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Diagramme enthalpique

Le diagramme de Mollier

La thermodynamique en réfrigération
La thermodynamique, c’est l’étude des relations existant entre les phénomènes
mécaniques et calorifiques.
D’un point de vue thermodynamique, la réfrigération comporte 4 phases principales :
Abaissement de la t° du frigorigène
Transfert de chaleur du milieu à refroidir vers le frigorigène
Transport du frigorigène chargé de cette chaleur vers l’extérieur
Transfert de chaleur du frigorigène vers le milieu extérieur
Cette suite d’opérations, conduisant à un état final identique à l’état initial, s’appelle le
cycle frigorifique, et pourra être représenté sur des diagrammes.

Les diagrammes, y = f(x)

Les diagrammes sont la concrétisation graphique d’équations mathématiques dans


lesquelles se combinent les diverses lois régissant les caractéristiques générales des
fluides frigorigènes et leurs transformations. Ils sont différents selon que l’on porte en
abscisse et en ordonnée les différentes grandeurs caractéristiques (t°, pression, volume,
enthalpie,…) :
Le diagramme, (p , V), appelé diagramme de Clapeyron
Le diagramme, (T , S), autrement appelé diagramme entropique,
Le diagramme, (p , h), autrement appelé diagramme enthalpique.

Le diagramme enthalpique pour un fluide pur ou azéotropique


Il est simple à utiliser et permet de suivre l’évolution du fluide au cours de ces
transformations (cycle frigorifique).

L’axe des ordonnées représente la pression absolue


L’axe des abscisses représente l’enthalpie du fluide en kJkg
La courbe de saturation définit quatre zones :
- A gauche de la courbe de saturation est située la zone dans laquelle le fluide est
liquide
- A l’intérieur de la courbe le fluide est phase de mélange liquide + vapeur (saturant)
- A droite de la courbe de saturation est située la zone dans laquelle le fluide est
vapeur.
- Au-dessus de la courbe le fluide est dans la zone critique, (au cours du cycle
frigorifique le fluide n’atteint pas cette zone).
Diagramme enthalpique

Courbes constitutives du diagramme enthalpique :


Isobares : le long d’une isobare la pression est constante (bar absolu )
Isenthalpes : Le long d’une isenthalpe l’enthalpie est constante (kj/kg )
Isothermes : Le long d’une isotherme la température est constante (c )
Isochores : Le long d’une isochore le volume est constant (m3/kg )
Isotitre : Le long d’une isotitre le titre en vapeur est constant (sans unité).
Le titre est la proportion de vapeur dans un mélange liquide + vapeur
Adiabate : Le long de cette courbe le fluide ne reçoit pas de chaleur extérieure

Pression
absolue en Enthalpie Point critique
[bar] spécifique
entropie
température

LIQUIDE Volume
spécifique
Titre vapeur
Courbe de
saturation
VAPEUR

pression

MELANGE LIQUIDE +VAPEUR

Enthalpie spécifique en [kJ.kg-1]

Dès lors, il nous est possible de définir entièrement un frigorigène en un point de


l’installation en connaissant 2 de ses caractéristiques et son état (p, t°, liquide, gaz, ou
mélange liquide-gaz).
Diagramme enthalpique

Exemple de tracé d’un diagramme

Rappel du cycle du fluide dans une installation


2 3

1 B

7 4

E
A

C
6 D 5

Repère Désignation
A Compresseur
B Condenseur
C Bouteille réservoir
D Détendeur
E Evaporateur
Etat du fluide aux différents points du cycle :
Point Etat Température Pression
1 Vap Surchauffée Θ1>θ0 p0

2 Vap Surchauffée Θ2>θk pk

3 Vap saturante Θ3=θk pk

4 Liquide saturant Θ4=θk pk

5 Liq. Sous-refroidi Θ5<θk pk

6 Liq-Vap saturant Θ6=θ0 p0

7 Vap saturante Θ7=θ0 p0


Diagramme enthalpique

Sur une installation au R22 en fonctionnement on à relevé aux manomètres :


pk = 14 bar
p0 = 4 bar
Au thermomètre à contact :
1 = 10°C 5 = 30°C

Utilisation des relevés : les manomètres nous indiquent une pression relative hors le
diagramme est gradué en pression absolue, il convient donc de transformer
pk abs = 14 + 1 = 15 bar
p0 abs = 4 + 1 = 5 bar
Nous pouvons repérer sur le diagramme les deux isobares sur lesquels le fluide va
évoluer. Chaque point du cycle sera situé sur l’une ou l’autre des isobares.

Condensation
(condenseur)

Détente
(détendeur)

Compression
(Compresseur)

Évaporation du fluide
frigorigène
(évaporateur)
Point 1 : Ce point est à une température de 10°C et à la pression p0, le point sera
donc situé à l’intersection de l’isotherme 10°C et l’isobare 4bar.
Point 2 : Ce point est la fin de compression, la compression est adiabatique, il faudra
donc suivre l’adiabate passant par le point 1, le point 2 sera situé à l’intersection de cette
adiabate et de l’isobare 14bar.
Point 3 : Ce point est le début de la condensation, il sera donc situé à l’intersection
de la courbe de saturation (coté vapeur) et de l’isobare 14 bar
Diagramme enthalpique

Point 4 : Ce point est la fin de la condensation, il sera donc situé à l’intersection de


la courbe de saturation (côté liquide), et l’isobare 14 bar
Point 5 : Ce point est l’entrée au détendeur, il est à la température de 30°C, il sera
donc situé à l’intersection de l’isotherme 30°C et de l’isobare 14bar.
Point 6 : Ce point est la sortie du détendeur, la détente étant isenthalpique (à
enthalpie constante) il faudra suivre l’isenthalpe qui passe par le point 5 et le point 6 sera
à l’intersection de cette isenthalpe avec l’isobare 4b.
Point 7 : Ce point est la fin de l’évaporation, il est donc situé à l’intersection de la
courbe de saturation (côté vapeur ) et de l’isobare 4bar.

Exploitation du diagramme

La puissance de l’évaporateur 0 est donnée par la relation :

0 = qm Δh évaporateur = qm . (h1-h6)

La puissance du compresseur Pth (p théorique) est donnée par la relation :

Pth = qm . Δh compresseur = qm . (h2-h1)

La puissance du condenseur k est donnée par la relation :

k = qm . Δh condenseur = qm . (h2-h5)

qm est le débit massique du fluide en kg/s


Les puissances sont exprimées en kW

Il nous faut donc déterminer quel est le débit massique (qm) en circulation dans
l’installation.
qm est le même en tout point de l’installation, il suffit donc de le déterminer en un
point.
qm est directement lié à la « taille » du compresseur, le constructeur nous indique son
volume balayé (Vb) sur la plaque signalétique de celui-ci.
Vb représente le nombre de m3 à l’heure que le compresseur est théoriquement capable
d’aspirer

En réalité il aspirera moins de vapeur que Vb , en effet les compresseurs ont un


rendement appelé rendement volumétrique (v) si bien que le volume réellement aspiré (Va)
sera légèrement inférieur au volume balayé

Va= Vb x v
On estimera le rendement en fonction de la technologie des compresseurs et des
conditions de fonctionnement.
Diagramme enthalpique

Rendement volumétrique des compresseurs

Les compresseurs sont de différents types, à pistons, scroll, à vis, ou centrifuges. On va


étudier les phénomènes liés à la compression à travers les compresseurs à pistons. Dans un
premier temps, on va considérer un modèle parfait et ainsi exprimer les performances d’un
compresseur réel en termes de rendements par comparaison avec le cycle de référence
(théorique)
Compression obtenue à l’aide d’un compresseur à piston parfait :
P
Diagramme indiqué*
(bar)
Hypothèses : Pk C B
- fonctionnement
isentropique
- jeu fonctionnel nul Compression isentropique
- clapets étanches et
sans inertie
- compresseur
adiabatique D A
- écoulement des Po
vapeurs sans chute de V (m3)
pression.
2

Diagramme indiqué * : diagramme de clapeyron p, V donnant un tour de l’arbre-manivelle pour un cylindre, la


variation de la pression régnant dans ce cylindre en fonction de la position du piston.

Le piston est d’abord au point mort bas (A), le volume est rempli de gaz à po. Le
piston avance et réduit le volume d’où une augmentation de la pression (de A à B). Lorsque
pk est atteint (B), le clapet de refoulement s’ouvre et la pression n’augmente plus. Le piston
avance ensuite jusqu’au point mort haut de façon à refouler le gaz et réduire à 0 le volume
(point C). Enfin le piston recule et le volume se remplit à nouveau de gaz à la pression po (de
D à A). Et ainsi de suite…

Remarque : quand le piston est au point mort haut, les clapets d’aspirations et de
refoulement sont fermés, le cylindre est donc isolé du reste du circuit , il est à la pk et a
un volume nul, le cylindre ne contient aucune vapeur.
Dès que le piston amorce sa descente vers le point mort bas, cela provoque une chute
instantanée de la pression (on a ici une détente dans le vide), la pression atteint la p0, ce
qui provoque l’ouverture du clapet d’aspiration et l’arrivée des vapeurs dans le cylindre.
Quand le piston arrive au point mort bas, il n’y a plus d’introduction de vapeurs. Les vapeurs
occupent un volume égal au volume balayé par le piston lors de sa course d’aspiration.
Diagramme enthalpique

En résumé :  phase d’aspiration : pression p1 – température T1


 phase de refoulement : pression p2 – température T2 = T2 is car on a une
compression isentropique (s1 = s2)

Le volume initial VA correspond à la cylindrée du piston :

 d² d : diamètre du piston ou alésage du cylindre


VA   C = VB C : course du piston
4

Le débit volumique mis en mouvement par un compresseur à piston idéal est alors égal au
volume balayé par unité de temps :
d : alésage du cylindre
C : course du piston
 d² N : nombre de cylindre
qvbalayé  N  C  n n : nombre de tours par unité de temps
4

La masse des vapeurs aspirées dans le cylindre correspond à :

VB
mVa cyl = v’’1 : volume massique des vapeurs aspirées
v ' '1
Le piston est arrivé au point mort bas Le piston est arrivé au point mort haut
Diagramme enthalpique

Compression obtenue à l’aide d’un compresseur à piston parfait avec espace mort
(Compression théorique)

La compression théorique tient compte du fait qu’il est impossible d’avoir un volume
nul lorsque le piston est au point mort haut. En effet, en pratique, pour permettre le
fonctionnement des clapets, on laisse une distance entre la plaque à clapet (haut du
cylindre) et le piston quand il est à son point mort haut. Ce volume est appelé espace mort.

Hypothèses :
- fonctionnement isentropique
- existence d’un jeu fonctionnel
- clapets étanches et sans inertie
- compresseur adiabatique
- écoulement des vapeurs sans chute de
pression

P
(bar)

C B
Pk

A
Po
D2 D
V (m3)

PMH PMB
ASPIRATION
Espace
mort Ve
COURSE

A-B : compression
B-C : refoulement
C : il reste du gaz à la pression Pk dans l’espace mort (v0)
C-D : détente des gaz de l’espace mort de Pk à Po
D-A : aspiration des gaz à Po
Le piston est au point mort haut (point C), il reste une masse me de vapeur
emprisonnée dans le volume de l’espace mort (volume non balayé par le piston). La détente
de ces vapeurs est isentropique (d’après les hypothèses d’un compresseur adiabatique et
réversible), ce qui provoque une chute de la pression de pk à p0 pour un certain
déplacement du piston, la course d’aspiration en est diminuée. Quand la pression dans le
cylindre a atteint la valeur de p1, le clapet d’aspiration s’ouvre et les vapeurs pénètrent
dans le cylindre.
Diagramme enthalpique

Remarque : à la fin de la détente des vapeurs contenues dans l’espace mort, la pression
dans le cylindre est p1 ; le volume des vapeurs en D est celui d’une détente isentropique,
soit
Via = Ve. 1/
 est le taux de compression pk/p0 en pabs

Les vapeurs aspirées peuvent être exprimées de la façon suivante : VA = VB – Via


Via : volume inutile à l’aspiration
La masse de vapeur contenue alors dans le cylindre est égale à la masse des vapeurs
aspirées plus celles détendues de l’espace mort.

Le volume balayé par un piston pendant sa course reste :


  d²
Vb  C
4
A cause de l’espace mort (v0), le débit volumique du fluide frigorigène est inférieur au
volume balayé : qvaspiré < qvbalayé
DàA D2 à A
Le volume de vapeur aspirées est de la forme : VA = VB + Ve. (1 - 1/) Avec  = CP / CV

Vasp
La masse des vapeurs aspirées dans le cylindre est : mVa cyl =
v' '1
On introduit alors la notion de rendement volumétrique qui correspond à :
P
(bar) qv aspiré
C cylindrée utile C1
Pk B  volumétriq ue   v  V = =
qv balayé cylindrée C

K : exposant isentropique
p . VK = cste
C2 = C + e
C1 = C2 – C3
pk . ek = p0 . C3k
Po A
D2 D pk k
3
C3 k = .e
V (m ) p0
1

C3k =  .e
k

C1 = C + e – ( e . 1/k )
C1 = C – e (1/k – 1 )

C e  1
e PMH
C1 : cylindrée utile
PMB V =   k
 1
C C 
C3
C : cylindrée
e 1
C2 V = 1 -  k
 1
C 
Exprimons cette équation en fonction du volume balayé :

1

Ve
V  Ve (1   ) 1

V  B  1   ( 1 ) avec  =
VB Vb
Diagramme enthalpique

1

V  1   ( 1 )

De cette équation, différentes formules ont été établis :

Pk
 Formule de Rapin :  v  1  0 , 05  Po soit  v  1  0,05  
 Pk 
 formule de Prestcold :  v  0,9  1  0,03    1 soit v = 0,9 x [ 1- 0,03 . ( - 1) ]
  Po 

On s’aperçoit que le rendement volumétrique d’un compresseur dépend du taux de


compression mais pas seulement, les caractéristiques du compresseur et les propriétés
physiques du fluide jouent un rôle.

Evolution du rendement volumétrique en fonction du taux de compression pour différents


fluides et différents espaces morts (  = 2% , 4% , 6% )
R22 :  = 1,177 ; R134a :  = 1,116 ; R717 :  = 1,33
Diagramme enthalpique

On estimera le rendement en fonction de la technologie des compresseurs et des


conditions de fonctionnement.
(Voir paragraphe précédent)

 v  1  0,05   et Va= Vb x  v

Connaissant Va (nombre de m3 aspiré par le compresseur), il faudra les transformer


en kg, pour cela nous connaissons le volume massique des vapeurs à l’aspiration (v’’aspi)
grâce au diagramme enthalpique.

qm = Va/v’’aspi
avec qm débit massique de fluide en kg/h
Va débit volumique aspiré en m3/h
V’’ aspi Volume massique des vapeurs en m3/kg (information donnée par le diagramme)

Connaissant qm nous pourrons donc connaître Φ0, Φk et Pth:

0 = qm Δh évaporateur = qm . (h1-h6)

Pth = qm . Δh compresseur = qm . (h2-h1)

k = qm . Δh condenseur = qm . (h2-h5)

Calcul possibles après tracé du cycle frigorifique sur le diagramme


Diagramme enthalpique

Le diagramme nous indique le volume massique des vapeurs à l’aspiration


(v’’ en m3/kg) ce qui permet de transformer le volume aspiré (débit volumique) en débit
massique (kg/h)
Le diagramme nous renseigne sur l’enthalpie du fluide à la sortie du détendeur et à la
sortie de l’évaporateur

DÉFINITION D'UN MÉLANGE ZEOTROPE

C'est un mélange de fluides purs. Les propriétés du mélange dépendent des constituants
du mélange et de leurs proportions respectives.
Actuellement, les mélanges sont constitués de 2 (mélange binaire) ou 3 (mélange ternaire)
fluides purs.

PROPRIÉTÉS

Ebullition
• Sous une même pression, un liquide commence toujours à bouillir à la même température.
• À pression constante, pendant toute la durée de l'ébullition, la température d'ébullition
augmente.
Cette variation de température d'ébullition est appelée glissement de température ou
"glide".
La température de début d'ébullition est appelée température de saturation liquide, ou
température de bulle.
La température de fin d'ébullition est appelée température de saturation vapeur, ou
température de rosée.
Diagramme enthalpique

Condensation
• Sous une même pression, la vapeur commence toujours à se condenser à la même
température.
• À pression constante, pendant toute la durée de la condensation, la température de
condensation diminue.
Cette variation de température de condensation est appelée glissement de température ou
"glide".
La température de début de condensation est appelée température de saturation vapeur,
ou température de rosée

CODIFICATION
La numérotation se situe dans la série numérique 400.
Les différents mélanges sont répertoriés par ordre d'enregistrement chronologique.

Quand il existe plusieurs mélanges constitués de mêmes corps purs, mais dans des
proportions différentes, la codification se termine par une lettre majuscule (A, B, C)
suivant le type de mélange.

R 404A HFC mélange ternaire


R 407C HFC mélange ternaire
R 408A HCFC (FX10) mélange ternaire
R 409A HCFC (FX56) mélange ternaire
R 410A HCF mélange binaire
R 413A HFC mélange ternaire
R 417A HFC mélange ternaire
Diagramme enthalpique

LES RELATIONS PRESSION-TEMPÉRATURE


Pour un fluide donné, il existe deux relations "pression-température".

La première relation correspond à la saturation vapeur.


La deuxième relation correspond à la saturation liquide.

- Les relations peuvent être données dans des tableaux ou présentées sous forme de
courbes.
- Sur les réglettes, pour une pression donnée, figurent les deux échelles de température
• Température de saturation vapeur
• température de saturation liquide.
Sur les manomètres s'il n'y a qu'une échelle de température :
• sur le manomètre BP, c'est la température de saturation vapeur.
sur le manomètre HP, c'est la température de saturation liquide

Glissement de température
Fluide frigorigène p : 0,3 bar
p : 31 bar (absolue)
(absolue)
R 404A 0,9 °C 0,2 °C

R 407C 7,7 °C 2,2 °C

R 409A 8,1 °C 4,1 °C

R 410A 0 °C 0 °C
Diagramme enthalpique

VÉRIFICATION ET RÉGLAGE DE LA SURCHAUFFE DANS LES ÉVAPORATEURS Les


procédures sont identiques à celles utilisées avec les fluides purs, mais la température
d'évaporation correspondant à la sortie de l'évaporateur est la température de saturation
vapeur.

Le R407C

AB : zone de changement d'état.


BC : zone de surchauffe des vapeurs dans l'évaporateur.
Θ02 : température de rosée

S: surchauffe = Θs – Θ02
Surchauffe = 4 – (-2) = 6°C

MANIPULATION DU FLUIDE FRIGORIGÈNE


La charge, le complément de charge et le soutirage de fluide frigorigène doivent toujours
être effectués en phase liquide tout en respectant les règles de sécurité relatives aux
fluides frigorigènes.

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