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DROIT DES AFFAIRES :

CHAPITRE 1 : DEFINITIONS ET CARACTERISTIQUES :

Def de la société: donnée par l’article 982 de DOC de 1913, c’est un contrat par laquelle deux ou
plusieurs personnes mettent en commun leurs bien ou leur travail ou les deux à la fois en vue de
partager le bénéfice qui en résulte.
le test mais en évidence la société que la société et un service de la réalisation d’un projet ou tend à
l’explantation du société ,elle est tout simplement constitué envie de profiter d’une économie.
D’où vient l’intérêt du recours à la forme sociale ?
==> du point de vue financier la société est une technique qui permet de
-drenner les capitaux de plusieurs personnes
-faire appel public à l’épargne
-détenir un pouvoir économique par l’associé ou quelqu’un de sa famille (pouvoir contrôler son
argent et emprunter son surface )
==>de part de vue juridique : séparation du patrimoine de l’entreprise et celui du chef de
l’entreprise( qui empêchera les créanciers d’agir contre les sociétés)
TECHNIQUE D’ORGANISATION DU PATRIMOINE
-Continuité de l’entreprise: la société offre une permanence et une durée plus approprié au
développement des activités économiques que le cadre de la vie humaine la société permet
d’assurer la pérennité de l’entreprise.
- transmission de l’entreprise :la transmission est plus facile d’assurer lorsque l’entreprise est
exploitée sous forme de société( la cession par ex s’effectue par la cession des droits sociaux)
==> du point de vue sociale :l’entrepreneur individuel connaissait des difficultés du point de vue de la
protection sociale .
==>du point de vue fiscal: le statut fiscal de l’entreprise et de ses dirigeants change selon le statut
juridique de l’entreprise l’impôt sur les sociétés est un impôt dans le taux est fixe quel que soit le
gain réalisé alors que dans l’entreprise individuelle le commerçant est soumis pour la totalité de
bénéfice à l’impôt sur le revenu qui plus lourd que l’Is et dont le taux est progressif.
LA NATURE JURIDIQUE DE LA SOCIÉTÉ :

1- La conception contractuelle : bon nombre de règles applicables aux sociétés relèvent du droit
commun des contrats (cause capacité consentement objet) on peut également expliquer le
fonctionnement des sociétés par le recours aux contrats spéciaux notamment le mondât.
néanmoins cette conception contractuelle ne peut expliquer certains règles applicables aux
sociétés qui s’agissent de leur constitution ou leur fonctionnement.
2- La conception institutionnelle : consiste à la considéré comme un ensemble de règles qui
organisent de façon impérative et durable au regroupement de personnes autour d’un but
déterminer selon cette conception les droits et les intérêts privés des associer sont
subordonnés au but social qui s’agit d'atteindre la considération du but social explique ainsi
que les droits des associés peuvent être modifiés par une décision prise par la majorité au
nom de l’intérêt social.
3- Le dépassement de l’opposition la société présente une double nature car elle est à la fois un
contrat et une institution .
Les dispositions contractuelles coexistent avec les règles impératives de type
institutionnelles.
LA CLASSIFICATION DES SOCIÉTÉS :
A- Les sociétés civiles et le société commerciale
La société civile continue d’être assimilé à un simple particulier tandis que la société
commerciale est soumise au statut dérogatoire des commerçants.
B- Les sociétés de personnes et les sociétés de capitaux :
=>Société de personnes : ils ont un caractère contractuel très marqué, elles sont
caractérisées par l'intuitu personae qui existe entre les associés et la responsabilité
indéfini de ceux-ci sur leurs biens personnels au regard du droit fiscal, les sociétés de
personnes sont dotés d’une personnalité morale semi transparente ou transparente.
=> société de capitaux : en revanche les sociétés de capitaux sont en principe
caractérisées par la faiblesse de l’intuitu personae entre les associés qui se choisissent en
fonction de leur moyen .En outre elles ont une personnalité morale opaque sur le point
fiscal car elles sont soumises à l’impôt sur les sociétés. Ce n’est plus la personnalité des
associés qui est primordial mais l’importance des capitaux apportés.
=>La SARL : LA SARL et les sociétés en commandite sont plus difficilement classable en
effet les associés de ces sociétés sont liés par une certaine forme d’intuitu personae alors
que le montant de leur apport conserve tout de même une grande importance.
LA CONSTITION DE LA SOCIÉTÉ :
SECTION 1 : LE CONTRAT DE LA SOCIÉTÉ :

Depuis la loi de 1997 la société peut découler d’un acte juridique unilatéral mais le plus souvent la
société résulte d’un contrat (2 ou plus) .Puisque cette dernière est un contrat elle doit d’abord
satisfaire aux conditions générales posées par l’article 2 du DOC et comporter les éléments
spécifiques visées par l’article 982 du DOC.

SECTION 2 : LES CONDITIONS GENERALES DE TOUT CONTRAT :

1- Le consentement : l’adhésion (l’accord) d’un associé au proposition faite par l’autre où les
autres associés.
2- La capacité : le DOC ne comporte pas de dispositions spécifiques quant à la capacité des
associés de sorte qu’il convient de se reporter au droit commun des contrats.
3- l’objet : toute société doit avoir un objet licite dans le cas contraire l’objet est considéré
comme nul d’objet limite la sphère d’activité de la société il doit être déterminé d’une façon
claire possible et licite.
4- la cause : le motif pour lequel de ou plusieurs personnes en décider d’associer.

SECTION 3 : les conditions spécifiques du contrat de société :

-/ la pluralité d’associés : à l’exception de la SARL d'associé unique une société selon l’article 982 du
DOC ne peut exister que si deux personnes au moins décident de s’associer la loi impose parfois un
minimum d’associer (5 associer pour la SA) ou un nombre max d’associés (50 associé pour la SARL).

-/ les apports des associés : chaque associé doit effectuer un apport en contrepartie duquel il perçoit
des droits sociaux plus précisément des parts sociales.

-/ la participation des associés aux résultats de l’exploitation : les associés ne participent pas
seulement aux bénéfices ou aux économies mais ainsi les associés s’engage a contribué au pertes,
cette participation au perte et au bénéfice est d’ordre public.

-/ l’affectio societatis : un désir de collaboration volontaire active intéressé et égalitaire. Cette


volonté commune doit exister non seulement au moment de la création de la société mais aussi se
prolonger pendant la vie de la société.
LES FORMALITÉS DE CONSTITUTIIN DE LA SOCIÉTÉ :

La loi exige 3 catégories de formalités à savoir la rédaction du contrat de la société (les statuts) des
formalités requises dans un but d’information des tiers si les associés souhaite immatriculer la
société au registre du commerce pour lui conférer la personnalité morale et enfin des formalités au
registre de commerce.

Une fois la forme juridique de la société choisis le créateur dois procéder à la rédaction, à
l’approbation des statuts et à leur enregistrement et effectuer d’autres formalités importantes.
➔Jusqu’à la signature des statuts :

A- a rédaction des statuts : soit par acte authentique devant un notaire ou bien sous seing privé.
B- Signature des statuts : par la signature des statuts les associés manifeste l’engagement de
créer la société.

➔Formalités postérieures à la signature des statuts :

- L'enregistrement des statuts .


- Les dépôts des actes en annexe au registre de commerce.
- Constitution d'un dossier (CRI)
- L'immatriculation au RC .
- La publication d'un avis au bulletin officiel.

LA PERSONNALITÉ MORALE DES SOCIÉTÉS :

1/ Nature juridique de la société : dans le langage des affaires le mot société désigne la personne
juridique de la personne morale à laquelle est affecté la chose mise en commun et investi de la
capacité juridique d’agir au nom et dans l'intérêt de la collectivité, càd les associes.

2/ la notion de personne morale : de manière générale la personnalité juridique est l’aptitude à


devenir sujet de droit et d’obligation.

La personnalité moral présente de nombres avantages, elle permet essentiellement à la société


d’avoir patrimoine propre, le patrimoine social distinct de celui patrimoine personnelle de ses
membres une identité propre avec un nom (raison sociale) un domicile (siège social) une nationalité,
une pleine capacité juridique.

3/ les attributs de la personnalité morale : c’est l’enregistrement au registre de commerce qui fait
acquérir la personnalité morale, la société existe donc désormais en tant que personne morale c’est-
à-dire en tant qu’entité autonome de ses créateurs . Cette entité peut-être individualiser grâce à un
patrimoine, un nom, un siège social une nationalité, une capacité de jouissance et une capacité
d’exercice.
LA SOCIETE À RESPONSABILITE LIMITÉE TRADITIONNELLE « SARL »
SECTION 1 : La constitution de la SARL :

Conditions de fonds :

■ Les conditions relatives aux associés :

Nombre des associés : la SARL de type traditionnel peut-être constitué de deux associés au moins
(article 44 loi SARL)et le nombre des associés ne doit pas dépasser 50 associé (article 47) cette
limitation se fonde sur le fait que les associés doivent se connaître et que la SARL doit demeurer de
dimensions modestes.

Capacité des associés : l’entrée dans une SARL ne suppose pas une capacité particulière ce qui
s’explique par le fait que les risques sont limités au montant des apports par conséquent un
incapable peut devenir associé par l’intermédiaire de son représentant légal le cas se présente
notamment lorsque l’associé décède ou laissant des héritiers.

■ Les conditions relatives à la société elle-même :

Montant du capital : un minimum d’abord n’est plus exigé dans les SARL et il reste seulement indiqué
par les sociétés anonymes ainsi le capital de la SARL est librement fixé par les associés dans les
statuts il est divisé en parts sociales qui ne peuvent pas représenter des apports en industrie.

Souscription et libération du capital :

-/ La souscription : elle est toujours intégral la capacité doit être intégralement souscrit des la
constitution de la société (art51…)

-/ La libération : l’apport en nature doit être obligatoirement effectué lors de la souscription mais en
cas d'apport en numéraire ou en espèces il ne doit être libéré que du quart avant l’immatriculation
de la société (article 51) la date de la libération de sur puce est fixé par les statuts mais la loi impose
un délai maximum (l’article 51) dispose que la Libération en deux sur plus du capital intervient en
une ou plusieurs fois sur décision du gérant dans un délai qui ne peut excéder 5 ans à compter de
l'immatriculation de la société au registre du commerce.

-/ L'objet social : la SARL peut-être constitué pour objet quelconque civil ou commercial du moment
qu’il est licite toutefois il existe certain exception légale qui interdisent au SARL certains activités telle
que les sociétés de banque, de crédit, de capitalisation et l’épargne (article 44..)

LES CONDITIONS DE FORME : ( déjà traités : signature statut…)

SECTION 2 : ORGANISATION ET FONCTIONNALITÉ :

Le fonctionnement de la société repose d’abord sur une gérance que contrôlent les associés non
gérant et les commissaires aux comptes.

➔La gérance : est l’organe essentiel de SARL bien que la comparaison ne sois pas approximative elle
représente le pouvoir exécutif car elle assure le fonctionnement quotidien de la société et prend
même souvent en fait une importance prépondérante dans les décisions les plus graves soit parce
que le gérant et aussi associé majoritaire soit parce que les associés n’exerce pas sérieusement les
pouvoirs de contrôle que la loi leur confère.

➔Statut du gérant : le gérant de la SARL n’est pas commerçant il peut avoir le double qualité du
gérant et de salarié.
DÉSIGNATION DU GÉRANT : QUI PEUT ÊTRE GÉRANT ??

Il faut et il suffit qu’il s’agisse d’une personne physique (article 6..) la capacité commercial n’est pas
exigé puisque c’est la société et non le gérant qui accomplit des actes de commerce il peut bien être
un associé qu'un non associé la SARL est en effet gérée par un ou plusieurs mondaristes ou non
associé.

Comment est nommé le gérant ?

Le gérant peut-être statutaire c’est-à-dire non mais par les statuts soit dès l’acte constitutif soit après
une modification de ceux-ci ou non statutaires, dans ce second cas il est désigné par des associés
représentant au moins trois quart du capital social (article 75).

En absence de clause statutaire fixant la durée des fonctions des gérants, ces derniers sont nommés
pour une durée de 3 ans.

La cessation des fonctions : LE gérant peut il être révoqué ?

Le principe est que tous les gérants son révocable, effectivement l’article 69 dispose que le gérant est
irrévocable par une décision des associés qui représente au moins ¾ des parts sociales toute clause
statutaire est réputée non écrite.

 Pouvoirs du gérant :

➔Dans ses rapports avec les associés :

-/ Les statuts prévoient des limitations : c-à-d des restrictions peuvent être imposées le gérant ne
pourra alors effectuer certains actes sans l’autorisation préalable de l’assemblée des associés. Le
gérant n'aura en somme que les pouvoirs d’administration *****.

-/ Les statuts organisent une gérance collective ou collégiale :

Et limite de ce fait indirectement les pouvoirs de chaque gérant. En effet il peut-être prévu soit un
conseil de gérance prenant ses décision à l’unanimité (accord complet ) ou à la majorité soit une
répartition des compétences.

➔Relation du gérant avec les tiers :

Le principe : les pouvoirs du gérant sont très étendu, le gérant est investi par la loi elle même des
pouvoirs les plus étendues pour agir en toute circonstance au nom de la société (article 63 al 2) et
même en dehors de l’objet social (article 63 al 3).

➔Responsabilité limitée du gérant :

-/ Responsabilité civil : les gérants vont répondre de leurs actes fautif à la fois vis-à-vis de la Société
des tiers et des associés, ils sont responsables individuellement et solidairement selon l’article 67 al
1) En cas de pluralité des gérants le principe et que chacun est responsable de ses fautes

-/ RESPONSABILITE PÉNALE : elle est beaucoup plus lourde que celle des gérant de société en non
collectif ou de société civile qui ne s’expose qu'aux infraction de droit commun des délits spécifiques
peuvent lui être imputé tel l’abus de biens sociaux, de crédit, de pouvoir de voix présentation des
comptes annuels infidèles, distinction de dividende fictif (article 100 à 117 loi SARL)

-/ Responsabilité spécial : c’est une responsabilité aggravée en cas de redressement judiciaire pour
les associés l’essentiel se ramène à l’existence des droits individuel et collectif.
 Les droits individuels :

➔Le droit d'information :

-Le droit de communication permanente : (documents comptables de trois dernières exercices copie
des statuts)

-le droit de communication temporaire : (consultation du dernier inventaire, poser des questions
écrites au gérant)

➔Le droit de céder et de transmettre des parts sociales :

La cession des parts sociales de la SARL est soumise à l’exigence d’un écrit (article 61) leur session
doit donc se faire conformément aux prescriptions de l’article 195 du DOC. ainsi le régime des
sessions varie avec la qualité de l’acquéreur car selon le cas l’atteinte à l’intuitu personne est plus au
moins importante

 Le droit collectif :

Les associés d’Détiennent eux même certains pouvoir qu’ils exercent par voie de consultation
collective.

En principe ces décisions sont prises en assemblée ce qui suppose une réunion matériel des associés
qui veulent participer et permet des échanges de vue entre eux et avec les géant. toutefois lorsque la
décision a pour objet l’approbation des comptes annuels, l’Assemblée peut-être remplacer par une
consultation écrite lorsque les statuts le prévoient.

■■Les pouvoirs des associés : comme dans les sociétés pas action les associés sont appelés à prendre
deux catégories de décision selon qu'elles sont ordinaire ou extraordinaires.

■ les assemblées générales ordinaire : chaque année un assemblée générale ordinaire doit être teni
obligatoirement dans les 6 mois qui suivent la clôture de chaque exercices. Elle a pour objet
l'approbation des comptes de l'exercice écoulé, l'affectation des bénéfices une fois ka réserve légale
est constituée.

■Les assembles générales extraordinaires : elles se tiennent généralement en cas de modifications


des statuts. En principe, de telles décisions sont prises par les associes représentant au moins trois
quart des parts sociales (art 75 al2) et il est impossible d'y déroger dans les statuts. Toutefois il existe
des exceptions (lorsqu’il s'agit de changer la nationalité de la société ou d'augmenter les
engagements des associés ou de transformer la société en société en nom collectif ou en
commandite simple.

● LE CONTRÔLE DE LA SARL :

Le contrôle est assuré par les associés non gérants et les commissaires aux comptes s'ils existent'
éventuellement dans le cadre d'une expertise de gestion. Contrairement aux sociétés par action, les
SARL ne connaissent pas toutes cette institution. Mais les associés peuvent toujours procéder a2 la
nomination d'un ou plusieurs commissaires aux comptes a la majorité des parts sociales (ar 80 al 1)
LA SARL D'ASSOCIÉ UNIQUE :
SECTION 1 : La constitution de la SARL d'associé unique :

La SARL d’associé unique a été classé sur la SARL. Dès lors, les conditions de forme et de publicité
seront identiques de même les conditions relatives à l’objet social sont similaires. La SARL associé
unique peut être créé par la volonté d’une seule personne par acte unilatéral soit par la réunion des
parts sociales d’une SARL traditionnelle en une seule main lors du décès ou du départ des autres
associés (article 48). Ainsi une même personne physique ne peut pas être associé unique de plusieurs
SARL d’associés unique (article 49 al 1) , ainsi une SARL d'associé unique ne peux pas détenir de parts
sociales d’une autre SARL d’associés unique, les conditions de capacité sont identiques à celles
exigées pour-être associé dans une SARL de type classique en vertu de l’article 48 al 1) l'associé
unique ne supporte les pertes qu’à concurrence de son apport.

Les statuts doivent contenir** l’évaluation de chaque apport et les même mention obligatoire que
celles requises des statuts d’une SARL traditionnelle. A cet effet l’immatriculation de la société au RC
insertion dans un journal d'annonces légales et au BO.

SECTION 2 : Fonctionnement de la SARL d'associé unique :

La gérance de la SARL d'associé unique doit obligatoirement être exercée par une personne physique
(article 62 al1) qui peut-être l’associé unique ou un tiers, c’est-à-dire que l’associé unique peut se
nommer gérant ou désigner une autre personne comme gérant, il se nomme lui-même pour un
mandat sans limitation de durée et il est en pratique irrévocable dans le cas où la SARL d'associé
unique est créé par une personne physique le gérant et alors nommé par l'associé unique et il est
révocable pour juste motif.

Toutefois une révocation injustifiée peut donner lieu à des dommages-intérêts.

L’associé unique exerce le pouvoir de l’Assemblée, càd qu’il exerce seule toutes les prérogatives
reconnus aux associés et aux assemblées dans la SARL à plusieurs associés (article 44 al 3).

L’associé unique jouit d’une totale liberté si ce n’est qu’il ne peut déléguer les pouvoirs qui lui sont
dévolues aux assemblées généraux ordinaire et aux assemblée générale extraordinaire dès lors il
pourra procéder seul à toute modification statutaires ou non, et chaque décision prise par l’associé
nique -assemblée doit être répertoriée dans un registre (article 76 al 3).

En effet l’article 76 prévoir dans son dernier alinéa que <<Les décisions prises en violation** des
dispositions légales peuvent-être annulé à la demande de tout intérêt >>. Dès lors un tiers pourra
saisir le tribunal pour faire annuler une décision que l’associé aura omises de répertorier dans le
registre ou bien approbation des comptes hors délai.

Le décès de l’associé n'entraîne pas la dissolution de la société sauf clause contraire des statuts, les
pactes étant transmise aux héritiers la possibilité de ceux-ci nécessite transformation de la société à
responsabilité limitée à associé unique en SARL traditionnelle.
LA SOCIÉTÉ EN NOM COLLECTIF :
La SNC est une société dans les associés ont tous qualité de commerçant et répondent indéfiniment
des dettes sociales elles unit deux ou plusieurs personnes ayant ou prenant la qualité de commerçant
en vue d’une exploitation commercial. C’est le type le plus simple est le plus ancien des sociétés, elle
est une société de personnes, les associés sans indéfiniment et solidairement tenus des dettes de la
société, cette condition implique une connaissance et une confiance entre eux, cette forme de
société est adoptée généralement dans les situations ***** ou de relation de collaboration entre
personnes p****, aucun minimum de capital n’étant requis par la loi.

Le fonctionnement de la société repose sur la gérance en principe tous les associés sont gérant, mais
il peut en être décidé un gérant étant désigné parmi les associés au même à l’extérieur du groupe. Le
gérant peut-être statutaire ou non statutaire, les associés non gérant dispose d’un pouvoir de
décision( modification des statuts augmentation ou diminution de capital..) et de manière générale
d’un pouvoir de contrôle de la gestion, ces décisions sont prises à l’unanimité en assemblée générale.
Le contrôle de gestion et exercée par les associés de deux manières :

-/ Dans les 6 mois de la clôture de l’exercice, l'A.G dois être réunis pour l’approbation des comptes de
la société

-/ Tout associé peux au moins 2 fois par an obtenir des livres et documents de la société, poser des
questions écrites au gérant, demander la nomination d’un com aux comptes.

La distribution de la SNCF vient de manière originale par rapport au droit commun des sociétés du
caractère personnel elle peut être la conséquence d’une liquidation judiciaire ou cession fiduciaire ou
d’une interdiction frappant un associé ou son incapacité. Néanmoins, il peut être décidé la
continuation de la société par les autres associés avec les héritiers en cas de décès de l’associé.

LA SOCIÉTÉ EN COMMANDITE SIMPLE :


La commandite simple se conclut entre un ou plusieurs associés commandités, responsable, simple
bailleur de fonds que l’on nomme commanditaire. Elle se caractérise par une dualité d’associer les
commandites qui se trouve dans la même situation que des associés en nom collectif et les
commanditaires apporteurs des capitaux dans la responsabilité est limitée à leurs apports.

Les parts sociales ne peuvent être cédé qu’avec le consentement unanime des associés néanmoins
une certaine souplesse est autorisé et doit être prévue dans les statuts pour la cession des parts.

Le fonctionnement de la société est organisé suivant le schéma retenue pour la SNC le ou les gérants
sont normalement des associés commandités.

La dissolution de la société et aussi influencé par la dualité d’associés, le cas de décès d’un associé
commandité, redressement judiciaire, interdiction ou incapacité..) entraîne la dissolution, sauf clause
statutaire de continuation ou décision unanime des associés.

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