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1-Introduction ……………………………………………………………………………….............2
1 – Introduction ……………………………………………………………………………….14
3. Angles solaires…………………………………………………………………………………15
4.1- Introduction………………………………………………………………………….…37
4.2.1- Montage……………………………………………………………………………...37
5.1 Simulation de schéma fonctionnelle de transfert de deux équations (1) et (2) ……..…………40
1
1-Introduction :
De nos jours, plusieurs de systèmes fonctionnent à l’électricité ou nécessitent d’être
continuellement rechargé. Les panneaux solaires commencent à être de plus en plus
présents sur le marché et peuvent être une alternative intéressante puisqu'ils peuvent être
utilisés pratiquement partout et comme ils peuvent être très utiles aux endroits non
branchés à un fournisseur d’électricité. Par contre, nous savons que la terre tourne sur elle-
même donc cela cause une perte d’efficacité si les panneaux sont fixes puisqu'ils ne sont pas
directement vis-à-vis le soleil. [2]
Le soleil est une source énergétique quasiment illimitée, il pourrait couvrir plusieurs
milliers de fois notre consommation globale d’énergie, L’énergie solaire photovoltaïque est
une énergie électrique renouvelable, produite par les rayonnements du Soleil. La production
de cette énergie peut se faire grâce aux cellules photovoltaïques, composants électriques
qui, exposé à la lumière, produit de l’électricité.
2-Energie solaire :
L'énergie solaire est l'énergie diffusée par le rayonnement du Soleil. Des ondes radio aux
rayons gamma en passant par la lumière visible, tous ces rayonnements sont constitués des
photons.
L'énergie solaire est ainsi presque à l'origine de toutes les formes de production
énergétique aujourd’hui utilisées sur Terre, à l'exception de l'énergie nucléaire, de la
géothermie et de l'énergie marémotrice et l’énergie fossile. L’homme utilise l'énergie solaire
pour la transformer en d'autres formes d'énergie : énergie chimique (les aliments que notre
corps utilise), énergie cinétique, énergie thermique, énergie électrique ou biomasse.
Par extension, l'expression « énergie solaire » est souvent employée pour désigner
l'électricité ou l'énergie thermique obtenue à partir de la source énergétique primaire qu’est
le rayonnement solaire. [3]
2
3. Conversion photovoltaïque de l’énergie solaire :
3.1.Énergie solaire thermique
L'énergie solaire thermique est le domaine dans lequel on cherche à transformer la lumière du
Soleil en source de chaleur. S'il n'y a pas de nuages masquant le Soleil, il est possible de concentrer
cette lumière avec des miroirs ou des lentilles, afin d'augmenter la température. L'énergie solaire
thermique sert à chauffer, climatiser un intérieur, réfrigérer, congeler, chauffer l'eau pour la douche,
la lessive ou les processus miniers, chauffer pour faire la cuisine, la chimie, théoriquement jusqu'à la
métallurgie. C'est une énergie propre et renouvelable.[4]
3.3. La jonction PN
En physique des semi-conducteurs, une jonction p-n désigne une zone du matériau où
le dopage varie brusquement, passant d'un dopage p à un dopage n. Lorsque la région
dopée p est mise en contact avec la région n, les électrons et les trous diffusent
spontanément de part et d'autre de la jonction, créant ainsi une zone de déplétion, ou zone
de charge d'espace (ZCE), où la concentration en porteurs libres est quasiment nulle. Alors
qu'un semi-conducteur dopé est un bon conducteur, la jonction ne laisse quasiment pas
3
passer le courant. La largeur de la zone de déplétion varie avec la tension appliquée de part
et d'autre de la jonction. Plus cette zone est petite, plus la résistance de la jonction est faible.
La caractéristique courant-tension de la jonction est fortement non linéaire : c'est celle
d'une diode.
La physique des jonctions p-n a de grandes utilités pratiques dans la création de dispositifs à
semi-conducteurs. La diode redresseuse de courant ainsi que la plupart des autres types de
diodes contiennent ainsi une jonction p-n. Les cellules photovoltaïques sont également
constituées d'une jonction p-n de grande surface dans laquelle les paires électron-trous
créées par la lumière sont séparées par le champ électrique de la jonction. Enfin, un type
de transistor, le transistor bipolaire, est réalisé en mettant deux jonctions p-n en sens inverse
– transistor ou . [5]
4
o Pour calculer le rendement d’un panneau solaire, il faut prendre en compte sa
définition. La formule à utiliser est la suivante :
o
1. L’effet photovoltaïque
Une cellule photovoltaïque est basée sur le phénomène physique appelé effet photovoltaïque
qui consiste à établir une force électromotrice lorsque la surface de cette cellule est exposée à
la lumière [7]. La tension générée peut varier entre 0.3V et 0.7V en fonction du matériau
utilisé et de sa disposition ainsi que de la température de la cellule et du vieillissement de la
cellule. La figure.1.1. illustre une cellule photovoltaïque (PV) typique où sa constitution est
détaillée.
Une cellule PV est réalisée à partir de deux couches de silicium, une dopée P (dopée au
bore) et l’autre dopée N (dopée au phosphore) créant ainsi une jonction PN avec une barrière
de potentiel. Lorsque les photons sont absorbés par le semi-conducteur, ils transmettent leur
énergie aux atomes de la jonction PN de telle sorte que les électrons de ces atomes se libèrent
et créent des électrons (charges N) et des trous (charges P). Ceci crée alors une différence de
potentiel entre les deux couches. Cette différence de potentiel est mesurable entre les
connexions des bornes positives et négatives de la cellule. A travers une charge continue, on
peut en plus récolter des porteurs.
5
2. Modélisation de la cellule photovoltaïque
Avec :
La photopile présentée comporte en réalité une résistance série ( ) et une résistance Shunt ( ). Ces
résistances auront une certaine influence sur la caractéristique I=f(V) :
- La résistance série : elle représente la résistance interne de la cellule, elle dépend
Principalement de la résistance du semi-conducteur utilisé, de la résistance de contact des
grilles collectrices et de la résistivité de ces grilles.
6
- La résistance shunt : elle est due à un courant de fuite au niveau de la jonction, elle dépend
de la façon dont celle-ci a été réalisée.
-La diode modélise le comportement de la cellule dans l'obscurité. Le générateur de courant
modélise le courant généré par un éclairement. [9]
7
Figure.1.4.caractéristiques d’un générateur photovoltaïque pour différentes éclairements.
8
Fig.1.5. L’influence de la température sur la caractéristique électrique.
On remarque que la température a une influence négligeable sur la valeur du courant de court-
circuit par contre la tension en circuit ouvert baisse assez fortement lorsque la température
augmente, par conséquent la puissance extractible diminue [11]. Lors du dimensionnement d’une
installation, la variation de température du site sera impérativement à prendre en compte. Il est
important de savoir que la puissance du panneau diminue environ de 0.5% par chaque degré
d’augmentation de la température de la cellule au-dessus de 25°C.
9
Fig.1.6.Caractéristiques résultante d’un groupement en série de ns cellules identiques. [12]
10
Fig.1.7.Caractéristiques résultante d’un groupement en parallèle de ns cellules identiques. [12]
Ainsi dans un groupement de cellules connectées en parallèles, les cellules sont soumises a la même
tension et la caractéristique résultante du groupement est obtenue par addition des courants a
tension donnée.
La figure.1.7 montre la caractéristique résultante( ) obtenue en associant en parallèle
(indice p) cellules identiques( ):
……………………………..(3)
( ) …………………………………(5)
Où est la résistance optimale du module dans les mêmes conditions.
- Avec M=m
11
Fig.1.8.Caractéristiques résultante d’un groupement mixte de Ns cellules identiques. [12]
12
Ainsi, pour qu’une connexion source charge soit possible, un point de fonctionnement
correspondant à l’intersection des caractéristiques électriques doit exister.
Pour mieux comprendre ceci, prenons par exemple le cas d’une connexion directe entre un
générateur PV et une charge. Nous regardons l’influence de la nature de la charge qu’elle soit
une charge résistive R ou bien même une batterie, comme illustré dans la figure.1.8 a ou les
points PPM1 et PPM2 correspondent au fonctionnement optimal du générateur PV.
13
1 – Introduction :
L’exploitation des systèmes tels que les suiveurs solaires est une meilleure solution qui
vient d’être appliquée comme alternative au faible rendement des panneaux voltaïques fixes
par rapport au volume de l’énergie fournie chaque jour.
Le bon fonctionnement d’un suiveur solaire demande une poursuite de la trajectoire du
soleil du lever jusqu’au coucher au moyen d’une étude astronomique ; cette étude se fait à
l’aide des grandeurs reliant le mouvement du soleil par rapport à la position du globe
terrestre représentées dans la sphère céleste figure 2.1, (la base du système de coordonnées
employée pour déterminer les positions des astres).
Pour cette raison, il est nécessaire de présenter dans ce chapitre une notion générale sur
les coordonnées célestes pour arriver à la bonne condition pour laquelle l’exploitation de
cette énergie sera au mieux.
14
2- Révolution de la terre autour du soleil :
La terre tourne autour du soleil en une année suivant un mouvement périodique. L'orbite
de la terre autour du soleil est une ellipse. La distance de la terre par rapport au soleil n'est
pas constante mais varie au court de l'année, autour d'une valeur moyenne 149,5 millions de
kilomètres ;
(147 millions Km au mois de janvier et de 152 millions Km au mois de juillet).
La longueur de l'orbite terrestre est de 930 millions de kilomètres. Comme la Terre
parcourt cette orbite en un an, c’est-à-dire, 365 jours, 6 heures, 9 minutes et 4 secondes (12
mois), donc sa vitesse moyenne est de 106 000 kilomètres/heure (30 kilomètres/seconde).
Mais la vitesse de la Terre n'est pas constante : elle va plus vite quand elle est près du soleil,
ceci étant démontré par la loi de Kepler [12].
Le plan créé par ce mouvement de révolution s'appelle le plan de l'écliptique.
La terre tourne sur elle-même autour de l'axe des pôles. Cet axe de rotation de la terre est
toujours incliné d'environ 23,45° par rapport à la perpendiculaire au plan de l'écliptique et
garde toujours la même orientation ("Nord-Sud" d'après nos repères terrestres) quelle que
soit la position de la Terre par rapport au soleil. C'est ce qu'on appelle l'obliquité de la terre.
3. Angles solaires :
15
Le concept de poursuite solaire dépend de déterminer le locale du soleil relatif à la terre à tous
moment pendant le jour, La rotation de la terre autour d’elle- même implique les séquences du
jour et la nuit, En outre, sa rotation autour du soleil cause la variation des longueurs jour et nuit.
Le temps solaire est basé sur le mouvement angulaire apparent du soleil à travers le ciel.
à midi, le soleil croise le méridien de l'observateur [13].
Angles de la longitude :
Angle de longitude L c’est l’angle de lieu formé par le point du lieu et le méridien locale (l'Est est
positif) :180°≥ L ≥-180°.
( ) .................................................................................................(6)
16
Figure.2.4. Angles solaires.
C’est un angle formé entre le centre soleil-terre et le méridien local ou c’est un déplacement du
soleil vers l’Est ou l’Ouest du méridien local du a la rotation de la Terre autour de son axe à
15°par heure.
Le matin et l’après-midi.
( ) .....................................................(7)
Durée du jour : =
( ) .............................................(9)
( )
Si : ≥ 0 .5 ; alors
Si : ≤ 0 .5 ; et alors ..........................................(10)
Si non
17
Ou bien :
( ) ( ) ( )
( ) ( ) ( )
( ⁄ ) ........................................................(11)
Si : alors
Si : ( ) et ( ) alors
Sur la figure.2.6, les trajectoires et en même temps les hauteurs du Soleil sont tracées pour tous les
pays qui sont à la même latitude. Plus on monte vers le Nord, plus le Soleil à son lever, s'écarte de
l'Est à l'époque des solstices. L'angle que fait un point de l'horizon avec la direction du Sud, s'appelle
l'azimut. L'équateur céleste est pratiquement la ligne que trace pour nous le Soleil dans le ciel, aux
premiers jours du printemps et de l'automne (appelés jours d'équinoxes). L'observateur est ici face
au Soleil couchant. Le parcours du Soleil est le plus long au solstice d'été. Au solstice d'hiver, en
revanche, le parcours du Soleil est le plus court [14].
18
Figure.2.6. Trajectoire du soleil.
19
1. Principes fondamentaux des suiveurs solaires :
Un traqueur (suiveur) solaire est un dispositif qui est utilisé pour aligner un simple
module PV ou d’un panneau avec le soleil. L'efficacité est en particulier améliorée dans les
heures de matin et d'après-midi où un panneau fixe fera face loin des rayons du soleil. Les
dépenses initiales d’un système de suiveur solaire dépendront du type et de la taille du
traqueur qui doit être employé. Les modules PV sont chers et dans la plupart des cas le coût
des modules eux-mêmes sera supérieur au coût du système de traqueur.
En plus un système bien conçu qui utilise un traqueur aura besoin de moins de panneaux
pour augmenter l’efficacité, ayant pour résultat une réduction de coûts initiaux
d'installation.
20
modules doivent être perpendiculaires aux rayons du soleil. Les traqueurs de ce type
peuvent utiliser un ou deux axes selon leurs applications. L'inconvénient principal des
systèmes synchronisés est que leur mouvement ne tient pas compte de la variation
saisonnière de la position du soleil.
21
La variation horaire de l'angle de déclinaison est considérée très lente; par conséquent
l’orientation de ce dernier peut être ajustée une ou plusieurs fois par saison [16].
22
Une fois que la position a été calculée par le microcontrôleur, les modules sont déplacés à
l'aide des moteurs à courant continu. Cet avantage principal de ce système est que la
position du soleil peut être déterminée indépendamment de la couverture de nuage.
En outre, des variations saisonnières de la position du soleil sont prises en considération.
4.2. Présentation :
La figure ci-dessus représente le schéma cinématique simplifié du mécanisme
d’entraînement de deux panneaux photovoltaïques mobile. Les principaux éléments de
l’ensemble sont :
23
Le vérin électrique (VE) est constitué d’un moteur (1) à courant continu solidaire du corps (2)
et d’un équipage mobile. Ce dernier est formé essentiellement de la tige (3) et des deux
pignons (4) et (5) à denture droite.
Un pignon est une pièce mécanique pouvant avoir différentes utilisations :
AB =a y1 ; CD = b y 2 ; DB = x2 ; AG = aG y1
Les angles , , et α sont les paramètres de rotation du mécanisme, est le seul paramètre
de translation. Les données qui caractérise les dimensions du système sont a, b, R4 (rayon du
pignon (4)), R5 (rayon de pignon (5)) et P (pas de la tige fileté (3)).
On admettre que toutes les liaisons sont parfaites pour qu’on puisse négliger les effets du
frottement.
L’accélération de la pesanteur g = gy0
1 / 0 z 0 Avec 15dg /s = 0,26 rd/s.
24
Afin de calculer la vitesse de rotation du panneau, nous avons besoin de déterminer la
longueur d’une journée c'est-à-dire le nombre d’heures à partir du lever du soleil jusqu’à son
coucher. Ce nombre est égal à 14 heures en été et à 9 heures en hivers. Ainsi, nous avons pris
la moyenne qui est égale à 12h. Cette valeur sera utilisée dans les calculs qui suivent.
180
pan Avec ( pan : Vitesse de rotation du panneau)
12 h 12 3600
Pélec
Im
Um
150
AN : I m 6.25 A
24
Donc E U m Rm I m
AN : E 24 0,1 6,25
E 23,375V
E
KE
23.375
AN : K E 4.5V / rds 1
5.2
Cm K m I m
Pméc
Donc C m
100
AN : C m 19.23N m
5.2
25
Cm
Alors K m
Im
19.23
AN : K m 3.07m / A
6.25
Cu : couple utile, demandé par la charge est égale à la couple moteur lorsque on travaille à
vide, donc Cu = Cm
pan 15deg/ h
15dg/s
pan 0.26rad / s
V B / R2 x 2 Avec a
26
Calcul de moment d’inertie :
Le moment d'inertie est au mouvement de rotation l'analogue de la masse pour le mouvement
de translation : il reflète la « résistance » qu'oppose un corps à sa mise en mouvement. [17]
l
m
0.99 =1.42kgm2
17.5
JY AN J Y
2 2
12 12
2
m L
0.7 =0.71kgm2
17.5
JZ AN J Z
2
12 2 12
JX J y JZ AN J X 1.42+0.71= 2.13kg.m2
J X 2.13kg.m 2
On va s’intéressera au moment d’inertie suivant l’axe X car l’arbre de vérin tourne suivant cet
axe.
m
P g Avec m= 35kg (m et la masse de deux panneaux)
2
35
P 10 175N
2
27
On a estimé que l’effort exercé par le vent sur le PV est de 10 N par rapport a l’axe x1 pour une
vitesse moyenne de 6,11m/s. [18]
F P FV
F 175 10 185 N
PV FV V
PV 10 6,11 61,1watt
Ppoids p aG
Ppoids 175 0,35 0,26 16W
PF F a F
Avec a 0.4 0.26 0.104 rd / s
PF 180 0,4 0,26 18,72W
PT PP PV PF
PT 61,1 16 18,72 95,82W
PT 100W
28
1- Modélisation du moteur à courant continu :
Cette étude met en œuvre un modèle de Moteur à Courant Continu à aimant permanent
défini à partir de ses grandeurs caractéristiques dont certaines seront négligées pour mener
une étude simplifiée:
29
Figure.4.1 : Modèle dynamique d’un moteur à courant continu [19]
= 0.1Ω
dI m
U m Rm I m Lm E
dt
E KE
30
Le principe fondamental de la dynamique (PFD) nous permet d’écrire :
d
J C m C f Cu
dt
D’après la loi de maile on a E U m Rm I m et on a la puissance Pélec U m I m
Pélec
Im
Um
150
AN : I m 6.25 A
24
Donc E U m Rm I m
AN : E 24 0,1 6,25
E 23,375V
E
KE
23.375
AN : K E 4.5V / rds 1
5.2
Cm K m I m
Pméc
Donc C m
100
AN : C m 19.23N m
5.2
Cm
Alors K m
Im
19.23
AN : K m 3.07m / A
6.25
31
Cu : couple utile, demandé par la charge est égale à la couple moteur lorsque on travaille à
vide, donc Cu = Cm
(1) U m p Rm Lm p I m p E p
E p K E p
(2) J X P p Cm p C f p Cu
C r C f Cu
U m p E p U m p K E
I m p
Rm Rm
Comme f étant négligé alors les équations (1) et (2) donnent le schéma de bloc suivant.
p
T p T p
K1
Um p 1 m p
32
En négligeant le couple de perturbation Cr, alors l’équation mécanique devient :
d
JX Cm
ct
En formation de la place on à :
J X p p Cm p
Donc on aura :
J R
U m p X m p K E p
Km
p
T p
1
U m p J X Rm
p KE
Km
Donc T p
KE K1
Rm J 1 m p
1 p
Km KE
0.22rd / s / v
1 1
K1
K E 4.5
Rm J X 0.1 2.13
m 0.01sec ond
K m K E 3.07 4.5
33
3 - Synthèse du régulateur de la vitesse
3.1 - Régulateur (Correcteur) Proportionnel intégrer
L’intérêt principal de ce correcteur est d’ajouter dans la chaîne de commande une
intégration, nous avons que la présence d’une intégration dans la fonction de transfert en
boucle ouvert (FTBO), a annulé l’erreur statique pour une entrée en échelon. L’intérêt
principal de ce type de correcteur est donc d’améliorer la précision, il introduit
malheureusement un déphasage de -90° et risque de rendre le système instable (diminution de
la marge de phase).
34
p k p p k i k1
H p
réf p 1 m p
K 1 k p p k i k1
m p 2 1 k p k1 p k i k1
En divisant par ki.k1, on retrouve l’équation suivante :
k1 k p k i k1
p
k i k1 k i k1
T p
p 2
1 k p .k1 p ki .k1
1
k k k i .k1 k i .k1
m i 1
kp
p 1
T p
ki
p2
1 k p .k1 . p 1 (1)
k i .k1 k i .k1
0 n 1 2
0
n
1 2
1 1 k k 3.07 4.5
Or 0 m E 64.85rd / s
m Rm J X Rm J X 0.1 2.13
km k E
35
64.85
n 90.80rd / s
1 0.7 2
m k1 0.22
36
C’est convertisseur continu/continu, dont le symbole est :
ie is
Ve Vs
iH H i
iD
uH
u
M
UC D
37
4.2.2- Analyse de fonctionnement
DR est bloqué
u 0; i iH ; i D 0; u H 0
Hypothèse simplificatrice :
UC E UC E
On intégrale membre à membre : di
L
dt i t Im in i Augmente
L
H est ouvert, le circuit devient :
T t T :
D conduit
U 0; I I DR ; I H 0;U H uc
38
L’intensité de courant dans la charge i (t) vérifier l’équation différentielle suivante :
E
dt I t T Im ax donc le courant I diminue.
Ldi s E
0E Soit dis
dt L L
Chronogrammes :
39
5- Modèle sous /Simulink :
C’est équivalent à :
0.22
0.01 s+1
24 V Transfer Fcn Scope
40
5.2. Simulation du schéma fonctionnel du régulateur
Scope
0.22
5.2 In1 Out1
0.01 s+1
Omega _ref
Kp+Ki /p
C’est équivalent à :
Scope
0.22
5.2 In1 Out1
0.01 s+1
Omega _ref
Kp+Ki /p
1.04
In1 Out1
1.04
Kp +Ki/p
374 .75
In1 Out1
s
374 .75
Kp +Ki/p
s
41
.
Le résultat qu’on a obtenu :
42
TABLE DES FIGURES
Chapitre 1 :
Chapitre 2
- Figure.2.1 : sphère céleste
Chapitre 3
- Figure.3.1. Traqueur a un seul axe avec angle d’inclinaison de Latitude.
Chapitre 4
43
- Figure.4.1 : Modèle dynamique d’un moteur à courant continu
44
Références bibliographie
[9] : https://fr.wikipedia.org/wiki/Diode
[10] : https://www.hisour.com/fr/maximum-power-point-tracking-39710/
[11] :Aain Bilbao Learreta ‘Réalisation de commandes MPPT Numériques ’ /Septembre 2006.:
[12] :conception_et_réalisation_de_systeme_suiveur_solaire_pour_les_systemes_photovoltaiqu
e.pdf
[1 3]: , M.A. Al-Nimr, Yousef Qaroush ‘Developing a multipurpose sun tracking system
using fuzzy control’/ juin 2004.
45