Actes du langage
Il se produit dans l’activité orale ou écrite de créer un échange communicatif entre une personne
qui est le présentateur et une autre destinataire, en compagnie de règles grammaticales ou
conventionnelles qui facilitent l’intention logique de comprendre des idées soit écrit ou oral, bien
que l’écrit présente des facteurs propres qui la rendent plus complexe ce qui serait les règles
grammaticales en revanche oralement peut varier en règles qui sont facilement comprises. Par
exemple, si nous prenons la langue anglaise, oralement il est facilement compris et accepté : « I
wanna take a shower » tandis que dans sa forme écrite on utilise une formulation plus stricte
grammaticalement « I want to take a shower » autre cas avec la langue française pourrait être
dans le forme oral « je suis pas français » mais dans sa forme écrite on doit utiliser cette addition
grammaticale « ne » Je ne suis pas français.
Ces quatre règles sont les bases des trois actes de la parole et pour les expliquer il est plus
approprié d’utiliser un énoncé d’exemple dans ce cas « je pense que le chien a fait un autre
désastre »
1. Règles de contenu propositionnel : peut contenir plusieurs intentions qui, dans ce cas, l’énoncé
exprime une probabilité d’une situation.
2. Règles préparatoires : l’acte de la parole est construit là où le récepteur passerait à attendre que
le locuteur confirme ou nie la probabilité.
3. Règles de sincérité : Cette règle montre l’acte que comporte l’acte dans ce cas l’incertitude et
les conséquences possibles si elle devient vraie.
Actes du langage
Les trois ont été détaillés par le philosophe britannique John Langsaw qui se présente
simultanément lors de la production d’une phrase. De même, pour cette explication, on utilisera
une phrase ou énoncé "tu dois dormi un peu"
Acte locutoire : Ici se produit la combinaison sonore pour donner comme résultat des notions
représentées par des mots. En d’autres termes, le présentateur commence un échange de
communication.
Acte illocutoire : Cela se produit lorsque le destinataire a déjà transmis la phrase, il déclenche donc
une action en essayant de comprendre la phrase, dans certains cas, il peut présenter plus d’une
intention où le destinataire interprète, par exemple : suggestion ou conseil.
Acte perlocutoire : Enfin, se produit l’effet causé dans l’acte illocutoire, où aussi le résultat ou
l’intention peut être différent de la part de l’auditeur à celui attendu par le locuteur. Exemple
l’auditeur pense qu’il a l’air très fatigué ou c’est juste un conseil
Maximes conversationnelles
Pour Paul Grice la communication pendant ces études était un exchange mutuel ou les deux parts
le locuteur et l’auditeur font une communication naturelle, qui s’appelle principe coopératif. Ce
principe a des maximes qu’aider à la bon cohésion et interprétation des conversationnes entre le
locuteur et l’auditeur.
Maxime de quantité : c’est la précision de comme le locuteur doit donner une information dans un
conversation qui il ou elle veut communiquer ou l’auditeur la demande par Example : si une
personne demande à quelqu’un pour la localisation de quelque chose, le locuteur seulement doit
une information avec des indications précises et sans ajouter information nécessaire de l’endroit
Maxime de qualité : c’est la communication véritable entre les deux parties où le deux vérifient
l’information qu’ils partagent, c’est-à-dire ne partage pas idées que n’a pas des preuve ou
arguments qu’affirme la véracité des idées, alors, si quelqu’un dit une rumeur ou une idée sans
arguments, la personne ne respectera pas la règle d’une communication totalement vraie sans
doute.
Summary on English
The language acts describe the simultaneous actions that occur in a communication exchange
where both broadcaster and auditor are involved, these can be presented orally or in writing
having different rules in each form where the written form is stricter in terms of logical
grammatical acceptance, these are the locutory act where the combination of letter and the
communication of an idea occurs, interlocutory act where one or more intentions understood by
the receiver and the perlocutory act are transmitted where the final effect occurs which may be
the same or different from that transmitted by the broadcaster.
The maxim of quantity, where one tries to be as informative as one possibly can, and gives as
much information as is needed, and no more.
The maxim of quality, where one tries to be truthful, and does not give information that is false or
that is not supported by evidence.