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REPUBLIQUE DU SENEGAL

UN PEUPLE - UN BUT - UNE FOI

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION

Actions Appliquées aux Transports

ACTION1 : Dédouanement de marchandise (pompe électrique) importée


par voie aérienne
Action2 : Dépotage de carburant dans une station-service
Action3 : Procédure de dédouanement de véhicules par voie maritime

Encadré par : Prénom et nom :


M. Ibrahima Ndiaye Ndeye Anta DJITTE
Professeur d’OTGMM

Encadreur professionnel :
M. Moussa Ndiaye (Transitaire à GLS)
Année Académique : 2020-2021
Sommaire :
Introduction Générale…………………………………………………… 1
Action 1 : Dédouanement de marchandises importées par voie
aérienne…………………………………………………………………………… 3
Introduction……………………………………………………………………… 3
I) Présentation de l’action …………………………………………… 3
II) Les objectifs de l’action………………………………………….. 4
III) Les moyens utilisés………………………………………………… 5
IV) La procédure………………………………………………………….. 7
V) L’action proprement dit…………………………………………… 9
VI) Difficultés rencontrées et solutions envisageables…….… 11
Conclusion ……………………………………………………………………….. 11
Action 2 : Dépotage de carburant dans une station-service…… 12
Introduction………………………………………………………………………. 12
I) Présentation de l’action …………………………………………… 12
II) Les objectifs de l’action…………………………………………… 13
III) Les moyens utilisés………………………………………………… 13
IV) Les documents utilisés……………………………………………. 14
V) L’action proprement dit……………………………………………. 14
Conclusion …………………………………………………………………………. 16
Action 3 : Procédure de dédouanement de véhicule par voie
maritime…………………………………………………………………………… 17
Introduction……………………………………………………………………… 17
I) Présentation de l’action …………………………………………. 17
II) Les objectifs de l’action…………………………………………… 18
III) Les moyens utilisés………………………………………………… 19
IV) L’action proprement dit…………………………………………… 21
V) Difficultés rencontrées…………………………………………... 25
VI) Conclusion ……………………………………………………………. 25
Conclusion Générale…………………………………………………………… 26
INTRODUCTION GENERALE

Aller et venir commodément, transporté des bien de façon économique sont


aujourd’hui considérés comme des composantes essentielles de la liberté
des peuples et de la force des économies.

Pour qu’un besoin puisse être satisfait, il faut nécessairement qu’un


transport soit effectué. Et donc le besoin de transport traduit le désir ou la
nécessité éprouvé de rapprocher des personnes, des biens ou des produits
séparés par le business.

Les progrès du secteur des transports depuis deux siècles sont saisissants.
Ils sont aussi ininterrompus. Tour à tour, ce fut l’extension des réseaux,
l’accroissement des vitesses, l’augmentation du confort, la réduction des
risques, l’élargissement des gammes de services, la révolution des TIC
(technologie de l’information et de la communication), etc. Sur longue
période les voyageurs sont toujours plus nombreux, les marchandises en
mouvement aussi.

Ainsi, le secteur du transport ne peut se permettre de ne pas croitre car


étant en forte demande.

N’oublions pas de préciser qu’il existe 3 modes de transport : maritime,


aérien et terrestre.

Dans le cadre de nos AAT, nous avons eu la chance d’étudier et de pratiqués


3 modes de transport que nous allons vous présenter. Cette pratique se
déroule comme suit :

Premièrement, nous avons fait une action Aérienne : Dédouanement de


marchandises importées par voie aérienne.

Deuxièmement, nous avons eu à faire un dépotage d’essence dans une


station-service qui est lié au transport routier.

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Troisièmement, nous avons eu à faire une action liée au transport
maritime : procédure de dédouanement d’un véhicule importe par voie
maritime.

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Action1 : dédouanement de pompe électrique importée par voie
aérienne

Introduction

Étant considéré comme le pilier d’une économie et niche d’opportunités


pour un pays, le transport aérien civil a beaucoup participé à la réduction
considérable des distances entres différents pays en vertu de sa vitesse.

Il peut être défini comme une activité consistant à déplacer des passagers
ou des frets par voie aérienne par le biais de l’avion.

Au Sénégal, la construction d’un nouvel aéroport international a beaucoup


privilégiée ses liaisons aériennes internationales. En effet, l’aéroport
international Blaise Diagne (AIBD) vient hisser ce dernier dans une autre
dimension du transport aérien. Pouvant recevoir tout type d’appareils
(Airbus A380 par exemple) et étant équipé des systèmes de dernière
génération (Système ILS), le nombre de mouvement des aéronefs a
considérablement hausser de 8,5% avec 9260 mouvements enregistrés en
2017 contre 8544. Le nombre de passager aussi à hausser et est passé a
2154190 entre le 1er janvier et fin novembre 2018.

Nous noterons aussi que le fret qui nous intéresserons le plus dans le
déroulement de cette action a faiblement diminuer depuis l’arrivée de
l’AIBD.

C’est dans ce contexte que nous nous intéresserons sur le dédouanement


de marchandise par voir aérienne.

I. Présentation de l’action
1) Définition des concepts clés

Notre action porte sur le dédouanement d’une marchandise (pompe


électrique) importée par voie aérienne. C’est dans cette optique que nous
avons jugé nécessaire de procéder à la définition de quelques mots clés.

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Commissionnaire en douane agréé :Personne physique ou moral ayant
obtenu un agrément du ministère de tutelle, de la direction général des
douanes, une autorisation à faire, profession de déclarer en détail, au nom
et pour le compte d’autrui et à accomplir en douane les formalités liées à
cette déclaration. Il peut agir en représentation direct ou indirecte.

Déclarant : Personne physique ou moral qui est débiteur de la dette


douanière. Le déclarant est l’opérateur lorsqu’il déclare pour son compte.

Déclaration en détail : Acte par lequel une personne manifeste dans les
formes et modalités prescrites par l’administration des douanes, la volonté

D’assigner à une marchandise un régime douanier déterminé.

Régime douanier : Destination douanière donnée à une marchandise et


qui détermine sa situation vis-à-vis de la réglementation.

2) Présentation de l’entreprise

AFRICARGO est une société internationale. Historiquement ancré dans


l’ouest, il a développé son réseau national et ses prestations logistiques
pour accompagner l’évolution de ses clients et répondre aux attentes du
marché.

AFRICARGO cible deux catégories de clients :

-Le particulier qui veut envoyer des bagages ou des colis à un autre
particulier.

-L’entreprise importatrice ou exportatrice qui souhaite mettre la gestion


de ses envoies par fret aérien entre les mains de professionnels dans le
cadre d’un contrat de gestion logistique.

II. Objectifs de l’action


1) Objectif général

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La réalisation de cette action a pour but la déclaration de pompe électrique
lubemaster 10kg.

2) Objectif spécifique

Les objectifs spécifiques qui sont visée dans cette étude sont :

• Faire le circuit de dédouanement de marchandises importés par voie


aérienne
• Comprendre le fonctionnement des bureaux de la douane
• Connaitre la place du déclarant dans ces activités

Voir l’évolution de ces activités

III. Les moyens utilisés


1) Les moyens matériels

Les moyens matériels utilisés pour la rédaction de la note de détail peuvent


être :

• Des écritoires : ce sont des stylos de couleurs bleues comme rouge


qui permettent de remplir lisiblement la fiche de la note de détail
• Une calculatrice : Elle permet d’exécuter les opérations de calcul
relatives aux droits et taxes à payer
• Imprimante : elle permet d’assurer le tirage pour une exploitation
physique et matérielle des documents
• L’avion : Qui a servi au transport de la marchandise importé

2) Les moyens humains

Pour les moyens humains on peut citer :

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• L’ayant droit de la marchandise : Qui doit donner l’ordre de transit
au transitaire et tous les documents qui vont servir au dédouanement
• La secrétaire : Elle enregistre les différentes dépenses effectuées
par les agents, prépare les rendez-vous avec les clients ainsi que les
réunions. Elle se charge des procès-verbaux et des comptes rendus
pendant l’absence du directeur général. Elle prépare et rédige les
documents administratifs afférents aux activités du bureau.
• Chef de transite : Il coordonne l’activité transit du bureau. Il a un
rôle de conception et de l’organisation des différents taches liées au
paiement au niveau des compagnies, à la douane entre autres divers
frais découlant à la livraison à temps échu, dans les meilleures
conditions mais surtout en respectant les procédures administratives
permettant la libération des marchandises par la douane. Le chef de
transit valide les déclarations en détail effectuées par le déclarant en
détail, signe tous les documents qui passent par le bureau et doivent
faire l’Object de circuit au niveau des bureaux des douanes mais
assigne à chaque agent de transit le canevas à adopter relativement
au régime douanier présent. Bref, le chef de transite est noyau d’un
service de commissionnaire en douane. En cas de fraude ou autre
infraction douanière liée à la saisie des documents ou une mauvaise
déclaration surtout par rapport aux pecs tarifaires, c’est lui qui est
directement interpellé parce que c’est sa signature qui figure sur tous
les documents émis par le bureau.
• Le déclarant en douane : Il déclare tous les documents qui doivent
faire le circuit des différents bureaux de la douane. En effet, le
déclarant en douane est considéré comme l’adjoint du chef de transit
parce qu’il accomplit le plan de travail élaboré par le chef.

3) Les documents utilisés

Parmi les documents utilisés nous avons :

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• Facture commerciale : établie par le fournisseur, informe de la
nature de la marchandise, sa valeur et sa quantité
• LTA : établie par le chargeur, c’est le titre de transport de la
marchandise. Elle est toujours émise sous forme non négociable à
personne dénommé
• Déclaration préalable d’importation : Délivrée par le COTECNA
dans le cadre du programme de vérification des importations. Il est
produit pour toute importation d'une valeur FOB (free on bord)
supérieur ou égal à un million (1million)

IV. La procédure :

Pour faire sa déclaration en douane, il faut fournir un certain nombre de


documents. La production de ces documents est nécessaire en fonction de
la nature, de la valeur, de la destination ou de l’origine de la marchandise.
Le déclarant en douane est tenu de faire la cotation avant toute chose. Il
devra dans la cotation, tenir compte à l’ayant droit à la marchandise de
l’ensemble des éléments et dépenses à faire pour le dédouanement de la
marchandise. Si ce dernier est satisfait, il devra donner au déclarant l’Ordre
de Transit qui est un document juridique au moyen duquel le client donne
instruction au déclarant d’exécuter le dédouanement de ses marchandises.
Il permet à celui-ci d’ouvrir un dossier de transit et d’attester la réception
des documents reçu du client. Ces documents sont indispensables à la
constitution du dossier et sont compris entre autres de la LTA ; de la facture
de la marchandise ; de l’assurance … Le déclarant devra procéder à une
vérification de forme des documents et décharger l’ordre de transit.

Il devra aussi vérifier si les marchandises doivent faire l’objet d’une


Déclaration Préalable d’Importation ou si elles doivent s’acquitter de l’AV
(attestation de vérification). Une fois tous ces formulaires remplis, le
déclarant fait la déclaration en détail, assigne un régime douanier aux
marchandises, fait la liquidation des droits et taxes à payer à la douane et

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fait la saisie dans le logiciel de la GAINDE (gestion automatisé des
informations douanières et des échanges).

C’est seulement après avoir rempli toutes ces taches qu’il pourra enfin faire
le circuit douanier pour présenter le dossier à la douane. Et pour faire ce
circuit douanier, le bureau des douanes est structuré comme suit :

• Section recevabilité
• Chef de section
• Chef de visite
• Vérificateur
• Brigade commerciale

a) Section recevabilité

Une des raisons premières de la création des sections consiste à faire un


travail d’écriture en vérifiant notamment la recevabilité des déclarations. Il
s’agit d’un contrôle portant sur l’aspect purement formel des documents
présentés aux fins d’un dédouanement à l’issue duquel les déclarations qui
sont jugées irrecevables sont restituées au commissionnaire en douane
pour la régularisation.

b) Chef de section

Une fois le dossier vérifié et jugé exigible par la vérification a la section


recevabilité, il est envoyé au bureau du chef de section. Ce dernier est
chargé à son tour de contrôler le dossier et de le déposer dans le système
GAINDE

c) Chef de visite

Après la section, le dossier passe par le bureau du chef de visite pour une
étude et analyse doublée d’une vérification qui permettra au chef de pouvoir
assigner un vérificateur apte à traiter le dossier. Après la cotation sur
papier, son secrétaire introduit le dossier électronique de par le numéro de
la déclaration au compte GAINDE du vérificateur coté.

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d) Vérificateur

A la sortie du bureau du chef de visite, le dossier atterrit dans le bureau du


vérificateur coté par le chef de visite. Son rôle est de faire une étude globale
sur les éléments composants le dossier tel que : les valeurs sur la facture,
les dates de dépôts des documents, la déclaration en douane, et les infos
déclarées sur la copie de déclaration. Si les documents composant le dossier
sont conformes, il délivre le BAE en introduisant le numéro de la déclaration
dans sa machine.

e) Brigade commerciale

La brigade commerciale est un compartiment de la douane où les


déclarations qui ont déjà un BAE effectuent un passage pour leur apurement
afin de faciliter leur enlèvement à la compagnie. Le passage du dossier à la
brigade de commerce se déroule comme suit : le dossier passe par le
secrétaire du chef de brigade pour enregistrement dans le registre avant
d’être déposé par le secrétaire au bureau du chef pour contrôle par rapport
à la déclaration en bonne et due forme du nombre de colis, du poids déclaré,
et aussi de la documentation complète. S’il n’y a rien à signaler, le chef de
brigade signe sur la copie du BAE pour justifier son accord.

V. L’action proprement dit

C’était le 18 juin 2021, nous sommes arrivés à l’AIBD vers 10h. Nous
sommes allés à la zone fret et avons rencontrés le Lieutenant Hamidou
Hanne, chef de la douane à l’export qui nous avait donné rendez-vous ce
jour-là. Après nous avoir reçus et brièvement expliqués comment se passe
le dédouanement à l’export, il nous a conduit dans la zone import et nous
a mis en relation avec un transitaire du nom d’Ousmane Gueye de
AFRICARGO. Ce dernier nous a reçu dans son bureau et nous a expliqué
théoriquement comment on fait le circuit de dédouanement de
marchandises importées par voie aérienne. C’est seulement après avoir fini
de faire la théorie du dédouanement qu’il nous a dit qu’il n’avait pas de
dossier en cours pour que nous puissions ensemble aller faire le circuit. De

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ce fait il nous a demandé d’attendre un de ses collègues du nom de
Boubacar Thiam de pour qu’il nous amène faire le circuit douanier. C’est
aux alentours de 15h après la pause que nous sommes allés avec Boubacar
faire le circuit.

Il nous a montré le dossier qu’ils ont montés composer de la LTA, de la


facture, de la déclaration

On s’est rendu à la section recevabilité pour la vérification et l’analyse du


dossier par rapport aux documents fournis et à la déclaration. Après
vérification, il s’est avéré que le dossier a été jugé exigible et le vérificateur
a apposé son cachet avec l’initial R comme recevable.

Après ce faire, nous sommes allés au bureau du chef de section pour à son
tour contrôle et dépôt du dossier dans le système GAINDE. Arrivé là-bas,
nous sommes passés chez son secrétaire et avons déposé le dossier. Il le
fait entrer dans le bureau du chef de section qui procède à la vérification et
contrôle du dossier. Il n’y avait rien à signaler donc il a apposé son cachet
et l’a redonné à son secrétaire qui l’a inclus dans le système GAINDE à son
tour par le numéro de la déclaration.

Après le bureau du chef de section, on est passé au bureau du chef de visite


qui procède lui aussi à une étude et analyse doublée d’une vérification qui
lui permettra de savoir quel vérificateur est apte à traiter le dossier. Arrivé
là-bas, on dépose le dossier chez son secrétaire aussi qui l’introduit dans
son bureau. Après procédure, il codifie le dossier à un vérificateur qu’il juge
capable de traiter le dossier. Il remet ensuite le dossier à son secrétaire qui
l’introduit lui aussi dans le système GAINDE toujours via le numéro de la
déclaration.

Apres codification du dossier, on le ramène chez le secrétaire du chef de


section qui fait la main levée pour que le vérificateur codifié puisse passer
à l’inspection sur les éléments composant le dossier tel que les valeurs, les
dates de dépôts, la déclaration et les informations données sur la copie de

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la déclaration. S’il s’avère qu’il y a une erreur ou des informations qui ne
collent pas, il s’en va faire la visite. Arrivé là-bas, il passe à l’inspection et
trouve qu’il n’y a rien a signalé il délivre un BAE que le transitaire devra
aller tirer dans son bureau.

VI. Difficultés rencontrées et solutions envisageables

Sur le plan de la réalisation des Operations, nous pouvons dire que les
opérations s’étaient bien déroulées. Le cadre était bien favorable.

CONCLUSION

En somme, nous pouvons dire que l’accomplissement de cette action nous


permis de comprendre comment s’effectue le circuit de dédouanement des
marchandises importées par voie aérienne.

Les acteurs qui sont concernés dans cette procédure à savoir toutes les
personnes qui intervienne jusqu’à son enlèvement n’ont pas le droit à
l’erreur. Ça nous a permis de savoir aussi que ce n’est pas parce que la
marchandise est enlevée que le dossier est classé. Il se peut que de vieux
dossier soient revérifiés et qu’en cas de fraude les acteurs concernés soient
sanctionnés par la douane.

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ACTION2 : Dépotage de carburant dans une station-service

INTRODUCTION :

Au plan international, le développement des échanges particulièrement au


niveau européen a entrainé d’importants flux de marchandises et de
personnes entre différentes Nations. Des liens de toutes sortes se sont ainsi
tissés et ont entrainés la nécessité de mettre en place une organisation et
une règlementation pour mieux gérer tout cet ensemble. Le transport
routier se caractérise de plus en plus par une conteneurisation des envois
ainsi que par la possibilité de combiner la route et le rail. Ces évolutions
rendent possibles les services de porte à porte sans rupture de charge et
des délais relativement courts et brefs. Il faut cependant noter que selon
les distances à parcourir et les pays traversés, certaines contraintes
climatiques susceptibles d’allonger les délais et de compromettre la sécurité
des marchandises peuvent être rencontrées.

Le moyen de transport utilisé pour ce mode de transport est le camion.

De ce fait, nous ne pouvons pas parler de Camion sans pour autant parler
de son approvisionnement en essence. C’est dans cette logique que notre
action va porter sur le dépotage de carburant dans une station.

I) Présentation de l’action

Notre action porte sur le dépotage de carburant dans une station services.

Nous nous sommes intéressés au dépotage de carburant parce que nous


savons tous que tout camion a besoin de se réapprovisionner en carburant
pour pouvoir rouler et pouvoir faire son activité de transport.

1) Définition des concepts clés


• Réception de carburant : Opération consistant à recevoir le
combustible à la station sur la base d’un bon de livraison.
• Dépotage : Action de décharger un véhicule de transport,
généralement un camion, dont le réservoir contient des matières

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liquides, gazeuses ou poudreuses. c’est le fait de vider un conteneur
de ses marchandises.
• Camion : c’est un véhicule automobile destiné au transport routier
de marchandise.
• Station-service : Poste de distribution d’essence accompagné
d’installations pour l’entretien des véhicules.
• Carburant : combustible qui alimente un moteur thermique.

2) Présentation de l’entreprise

Lobbou Mame Diarra Bousso(LMDB) est une station-service, situé à Mbao


au km 18, route de Rufisque.

LMDB commercialise une gamme complète de carburant (essence, super…).


L’ensemble de leurs carburants répond à des normes strictes de fabrication
et de contrôles quotidiens. Le professionnalisme de leurs équipes
techniques et les efforts constants de leurs commerciaux permettent de
trouver et valider des huiles pour moteur.

II) Objectif de l’action


1) Objectif général

Cette action a pour but de dépoter le carburant se trouvant dans camion-


citerne et le faire entrer dans le puits présent dans la station-service.

2) Objectifs spécifiques
• Comprendre comment se fait le dépotage d’un camion-citerne
• Savoir quelles sont les difficultés qu’on y rencontre.

III) Les moyens utilisés


1) Les moyens humains

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• Le gérant de la station-service : c’est lui qui est chargé de gérer
tout ce qui est achat, vente… dans ce cas de figure il gérer le jaugeage
des puits et du camion.
• Le chauffeur du camion : c’est lui qui est chargé de faire les
formalités de sécurité du dépotage.

2) Les moyens matériels


• Le camion-citerne : camion conçu spécialement pour le transport
de liquide inflammable comme le carburant.
• La règle de jaugeage : c’est l’appareil qui permet de mesure le
niveau du produit présent dans les puits mais aussi dans le camion-
citerne.
• Le seau en aluminium : le seau permet de pouvoir y mettre un peu
du produit pour pouvoir vérifier sa température
• Les extincteurs : Appareils permettant d’éteindre du feu
• Les cales du camion : Morceaux de bois permettant le maintien du
camion sur place
• Les flexibles : sortes de tuyaux où passe le produit ralliant le camion
au puits

IV) Les documents utilisés


• Bon de livraison : Document attestant de la livraison de biens ou
services, en attendant l’établissement d’une facture qui rendra le
paiement exigible.
• Bon de commande : Document établi par le client dans lequel il
détaille les articles commandés et toutes les conditions utiles à la
bonne exécution de la commande.

V) L’action proprement dit :

C’était le 22 juin 2021 que s’est tenue l’action. Nous sommes arrivés à
la station LOBBOU MAME DIARRA BOUSSO (LMDB) vers 10h et avons

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rencontré M. MADICKE qui est le gérant de la station. Il nous a reçu dans
son bureau et vue que le camion-citerne n’était pas encore arrivé, il en
a profité pour nous expliquer théoriquement comment se faisait le
dépotage, les mesures de sécurité à prendre et il nous a fait savoir aussi
que c’est une opération très dangereuse qui nécessite beaucoup de
prudence.

Le camion-citerne est arrivé aux alentours de 11h 30, et nous nous


sommes dirigés vers le conducteur, l’avons salué. Avant que l’opération
ne commence, il a désactivé la coupe batterie et activé les arrêts
d’urgences. Il posa des cales en bois sur les roues afin d’immobiliser
carrément la véhicule et ne prendre aucun risque. Il sortit les extincteurs
et les posa à l’avant et à l’arrière du camion pour au cas où. Et
maintenant au tour du gérant de placer les balises au tour du véhicule.
Il a branché le câble de masse sur sa borne équipotentielle. Après que
toutes ses mesures de sécurités soient réglées, le chauffeur montre le
bon de livraison au gérant et aussi le certificat de jaugeage afin de savoir
combien de litre est présent dans la citerne. Mais ceci n’exclura pas le
contrôle du gérant.

Le gérant sortit le seau en aluminium, y mit un peu du produit et ils


vérifièrent la température du produit présent dans le camion. Après ce
faire, le gérant vérifie à l’aide de la règle de jaugeage le niveau de
carburant présent dans les puits mais aussi il monte sur le camion pour
y faire la même vérification.

Le chauffeur du camion fit sortir les flexibles, ouvrit les bouchons et les
raccorde d’abord du côté du véhicule puis celui de la cuve, il ouvre les
clapets puis celle de la vanne à dépoter et il vérifia si le produit passe
normalement ou pas.

Le produit circulait normalement et nous avons attendus que le camion


se vide. Une fois que ce dernier soit vidé, le chauffeur ferme les clapets,

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enlevé les flexibles, il remet les bouchons des flexibles et range les
flexibles. Puis il tous les accessoires à savoir le fil de masse, les cales en
bois, les extincteurs à leurs places initiales.

Le gérant jaugea le niveau des puits et aussi celui du camion pour voir
si tout le produit s’est déchargé et signe les documents.

CONCLUSION

En somme, nous pouvons dire que l’accomplissement de cette action


nous a permis d’atteindre les objectifs initiaux car ça nous a permis de
comprendre comment se passe le dépotage d’essence mais aussi de
savoir le rôle de chacun dans ce processus.

Il est important de noter aussi que l’accomplissement de cette action


nécessite beaucoup de prudence car comportant beaucoup de risque.

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Action3 : Procédure de dédouanement de véhicules par voie
maritime

INTRODUCTION

Le transport de marchandise par voie maritime est devenu l’un des plus
grands facteurs d’échange à grande quantité dans le monde.

C’est le seul mode de transport capable de transporter des milliers de


tonnes, mais le plus lent en termes de rapidité et aussi le moins sécurisé.
En effet, l’entrée et la sortie des marchandises dans le territoire douanier
sont précédées par l’accomplissement de certaines formalités qui sont
indispensables pour la circulation légal de celle-ci. Il s’agit du pré-
dédouanement de la déclaration en douane et de l’enlèvement des
marchandises.

Notre travail se portera plus précisément sur le dédouanement


proprement dit de véhicule par voie maritime.

I) Présentation de l’action
1) Définition

Elle incombe au déclarant en douane aussi appelé commissionnaire en


douane qui, par définition est la personne physique ou moral charger
d’accomplir les formalités de dédouanement de marchandises autrui.

Le dédouanement consiste à affecté aux marchandises un régime


douanier qui prend en compte leur destination. A l’importation le
dédouanement consiste dans la plupart des cas, à acquitter les droits de
douane et la TVA.

Le pré dédouanement consiste à faire contrôler par les services de


douane et d’immigration des passagers et marchandises de départ par
des agents officiant pour le pays d’arrivée dans le but de désengorger
les installations très fréquentées ou dans le but d’accélérer le transite
des personés.

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2) Présentation de l’entreprise

GAINDE LOGISTICS SERVICES Sarl(GLS) a été créée en novembre 2020


par un jeune sénégalais disposant d’expériences différentes dans le
transport international, du transit, le secteur des services et la logistique, y
compris le secteur des hydrocarbures.

Située à Hann Mariste 1 (Dakar), notre société est axée sur la couverture
globale des besoins logistiques de chaque client, y compris les plus
exigeants. En tant que société entièrement évolutive, nous nous adaptons
à chaque opération, c’est pourquoi nous comptons des partenaires
nationaux et internationaux. Les plus importants, DHL Express, pour l'envoi
des colis (aérien), Bolloré pour le transport maritime des marchandises, Le
Service des Mines pour l'immatriculation et CNART pour l'assurance.

GLS est ainsi, une société de logistique proche dans le conseil et avec les
standards de qualité. Quand il s'agit de marchandise, quelle que soit sa
nature, nous pouvons intervenir, de bout en bout.

II) Les objectifs de l’action


1) Objectif général

Les objectifs du dédouanement réside dans le fait que le commissionnaire


en douane agrée doit prendre en charge toute les formalités nécessaires
pour le bon fonctionnement des opérations de dédouanement depuis la
signature de l’ordre de transit jusqu’à l’obtention du BAE (bon à enlever).

2) Les objectifs spécifiques

Mon objectif porte sur le suivi des actions nécessaires à la réussite des
opérations de dédouanement, afin de découvrir d’une part la pratique du
transit et d’autre part le milieu du transit afin de devenir une bonne
responsable dans le domaine du transit.

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III) Les moyens utilisés
1) Les moyens humains

Ce sont des personnes qui interviennent dans la réalisation correcte de


l’action, il s’agit :

• Du secrétaire : Il apporte le nouveau dossier à ouvrir après


discussion du client avec le corps administratif sur le prix de
l’opération et des sujets annexes.
• L’agent de transite : Il est chargé d’enregistrer le dossier dans les
différents supports (chemises cartonnées, registre de transit,
logiciel…) .Il s’occupe également de l’ensemble des dossiers
nécessaire à la suite de l’opération.
• Les manutentionnaires : C’est eux qui assurent le déchargement
ou le chargement des marchandises de les achemines au lieu de
destination.
• Le facturier : Il est chargé de la facturation sollicitée par les clients.
Il travaille en parfaite collaboration avec le comptable afin d’assurer
la traçabilité des données à travers des bilans journaliers.

2) Les moyens matériels

Ce sont les outils nécessaires pour une bonne réalisation des actions et
opérations.

Nous avons :

• Les ordinateurs :
• Les rames de papiers :
• Les scooters :
• Les imprimantes : elle permet d’assurer le tirage pour une
exploitation physique et matérielle des documents.

3) Les documents utilisés :

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• Connaissement ou BILL OF LADING B/L : établi par le chargeur,
c’est le titre de transport de la marchandise’ est le document qui
matérialise le contrat de transport maritime entre l’armateur et le
chargeur. C’est un document unique parce que c’est le seule
document en transport qui est négociable, c’est à dire que le
connaissement et un titre représentatif de la propriété des
marchandises, la personne qui détient l’original du connaissement est
aussi propriétaire de la marchandise.
Le connaissement joue plusieurs rôles : Un reçu de la marchandise,
un titre négociable, un titre faisant preuve du contrat de transport.
La force probante du connaissement : B/L receipt for shipment : le
connaissement reçu pour embarquement : il atteste la prise en charge
de la marchandise et non l’expéditeur. Il y’a aussi le B/L on bord :
connaissement marchandise chargées à bord : il atteste le
chargement effectif de la marchandise à la date de signature. Y’a
aussi le B/L clean : le connaissement net de réserve : il certifie la
prise en charge de la marchandise en bon état apparent. Et enfin, le
B/L dirty : le connaissement surchargé : des réserves portées par la
compagnie sur la qualité ou l’état des marchandises chargées limitant
la responsabilité du transporteur.
Le connaissement émis sous plusieurs formes : d’abord on a le
connaissement nominatif à personne dénommé (non négociable),
ensuite le connaissement à ordre (to order) négociable, et enfin le
connaissement au porteur appelé connaissement à blanc (blank
endorsed) non négociable.
Les types de connaissement : connaissement port/port ou océan
B/Connaissement combiné ou CTBL, connaissement direct ou through
B/L, connaissent FIATA(FBL), et enfin la lettre de transport
maritime(LTM) ou seaway bill.
• Déclaration préalable d’importation ou DPI : un formulaire
délivré par le bureau des douanes et sert au dédouanement de
marchandises. Elle est exigée pour toute marchandise exonérée ou

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pas dont la valeur FOB (Free on board) est supérieure ou égale à un
million de Francs CFA.
• La facture commerciale : établie par le fournisseur, informe de la
nature de la marchandise, sa valeur et sa quantité.
• L’attestation de vérification : Produite pour toute importation dont
la valeur FOB (free on board) est supérieure ou égal à trois millions
ou dans le cadre d’un conteneur personnalisé.
• Passavant de circulation : c’est un titre qui permet la circulation
des marchandises dans le territoire douanier, en vue de leur
dédouanement au bureau des douanes compétant.

IV) L’action proprement dite


1) déroulement

Procédure de dédouanement de marchandises est le moment le plus


important et le plus difficile pour le déclarant. Elle est une étape permettant
de connaitre la nature de la marchandise et ses composants jusqu’à la
livraison chez le destinataire. Mon action mener sur le terrain m’a permis
de découvrir tous les éléments à remplir et voir les étapes à passer jusqu’à
l’accomplissement du devoir. Notre cas portant sur le dédouanement d’un
véhicule MERCEDES BENZ monté sur un camion plateau de marque PEGASO
accompagné d'une carte grise qui est l'assurance vie de la voiture. En effet,
après la réception du document principal qui n’est rien d’autre que le
connaissement on rassemble tous les documents nécessaires pour l’amener
à la maison de transit qui donne l’agrément au paravent la marchandise
est déjà déclarer a la douane ; prenant ainsi la copie de la déclaration
et l’ordre de transit puis rejoindre avec la copie de la carte d’identité du
propriétaire de la marchandise sans oublié la procuration pour montrer
quelle propriétaire vous a engagé pour accomplir tous les procédures de
dédouanement. Puis nous sommes allés à Dakar terminal pour payer. c’est
des locaux hyper sécurisés dont on a payé la facture après on reçoit bon a
délivré(BAD) pour aller ensuite à la subdivision des douanes qui se trouve

21
au mole II pour recevoir le bon GAINDE et aller au mole I pour avoir le
cachet du Chef de brigade et monté en haut pour faire les taxes de Port.
Apres récupération, on retourne à l'intérieur du molle 2 là où se trouve
l'agent du Dakar terminal responsable du parking pour écrire le BAE bon a
enlevé et sortir le véhicule du port.

2) Les formalités de dédouanement

Il existe 4 procédures pour le dédouanement d’une marchandise à savoir :

• La conduite en douane
• La mise en douane
• L’attente de dédouanement
• La déclaration en détaille

En effet, 2 grandes formalités incombent au transporteur, il s’agit :

- La conduite en douane ou le navire doit se diriger directement dans


un port qui comporte un bureau de douane
- La mise en douane consiste à manifester les marchandises afin que
la douane soit informée de la présence du conteneur. Pour se faire,
une activité dénommée « écor au débarquement » doit être effectué
par l’agent de la douane pour la vérification physique. Il procède
3étapes à savoir :

La conformité : elle consiste à vérifier si la marchandise débarquée est


relative à la marchandise manifeste

Le déficit : il vise à vérifier si le nombre de colis débarqué est inférieur au


nombre de colis manifesté

L’excédent : il permet de vérifier si le nombre de colis débarqué est


supérieur au nombre de colis manifeste

Cependant, l’attente de dédouanement consiste au stockage des


marchandises dans les magasins de dédouanement ou dans un terminal à
conteneur en attente d’être déclarées en détail.

22
En référence à la législation douanière sénégalais nous pouvons distingués
3 types de véhicules :

- Véhicules neufs : ce sont les véhicules qui non jamais font l’Object
d’une immatriculation et la valeur à retenir pour le dédouanement
c’est la valeur facture majorée des frais de transport, d’assurance, et
des autres frais se rapportant à la vente et à la livraison au Sénégal
- Les véhicules d’occasion : ce sont les véhicules immatriculés à
l’étranger avant leur importation. 3 situation se présenterais pour ces
catégories de véhicules : D’abord on a des véhicule qui ne sont pas
coté argus (ce sont des véhicule qui en fonction de leurs mise en la
circulation relativement récent ne sont pas encore coté argus et la
valeur à retenir pour le dédouanement c’est le prix catalogue), des
véhicules qui sont coté argus ( ce sont les véhicules dont leurs âge
doit être compris entre 1an et 10ans et la valeur à retenir pour le
dédouanement de ces véhicules est la valeur argus), des véhicules
qui ne sont plus coté argus( ce sont les véhicules dont l’âge est
supérieur à 10ans et la valeur à retenir correspond à la dernière
cotation argus.
- Les accidentés : (pièces détachés et les épaves et la valeur à retenir
pour le dédouanement de ces catégories de véhicule sera apprécié
par le service des douanes sur la base d’un rapport d’expertise qui ne
lie toutefois pas l’administration douanières.

• Les débours de la douane :

Les déclarations doivent être examinées par les sections suivantes

• La section de recevabilité
• Le chef de section
• La salle de distribution
• Le chef de visite
• Le bureau des vérifications

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La section de recevabilité

Son rôle consiste à vérifier que la déclaration a été bien remplie ainsi
que toutes les mentions obligatoires de transport utilisé son bien remplie
ainsi que toutes les mentions obligatoires de transport utilisé sont bien
prises en compte dans la déclaration.

B- LE CHEF DE SECTION

Garantit dans son secteur et à son niveau l’application des règles


concernant les finances publiques contrôle où vérifier la recevabilité et
la conformité des déclarations fiscales et les conditions de circulation des
marchandises. Etablit édité, recouvre ou encaisse les différentes taxes
fiscales dues par les contribuables, suivant des normes administratives.

C- LE BUREAU DE CHEF DE VISITE

Dans la salle de visite, le douanier décharge tout d’abord toutes les


déclarations qui lui sont présenté et veille à la bonne marche du circuit
que doit emprunter la déclaration.

d) LE BUREAU DES VERIFICATIONS

Une fois transmission des dossiers faites, le vérificateur accomplit une


visite de fond des composantes du dossier et vérifier le crédit accordé au
déclarant. Les vérifications marchandises c'est-à-dire chargée du
contrôle de l’application des droits et taxe, ainsi que des formalités
douanes auxquelles sont soumises les marchandises importées ou
exportées en quêteur au sein d’une équipe en charge de la vérification
et du contrôle de l’entreprises et sur des documents, des opérations
effectuées par les sociétés informaticiennes

e) RESULTATS
Le but de tout circuit douanier et au bout du compte l’obtention pour
le déclarant en douane du bon à enlever qui lui permet de disposer
de la marchandise.

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V) Difficultés rencontrées

Parmi les difficultés rencontrées nous pouvons citer : les pannes récurrentes
du système GAINDE, l’indisponibilité parfois de certain poste de travail.

CONCLUSION

En somme le dédouanement de marchandises par voie maritime est l'une


des phases de nationalisation du produit pour son entrée dans le marché
national en payant tous les droits et taxes exigibles. Le transport maritime
joue un rôle fondamental dans la mondialisation d’aujourd’hui. Sans
transport maritime, sans conteneurisation, pas de mondialisation. C’est un
service de porte à porte, de libre échange et de l’internationalisation de
certaines valeurs entre deux pays ou des continents.

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CONCLUSION GENERALE

En guise de conclusion, nous pouvons dire que les transports internationaux


sont un marché lié au développement du commerce international. Il
enregistre une hausse continue de son activité, qui devrait se poursuivre
encore plusieurs années surtout dans le marché de la ligne régulière. C’est
un secteur qui connaît aussi une concurrence internationale très forte et
pour lequel les taux de retour du capital sont très fluctuants. C’est une
activité qui ne peut s’évaluer que sur des cycles longs. Ils occupent une
place très importante dans le monde et ne devrait cesser de croitre dans
les années à venir.

En ce qui concerne les AAT, nous pouvons dire que ça a été bénéfique pour
nous tous. En effet, étant étudiant en deuxième année, ils nous ont permis
de découvrir le monde du travail mais aussi celui du transport et de la
logistique.

26
LISTE DES ANNEXE

ANNEXE1 : Connaissement ……………………………………………………… 1

ANNEXE2 : Carte grise VEH1 …………………………………………………… 2

ANNEXE3 : Carte grise VEH2 …………………………………………………… 3

ANNEXE4 : BAD (bon à délivré) …………………………………………………... 4

ANNEXE5 : Déclaration en détaille …………………………………………………. 5

ANNEXE6 : DPI (déclaration préalable d’importation) …………………………….. 6

ANNEXE7 : Facture ……………………………………………………………… 7

ANNEXE8 : LTA ……………………………………………………………………. 8

ANNEXE9 : Déclaration …………………………………………………………… 9

ANNEXE10 : DPI ………………………………………………………………… 10

ANNEXE11 : Facture ………………………………………………………………. 11

ANNEXE12 : Bon de livraison …………………………………………………... 12

ANNEXE13 : Bon de commande …………………………………………………… 13


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