partie I : Traitement, Partie II : Traitement Partie III : Réseau de
Codage et compression de la parole Capteurs
numérique d’images
Pr. I. EL MOURABIT 2
• Chapitre 1 : Introduction au traitement d’image
Partie I : • Chapitre 2 : Amélioration de la qualité de l’image
Traitement, Codage & • Chapitre 3 : Extraction des caractéristiques de l’image
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Chapitre 1 :
Introduction au
traitement d’image
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Introduction
• Historique:
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Introduction
• Vision Globale :
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Introduction
• Sciences connectées au traitement d’images:
DSP
Neurophysiologie Algèbre
linéaire
Traitement
Optique Statistiques
d’images
Théorie de
Electronique l’information
Informatique
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Introduction
• Du traitement d’images à la vision artificielle:
Transmission
Compression Suivi
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Introduction
• Domaines d’application :
• Télédétection : météo, cartographie, astronomie
• Imagerie médicale : aide au diagnostic, tomographie, suivi automatique, reconstruction
3D
• Applications militaires : guidage de missile, reconnaissance terrestre
• Robotique : reconnaissance et assemblage des pièces, véhicules autonomes, contrôle de
qualité
• Sécurité : identification de visages, reconnaissance d’empreintes digitales, tatouage
d’image, data hiding
• Divertissement : HDTV, images haute qualité DVD, compression (normes JPEG et MPEG)
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Introduction
• C’est quoi une image ?
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Introduction
• Formation d’images :
• Il existe plusieurs systèmes de formations d’images.
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Système visuel humain
• Le système visuel humain est l'ensemble
des organes participant à la perception
visuelle humaine. Son rôle est de percevoir
et d'interpréter les images reçues.
• L'image est analysée au sein de la rétine et
le résultat de ce traitement est envoyé au
reste du système visuel par le nerf optique.
• Le cortex visuel dans le cerveau humain est
responsable des traitements des images. Il
effectue des traitements de bas niveau
(orientation, contours) mais aussi de haut
niveau (formes, mouvements). Diagramme simplifié de l’œil humain
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Système visuel humain
• Formation d’image dans l’œil :
• Dans une caméra ordinaire, la lentille a une longueur focale fixe, et la focalisation sur les
différentes distances est achevée par la variation de la distance entre la lentille et le plan
d’image.
• Dans l’œil humaine, l’inverse est vrai; la distance entre la lentille et le plan d’image (la
rétine) est fixe, et la longueur focale demandée pou r avoir un focus est obtenue par la
variation de la forme de lentille.
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Représentation graphique de l’œil regardant un palmier
Acquisition d’image
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Acquisition d’image
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Acquisition d’image
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Acquisition d’image
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Acquisition d’image
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Acquisition d’image
• Capteur CCD (Matrice 2D)
• Caméra numériques CCD :
• Matrice CCD (Charged Coupled Devices)
• Système d’acquisition numérique le plus utilisé
• La réponse est proportionnelle à l’intégrale de
l’énergie lumineuse qui atteint chaque élément
• Pour la couleur, on utilise trois capteurs par
pixel réagissant à des longueurs d’ondes
différentes (Rouge, Vert et Bleu)
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Acquisition d’une image numérique
Définition d’une image réelle :
• Une image est la projection d’une scène 3D sur un plan
• Elle peut être définie comme une fonction à deux variables 𝑓 𝑥, 𝑦
• Une image est un plan analogique dans lequel les intensités sont réelles.
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Acquisition d’une image numérique
• L’image numérique :
𝑓(0,0) 𝑓(0,1) … 𝑓(0, 𝑁 − 1)
𝑓(1,0) 𝑓(1,1) … 𝑓(1, 𝑁 − 1)
𝑓 𝑥, 𝑦 =
⋮ ⋮ ⋮
𝑓(𝑀 − 1,0) 𝑓(𝑀 − 1,1) … 𝑓(𝑀 − 1, 𝑁 − 1)
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Echantillonnage et quantification d’image
• Une image peut être continue par rapport à l’amplitude et les coordonnées x, y.
• Pour la convertir en forme numérique, on doit l’échantillonner dans les coordonnées et
l’amplitude.
• La numérisation des coordonnées est appelée échantillonnage.
• La numérisation des valeurs d’amplitude est appelée quantification.
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Résolution des images
Résolution spatiale
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Résolution des images
Résolution tonale
• La quantification désigne la limitation du nombre de valeurs différentes que peut prendre
𝑰 𝒙, 𝒚 .
• L’intensité 𝑰 est quantifiée sur 𝒎 bits et peut prendre 𝑳 = 𝟐𝒎 valeurs : 𝑰 ∈ [𝟎, … , 𝟐𝒎 −
𝟏]. 𝑳 est appelée la dynamique de l’image.
• 𝒎 = 𝟏 : 2 valeurs possibles (images binaires)
• 𝒎 = 𝟖 : 256 valeurs possibles (images en niveaux de gris)
• 𝒎 = 𝟏𝟔 : 65535 valeurs possibles (images en couleurs)
• Une quantification trop faible provoque des faux contours.
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Résolution des images
Exemple 1 :
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Résolution des images
Exemple 2 :
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Représentation des images
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Représentation des images
Caractéristiques d’une image :
• Surface divisée en éléments de taille fixe appelés pixels (picture element), et définie par :
• Le nombre 𝑴 de pixels en largeur et le nombre 𝑵 de pixels en hauteur obtenus après
échantillonnage.
• L’étendue 𝑳 des intensités que peut prendre chaque pixel après quantification.
• Les valeurs des pixels I, appelées aussi Intensités ou niveaux de tons.
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Représentation des images
Format d’images numériques :
• Données brutes : raw data
• Standards universels : gif, bitmap, tiff, ppm, eps, …
• Standards médicaux : DICOM, ACR-NEMA, …
• Standards propriétaires : Philips®, Siemens®, …
• Exemple :
• BMP (Bitmap) : matrice de bits codés en couleur jusqu’à 24 bits/pixel
• GIF : format compressé avec codage 8 bits/pixel
• JPG (Jpeg) : format de compression DCT d’images photographiques
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Types d’images
Images naturelles et artificielles
• Image naturelle : Plusieurs moyens d’acquisition
• Caméra, microscope, tomographie, infrarouge, satellite, …
• Image artificielle : Plusieurs outils de représentation
• Synthèse d’image, réalité virtuelle, visualisation scientifique, …
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Types d’images
Les trois principaux types d’images
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Types d’images
Les trois principaux types d’images
𝐼 𝑥, 𝑦 ∈ {0,1}
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Types d’images
Les trois principaux types d’images
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Types d’images
Les trois principaux types d’images
𝐼! 𝑥, 𝑦 ∈ 0,255
𝐼" 𝑥, 𝑦 ∈ 0,255
𝐼# 𝑥, 𝑦 ∈ 0,255
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Types d’images
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Palette de couleurs :
Pour afficher une image, il faut définir une palette de couleur (colormap) qui fait la
correspondance entre les intensités {𝒊𝟏, … , 𝒊𝑳 } des pixels et les niveaux de gris ou les
couleurs.
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Espace couleur
Les systèmes de représentation de la couleur
• Les systèmes de représentation des couleurs ont pour objectif de représenter la couleur
perçue par un ensemble de points dans un espace à 3 dimensions.
• Il existe plusieurs systèmes de représentation des couleurs ou espaces de couleur dont
les principaux d'entre eux sont :
• Espace RVG/RGB
• Espace CMJN/CMYK
• Espace HLS/HSV
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Espace couleur
Espace RVB/RGB :
• Espace le plus couramment utilisé. L'espace RVB (Rouge Vert Bleu) ou RGB (Red Green
Blue) est basé sur la synthèse additive.
• La télévision, les caméras et les moniteurs des ordinateurs utilisent ce système lors de
l'affichage et de l'acquisition des images.
• Chaque couleur est représentée par 3 valeurs qui sont les quantités de rouge, de vert et
de bleu qu'elle contient.
• Les valeurs sont comprises entre 0 et 1 (valeurs normalisées), ou 0 et 255 lors du codage
des couleurs sur 8 bits Par exemple : (0,0,0) = noir , (1,1,1) = blanc, (1,0,0) = rouge, (0,1,0)
= vert, (0,0,1) = bleu, (0,1,1) = cyan, (1,0,1) = magenta, (1,1,0) = jaune.
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Espace couleur
Espace RVB/RGB :
• On représente souvent l'espace RVB comme un cube de
dimensions 1x1x1, placé à l'origine d'un repère à trois
dimensions dont les axes indiquent la quantité de
Rouge, de Vert et de Bleu.
• Chaque couleur correspond à un point C de coordonnée
(Rc, Vc, Bc) situé dans le cube. Les couleurs Rouge, Vert,
Bleu, Cyan, Magenta, Jaune , Noir et Blanc sont situées
aux sommets du cube. Le Noir (0,0,0) est situé à l'origine
du repère.
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Espace couleur
Espace RVB/RGB :
• Les couleurs primaires sont situées sur les 3 axes à la distance 1.
• La diagonale principale du cube est une droite tracée entre l'origine (0,0,0) et le point (1,1,1) .
• Les couleurs situées sur cette ligne ont des quantités égales de Rouge, de Vert, et de Bleu. Ce
sont donc les différents niveaux de gris, variant du Noir en (0,0,0) au Blanc en (1,1,1).
• Difficile de se faire une idée de la luminosité dans ce mode colorimétrique :
𝑳 = 𝟎. 𝟑𝑹 + 𝟎. 𝟓𝟗𝑮 + 𝟎. 𝟏𝟏𝑩
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Espace couleur
Espace CMJN/CMYK :
• L'espace CMJN (Cyan Magenta Jaune Noir) / CMYK (Cyan Magenta Yellow Black) est basé
sur la synthèse soustractive des couleurs.
• Il est utilisé spécifiquement dans l'imprimerie. Pour chaque couleur, on indique la
quantité d'encre Cyan, Magenta, Jaune et Noir permettant de la reproduire.
• On peut simplement passer de l'espace RVB à l'espace CMJN :
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Espace couleur
Espace HLS/HSV :
• TLS (Teinte, Luminance, Saturation ) ou HSV (Hue, Saturation, Value) ou HLS (Hue,
Luminance, Saturation) espace qui permet de décomposer une couleur en trois
composantes plus intuitives qui sont la teinte (Hue), la saturation et la luminance(Value).
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Espace couleur
Espace HLS/HSV :
• La teinte indique la couleur pure qui est
prépondérante dans la couleur. Les teintes
peuvent-être représentées par un angle sur un
cercle.
• La saturation correspond à la proportion de
couleur pure. Elle varie entre 0 et 1. S=0 : gris S=1 :
couleur pure .Plus la saturation est faible plus la
couleur est délavée. Plus la saturation est élevée,
plus la couleur est vive.
• La luminance caractérise l'intensité totale du point
lumineux coloré.
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Espace couleur
Espace HLS/HSV :
• Les formules de passage entre l'espace HLS et l'espace RVB :
𝟏
𝑳= 𝑹+𝑮+𝑩
𝟑
𝟑
𝑺=𝟏− 𝒎𝒊𝒏 𝑹, 𝑮, 𝑩
𝑹+𝑮+𝑩
𝟎. 𝟓 𝑹 − 𝑮 + 𝟎. 𝟓(𝑹 − 𝑩)
𝑯 = 𝒂𝒓𝒄𝒄𝒐𝒔
𝑹−𝑮 5 + (𝑹 − 𝑩)(𝑮 − 𝑩)
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Relations entre pixels
Voisinage d’un pixel :
• Un pixel p à la position (x, y) a quatre voisins horizontaux et verticaux dont les
coordonnées sont:
𝒙 + 𝟏, 𝒚 , 𝒙 − 𝟏, 𝒚 , 𝒙, 𝒚 + 𝟏 , 𝒙, 𝒚 − 𝟏
• Cet ensemble de pixels, noté 𝑁* (𝑝), est appelé le 4-voisinage de p ou voisinage d’ordre
4.
• La distance entre chaque pixel voisin et le pixel central est égale à une unité.
• Si le pixel p se situe sur la bordure de l’image, certains voisins se situent à l’extérieur de
l’image.
• Les quatre voisins diagonaux de p, notés 𝑁+ (𝑝), sont définis par les coordonnées :
𝒙 + 𝟏, 𝒚 + 𝟏 , 𝒙 − 𝟏, 𝒚 − 𝟏 , 𝒙 − 𝟏, 𝒚 + 𝟏 , 𝒙 + 𝟏, 𝒚 − 𝟏
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Relations entre pixels
Voisinage d’un pixel :
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Relations entre pixels
Distances et mesures :
• Soient p,q et z trois pixels ayant les coordonnées 𝑥, 𝑦 , 𝑠, 𝑡 𝑒𝑡 𝜈, 𝜔 , respectivement.
On dit que D est une fonction de distance ou métrique si
a. 𝐷 𝑝, 𝑞 ≥ 0 𝐷 𝑝, 𝑞 = 0 𝑠𝑠𝑖 𝑝=𝑞
b. 𝐷 𝑝, 𝑞 = 𝐷 𝑞, 𝑝 , 𝑒𝑡
c. 𝐷 𝑝, 𝑧 ≤ 𝐷 𝑝, 𝑞 + 𝐷(𝑞, 𝑧)
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Relations entre pixels
Distances et mesures :
𝐻 𝑓(𝑥, 𝑦) = 𝑔(𝑥, 𝑦)
• H est un opérateur linéaire si, pour deux images 𝑓/ et 𝑓0 et deux scalaires 𝑎/ et 𝑎0 , on a :
𝐻 𝑎/ 𝑓/ 𝑥, 𝑦 + 𝑎0 𝑓0 (𝑥, 𝑦) = 𝑎/ 𝐻 𝑓/ 𝑥, 𝑦 + 𝑎0 𝐻 𝑓0 𝑥, 𝑦
= 𝑎/ 𝑔/ 𝑥, 𝑦 + 𝑎0 𝑔0 𝑥, 𝑦
• H est non-linéaire sinon.
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Opérations sur les images
Opérations linéaires vs non-linéaires
• Exemple :
• Montrer que le maximum (max) est un opérateur non linéaire.
0 2 6 5
• Prenez comme exemple les deux images 𝑓$ = et 𝑓% =
2 3 4 7
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Opérations sur les images
Addition de deux images :
• L’addition de deux images f et g de même taille est une nouvelle image h de même taille dont
chaque pixel correspond à la somme des valeurs des pixels des images originales :
∀ 𝑥, 𝑦 ℎ 𝑥, 𝑦 = 𝑓 𝑥, 𝑦 + 𝑔 𝑥, 𝑦
• L’image de droite est la somme des deux images de gauche. Notez que cette somme a des valeurs
entre 0 et 510.
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Opérations sur les images
Addition de deux images :
• Il est possible de réaliser l’addition des deux images sans dépasser l’intervalle défini des
intensités :
• ∀ 𝑥, 𝑦 ℎ 𝑥, 𝑦 = 𝑚𝑖𝑛 𝑓 𝑥, 𝑦 + 𝑔 𝑥, 𝑦 ; 255
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Opérations sur les images
La soustraction de deux images :
• La soustraction de deux images est utilisée par exemple pour détecter des
changements ∀ 𝑥, 𝑦 ℎ 𝑥, 𝑦 = 𝑓 𝑥, 𝑦 − 𝑔 𝑥, 𝑦
• L’image de droite est la différence des deux images de gauche. Notez que cette somme a
des valeurs entre -255 et 255.
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Opérations sur les images
La soustraction de deux images :
• Pareil à l’addition, il est possible de limiter les valeurs de l’image résultante dans
l’intervalle prédéfini des intensités de pixels par les deux images d’origine :
∀ 𝑥, 𝑦 ℎ 𝑥, 𝑦 = 𝑚𝑎𝑥 𝑓 𝑥, 𝑦 − 𝑔 𝑥, 𝑦 ; 0
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Opérations sur les images
La soustraction de deux images :
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Opérations sur les images
La multiplication d’une image par un coefficient :
• La multiplication d’une image f par un ratio (facteur) peut se définir par :
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Opérations sur les images
La division de deux images :
• La division de deux images permet notamment de corriger une illumination non
1 2,3
homogène. ∀ 𝑥, 𝑦 ℎ 𝑥, 𝑦 =
4 2,3
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Opérateurs logiques :
• Les opérateurs logiques
fonctionnent aussi sur les
images.
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Transformations géométriques
• Les transformations géométriques sont parmi les modifications les plus répandues que
peut subir une image (translation, rotation, cisaillement…)
• Le tableau suivant résume ces transformation avec leurs modèles mathématiques?
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Identité
Echelle
Rotation
Translation
Cisaillement vertical
Cisaillement horizontal
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