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Questions :
I – Compréhension de l’écrit :
1- Dans ce texte, l’auteur :
a- Présente un phénomène scientifique.
b- démontre et prouver un fait scientifique.
c- donne son avis sur un fait scientifique.
Relevez la bonne réponse.
2- Relevez du texte deux termes appartenant au champ lexical de « insecte » et deux autres
appartenant au champ lexical de « l’expérimentation »
3- « Les chercheurs ont conçu un système artificiel » .
L’expression soulignée veut dire :
a- détruit un système artificiel
b- composé un système artificiel
c- branché un système artificiel
Relevez la bonne réponse.
4- « les chercheurs ont remarqué que les punaises dirigeaient directement leurs trompes vers un
vaisseau sanguin »
Réécrivez la phrase en remplaçant le verbe souligné par un autre verbe de même sens
7- A qui ou à quoi renvoient les termes soulignés (leurs- ils) dans le texte ?
8- Complétez l’énoncé suivant par les termes et les expressions suivants :
Insectes / chercheurs / chaleur / punaises hématophage / température / vaisseaux
sanguins
Une recherche sur des ………. a permis aux ………. de conclure que c’est grâce à une
………. élevée que ces ………. localisent les ………. sous la peau. La piqure se fait à l’aide
de la trompe et sa sensibilité à la ………..
II - Production écrite :
Traitez l’un de ces deux sujets au choix :
1- A ton tour, présente les étapes d’une expérience que tu as réalisée lors des séances
de travaux pratiques (en sciences naturelle ou en physique).
2- Faites le compte rendu objectif du texte.
Lycée : Lagrâ Mohamed Dif Année scolaire : 2019 / 2020
Niveau : 2AS Durée : 2 heures
Composition n° 1 de langue française
Texte
Des chercheurs du CNRS viennent de prouver que chez les insectes qui se nourrissent de
sang (moustiques, punaises,…), la chaleur joue un rôle important dans la localisation des vaisseaux
sanguins sous la peau. Ces résultats sont issus d'une étude menée sur des punaises hématophages.
Lors d'une piqûre sur la peau d'un animal, les chercheurs ont
remarqué que les punaises dirigeaient directement leurs trompes vers un
vaisseau sanguin, sans aucun contact préalable de la trompe avec la surface
de la peau. On pense que ces insectes pourraient utiliser la différence de
température existant sur la peau pour repérer les vaisseaux. Les chercheurs
Une punaise sur la peau
ont fait l’expérience suivante : ils ont conçu un système artificiel, composé
d'une plaque métallique dont la température peut être contrôlée à volonté et d'un fil métallique dont
la température peut également être contrôlée et maintenue supérieure à celle de la plaque.
Confrontés à ce modèle de peau artificielle, les insectes dirigent leur proboscis (trompe de l'insecte)
directement vers le fil plus chaud et non vers le fond. Ne trouvant pas de sang, les insectes adoptent
alors une stratégie de recherche particulière, qui consiste à piquer autour du point chaud puis s'en
éloignent de plus en plus.
D'autre part, des études préalables sur ces punaises ont montré que la sensibilité à la
chaleur se trouve principalement sur leurs antennes. En effet, confrontés au système artificiel, les
insectes ne possédant plus qu'une seule antenne ont raté la cible et ceux privés des deux antennes se
sont avérés incapables de piquer. Deux résultats qui ont permis aux chercheurs de conclure que ce
sont les antennes qui guident la trompe lors de la piqûre.
Centre National de la Recherche Scientifique, notre-planete.info
Questions :
I – Compréhension de l’écrit :
1- Dans ce texte, l’auteur :
a- Présente un phénomène scientifique.
b- démontre et prouver un fait scientifique.
c- donne son avis sur un fait scientifique.
Encadrez la bonne réponse.
2- Relevez du texte 02 termes appartenant :
7- A qui ou à quoi renvoient les termes soulignés (leurs- ils) dans le texte ?
Leurs → ……………………….. ils → …………………………………
8- Complétez l’énoncé suivant par les termes et les expressions suivants :
Insectes / chercheurs / chaleur / punaises hématophage / température / vaisseaux
sanguins
Une recherche sur des………………………..……… a permis aux……………….……………
de conclure que c’est grâce à une ……………………………… élevée que
ces………………………… localisent les ………………………………… sous la peau. La
piqure se fait à l’aide de la trompe et sa sensibilité à la …………………………………
II - Production écrite :
Traitez l’un de ces deux sujets au choix :
1- A ton tour, présente les étapes d’une expérience que tu as réalisée lors des séances de
travaux pratiques (en sciences naturelle ou en physique).
2- Faites le compte rendu objectif du texte.
Lycée : Lagrâ Mohamed Dif Année scolaire : 2020 / 2021
Niveau : 2AS filiéres communes Durée : 2 heures
Composition de français du 1er semestre
Texte :
Langage des bébés :
des pleurs différents selon la langue maternelle
Tout le monde sait que l’enfant acquiert des éléments de langage de ses parents
avant même sa naissance. On a remarqué dans diverses études que le fœtus, au cours des
trois derniers mois de la grossesse, est sensible aux sons provenant de l’extérieur.
Ceci laisse penser que le fœtus pourrait ressentir les variations de mélodie, capter
les émotions à travers la voix maternelle et ses intonations. Et c’est beaucoup plus tôt
qu'on ne le croyait – dès les premières semaines suivant la naissance – que l’effet est
perceptible sur les cris du bébé.
Des scientifiques ont enregistré puis comparé les pleurs de 60 nouveau-nés en
bonne santé, âgés de trois à cinq jours - une moitié ayant des parents francophones,
l’autre des parents germanophones, c'est- à-dire parlant allemand -. Quand ils ont
examiné le «profil» sonore des voix enregistrées, les chercheurs ont constaté que
l'intonation des pleurs des bébés diffère selon la langue de leurs mères ; les bébés
français ont un cri dont le pic d’intensité est situé à la fin (mélodie montante) tandis que
les bébés allemands pleurent de l’aigu au grave (mélodie descendante). Cette différence
provient des intonations propres à chacune de ces langues. Dans la langue française, la
plupart des mots sont accentués sur la dernière syllabe. C’est le contraire en allemand.
Le résultat de cette étude balaie une idée reçue, selon laquelle les cris des
nourrissons seraient contrôlés par un appareil phonatoire encore immature. Selon les
auteurs de cette étude, les pleurs facilitent un premier lien de communication,
l’établissement d’un premier dialogue entre la mère et son enfant, et ce bien avant
l’apparition des premiers babillages.
Revue « Pour la science ». Novembre 2000
Questions :
I- Compréhension de l’écrit :
1- Quel est le thème traité dans le texte ?
2- Relève du texte quatre termes ou expressions qui renvoient au « langage».
3- Répondez par « vrai » ou « faux », puis corrigez les idées fausses :
a- Les bébés sont sensibles aux sons de l’extérieur avant la naissance.
b- L’étude a été faite sur des bébés ayant des parents arabes.
c- La langue de l’entourage provoque la différence d’intonation des pleurs des bébés.
d- Les pleurs sont des moyens de communication entre la mère et son enfant.
4- Classez les phrases suivantes dans le tableau ci-dessous :
- Une étude comparative a été faite par des chercheurs sur une soixantaine de bébé
- L’appareil phonatoire ne contrôle pas le cri des bébés :
- Le fœtus pourrait capter les émotions de la maman à partir de l’intonation de sa voix
- Au cours du troisième trimestre de grossesse, le fœtus entend des sons extérieurs
Observation Hypothèse Expérimentation Conclusion
Pavlov- Ivan Pétrovich (1949- 1936) , médecin Russe et physiologiste, célèbre pour ses
études sur le comportement réflexe, entama à partir de 1889? des travaux sur l'étude
expérimentale de l'activité des glandes digestives chez l'animal.
Le chercheur remarqua que les chiens salivent automatiquement à la vue de la nourriture.
Il imagina alors, que si l'on présentait de la nourriture au chien, en même temps que retentit une
sonnerie, au bout d'un certain temps, on obtiendrait une salivation avec la sonnerie seule. Il fit
cette expérience et constata que les chiens commençaient à associer cette sonnerie à la
nourriture. Il répéta cette expérience plusieurs fois et obtient le mémé résultat. Il démontra ainsi
que le son isolé de la sonnerie finit par provoquer la salivation.
Pavlov venait de découvrir que dans ces conditions, on pouvait provoquer chez ces
chiens, un flux réflexe de salive qui persiste même en l'absence de nourriture. Autrement dit,
ces chiens avaient appris à associer un signal à la nourriture.
Le cerveau est donc nécessaire à l'élaboration du réflexe conditionné.
Biologie/ Collection
Rédaction
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