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systémiques
Pr N BRAHIMI
•
Arthrites septiques Première
cause de mortalité
• Une infection doit toujours être recherchée Survient sur une articulation
fragilisée par une synovite ou une nécrose chez un patient qui reçoit une
corticothérapie générale.
• le genou est le siège habituel de l’infection qui est due soit à des germes
pyogènes (Gram + ou Gram- ) ,soit à des salmonelles ou bacille de
Koch.
Manifestations musculaires
• Les myalgies sont présentes une fois sur deux, satellites des SG et
des manifestations articulaires.
• L’élévation des CPK et des aldolases est plus rare.
Manifestations pleuro-pulmonaires
• La prévalence des atteintes pulmonaires est de 20 à 90% .
• Elle majore la mortalité Le dg difficile repose sur
l’imagerie (TDM HR), l’EFR et le LBA
• Pleurésie : atteinte pulmonaire cortico-sensible
• PID et fibrose pulmonaire rares: image en verre dépoli et nid d’abeille
• HTAP ou post-embolique (complication plus rare).
Manifestations cardiaques
• Péricardite: complication fréquente très cortico sensible
• Myocardite: rare, parfois cardiomyopathie restrictive.
• Endocardite ,dans sa forme anatomique
(34 à64%) prend l’aspect de l’ endocardite verruqueuse de Liebmann -Sacks . se
traduit cliniquement par un souffle valvulaire, mitrale ,aortique, IC congestive.
• Une greffe oslérienne est possible
• Manifestations rénales
• les atteintes glomérulaires +++. IIème cause de mortalité du LES.
• La fréquence appréciée par une protéinurie franche varie de 40à 60% .
• Les atteintes glomérulaires surviennent au cours des premières années
d’évolution.
Glomérulonéphrite
proliférative diffuse
Manifestations neurologiques
• Concernent essentiellement le système nerveux central et revêtent une
situation souvent péjorative .
• Crise comitiale généralisées ou focalisées
• Atteintes centrales déficitaires (hémiplégie paraplégie )
• Migraines ;troubles de consciences, syndrome encéphalitique grave
• Paralysie des nerfs crâniens
• Neuropathie périphériques
Troubles psychiatriques: 10-75%
• Dépression: 16-52% (contre17 à 42% dans la PR)
• Psychose: 5-11%
• Expression typique: Synd hallucinatoire, délirant, confusionnel, précoce,
parfois révélateur.
• Le caractère organique des troubles psychiatriques est difficiles à
affirmer : Structure cérébrale: scanner et IRM
Troubles psychiatriques: 10-75%
• Dépression: 16-52% (contre17 à 42% dans la PR) Psychose: 5-11%
• Expression typique: Synd hallucinatoire, délirant, confusionnel, précoce, parfois
révélateur.
Les anti-phospholipides ( SAPL).
• Le SAPL est défini par l’association de manifestations cliniques (thromboses et
ABRT à répétitions et biologiques présence d’Ac APL.
• Quand le LES s’ accompagne d’ anticorps APL ; les thromboses veineuses ou
artérielles sont fréquentes
• Tests syphilitiques (BW+, VDRL+, TPHA-)
• Troubles hémostases (anticoagulant circulent de type Anti-prothrombinase ) TCK
ou temps de céphaline kaolin
• Dosage des anticardiolipines ( IgG ou IgM) et des anti beta 2 globulines.
Manifestations abdominales
• Vascularite digestive
• Pancréatite
• Phénomènes thrombotiques: VP ,VSH, VX digestifs.
• Syndrome de malabsorption
SIGNES GENERAUX
• Fébricule
• Rarement tableau pseudo septique
• AEG
• Myalgie
• Amaigrissement
• Asthénie+++
BIOLOGIE
• NFS: leucopénie, lymphopénie, anémie inflammatoire ou hémolytique,
thrombopénie immunologique.
• Bandelette urinaire et protéinurie
• Hyper-gammaglobulinémie
• Hypo-complémentémie
• VS ,CRP, fibrinogène
• créatinémie
• FAN ,anti-DNA natif
• Anti Ro/SSA ,anti-La/ SSB (si grossesse)
• Anti-phospholipides , anticoagulant circulant
• CH50, C3, C4, Cryoglobulinémie
• Cholestérol total, HDL cholestérol, triglycérides
• Glycémie Ionogramme
Traitement
• AINS Acide acétyl-salycilique Dose: 3-4g/ jour ( Propioniques, indoliques,
oxicams, diclofénac ) Indications : Formes articulaires mineures .Effets
secondaires habituels +++
IMMUNOMODULATION
Hydroxychloroquine (APS) , la surveillance ophtalmologique: comporte un bilan
initial complet avec ERG puis vision des couleurs et un champ visuel
Trait d’attaque: -hydroxychloroquine: (plaquenil)200 - 400mg/J - chloroquine:
(nivaquine )200 mg/J .
Corticoïdes SFormes bénignes: Prednisone : 5-15 mg/J
Formes graves: Per os: Prednisone 1-2mg/Kg/J per os, Bolus de MPD: 1g IV pendant 3 jours
Immunosuppresseurs classiques:
Azathioprine : 2-4 mg/kg/J, méthotrexate(MTX) 7.5 à 15 mg/semaine,
mycofénolate mofétyl (MMF) dose: 1.5-2.5g/J , cyclphosphamides (Endoxan )
EDX : 0.5-0.8g/m2, tous les mois(6)
• Ig IV
• Echanges plasmatiques
MESURES GENERALES
• Une photo protection des UVA (A et B),
• Suppression du tabac . . activité physique régulière
• Arrêt des œstrogènes (progestatifs de synthèse minidosés : anti androgènes) -
• Il faut s’assurer de l’absence de médicaments inducteurs.
• Les infections tiennent une place importante dans la surveillance du LES
• Vaccination : hépatite B en dehors des poussées, virus de la grippe et vaccin
anti-pneumococcique
• Néphro-protection. Acide folique: hyper-homocystéinémie
• Prévention des FDR / CV classiques : tabac, HTA, cholestérol majorés par la
maladie (antiagrégants plaquettaires et statines).
• Ostéoporose cortisonique :mesure DMO avant corticothérapie.
Bisphosphonates ,épargne cortisonique .
• Calcium, Vit, D
du fait de l’éviction solaire, voire de l’utilisation de corticoïdes ou d’antiépileptiques
qui diminuent les taux de vitamine D les taux bas de vitamine D sont fréquents
ATTEINTES CUTANNEES
:Protection solaire ;APS ,corticothérapie Immunosuppresseurs (azathioprine,
méthotrexate, mycophénolate mofétil)
Formes viscérales graves:
-Bolus de solumedrol (K+, ECG) - Prednisone 1mg/kg/j -Hydroxychloroquine
systématique -Immunosupresseur: rein, SNC
Shéma habituel: National Institute of Health (NIH) : CYCLE LONG : CPM tous les
mois en IV pendant 6 mois puis tous les 3 mois pendant 2 ans,
Euro-lupus :Trial CYCLE COURT : 500 mg /15J /6 relais par l’immurel associé
toujours à une corticothérapie ;MMF dans les GNMP type III et IV- RITUXIMAB –
BELILUMAB
SAPL: aspirine, héparine, ant-ivitamines K
Contraception: progestatifs purs Grossesse: Prednisone: 0.2mg/kg /j
hydroxychloroquine, surveillance+++
Insuffisance rénale: IEC, transplantation
Thrombopénie périphérique ;Thrombopénie sévère et résistante à la corticothérapie:
Splénectomie précédée d’une vaccination anti- pneumococcique
Perfusions de fortes doses d’immunoglobulines efficaces souvent à court terme.
Sclérodermie systémique (ScS)
DEFINITION
• La Sc S est caractérisée par :une sclérose progressive du
derme, localisée ou généralisée ; des phénomènes
vasculaires (Raynaud) et des localisations viscérales.
• C’ est une affection du groupe des maladies systémiques,
où un dysfonctionnement du système immunitaire est
manifeste, avec production d ’auto A c particuliers.
Manifestations cutanéo-muqueuses
• La fibrose cutanée est la lésion princeps de la maladie.
• elle débute par une sclérodactylie qui correspond à une infiltration scléreuse des
doigts qui prennent au départ un aspect boudiné.
• la sclérose du visage est responsable d’une diminution des rides du front, d’un
nez fin et pincé et d’une diminution de l’ouverture buccale.
• Des plages d’hyperpigmentation ou de dépigmentation;
• Une calcinose : Ceux sont de petits nodules sous cutanées très durs ;siège parfois
de réactions inflammatoires douloureuses dont l’évolution peut se faire vers
l’ulcération à la peau, faisant sourdre un liquide crayeux épais.
• les télangiectasies correspondent à une prolifération anormale des
capillaires localisées aux mains ,aux lèvres et dans la cavité buccale
SYNDROME DE RAYNAUD
• Troubles circulatoires d’allure paroxystique déclenchés par le froid siégeant aux
extrémités; peut intéresser l’ensemble des doigts y compris les pouces, les pieds ,
le nez et les oreilles .Plus marqué en hiver.
ier
• C’ est habituellement le 1 signe de la ScS, retrouvé dans 90% des cas pouvant la
précéder de plusieurs mois ou années
• . On distingue les 3 phases caractéristiques: phase blanche syncopale -phase
bleue cyanotique-phase rouge avec hyperhémie réactionnelle
• Peut entraîner des fissurations de la pulpe des doigts très douloureuses
• .Les U.P laissent une cicatrice cupuliforme (Pitting scare)
• au stade avancé il existe des ischémies digitales peuvent entraîner une
gangrène distale ou un faux panaris source d ’ amputations abusives.
Manifestations rhumatologiques
• Atteintes articulaires 50% poly arthralgies, polyarthrite asymétrique ,touchant
petites et grosses articulations (doigts ,poignets genoux et chevilles).
• Rarement syndrome inflammatoire.
• Des cas de polyarthrites érosives on été rapportés.
• Si certaines formes pourraient être spécifiques il faut s’assurer qu’elle ne
s’intègrent pas dans un syndrome de chevauchement (ScS /PR).
• La main sclérodermique peut prendre l’aspect d’une main de Jaccoud en cas
chevauchement Sc S/LES
• Atteinte tendineuse: fréquente: gaines et tendons peuvent être concernés par
le processus fibrotique responsable de craquements audibles.;
• Puis apparaît la sclérodactylie invalidante en raison des troubles fonctionnels
qu’elle engendre ; avec une rétraction en flexion des doigts ou signe de la
prière par fibrose synoviale des gaines de la peau et des territoires sous
cutanés des doigts.
• Pincement articulaire et érosions des IPD
• aspect inflammatoire dont érosions marginales; possible
chevauchement avec la PR.
• L’aspect péri-articulaire prédominait
( flessum des doigts , résorption de la phalangette et
calcifications).
MYALGIES
• Les myalgies sont associées aux douleurs articulaires et tendineuses.
• La myosite rare dans 5% des cas d’évolution fréquente dans les formes
diffuses, œdémateuses Enzymes musculaires dont CPK augmentés
• L’IRM montre des zones inflammatoires dans les muscles.
La biopsie objective des signes de dégénérescence
Atteintes digestives
RGO, œsophagite peptique . Manométrie œsophagienne : diminution du
péristaltisme des 2/3 < de l’œsophage et de la pression du SIO
Atteinte gastrique (gastro-parésie) Atteinte intestinale (syndrome sub-
occlusif, pullulations microbiennes donnant un syndrome de malabsorption).
Atteinte hépatique: association avec la CBP ( syndrome de Reynolds
ATTEINTE PULMONAIRE
Pathologie professionnelle Atteinte précoce dans les formes diffuses
Clinique: dyspnée d’effort, râles crépitants aux bases .
Intérêt d’un dg et d’un traitement précoce afin de diminuer la morbidité et la
mortalité .
Les investigations comportent dans tous les cas: un CT-scan en coupe fines , EFR
avec mesure de la DLCO, un test de marche .
HTAP : Dyspnée d’effort
Douleurs thoraciques d’allure angineuse témoignant d’une ischémie du VD
Lipothymies et syncope d’effort en rapport avec chute du débit cérébral
Auscultation normale sauf en cas de fibrose
ATTEINTE NEUROPSYCHIATRIQUE
• Forte prévalence de la dépression ,
• nécessité d’un dépistage précoce pour une PEC spécialisée.
• Atteintes des nerfs crâniens ( névralgie du trijumeau) ,canal carpien.
• Mono névrite ou neuropathie périphérique parfois associe à
cryoglobulinémie.
• Atteintes centrale exceptionnelle: vascularite cérébrale, calcification
intracérébrale, atrophie optique.
EXPLORATION
• Bilan clinique:
nécrose digitale, RGO, auscultation pulmonaire
• Bilan biologique
Urinaire, hépatique, immunologique (FAN)
• Para clinique: au niveau des mains
radiographie, échographie, IRM ,Angio IRM
ailleurs ECG , thorax, écho cardiographie, EFR, scanner
thoracique en coupe fine
Capillaroscopie, manométrie œsophagienne ,fibroscopie haute.
• Annuellement
faire examen clinique, EFR (DLCO) ,écho cardiographie.
Pec therapeutique
Raynaud
Mesures non pharmacologiques: protection contre froid,
éviction de tabac, caféine, certains médicaments (bêta-
bloquants et ergotamine)
Anticalciques en premier nifédipine , amlodipine
Les nitrés agissent comme donneurs de NO patch effets
II (céphalées).
Nifédipine et Iloprost IV réduisent la fréquence et la
sévérité du Raynaud, les Prostanoides IV ( Iloprost )
favorisent la cicatrisation des ulcères digitaux iloprost IV
0,5 à 2ng/kg ,5j/mois pendant 6H/ J
le Bosentan n’a pas montré d’efficacité dans la cicatrisation
des U D actifs, mais plutôt dans la prévention des
UD ; après échec des inhibiteurs calciques (IC) et des
prostanoides .
HTAP
Bosenta, sixtaxentan, Sildénafil,
Epoprosténol sont indiqués dans le traitement de l’HTAP .
• Le méthotrexate améliore le score cutané des
ScS d’évolution récente .
• Le Cyclophosphamide améliore les PID .
• les IEC améliorent la crise rénale , les
corticoïdes sont responsables de la CRS à fortes
doses.
• Les IPP sont utilisés dans le RGO pour
prévenir les oesophagites peptiques et les
ulcérations oesophagiennes.
• les Prokinétiques dans les dysmotilités digestives
(ballonnement,dysphagie ATB si pullulation
microbienne).
PEC des ulcères digitaux
Préventif
En plus des calcium- bloqueurs, repose sur la prescription de
bosentan (Tracleer) inhibiteur de l’endotheline, dont l’efficacité
a été démontrée dans la prévention des récidives d’UD.
Le sildénafil (Revatio®), inhibiteur de la phosphodiestérase de
type 5, (IPDE5) a montré son efficacité sur la cicatrisation
Curatif
Laver, rincer, sécher, anesthésier localement
L’utilisation de pansements dits de nouvelle génération à base d’hydro
colloïdes a démontré son efficacité sur les différents processus de
cicatrisation (détersion, bourgeonnement, épidémisation).
Dermato polymyosite ( DM)
• DEFINITION
Connectivite: maladie auto immune systémique caractérisée
par des lésions et des anticorps non spécifiques d’organe.
Myopathie inflammatoire primitive acquise ou idiopathique:
- DERMATOMYOSITE (DM)
-POLYMYOSITE (PM)
- Myosite à inclusion(IBM)
EPIDEMIOLOGIE
• Affection auto-immune £ aux connectivites
• Maladie inflammatoire primitive du
muscle strié
• Incidence 5 à10 cas/ 1million d’H
• Prévalence 50 à70 cas/1million d’ H
• Prépondérance féminine 2F/1H
• Néoplasie dans 15à30 %.
Manifestations cliniques
• Déficit moteur : atteinte proximale bilatérale et
symétrique, troubles pharyngo-laryngés dans 25 à
30%.
• Myalgies dans 20 à 70%
• Arthralgies dans 15 à30% inflammatoires,
périphériques symétriques ; rarement arthrites
vraies en cas de syndrome des anti-synthétases.
• Atteintes cardiaques sous estimées: 30 à70%:
(myocardique ,péricardique ou vascularite coronaire).
• Pneumopathies interstitielle 10à 15%
• Neurologique: vascularite du SNC au cours des
DPM ( overlap ).
Atteinte cutanée
• Erythro œdème photosensible, prédominant sur des
zones photo exposées.
• Érythème orbitaire en lunettes ou liliacée des paupières.
• Papules de Gottron
(lésions érythémato-squameuses au niveau de la face
d’extension des IPP, MCP, coudes, genoux ).
• Érythème péri unguéal
parfois douloureux à la mobilisation de l'ongle (signe de la
manucure)
• Autres :
Raynaud sévère , vascularite cutanée, calcinose ,
sclérodactylie
.
SG
• Asthénie
(en rapport avec la faiblesse musculaire)
• Amaigrissement
( parfois importante)
• Fièvre
( élevée dans les formes aigues)
Affection inflammatoire
• Syndrome inflammatoire
( VS CRP ,hyperleucocytose à PNN).
• Signe de nécrose musculaire
Enzymes musculaires: CPK ,LDH , Aldolase,ASAT.
• Anomalies immunologiques
Auto Ac non spécifiques: (Anti-RNP, anti KU, anti PM –Scl, anti SSA et anti SSB )
• Auto anticorps spécifiques:
Ac anticytoplasme dirigé contre les enzymes .
Anti JO1 ou syndrome des Anti-synthétases
Anti –SRP (myosite +myocardite)
• EMG syndrome myogène
- Potentiel polyphasique de courte durée
et de faible amplitude, avec recrutement
précoce.
- Potentiel de fibrillation avec potentiel
lent positif
- Averses pseudo-myotoniques
• IRM musculaires
(hyper signaux en T2)
• Biopsies musculaires
selon la physiopathologie(DM, PM, MI).
Les critères de Bohan et Peter
Cortico
thérapie per os
– prednisone 1 mg / kg / j x 4 à 6 semaines puis
diminution progressive
– régime sans sel, diminution des lipides et
glucides, augmentation des protides
– au long cours, donner potassium (K), calcium,
vit D, biphosphonates
– certaines formes graves : Bolus de
méthylprednisolone
Immunosuppresseurs
-cyclophosphamide :
ENDOXAN -azathioprime :
IMUREL (risque d’infection et de cancer viscérale) s’il fait une
leucopénie due à une chimiothérapie par IMUREL
par hypoplasie donner des facteurs de croissance
-Antiviraux :
INF pour l’hépatite B (les cortisoniques risquent de l’aggraver )
vidarabine ou lamuvidine jusqu ‘a seroconversion.
- plasmaphérèse
- héparine
-dialyse
- autres : rééducation, chirurgie