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Département des Sciences Economiques et de Gestion

Master de recherche : Management financier et stratégie des organisations

Projet sous le thème :

RSE et Qualité de vie au travail

Réalisé par : Encadré par 

ZAIM ASMAE Mme Bennani Asmae

FEDOUA TAGHZOULTI

EL-KHALFAOUY SOUKAYNA

IBN ATTYA ANDALOUSSI NOUSSAIBA

Année universitaire 2020-2021

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PLAN
Introduction

Section I : Généralité sur la RSE

1. La notion RSE
2. Evaluation de RSE
3. Les enjeux de RSE

Section II : La qualité de vie au travail comme pratique de la RSE

1. Définition de La QVT
2. Les principes de la qualité de vie au travail
3. Les dimensions de la QVT

Conclusion

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Introduction
La responsabilité sociétale des entreprises définit l’intégration des problématiques sociales
et environnementales des entreprises au cœur de leurs activités.
On dit d’une entreprise qu’elle a une démarche RSE efficiente lorsque celle ci intègre les
préoccupations liées à l’environnement et à l’aspect social au sein de sa stratégie de
développement et notamment au travers des interactions entre les diverses parties
prenantes. Il s’agit ici de prendre en compte les acteurs externes, principalement dans un
soucis d’image et de réputation, mais également d’accorder une importance particulière au
personnel en interne, salariés et collaborateurs.
En effet, il est bien connu que le bien être au travail est un vecteur de performance, lorsque
les salariés adhèrent à la culture d’entreprise et se sentent à l’aise dans leur environnement
de travail. Pour éviter les risques de surmenage et de dépression, les responsables RSE des
entreprises, en collaboration avec les responsables RH, doivent veiller à améliorer les
conditions de vie au travail afin de motiver les salariés, et ainsi augmenter l’efficacité au
travail par la même occasion.
Ainsi, il est primordial d’appréhender la RSE comme une démarche de performance globale,
qui a pour objectif l’équilibre entre rendement économique, égalité sociale et sauvegarde de
l’environnement notamment par le biais du développement durable.
En ce qui concerne la dimension sociale/ sociétale qui nous intéresse tout particulièrement,
la RSE permet de faire le lien avec la qualité de vie au travail dans la mesure où elle soulève
des questionnements et encourage des actions en rapport avec le respect des droits
humains, l’égalité au travail, les relations et conditions de travail ainsi que le dialogue et
la motivation des salariés.
Il est alors question de chercher de nouvelles techniques dans le but de concilier
performance et organisation du travail qui ensemble favorisent des conditions de travail
optimales, grâce auxquelles chacun des salariés pourra se sentir bien au travail et pourra de
la sorte réaliser un travail efficace et afficher des résultats positifs qui ne feront qu’améliorer
le succès et la rentabilité de l’entreprise.

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Section 1 : Généralité sur la RSE
1. la notion RSE

La notion de responsabilité sociétale des entreprises est apparue dans les années 1960 dans
la littérature anglo-américaine consacrée aux entreprises. Elle est la conséquence des
demandes émanant d'associations écologiques et humanitaires de mieux prendre en compte
les impacts sociaux et environnementaux des activités des entreprises. Elle est la déclinaison
à l'entreprise des concepts de développement durable.

La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale


des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire
par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités
commerciales et leurs relations avec les parties prenantes.

En d'autres termes, la RSE c'est « la contribution des entreprises aux enjeux du
développement durable ».

Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société
tout en étant économiquement viable. Il s'agit d'intégrer les préoccupations sociales et
environnementales dans les stratégies des entreprises et dans leurs activités
opérationnelles.

Exemples : la qualité globale des filières d'approvisionnement et de sous-traitance, le bien-


être des salariés, leur santé, l'empreinte écologique de l'entreprise, etc.

2. Evaluation de la responsabilité sociale des entreprises

Il existe certains principes directeurs qu'appliquent les gestionnaires afin de reconnaître la


conduite sociale appropriée. On peut les regrouper en trois catégories, notamment :

- La responsabilité économique ;

- La responsabilité légale ;

- La responsable morale.

 Responsabilité économique

A un premier niveau, les gestionnaires ont la responsabilité de maximiser la richesse


(bénéfices) des actionnaires. Ce point de vue est depuis longtemps défendu par Milton
Friedman .Il implique simplement que la responsabilité première des dirigeants d'une
entreprise consiste à générer des bénéfices pour ses actionnaires. Adam Smith fut le premier
à soutenir cette doctrine en lui expliquant que les entreprises profitent à la société
lorsqu'elles peuvent améliorer le rendement et maximiser les bénéfices.

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En effet, une entreprise à même d'enregistrer des bénéfices peut demeurer active et
employer des travailleurs.

Dans le cadre du cours de politique d'entreprise, la mission d'entreprise est de produire les
biens et/ou services et de les mettre à la disposition de la société humaine, la maximisation
de la richesse des actionnaires, n'est qu'objectif spécifique parmi tant d'autres qui concours
à la réalisation de l'objectif ultime de l’entreprise.

 Responsabilité légale

A un deuxième niveau, les entreprises ont la responsabilité de se conformer aux règles et


aux règlements définis par les organismes gouvernementaux. Ces derniers établissent un
processus de réglementation auquel tous les citoyens et les organismes doivent se plier pour
assurer le bon fonctionnement de la société. Les réglementations gouvernementales
existent à des fins économiques et sociales. Un gouvernement peut aussi le faire pour éviter
que les consommateurs n'achètent des biens de mauvaise qualité et pour éliminer le plus
possible la pollution de l'air et de l'eau.

 La responsabilité morale

Celle-ci concerne ce que l'on juge bon ou approprié. Elles vont au-delà de la loi et amènent
les gestionnaires à prendre leurs décisions en s'appuyant sur ce qu'il convient de faire. Les
employés d'une entreprise se laissent guider par la politique et les normes écrites de leur
organisation, lesquelles leur indiquent la bonne manière d'agir. Nous faisons ici allusion à
l'éthique d'une organisation, c'est-à-dire à un code de conduite qui s'applique à tous ses
membres.

3. les enjeux de RSE

La Responsabilité Sociétale de l’entreprise (RSE) comporte de nombreux enjeux pour


l’entreprise qui souhaite l’intégrer à sa stratégie globale, liés aux objectifs de développement
durable.

Une démarche RSE implique de mettre en place des actions et des outils spécifiques qui
touchent tous les volets de l’activité de l’entreprise et comportent des enjeux économiques,
sociaux, environnementaux mais aussi liés à la gouvernance et aux parties prenantes

 Les enjeux économiques

Sur le plan économique, la démarche RSE impacte la stratégie managériale puisqu’elle


participe à l’anticipation des risques, à l’amélioration de l’efficacité et à l’optimisation des
coûts. Elle est un vecteur de pérennisation de l’activité de l’entreprise, sur le moyen et long
terme.

Les actions menées dans le cadre d’une politique RSE, notamment en matière d’achats
responsables, participent également à la construction d’une relation saine et équilibrée avec
les fournisseurs et les sous-traitants de l’entreprise.

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Accroître les revenus : Il existe un véritable marché de la RSE. En effet, de plus en plus
d’entreprises et de personnes sont soucieuses de ces dimensions sociales et
environnementales. De ce fait, intégrer la RSE au sein de son entreprise, permet d’attirer des
clients, des investisseurs qui partagent les mêmes valeurs et qui sont eux-aussi engagés mais
également de motiver ses collaborateurs.

Réduire les coûts : Les mesures liées à la RSE revoient l’utilisation des ressources et tentent
de réduire les impacts environnementaux. De ce fait, des économies peuvent être faites,
comme l’économie d’énergie par exemple, toutes ces choses qui participent à
l’endommagement de notre planète et représentent des coûts pour l’entreprise.

Gérer les risques et l’incertitude : Cet engagement volontaire de la part des entreprises met
en place des actions et des programmes sociaux qui assurent une plus grande indépendance
des entreprises vis-à-vis des gouvernements. Il y a une prise de conscience qui se met en
place et qui se généralise.

Maintien de la licence sociale d’exploitation : Selon les principes de la RSE, il est important
de maintenir des liens avec l’ensemble de la société (populations locales, employés et
gouvernements). Il s’instaure alors une véritable relation de confiance et d'entrain de entre
les différentes parties prenantes.

 Les enjeux sociaux

La RSE comporte un volet social important qui se traduit par des objectifs en matière de
conditions de travail, de bien-être et de motivation des collaborateurs. Les actions mises en
place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de
travail serein.

La RSE intègre également des valeurs en matière d’égalité, de non-discrimination et de juste


rémunération au sein de l’entreprise.

 Les enjeux environnementaux

Déployer une politique RSE, c’est également l’opportunité pour l’entreprise de s’intéresser à
tout l’écosystème dans lequel elle évolue et aux conséquences de ses activités sur
l’environnement. Elle identifie ses principaux impacts (émissions de gaz à effet de serre,
consommation de ressources, production de déchets, pollutions...), définit et met en œuvre
un plan d’action pour les réduire et mesurer ses résultats.

La RSE est un enjeu prépondérant dans nos sociétés actuelles. Il est important que les
entreprises prennent conscience que s’engager au niveau social et environnemental est une
obligation envers les groupes constitutifs de la société. En effet, elles doivent contribuer à
l’amélioration de la qualité de vie de nos sociétés. L’activité des entreprises doit profiter à
l’ensemble des individus. C’est pourquoi, il est primordial que les entreprises s’engagent à
contribuer au développement économique durable.

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Section 2 : La QVT comme pratique de la RSE
1. Définition
La qualité de vie au travail désigne et regroupe sous un même intitulé les actions qui
permettent de concilier à la fois l’amélioration des conditions de travail pour les salariés et la
performance globale des entreprises, d’autant plus quand leurs organisations se
transforment.»
« Les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail et leur capacité à
s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci déterminent la perception de la qualité de vie
au travail.»
La qualité de vie au travail est donc un sentiment subjectif, lui-même influencé par des
conditions objectives de travail et d’organisation dans l’entreprise (voir schéma 1).

Schéma 1. Une définition de la QVT

Capacité Condition
d’expression d’emploi et
et d’action de travail

Contenu
du travail

Perception
de la qualité
de vie au
travail

 Les conditions de travail : Environnement de travail (physique, technique,


organisationnel…), Conditions d’emploi (formation, carrière, égalité, parcours

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professionnel…), Conditions de vie extraprofessionnelles en relation avec le travail
(temps de transport, problèmes de santé…).
 La capacité à s’exprimer et d’agir : Participatif (groupe de résolution de problèmes,
débats sur le travail…), Partenariat social (concertation, dialogue social…), Soutien
managérial (clarté des objectifs, reconnaissance…). , Soutien des collectifs (solidarité
métier, travail en équipe, échanges sur les pratiques…).
 Le contenu du travail :
Autonomie au travail : pouvoir d’agir sur des éléments de la tâche (rythme,
procédure, choix des moyens, accès aux ressources, outils…) et de les combiner de manière
variée et adaptée à la situation de sorte à procurer un sentiment de maîtrise.
Valeur du travail : le sens du travail ou sa valeur est d’abord perçu par autrui
(client, bénéficiaire, hiérarchie, pair…) et renvoie au sentiment d’utilité.
Travail apprenant : il renvoie à la possibilité de mobiliser dans son exercice
professionnel un ensemble de compétences (relationnelles, émotionnelles, physiques,
cognitives…). Un travail apprenant rend le travail intéressant.
Travail complet : réaliser une tâche complète non seulement au plan
organisationnel (maîtrise d’un processus ou d’une séquence de processus), mais aussi
pouvoir évaluer les effets de mon activité en regard des résultats que j’en attends, et pouvoir
réduire l’écart entre les deux. Et donc de « piloter » ma performance (sentiment de
responsabilité).

2. Les principes de la qualité de vie au travail :


1. L’amélioration de la QVT relève à la fois de la responsabilité collective (au niveau d’une
équipe, de l’organisation du travail ou de la culture d’entreprise) et de la responsabilité
individuelle de chacun (on peut améliorer sa propre “perception” du travail).

2. L’attention doit être mise autant sur les éléments protecteurs et facteurs de bien-être et
d’épanouissement que sur les facteurs de mal-être et des situations à risque (tels que les
risques psychosociaux ou RPS), pour un regard plus équilibré sur le travail.

3. Le renforcement de la capacité d’expression et d’action des salariés est au cœur du


dispositif de Qualité de vie au travail. Nous considérons les collaborateurs comme des
experts de leur cadre de travail qui doivent être écoutés et associés à la conduite de la
démarche. La QVT doit aussi viser l’amélioration de leur “pouvoir d’agir” au sein des
organisations.

4. Les actions qui relèvent du contenu intrinsèque du travail (autonomie, variété des
tâches) et celles qui relèvent des conditions d’exercice (environnement de travail,
équilibre pro-perso, santé, mobilité) ont chacune leur place dans l’amélioration de la
QVT. La qualité et la fierté du travail bien fait doivent toutefois rester au coeur des
préoccupations.

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5. La qualité relationnelle est un levier essentiel de la QVT. Les outils et méthodes
d’animation des séances de travail doivent viser le développement de l’intelligence
collective des équipes et l’acquisition de compétences relationnelles nouvelles tournées
vers la coopération.

6. Tout projet de QVT devrait s’inscrire dans un projet plus large de Responsabilité
Sociétale des Entreprises (RSE). L’attention portée au bien-être des salariés en interne
est un catalyseur puissant pour atteindre l’ensemble des parties prenantes, et agir
positivement et durablement sur l’écosystème de l’entreprise et la société .

3. Les dimensions de la qualité de vie au travail :


De multiples études scientifiques à travers le monde ont démontré que la qualité de vie au
travail est composée de nombreuses dimensions. Après avoir étudié les travaux de l’ANACT/
ARACT au cours de la dernière décennie ainsi que l’étude Walton de Harvard et plus de 100
revues scientifiques traitant de la QVT, nous avons identifié 7 dimensions clés de la qualité
de vie au travail.

 L’ADN de l’entreprise

Définition : Cette première dimension désigne l’ensemble des caractéristiques propres à une
entreprise et définissent en grande partie l’expérience collaborateur au sein d’une société.
Sa démographie, sa culture et ses valeurs sont donc des éléments essentiels pour
développer une expérience employée.

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Les enjeux de l’ADN de l’entreprise : Cette dimension influence directement la qualité de vie
au travail. Elle évalue les conditions qui contribuent à créer une atmosphère unique au sein
de l’entreprise. Elle permet également de faire rayonner l’image de marque d’une société.

 L’environnement et les conditions de travail

Définition : Cette deuxième dimension caractérise l’ensemble des conditions physiques et


matérielles composant le cadre de travail des collaborateurs. La responsabilité sociétale des
entreprises (RSE) est également un élément essentiel de notre approche.

Les enjeux de l’environnement et des conditions de travail : Proposer un cadre de travail à


la fois sécurisé et agréable permet de donner les bons éléments aux collaborateurs pour
améliorer leur bien-être et leur productivité. Cette dimension permet également d’évaluer
l’impact des préoccupations de l’entreprise sur les enjeux sociaux et environnementaux.

 L’organisation et le contenu du travail

Définition : Cette dimension rassemble les éléments clés composant le travail des
collaborateurs. Le travail est ici analyser dans son ensemble. La sécurité de l’emploi, les
opportunités de développement ou encore le sens donné à ce dernier permettent de
l’analyser en profondeur.

Les enjeux de l’organisation et du contenu du travail : Apporter du sens au travail de ses


collaborateurs et leur permettre de se projeter dans l’entreprise est essentiel pour booster
la créativité et la productivité de ses équipes.

 La santé et l’absentéisme

Définition : Ces deux concepts désignent à la fois la création d’un lieu de travail favorable au
bien-être physique et mental des employés ainsi que sa prévention continue pour le
pérenniser.

Les enjeux de la santé et de l’absentéisme : Un bon niveau de santé au travail reflétera une
bonne qualité de vie au travail et limitera au maximum les risques psychosociaux (RPS) ainsi
que leurs coûts pour l’entreprise.

 Les relations au travail

Définition : Cette dimension représente les dynamiques collectives et relationnelles entre les
différentes personnes dans l’entreprise. La cohésion de groupe, le civisme ainsi que le
dialogue social sont des éléments favorisant l’épanouissement général des collaborateurs.

Les enjeux des relations au travail : Offrir une ambiance de travail agréable et saine favorise
l’épanouissement des collaborateurs et améliore la qualité de vie au travail perçu par ces
derniers.

 Le management
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Définition : C’est le cœur de la qualité de vie au travail ! Il s’agit des méthodes assurant le
fonctionnement opérationnel d’un collectif. Il permet de maintenir un esprit solidaire, de
promouvoir le meilleur de chacun et d’engager les collaborateurs sur le long terme.

Les enjeux du management : Une politique de management favorisant la qualité de vie au


travail permet d’engager ses collaborateurs et d’accroître leurs productivités.

 L’équilibre de vie professionnelle/ personnelle

Définition : Notre dernière dimension de la qualité de vie au travail représente l’analyse de


la séparation des temps. Il assure un compromis idéal entre la vie professionnelle et la vie
privée. C’est l’une des sources majeures du bien-être et de la performance des
collaborateurs.

Les enjeux de l’équilibre de vie professionnelle/ personnelle : Des collaborateurs heureux


bénéficiant d’une bonne flexibilité de travail seront plus productifs. Cela favorisera un bon
niveau de QVT.

Conclusion
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La QVT et la RSE sont liées par un socle commun : le respect de l’humain. Une démarche QVT
efficace vient renforcer une stratégie de responsabilité sociétale. A l’inverse, en mettant en
place des pratiques RSE concrètes, l’entreprise contribue à une meilleure qualité de vie au
travail.
Prenons l’exemple de la crise sanitaire et économique du COVID-19 : une entreprise qui mise
sur la flexibilité au travail dans ses pratiques de RSE n’a pas de mal à favoriser le télétravail
lorsqu’il est nécessaire. Même en période de confinement, une entreprise peut participer au
maintien de la QVT.
Permettre le travail à distance, c’est réduire le stress et les risques psychosociaux liés aux
déplacements et à l’exposition d’un virus. C’est également réaliser que l’entreprise peut
participer à la réduction des émissions de CO2 en désengorgeant les routes et les transports
publics. Dans cette situation, RSE et QVT sont alignées !

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Bibliographie
https://www.anact.fr/sites/anact/files/10questions-sur-la-qualite-de-vie-au-travail-
2016.pdf
https://www.humean.org/2018/05/15/principes-clefs-de-qualite-de-vie-travail-
jennifer-vignaud/#
http://www.movae.fr/2019/01/responsabilite-societale-des-entreprises-et-qualite-
de-vie-au-travail/
https://www.la-fabrique.fr/fr/publication/la-qualite-de-vie-au-travail-un-levier-de-
competitivite/
https://lekcio.com/management/la-qualite-de-vie-au-travail-et-la-rse-un-combo-
gagnant/
La responsabilité sociale de l'entreprise par Cédric ISUMO EKEMBE Université deKinshasa
 https://www.memoireonline.com/08/10/3820/La-responsabilite-sociale-de lentreprise.html
Antoine PENNAFORTE, Jean-Louis GUIGNARD et Jean-Pierre HERBINIER
« les fondamentaux de la GRH » DUNOD 2018.
https://www.escadrille.org/fr/blog/environnement-social-responsabilite-
economique

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