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helianthus

Drepression

Pourquoi

La dépression est un mal qui ronge la vie dans la société. Il est énormément sous coter dans la
société.

Sa force se trouve dans le faite qu’elle est en grande partie invisible dans la société car le pire
ennemie a combattre est celui qu’on ne voit pas. Elle est un trouble mental du a des événement ou
des facteurs extérieurs (parents, amis, collègues, perte d’un être cher …) ou a des facteurs intérieurs
(l’hypersensibilité). Il existe plusieurs cas mais le cas les plus fréquents s’établissent dans les lieux de
rassemblement (le milieu éducatif …) ;a un âge ou tous peux nous atteindre.

Pour toute ces raisons nous avons établis notre association dans le but d’endiguer ce mal .

Comment

Par le moyen de la sensibilisation afin de développer l’intelligence émotionnel du plus de monde


possible pour nous aider dans notre combat et offrir a ce qui en sont toucher le réconfort et
l’assurance qu’il ne sont pas seuls , qu’on les voit et qu’il compte .

Ou

Dans le milieu éducatif comme les collèges , les écoles

Et qui

Les jeunes car ils représentent l’avenir et on plus de chance de comprendre notre geste

Définition : qu'est ce que la dépression ?

La dépression est un trouble de l'humeur. Il se caractérise par une profonde tristesse, un désespoir,
un manque de désir de vivre, un repli sur soi, une perte d'intérêts et de motivation pour les activités
de tous les jours, un changement de comportement et un ralentissement psychique et moteur qui
peuvent conduire dans les cas les plus extrêmes au suicide. La vraie dépression, aussi appelée
épisode dépressif majeur, n'est pas un simple vague-à-l'âme de quelques jours. Elle se traduit par
une série précise de symptômes, se manifestant sur une durée minimale de deux semaines et qui
peut perdurer plusieurs semaines, mois voire années.

Dépression ou déprime : les différences ?

Beaucoup de personnes connaissent des épisodes de déprimes plus courts, liés à des facteurs
déclenchants comme la mauvaise saison, la mort d'un proche ou encore un baby blues. Mais le mot
"dépression" est entré dans le langage courant et ne désigne pas toujours à bon escient le trouble
dépressif. Par exemple, la tristesse et l'abattement consécutifs à un deuil ne sont pas toujours
dépressifs, même s'ils durent plusieurs semaines. De même, des sentiments passagers de mélancolie
et des pertes d'enthousiasme ne forment pas nécessairement une dépression, mais plutôt une
simple phase de déprime appelée à disparaître spontanément. Le terme de "dépression" se réfère ici
à un état transitoire, indiquant une réactivité normale de l'individu à son contexte de vie, Il s'agit en
réalité de déprime et non de dépression qui est une vraie pathologie.
Les types de dépression

Etat dépressif

La dépression est un trouble psychologique qui se caractérise par un état dépressif caractéristique.
Celui-ci se traduit par une baisse de l'humeur, un désintérêt pour des activités habituellement
sources de plaisir, un sentiment de culpabilité et/ou une baisse de l'estime de soi. Un état dépressif
peut également avoir un retentissement sur le sommeil et l'alimentation et donner lieu à des idées
suicidaires. "Dans 60 % des cas, les états dépressifs sont traités par la prise d'antidépresseurs",
précise le Dr Patrick Lemoine, psychiatre à Lyon. Une psychothérapie accompagne souvent le
traitement médicamenteux.

Dépression chronique

Quand la dépression se poursuit pendant au moins deux ans, on parle de dépression chronique. Si
elle est soignée par des antidépresseurs et une psychothérapie, parfois une hospitalisation en milieu
psychiatrique s'avère nécessaire.

Dépression réactionnelle

La dépression réactionnelle est une forme de dépression causée par un événement marquant ou une
pression psychique excessive. Ce peut être consécutif à un deuil, un accident, un problème
professionnel… ou même parfois des événements pouvant paraître dérisoires. Les personnes en
dépression réactionnelle sont sujettes aux pleurs intempestifs, à des troubles du sommeil et
présentent les symptômes d'une dépression classique : tristesse, pertes d'intérêt et de motivation,
repli sur soi, ralentissement psychique et moteur, modifications de comportement. La dépression
réactionnelle est généralement traitée par antidépresseurs, complétés par une prise en charge
psychothérapeutique.

Dépression post-partum

Si de nombreuses mamans peuvent connaître un baby blues après l'accouchement (jusqu'à 70 %


peuvent être concernées), il n'est pas à confondre avec la dépression post-partum. "Dans le premier
cas, les jeunes mères sont tristes, ont des crises de larmes brusques, elles sont irritables,
insomniaques parfois et anxieuses, des symptômes qui apparaissent entre un et trois jours après la
naissance et disparaissent spontanément au bout de deux semaines", explique le Dr Lemoine. Dans
le cas d'une dépression post-partum, les symptômes sont une tristesse profonde et durable, un
désintérêt quasi total pour les activités du quotidien, des insomnies, de l'irritabilité et de l'anxiété,
une fatigue permanente ainsi que des troubles de l'interaction entre la mère et l'enfant ". Elle
concerne 10 à 15 % des mères, et se manifeste environ 4 à 6 semaines après l'accouchement. "Une
psychothérapie associée à la prise d'antidépresseurs sera le traitement de base. Au besoin, une
hospitalisation dans une unité parents-enfants pourra être proposée", précise le Dr Lemoine.

Dépression saisonnière
Cet épisode dépressif, qui touche plus souvent les femmes et les enfants, survient généralement à
l'automne ou au début de l'hiver et s'installe jusqu'au printemps. Elle est provoquée par une baisse
de la lumière naturelle. "Les symptômes sont ceux d'un épisode dépressif : tristesse permanente,
perte d'intérêt pour les activités de tous les jours, la boulimie sucrée, l'hypersomnie, la somnolence
et une fatigue intense dès le réveil, explique le Dr. Lemoine. A ces principaux changements, peut
également s'associer une baisse de libido, une prise de poids, une irritabilité et une dévalorisation de
soi". Il existe une thérapie spécifique pour l'enrayer : la luminothérapie. "Elle consiste à s'exposer à
une forte lumière, proche de celle du soleil, précise notre expert. Les séances durent une demi-
heure. Mais des lampes de luminothérapies sont également disponibles dans le commerce". Des
séances de psychothérapie peuvent compléter le protocole de soins.

Dépression saisonnière : symptômes, comment l'éviter ?

La dépression saisonnière est une forme de dépression qui intervient surtout à l'automne et en hiver
quand la lumière du jour diminue. Perte de moral, fatigue... Liste des symptômes, conseils pour
l'éviter et traitements pour la combattre avec le Professeur Bénédicte Gohier, psychiatre au CHU
d'Angers.

Santé mentale : définition, Covid, jeunes, au travail

Anxiété, dépression... La santé mentale est au cœur des préoccupations. Pendant l'épidémie de
Covid-19, elle s'est dégradée. Qu'est-ce que la santé mentale ? Quel test faire pour savoir ? Comment
la préserver ? Réponses avec le Pr Nicolas Franck, psychiatre.

Syndrome de la cabane : symptômes, comment le surmonter ?

Le syndrome de la cabane (aussi appelé "syndrome de l'escargot") correspond à la peur de sortir de


son lieu d'enfermement. Il peut être présent lors du déconfinement de la France pendant l'épidémie
de Covid-19. Quels sont les symptômes et solutions pour y faire face ? Conseils de Johanna
Rozenblum, psychologue clinicienne.

Quels sont les 9 signes d'une dépression ?

Selon l'OMS, neuf symptômes expriment la dépression. Ils sont variables d'un individu à l'autre.
Parmi eux :

une humeur triste exprimée presque tous les jours, souvent plus prononcée le matin que le soir,
aboutissant parfois à des crises de larmes sans motivation ; une perte d'intérêts pour les activités
habituelles,
une diminution générale de la libido ;

une dévalorisation de soi,

une culpabilisation vis-à-vis de l'entourage,

le doute systématique et exagéré sur la valeur de ses actes ou de ses idées ;

les pensées récurrentes de mort et idée suicidaire ;

le ralentissement psychomoteur se traduisant par des difficultés de concentration, des baisses de


vigilance, des trous de mémoire, des difficultés à suivre ou à participer à une conversation ;
l'indécision face aux choix les plus simples ;

la variation importante de poids (5% de la masse corporelle) en perte ou en gain ;

le trouble du sommeil se manifestant par une insomnie (difficulté d'endormissement, réveil


nocturne) ou une hypersomnie (envie fréquente de dormir, volonté consciente ou inconsciente de
trouver refuge dans le sommeil) ; la sensation de fatigue dès le matin.

Pour les patients qui présentent entre 5 et 7 symptômes, la dépression est considérée comme légère
à modérée. Au-delà de 8, elle est dite sévère.

Un individu dont l'un des parents fait une dépression a 2 à 4 fois plus de risque d'être lui-même
dépressif.

Causes et facteurs de risques

Il existe des facteurs de risques héréditaires, mais plusieurs facteurs sont associés dans le
déclenchement d'un épisode dépressif. Selon l'Inserm, un individu dont l'un des parents fait une
dépression a deux à quatre fois plus de risque d'être lui-même dépressif au cours de sa vie. Surtout si
le parent a développé un premier épisode dépressif avant l'âge de 20 ans.

En moyenne, le premier épisode dépressif majeur se situe autour de 35 ans.

Prévalence

Comme le stress, la dépression est souvent qualifiée de "mal du siècle". Il s'agit du trouble de
l'humeur le plus répandu dans la population : il touche 13 % des femmes et 6,4 % des hommes, selon
l'Invs. Quant à la probabilité de développer une dépression au cours de l'existence, elle s'élève à 10%
chez les hommes et 20% chez les femmes. Le risque est donc élevé : un homme sur dix et une femme
sur cinq sont ou seront donc sujets à la dépression. Plusieurs millions de familles sont concernées en
France.

Dépression de la femme
Les femmes souffrent deux fois plus de dépression que les hommes. Et pour cause, les périodes de
modifications hormonales comme la puberté, le cycle menstruel, la grossesse (baby blues), et surtout
la ménopause, agissent sur l'humeur. Dans ce dernier exemple, la ménopause, correspond en effet à
une étape existentielle majeure, pendant laquelle la femme doit accepter l'idée qu'elle n'aura plus
d'enfant. Cela peut causer de profonds bouleversements psychologiques qui peuvent être
compensés selon les cas pas les traitements hormonaux.

Dépression de l'enfant

La dépression de l'enfant est généralement plus "bruyante" qu'à l'âge adulte en ce sens qu'elle
s'associe à des troubles du comportement. Difficultés scolaires, phases d'agitation et de replis,
irritabilité, crises de colère, isolement sont souvent des motifs de consultation.

Dépression de l'adolescent

L'adolescence est une période de transition, marquée par le sentiment d'échec, de regret et de
désillusion. L'adolescent doit en effet renoncer à ses rêves d'enfant et se confronter à la réalité de
l'âge adulte. C'est pourquoi des états dépressifs de sévérité variable y sont fréquents. Mais le trouble
dépressif de l'adolescent peut passer totalement inaperçu notamment lorsqu'il revêt d'autres formes
que celles rencontrées chez l'adulte (dévalorisation, pessimisme...). Il se manifeste alors autrement :
conflit avec l'autorité (scolaire, parentale), conduites à risque (abus de drogues, alcool, fugues),
affections psychosomatiques, troubles de la sexualité, etc. Tous ces états peuvent ainsi masquer une
dépression sous-jacente mais réelle.

Mon ado est dépressif : comment l'aider à aller mieux ?

La dépression chez l'adolescent est un phénomène face auquel les parents sont souvent démunis.
Comment savoir si son enfant est dépressif, que faire pour l'aider… Les conseils d'Aline Nativel Id
Hammou, psychologue.

Dépression de la personne âgée

II est difficile de diagnostiquer une dépression chez la personne âgée. De fait, les modifications du
comportement tels que l'irritabilité, l'anxiété, les plaintes par rapport au corps sont également liés à
l'âge. Se replier sur soi-même, se sentir triste et se plaindre peut en effet paraître normal à cet âge.
Pourtant ces symptômes ne sont pas à prendre à la légère car la dépression ne serait pas
diagnostiquée dans 40 % des cas.
Comment sortir de la dépression ?

Le traitement de la dépression comporte deux volets complémentaires (médicamenteux et


psychologique) et intervient à deux niveaux : sur le cerveau grâce aux médicaments, et sur le
psychisme grâce à la parole. Il est parfois long, afin d'éviter le risque de récidive. De nombreuses
études ont confirmé l'efficacité pour 80 % des malades de l'association médicaments-
psychothérapie. De plus, la dépression étant complexe, il n'existe pas une seule méthode. La prise en
charge dépend notamment de la gravité de la dépression. Une dépression légère ne sera pas traitée
de la même façon qu'une dépression sévère et encore moins qu'une dépression résistante. Elle
dépend également du souhait de la personne déprimée et de la personnalité. C'est au cas par cas.

Avec la psychothérapie

Travailler sur soi permet d'identifier les causes de la maladie, d'accompagner la guérison et d'éviter
les rechutes. " De nombreuses études ont prouvé l'efficacité de cette thérapie, assure le Dr. Lemoine.
Elle apporte une écoute bienveillante, permet de mettre des mots sur la douleur et de lutter contre
les pensées négatives et auto-dévalorisantes ". Les séances doivent être régulières, de l'ordre d'une à
deux séances par semaine pendant plusieurs mois selon l'importance des symptômes.

Avec des antidépresseurs

Il s'agit de psychotropes dont le rôle est de faire disparaître les troubles de l'humeur. Dans le cas
d'une dépression majeure, leur prise peut être recommandée. "Ils apportent un soulagement au
bout de deux à trois semaines de prise, précise le Dr. Lemoine. Mais parce qu'ils ont des effets
secondaires importants (troubles du rythme cardiaque, troubles sexuels, vertiges…), ils ne sont
prescrits que pour une période, n'excédant pas 4 à 6 mois". A savoir : le médecin peut prescrire en
début de traitement un médicament anxiolytique pour diminuer les angoisses associées à la
dépression. Il s'agit d'une prescription temporaire. De fait, les anxiolytiques ne doivent pas être pris
pendant plus de quelques semaines. Au-delà, leur action est diminuée et le risque de dépendance
physique est réel.

Prozac : les effets d'un médicament phare de l'anxiété

Le Prozac® (nom du princeps de la Fluoxétine) est un médicament antidépresseurs parmi les plus
prescrits aujourd'hui en France. Quelles sont ses indications, ses effets secondaires ?

Avec des remèdes naturels

Les conseils ci-dessous ne remplacent pas l'avis d'un médecin ou d'un pharmacien. Si les symptômes
perdurent ou s'ils s'aggravent, il faut alors consulter rapidement son médecin traitant. Le Millepertuis
est un antidépresseur naturel, utilisé dans les cas de fatigue chronique et comme régulateur
d'humeur. Plusieurs études en placebo double-aveugle comparent même le millepertuis à certains
antidépresseurs synthétiques, les effets indésirables en moins. La rhodiole favorise la concentration.
Elle agit sur la fatigue cérébrale en stimulant les fonctions cognitives et sur la fatigue physique en
améliorant le tonus. Elle atténue également l'anxiété et la dépression légère, lutte contre la fatigue
générée par le stress.

Acupuncture : ses bénéfices, que soigne-t-elle ?

L'acupuncture fait partie des méthodes de soins de la médecine traditionnelle chinoise. Elle
s'intéresse aux causes profondes des troubles de santé. Son champ d'action est large, du rhume à
l'insomnie, en passant par la dépression, le stress et les troubles hormonaux.

Millepertuis : posologie, effets secondaires d'un antidépresseur naturel

Le millepertuis est une plante médicinale aux propriétés anti-stress et anti-dépressives. Qui peut
l'utiliser et comment ? En traitement comprimé, en huile essentielle, en infusion ? Quels sont ses
effets secondaires si on en prend trop ? Découverte.

Une étude réalisée en 2005 a comparé les effets du safran au Prozac et en a déduit qu'elle était tout
aussi efficace, les effets secondaires en moins ! La raison ? Elle possède deux substances, le safranal
et la crocine, qui stimuleraient la production de sérotonine, un neurotransmetteur dont le rôle est
d'équilibrer le système émotionnel. Une demi-pincée suffit pour bénéficier de ses effets
antidépresseurs.

Evolution d'une dépression

Une dépression peut disparaître spontanément en 6 et 12 mois. Mais elle annonce souvent une
récidive. Selon l'Inserm, celle-ci survient dans les 5 années suivantes dans 50 à 80 % des cas. Le
risque s'accroît avec la répétition des épisodes : 70% des personnes ayant connu deux périodes de
dépression en présenteront une troisième, 90% de ceux qui en ont subi trois en affronteront une
quatrième. Or, plus les récidives sont nombreuses, plus la dépression est sévère.

Au total, on estime que la moyenne des épisodes dépressifs majeurs au cours d'une existence se
situe autour de 5. Mais il existe des variations considérables entre les individus. Les uns ne
développeront qu'une ou deux fois le trouble : les autres vivront avec lui leur vie entière. On constate
ainsi une moitié de guérison définitive et un tiers de guérisons partielles. Pour une personne sur cinq,
l'évolution de la dépression sera chronique.

Dépression et suicide : le risque majeur

Le principal risque d'une dépression non traitée est le suicide. Selon un rapport de l'Académie de
Médecine, le risque de suicide est multiplié par 21 en cas de dépression. Au final, entre 5 et 20 % des
patients commettent une tentative ou adoptent un comportement suicidaire (prise de risque,
autodestruction, mutilation…). Le risque de mortalité est particulièrement élevé lorsqu'il existe des
antécédents dans la vie du patient ou dans la famille, lorsque la dépression a été déclenchée par un
deuil ou une séparation, lorsque le dépressif est en situation de dépendance toxicologique
(alcoolisme, drogue).

Prévenir la dépression

De nombreuses solutions existent pour se sentir mieux.

Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…),
respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart
contre la dépression.

Sortir tous les jours, afin de vous exposer à la lumière naturelle du jour

Avoir une vie sociale riche. Que ce soit entre amis ou en famille, les liens sociaux sont très importants
pur la bonne santé mentale.

Consulter dès les premiers signes de tristesse. Prenez rendez vous chez un psychologue, un
psychothérapeute ou un psychanalyste afin de désamorcer rapidement les premiers symptômes. Le
bouche-à-oreille vous permettra de trouver un bon praticien.

Aider un proche qui souffre de dépression

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Au moindre doute, si vous remarquez qu'un proche a changé, il est indispensable de lui faire
admettre son état et son besoin de se soigner. L'objectif, c'est qu'il consulte, idéalement un
spécialiste, psychiatre ou psychologue clinicien. Sinon, il peut voir dans un premier temps son
médecin généraliste, qui est généralement bien formé sur le problème de la dépression. Si besoin, ce
dernier prescrit des antidépresseurs, qui serviront à sortir la tête de l'eau pour pouvoir entamer un
travail avec un psychothérapeute ou un psychologue dans un second temps. Il est important de ne
pas laisser la situation s'aggraver.

Comment aider un proche déprimé ?

Lorsqu'un proche tombe dans la dépression, il est parfois difficile de savoir comment trouver les bons
mots et comment aider pour trouver une prise en charge adaptée.
Au quotidien, voici quelques conseils :

Pas de culpabilité. Bien souvent les proches ne comprennent pas les raisons du mal-être, d'autant
plus lorsqu'il n'y a pas de problème majeur. Ainsi ils peuvent se sentir responsables et cela peut créer
des tensions. Sachez que la dépression a des causes multiples et complexes et que vous n'en êtes pas
la cause.

Pas de reproches. Inutile de l'accabler davantage en lui faisant mille reproches et en essayant de le
motiver trop brutalement avec des phrases comme "arrête de traîner au lit", "ne te laisse pas aller",
"d'autres sont plus malheureux que toi"...

Soutien et écoute. Il est important que vous restiez patient, même si il ou elle ressasse les mêmes
idées et ne semble pas vous écouter. Par contre, évitez le piège de la protection rapprochée et
étouffante. Le risque c'est que la personne déprimée se sente alors infantilisée et diminuée. Enfin, il
est important de vous montrer rassurant, en expliquant par exemple que la dépression se soigne et
qu'il existe des solutions.

Affection et petits gestes. Même si votre proche ne semble pas réagir, il ou elle y sera forcément
sensible. De votre côté, vos efforts peuvent parfois vous paraître inutiles. Il n'en est rien, au
contraire. Ne vous découragez pas, votre soutien est une aide précieuse et indispensable. De plus, il
est important que vous ne vous laissiez pas envahir.

Conseils pour combattre naturellement la dépression


1-Retrouver une routine bénéfique. ...

2-Se fixer des objectifs accessibles au quotidien. ...

3-Entraîner le corps et l'esprit. ...

4-Ne pas lâcher ses responsabilités. ...

5-Adopter une meilleure hygiène de vie. ...

6-Consommer des oméga-3. ...

7-Le ginseng. ...

8-La rhodiola rosea.

La durée de l'épisode dépressif est variable

Elle peut aller de quelques semaines à plusieurs mois, voire plusieurs années. La plupart des épisodes
dépressifs durent moins de six mois.

Comment sortir de la dépression sans médicament ?

Pourtant, il existe de nombreuses façons de combattre cet état sans psychotropes.

1-Bien manger. Le lien existant entre alimentation et dépression ne fait aucun doute. ...

2-S'exposer à la lumière. Certaines personnes souffrent de dépression saisonnière. ...

3-Faire du sport. ...

4-Bien dormir. ...

5-Prendre soin de soi.

On peut soigner la dépression en jouant sur deux registres complémentaires : les médicaments
antidépresseurs et la psychothérapie. Face à une dépression légère ayant peu d'impact sur la vie
quotidienne, un médecin généraliste recommande plutôt un soutien psychothérapeutique

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